come up to meet you, tell you i'm sorry (+18)

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Etait-il vraiment près à prendre soin de lui ? Je n’en étais pas vraiment sûr, il faudra sûrement que je sois toujours derrière lui pour qu’il daigne se calmer un peu. Je le touchais sans modération parce que je n’ai pas eu mon petit câlin du matin alors j’en profitais tout de suite en espérant pouvoir avoir le petit câlin que je n’ai pas eu mais le problème était que nous sommes devant beaucoup de monde. On ne pouvait donc pas faire ce que j’avais en tête. Je mordis ma lèvre en l’entendant dire que je pouvais faire tout ce qu’il voulait de moi. Ne me dis pas ça, je vais avoir envie de toi après … dis-je en suçant ta lèvre inférieure avec amour. Je savais que Charlie avait un charme naturel, mais il était tout simplement en train de me tuer d’amour pour lui. Il n’y a pas une seconde où le mot mignon n’apparaît pas dans mon cerveau quand je le vois. Même quand on fait l’amour sauvagement, je le trouve adorable en étant en plus incroyablement sexy. Rien que d’y penser, je sentais déjà l’excitation venir et il était temps pour moi de me calmer un peu. Montre moi comment je te fais perdre la tête… dis-je en passant deux doigts sous son bas de bain. Je viens alors caresser doucement ses petites fesses, allant même jusqu’à titiller la raie de ses fesses. Je voulais le pousser à bout mais je savais que j’allais partir également de mon côté. Si on était à l’hôtel, tu peux être sûr que je t’aurais pris violemment mon bébé… dis-je en embrassant tes lèvres plusieurs fois de suite avec une extrême tendresse et un amour prononcé. C’est ce qu’on appelle tomber follement amoureux d’un petit être mignon, mais je le savais que je n’aurais pas pu lui résister au final. Je l’ai dans la peau Charlie…

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Voilà que c’était en train de sérieusement partir en vrille. Ils n’étaient donc pas capables de se tenir tranquille. Charlie fronça son petit nez. C’était de sa faute aussi. Il avait commencé à le tripoter. Il pourrait se retenir quand même non ? Il lui en fallait peu pour perdre le contrôle et malheureusement Ko An savait déjà comment s’y prendre avec lui. Il ferma les yeux comme s’il allait arriver ainsi à garder son calme mais les mots du coréen et le fait qu’il s’était mit à suçoter sa lèvre ne l’aidaient pas. Il laissa même échapper un long soupir d’aise qu’il ne chercha pas à cacher. Il rouvrit les yeux et planta son regard brulant dans le sien. « Arrête ça.. ou je te saute dessus. » Et qu’est-ce qu’il en crevait d’envie. Malheureusement ils ne se trouvaient pas vraiment dans le lieu le plus approprié pour cela et il allait devoir refreiner ses ardeurs. Ko An ne semblait pas compatir puisqu’il continua son petit manège sous son maillot de bain cette fois. Charlie ne put s’empêcher d’afficher un petit sourire pour le moins pervers alors qu’il pensait que ce mec était une sacré enflure de lui faire ça. « T’as pas le droit de faire ça. Je vais en avoir envie après.. » Il se plaignait mais en même temps c’était compréhensible non ? Ko An abusait clairement. Il plaça sa main devant la bouche du coréen pour qu’il arrête ses baisers. « Suffit de me tripoter. Cela va se voir sinon. » Il baissa les yeux vers sa propre entrejambe pour lui expliquer de quoi il parlait. Il n’avait pas franchement besoin de beaucoup pour bander alors si Ko An continuait comme ça il n’allait pas pouvoir cacher ça.

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J’avoue que je le cherchais aussi un peu, voire même beaucoup au final. Je l’embrassais toujours autant avant de passer mes doigts en dessous de son bas de bain pour pouvoir le titiller un peu plus et cela à l’air de lui faire plaisir même s’il avait une petite touche de colère dans ses yeux. Il n’aimait pas que je le chauffe ainsi car il sait très bien qu’il ne pourra rien me faire en retour. Alors oui, j’étais un peu un gros connard là tout de suite mais j’aimais voir ce côté luxure dans les yeux de mon petit bébé. mhh vas-y saute moi dessus. dis-je en lui murmurant contre ses lèvres que je ne cessais d’embrasser. Je souris quand il me dit que je n’avais pas le droit de faire cela, qu’il allait avoir envie après. C’est exactement ce que je cherchais, finalement on risque de rentrer à l’hôtel un peu plus tôt que prévu… Mais il arrêta rapidement mes bisous en mettant sa main sur la mienne. Je rigolai alors, retirant ma main de son bas de bain. T’es vraiment pas drôle… Je me serais bien occupé de cela mais t’es trop méchant donc voilà, je ferai rien du tout. dis-je en te tirant la langue. Je me mis alors sur le dos et regardais ainsi l’heure. Cela faisait déjà deux bonnes heures qu’ils étaient sur la plage et beaucoup de personne étaient partis manger au restaurant. Il n’y avait d’ailleurs personne autour d’eux et ils étaient en plus cachés par les arbres qui se trouvaient derrière eux. Un petit coin tranquille où personne ne pouvait les voir. Mais cela n’empêchait pas que je ne m’occuperai pas de lui. Il n’a pas voulu que je le touche alors je fais pareil na !

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C’était un peu risqué ce qu’ils faisaient là. Ils jouaient avec le feu à se tripoter comme ça en public. Heureusement qu’ils n’étaient pas en Corée où ça aurait été pire que mal vu. Mais tout de même, ils ne pouvaient pas continuer même si Charlie avait bien du mal à ne pas répondre à ses envies. Son corps se collait tout seul à celui de Ko An et affichait le contraire de ce qu’il lui disait. Il lui demandait d’arrêter mais son langage corporel criait ‘encore’. « Mais je peux pas. » Geignit-il. Il n’allait tout de même pas le chauffer devant tout le monde. Pas que cela le gênait particulièrement, enfin si un peu, mais ça ne se faisait pas non ? Alors oui, il râlait un peu. Il essayait de le calmer et de le raisonner mais lorsqu’il s’éloigna carrément de lui je ne vous explique même pas la frustration. Charlie fronça les sourcils et se redressa d’un seul coup. Il le regarda d’en haut une main de chaque côté de son corps. « T’es pas sérieux là ? » Il ne pouvait pas l’être. Charlie n’aimait pas trop cela. C’était un peu comme refuser un bonbon à un enfant après l’avoir agité sous son nez. C’était exactement ça. Il ne se gêna pas pour le frapper au niveau du torse en bon petit sauvage. Il n’était pas vraiment énervé et il ne lui avait surement même pas fait mal mais la frustration était telle qu’il avait du mal à la cacher. « Je t’ordonne de me soulager ou de me suivre à l’hôtel tout de suite. » Il n’y avait pas plus clair comme message et oui, il osait carrément lui donner des ordres.

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J’adorais le voir ainsi totalement frustré par le fait que je ne voulais même pas le soulagé. C’est vrai quoi, j’avais mes raisons, il m’avait repoussé nan ? Alors je ne vois pas pourquoi je lui ferai une fellation pour qu’il aille mieux. Nan, nan, nan je ne suis pas d’accord mais je me doutais que cela allait finir par arriver. Il sait comment avoir ce qu’il veut, un vrai démon je vous dis ! Il me demandait en plus si j’étais sérieux de faire cela. Je souris intérieurement et mis mes bras derrière ma tête alors que lui était au dessus de moi. Une position vraiment intéressante, mais je ne pouvais rien faire, je le boude. Bien sûr que je le suis, je suis toujours sérieux moi ! ou pas en fait… Il est rare de le voir sérieux. J’arquai un sourcil quand il m’ordonna de s’occuper de lui ou de le suivre à l’hôtel. Le pire c’est qu’il m’en donna vraiment l’ordre et en bon soumis que je suis. Je finis par craquer parce que je sais qu’il ne voudra plus que je le touche si je ne faisais rien. Je l’allongeai à côté et mis une serviette sur son bassin pour pouvoir glisser ma main en dessous. J’allais tout simplement le masturber parce qu’il ne fallait pas pousser mamie dans les rosiers non plus hein. Je te masturbe juste, tu m’as repoussé ne compte pas sur moi pour te toucher plus que cela vilain ! dis-je en lui faisant une grimace. Je sortis finalement son sexe et commença à le masturber doucement. Ben oui, j’allais en plus prendre mon temps tiens.

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Il plaisantait. Il ne pouvait pas être sérieux. Il osait se moquer de lui. Quel enfoiré, pensa-t-il. Il le tripotait sans gêne et après il s’arrêtait comme ça. Il n’arrivait pas à y croire. D’ailleurs il le frappa une seconde fois avec ce petit air outré qui lui allait si bien mais qui ne lui donnait aucune crédibilité tellement ça le rendait mignon. « Arrête de te foutre de moi ! » Il leva la main prêt à lui en coller une troisième mais les choses se déroulèrent autrement et à la place il se laissa faire comme une petite marionnette. Il s’allongea bien sagement tout en observant chaque geste du coréen. Il n’allait tout de même pas s’exécuter ? Charlie jeta un regard paniqué autour de lui. La plage s’était vidée certes mais il pouvait encore voir des gens ou des familles en train de pique-niquer. Il tourna la tête vers Ko An avec un regard implorant la pitié même si dans le fond cela l’excitait encore plus. Il plaqua sa main sur sa bouche lorsqu’il sentit ses doigts s’enrouler autour de son sexe. Mais quel petit con celui-là. « C’est toi le vilain ouais. » Lâcha-t-il lorsqu’il se sentit capable de ne pas gémir. Il faisait ça terriblement lentement en plus. C’était une véritable torture pour l’américain qui prenait sur lui pour rester calme mais surtout pour ne pas gémir. Il se pinçait les lèvres pour ne laisser échapper aucun son et regardait Ko An dans les yeux. Il mourrait d’envie de le traiter de tous les noms mais en même temps il n’avait pas du tout envie qu’il s’arrête.

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Je le savais que j’avais un petit côté connard à certain moment et bizarrement il était ressorti. Puis le pire c’est que Charlie était en train de me taper parce que je ne voulais pas m’occuper de lui. Mais quelle vipère moi je vous dis ! Je décidais alors de m’occuper de lui sur la plage, même si on n’aurait pu rentrer puisque l’hôtel est juste derrière mais j’avais envie de voir sa tête rouge écrevisse là tout de suite parce que c’est marrant. Il disait en plus que je suis un vilain alors pour sûr ma main fit des mouvements très lents juste pour l’énerver un peu plus. Cela se voyait dans son regard qu’il kiffait cela mais il m’insultait aussi et ce n’était sûrement pas des jolis mots qu’il pensait de moi. Avoue t’as vraiment envie de m’insulter là tout de suite ! dis-je en pouffant de rire. J’aurais bien aimé voir des mots sales sortir de sa bouche là tout de suite mais il était trop timide mon petit bébé. J’approchai alors mon visage de son oreille et lui murmura à l’oreille. Tu as toujours chaud bébé ? Pourquoi tu ne laisses pas ce joli son sortir de ta bouche mhh ? dis-je avec un sourire au coin moqueur, je viens mordiller son oreille avant de gémir faiblement dans son oreille. Ouais, je cherchais un peu beaucoup les emmerdes…

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Ça y est. Charlie venait de perdre la tête mais littéralement. Il n’arrivait plus à réfléchir et la seule chose qu’il pensait c’était : putain ce mec est un vrai connard. Il se retenait évidemment de lui dire parce qu’il craignait de laisser échapper autre chose qu’une insulte. Il ne voulait pas lui offrir ce plaisir là et en plus il n’avait pas envie que quelqu’un se doute de ce qui était en train de se passer sous cette serviette. En plus il se moquait encore de lui. Il se jura de se venger un jour parce qu’il avait beau apprécié très fortement ce qui se passait dans son maillot il aimait beaucoup moins le fait que Ko An en profitait pour se foutre de lui. Il ravala sa salive difficilement et laissa sortir un peu sa rage. « T’es un putain d’enfoiré de merde Ko An. » Comme ça, c’était dit au moins. Il se mordit aussitôt la lèvre et ferma les yeux prenant sur lui pour ne pas gémir mais à la place tout son corps trembla. Ses joues étaient devenues rouges mais cela n’avait rien à voir avec un quelconque coup de soleil. Il crevait de chaud à cause de cette torture et de la chaleur ambiante. Parfois il cachait sa bouche avec ses doigts ou se mordait l’intérieur de la joue. C’était une véritable épreuve pour lui. Ko An devait s’en douter. Il savait qu’il était plutôt bruyant d’habitude. « Tu peux rêver. » Il n’allait pas lui offrir ce plaisir là. Cela allait lui demander beaucoup d’efforts pour ne pas gémir mais vraiment il comptait tenir le coup autant que possible et quand il avait une idée en tête il ne l’avait pas ailleurs.

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Oui, je cherchais la merde. Il allait vouloir m’embêter après mais cela mettait un peu de piment dans notre couple n’est ce pas ? Cela m’excitait de le voir m’insulter comme ça. Il est tellement sexy quand il sort ce genre de chose comme cela. J’aurais presqu’envie de le prendre là tout de suite devant tout le monde. Mais j’allais devoir me retenir, je le sais très bien. N’empêche que je me sentais durcir à l’entendre me parler comme ça aussi. Puis son visage en mode tomate, il avait chaud mon pépère et ça, ça c’est vraiment excitant par contre. J’adore ça ! Je pense être un peu maso sur les bords, en fait c’est Charlie qui me rend comme ça. Faut vraiment que je me calme, je vais finir par vouloir l’attacher… Quoi que ça, ça peut se faire au final. Il ne voulait pas gémir alors je vais devoir le forcer un peu ? Nan, je ne pouvais pas faire cela ici, il allait vouloir vraiment me tuer et m’empêcher de lui faire l’amour après. Je retirai alors ma main et me redressais sur mes coudes. Allons à l’hôtel, j’aime pas tu ne gémis pas ! Je me lève alors et plaça la serviette autour de mes épaules. Je pris mon sac et le leva d’un coup pour qu’il me suive. Je le tirai alors en direction de l’hôtel bien décidé à le prendre violemment sur mon lit. Ben oui, l’aprem ils sont tous absents alors je pourrais toujours le faire gémir encore et encore jusqu’à ce que l’orgasme nous tue.

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Il le rendait fou là. Il osait le masturber sur la plage ce petit con et il voulait en plus l’entendre gémir. S’il en était capable et s’il disposait de la volonté nécessaire surtout il l’aurait envoyé chier mais il n’allait pas mentir ce qu’il lui faisait subir lui plaisait quand même. Cela se lisait sur son visage qui avait pris des couleurs. Il le détestait un peu de le torturer comme ça. Pourquoi ne l’avait-il pas plus simplement emmené à l’hôtel ? Mais heureusement son souhait était sur le point d’être exaucé et en l’entendant râler parce qu’il ne l’entendait pas gémir il écarquilla les yeux. Ils allaient sérieusement devoir marcher jusqu’à l’hôtel alors que son érection était déjà suffisamment avancée ? Ko An le bousculait un peu à vouloir partir aussi vite et le pauvre américain eut à peine le temps d’arranger ça dans son maillot puis de bien mettre son short de bain qu’il le tirait déjà vers l’hôtel. Charlie en profita pour enfin déballer le flot d’insultes qu’il avait retenu jusque là. « T’es vraiment un petit con Ko An. Tu le sais que t’es un petit con ? Nan mais un vrai connard. T’es le pire des salauds. J’te jure que t’es un enfoiré mais vraiment ! » Et les pauvres clients de l’hôtel les regardèrent avec de gros yeux. Ils devaient penser à une scène de ménage alors que pas vraiment. Dès le premier pas dans la chambre Charlie plaqua Ko An contre le mur avec un petit sourire malveillant et lubrique. « J’te déteste tu le sais ça. » Il se colla rapidement à lui et ses lèvres s’écrasèrent sur les siennes pour un baiser plus que fougueux. Ses mains parcouraient son corps entier. Il le griffait parfois. Il vint alors saisir plus franchement son paquet. Plus question de romantisme ou de tendresse.

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Ben oui, j’aime entendre la voix mélodieuse de mon petit ami quand il prenait son pied. Mais là ! Là ! il ne voulait pas le faire ce petit con. Alors c’est pour cela que j’ai capitulé et que j’avais bien dans l’idée de le faire gémir 10 fois plus fort comme punition. Je ne pus m’empêcher de sourire quand il commença à m’insulter parce que j’avais osé lui faire cela sur une plage publique. Mais putain qu’est ce qu’il peut être bandant quand il est ainsi. J’aurais presque envie de me toucher en le regardant faire. J’aime t’entendre dire ce genre de chose, ça prouve que je te fais vraiment de l’effet. On arriva rapidement dans la chambre et je le vis me plaquer contre la porte en osant me dire qu’il me détestait. Je ne pense pas que tu me détestes tant que cela mon bébé mhh, je pense même le contraire. dis-je en venant sucer sa langue avec envie. Je savais très bien qu’il voulait jouer avec moi, mais on n’allait pas le faire tout de suite. Je veux d’abord l’entendre gémir sous moi et c’est maintenant que je le veux ! Je le poussais alors vers le lit et le déshabillais rapidement avant de me placer au dessus de lui. Je bougeais mon bassin pour que nos deux sexes se frottent l’un contre l’autre. Il allait gémir ! Gémis charlie ! je veux t’entendre ! dis-je en lui tirant les cheveux pour qu’il commence à le faire. C’était maintenant ou je pétais clairement les plombs. A croire que le sexe rend complètement taré au final.

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D’accord, il ne le détestait pas vraiment et c’était même tout le contraire. Il était dingue de lui. Il le rendait fou d’ailleurs. Une autre chose lui plaisait chez Ko An : il ne prenait pas de gants quand ils en venaient au sexe. Il n’avait pas peur de le casser. Combien d’hommes s’étaient comportés comme s’ils avaient une poupée en porcelaine entre les mains ? Charlie aimait que ce soit violent, bestial ou sauvage. Il adorait ça. C’était la seule façon de le faire jouir. Ko An avait l’air de bien l’avoir compris. Il tomba sur le lit, souleva ses fesses pour lui faciliter la tâche et se retint encore un peu avant de gémir. Sauf que maintenant qu’il n’y avait aucune raison valable de le faire ce fut bien plus difficile et son premier gémissement quitta ses lèvres. « Ko An ! » C’était son prénom et il l’avait regardé droit dans les yeux en le gémissant. Il l’attrapa par la nuque pour sceller leurs lèvres puis ses mains descendirent pour lui retirer son foutu maillot de bain le plus rapidement possible. Il bascula en donnant un coup de bassin pour se retrouver au-dessus mais continua à frotter son sexe contre le sien. Il dévora son cou et cette fois ce fut son tour d’y laisser une petite marque qu’il admira quelques secondes avant de passer sa langue sur son téton tout en pinçant l’autre entre son index et son pouce. Une chose était sure : l’entente au lit était parfaite. Il remonta à ses lèvres qu’il mordilla mais qu’il prit tout de même soin de ne pas blesser. Son souffle était déjà irrégulier. « Enfoiré va. » Fut ses derniers mots avant qu’il ne se remette à l’embrasser. Une main descendit entre leurs corps jusqu’à saisir leurs sexes pour les masturber l’un contre l’autre. Il mériterait d’être plus torturé que ça mais Charlie en mourrait trop d’envie lui aussi.

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Ce mec me rendait complètement dingue, je n’avais qu’une envie là tout de suite lui défoncer son joli petit cul pour qu’il ne pense qu’à moi et moi seul. C’est ce qu’on appelle de l’amour. Il se sentait tellement bien avec lui, ils se complétaient pleinement au pieu et ne pouvait pas demander mieux, c’était juste sublime. Je me rendais à moitié fou quand il commença à gémir mon prénom qu’il le fasse car il allait continuer pendant longtemps. C’est ça continue de gémir mon prénom Charlie ! dis-je en l’embrassant avec fougue commençant à me frotter contre lui. Je souris en l’entendant m’appeler enfoiré alors que je venais de perdre mon bas de bain. Je répondis à son baiser gémissant à son petit suçon et je ne vous réponds même pas comment je me sentais là tout de suite. Je sentais mon sexe grandir de plus en plus et je n’avais qu’une hâte le prendre rapidement. Je caressais sa main doucement tout en l’aidant à nous masturber. Je passais ensuite mon autre main sur ses fesses pour pincer celles-ci. Charlie, laisse moi te prendre à sec mhh dis-je en le regardant. Je léchais tout de même mes doigts pour pouvoir lui humidifié un peu l’entré mais je n’allais pas entrer mes doigts. Cela prendrait trop de temps et je n’allais pas le supporter je le sais. Je ne sais même pas si on va vraiment passé par la case préliminaire… C’est ce qu’on appelle avoir chaud de sexe.

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Clairement Charlie allait faire beaucoup de bruit aujourd’hui. Il espérait que l’isolation de l’hôtel était parfaite pour les clients qui avaient la chambre d’à côté ou que ceux-ci n’y étaient pas. Quoiqu’il en soit les choses devenaient très chaudes entre eux. Ils ne contrôlaient plus rien. Charlie les masturbait à un rythme plutôt rapide et gémissait contre sa bouche de façon à peine exagérée. Disons qu’il ne se retenait pas mais qu’en plus il accentuait la chose. A sa demande Charlie afficha un sourire pervers à souhait. Comme s’il était en mesure de lui refuser ça ? Il sentait ses doigts sur son entrée et déjà il en voulait, déjà il savait qu’il ne pouvait pas attendre. Il se fichait d’avoir mal. Il voulait le sentir maintenant. Il ne se souvenait même pas s’être un jour retrouvé aussi excité que cette fois. « Prends-moi alors. » Le terme ‘défoncer’ aurait sans doute été plus correct dans le cas présent mais Charlie n’y avait pas franchement pensé. Il se laissa tomber sur le côté pour que Ko An soit à nouveau au-dessus de lui. Les mains sur ses hanches il rapprocha son bassin du sien. Il allait le sentir passer. Il en avait pleinement conscience mais il le voulait autant que lui. Et dès qu’il entra tout son corps se crispa. Ses mains sur ses bras resserrèrent leur emprise jusqu’à ce que les phalanges deviennent blanches. Son visage se déforma sous la douleur et il laissa échapper un gémissement bien différent des autres. Ce n’était pas la première fois. Il s’y attendait. « Vas-y ! » Grogna-t-il. Il lui donnait le feu vert pour continuer et remua même son bassin même si cela restait encore un peu douloureux.

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Très clairement, je n’attendais qu’une chose pouvoir lui faire l’amour avec force et désir. Je l’aime après tout, j’espérais pouvoir passer plus de temps avec lui. J’étais devenu comme possédé, il était impossible pour moi de me stopper maintenant. Je voulais le prendre, je voulais même le faire crier sa jouissance. Je lui posais la question mais je savais très bien qu’il n’allait pas me dire non. Il aimait avoir mal après tout. Je vais te prendre comme jamais personne ne t’aura pris Charlie. dis-je avec un sourire charmeur au coin. Je pris finalement le dessus après avoir un peu mouillé ses fesses. Je ne voulais pas le préparer simplement pour sentir ses chairs serré autour de mon membre. J’entrais alors en lui rapidement mais je voyais qu’il avait mal alors je suçotais son téton pour le faire oublier. Je mordis ma lèvre pour éviter de bouger, il était tellement accueillant mon bébé. Surtout son petit con en tout cas. Je viens alors l’embrasser avec fougue tout en commençant mes mouvements rapidement. Je bougeais rapidement mon bassin pour pouvoir lui faire le plus de plaisir. Je sais qu’il aime quand c’est violent. Je l’ai tellement pris aussi. Je me redressais pour pouvoir attraper son bassin et le tirer plus contre moi. Je bougeais toujours mon bassin pour aller bien loin au fond de lui. Tout en le regardant dans les yeux pour lui montrer la luxure qu’il me procure. mhh charlie dis-je en accentuant mes mouvements de plus en plus tout en écartant les jambes de mon bébé.

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Ah pour ça il lui faisait totalement confiance. Déjà en temps normal personne ne lui procurait autant de plaisir. En tout cas la veille il avait eu sa meilleure partie de jambes en l’air depuis des lustres mais peut être que celle-ci allait encore bouleverser le classement. Aussi il ne doutait pas des capacités de Ko An. Cela ne le dérangeait pas de souffrir après tout ce n’était qu’un mauvais moment à passer et quelque part il aimait ça en plus. Le plaisir qu’il lisait sur le visage de Ko An ainsi que ses baisers prouvaient que ce n’était pas une mauvaise chose. Au contraire cela l’excitait d’autant le sentir en lui même s’il fallait avoir mal pour ça. Il y allait vraiment fort et les cris de Charlie ne tardèrent pas à remplir la pièce. Il aimait quand c’était aussi violent. Il devait avoir un délire un peu masochiste. Il s’accrochait aux draps ou aux bras de Ko An lorsqu’il le pouvait. Il essayait de garder les yeux ouverts pour ne pas perdre le contact mais parfois il les fermait et grimaçait de douleur. Cela ne durait qu’une seconde puisqu’il gémissait tout de suite après le prénom de son amant. Son dos était cambré et son sexe gonflé. « ‘tain c’est bon. » Oh oui, qu’est-ce que c’était bon. Il prenait son pied. Sous le regard de Ko An il commença à se masturber et ses gémissements doublèrent d’amplitude. Il criait son nom. Il l’insultait parfois. En tout cas il avait perdu tout contrôle sur sa personne. Il ne fallait surtout pas qu’il arrête. Il se redressa un peu pour être sur ses avant-bras et rejeta la tête en arrière à un coup beaucoup plus profond que les autres. Son corps tremblait sous le plaisir qu’il prenait et il en avait la chair de poule.

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On faisait les choses biens, je ne me suis jamais ennuyé durant une de nos partis de jambe en l’air. D’ailleurs, elles sont toutes mémorables ! Il savait si bien s’y prendre et il était tellement accueillant que le plus pure des hétéros ne pourrait pas résister au petit cul de mon petit ami. D’un côté, j’étais chanceux de l’avoir, il était l’homme parfait pour moi… Il aimait la baise autant que moi et il était quelque peu maso comme moi. On se ressemblait assez et on était en total accord au pieu ce qui est magnifique bien sûr. Je le regardai gémir comme un pucelle cela m’excitait encore plus et me donnait envie d’aller plus loin en lui. Je tapais contre sa prostate avec plaisir, je lui tirais les cheveux, l’embrassait, le mordait, je faisais tout pour garder les pieds sur terre. Je le vis se redresser et cela me donna envie d’accentuer encore et encore. C’est fou comment ce mec me rendait complètement dingue. Je le pris et le retourna rapidement pour l’allonger sur le lit et ainsi m’enfoncer en lui. C’était encore plus étroit et tellement bon. Je viens lécher son oreille avec avidité, tout en bougeant également mon bassin avec des coups secs. charlie voilà que je me mettais à gémir contre son oreille. Il m’insultait et je lui répondais aussi bien. Pris d’une frénésie, je commençais à bouger mon bassin de plus en plus rapidement commençant à grogner comme pourrait le faire un animal. Oui, j’étais une bête, une bête de lit.

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Il aimait quand c’était comme ça. Il ne voulait pas que Ko An se retienne. Il pouvait y aller aussi fort qu’il le désirait. Il adorait entre son bassin claquer contre ses fesses. Il le sentait rentrer toujours plus profondément en lui et ça lui donnait des vertiges. Il se laissa faire comme une pauvre marionnette. Il se retourna mais ne tint pas longtemps sur ses bras à cause des mouvements de Ko An mais aussi parce que ses membres lui paraissaient si lourds. La joue contre le matelas il serrait les draps entre ses dents et froissait les draps dans tous les sens avec ses doigts. Un sourire passa quelques secondes sur son visage lorsqu’il sentit la langue de Ko An contre son oreille mais il s’effaça rapidement pour laisser place à un autre cri. L’entendre gémir à son oreille l’excitait et augmentait son plaisir. Aucun doute que ses petites fesses étaient devenues rouges avec tant de violence. Il s’en fichait. Il prenait son pied comme jamais. Ko An lui faisait l’amour comme personne d’autre. Il n’allait d’ailleurs pas tenir longtemps comme ça mais il comptait bien lui offrir un maximum de plaisir. Il se concentra pour contracter les muscles autour de son sexe pour le serrer un peu plus. Il était déjà bien étroit. Il prit appui sur ses bras pour se redresser et tourna la tête vers lui. Il sortit sa langue pour venir jouer avec la sienne mais à nouveau il toucha sa prostate. Il retomba lourdement contre le matelas incapable de bouger. Il ne pouvait que crier son plaisir, crier son nom. Il n’allait plus tenir longtemps comme ça et il recommença donc à se masturber pour se rapprocher un peu plus de l’orgasme.

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C’était chaud, terriblement chaud et je n’en pouvais plus d’entendre mon bassin claquer contre ses fesses devenus maintenant rouge à cause des coups violents que je lui donnais. Je répondis à son baiser baveux quand il se tourna pour venir caresser ma langue de la sienne. Je tenais toujours ses hanches n’hésitant pas à lui donner des claques sur les fesses pour lui redonner un peu plus de plaisir. Il était chaud mon bébé et cette image que je voyais là était vraiment différent de celui que j’ai eu tout à l’heure. Il n’y avait plus le mot adorable qui venait à mon esprit en le regardant, nan c’était beaucoup plus que cela. C’était sexy, terriblement bon, il était juste à mourir mon petit ange. Je le sentais d’ailleurs contracter ses muscles, il était sur le point d’arriver à l’orgasme. Il était dans le même état que moi, je n’en pouvais déjà plus. Je lui avais donné toute ma force en le pilonnant de coup rapide. Je suis sûr que tout ceux qui pourrait nous voir dans cette situation, serait en train de bander à mort parce que même moi en nous imaginant, je ne pouvais que bander. Cela durait déjà depuis de longues minutes et je me sentais venir de plus en plus. C’est pour cela que je commençais à accélérer en lui pour pouvoir finalement venir en lui dans un long râle. Je me retirais alors de lui pour pouvoir l’allonger sur le dos. Je mis ma tête entre ses jambes et commença à le sucer longuement pour le faire venir. Je faisais de long mouvement laissant ma langue venir titiller son gland bien chaud et déjà couvert du liquide pré-éjaculatoire. C’est qu’il était en plus vraiment délicieux mon bébé.

POINT : 68 MERDES LAISSÉES : 414 ÂGE : 34

Come up to meet you, tell you i'm sorry
Le Charlie qu’il laissait voir au lit était si différent de celui de la vie de tous les jours. Impossible de le trouver mignon dans ces moments là. Entre ses joues rouges et ses cris de pucelle en chaleur, il dégageait plus de sex appeal que la moyenne. Il se mordait la lèvre à chaque fois que la main de Ko An venait faire claquer ses petites fesses. Il gémissait son prénom. Il se remit à l’insulter ou plus simplement à jurer quand il commença à accélérer. Cela voulait dire qu’il y était presque. Son dos se cambra quand il sentit le liquide se perdre en lui. Il avait de plus en plus de mal à respirer et visiblement Ko An ne comptait pas le laisser prendre une pause puisqu’il le retourna aussitôt pour le sucer. Il saisit les cheveux de Ko An l’invitant ainsi à continuer son travail. Il appuyait sur sa tête et bougeait son bassin. Il pouvait sentir son sexe cogner contre le fond de sa gorge. Il ne tarda pas à jouir à son tour. A ce moment là son dos se décolla du matelas et son gémissement fut plus rauque que les précédents. Il rouvrit les yeux pour admirer l’homme qui venait de lui faire la fellation la plus parfaite et lui sourit. Son torse se soulevait à un rythme tellement rapide. Il avait vraiment du mal à reprendre son souffle. « Parfait. » Lâcha-t-il en riant légèrement. Il passa ses mains dans ses cheveux puis sur son visage et se massa les yeux. Ce mec là était une bête de sexe. Ils s’étaient vraiment bien trouvés. Il le tira à lui pour venir se blottir dans ses bras comme le chaton qu’il était en réalité. Alors c’était ça la puissance de l’amour ?

POINT : 79 MERDES LAISSÉES : 691 ÂGE : 33

C’était tellement chaud entre nous, je mordis ma lèvre quand j’eus jouis en lui. Il était tellement bon mon bébé. Je le retournais alors une nouvelle fois pour pouvoir le sucer longuement dans le but de le faire jouir. Je faisais de long mouvement alors que son gland venait taper dans le fond de ma gorge. Je ne fus pas surpris quand il jouit dans ma bouche. Je viens même avaler sa semence, tout en se redressant pour lécher mes lèvres. Mon bébé est vraiment délicieux. C’était mieux que parfait mon amour. dis-je en l’embrassant avec tendresse. Je le collais ainsi contre moi et passais mes mains dans ses cheveux doucement. Je l’embrassais avec amour une nouvelle fois et soupirais de plaisir. C’est ce qu’on appelle du hardsex, tu m’as totalement épuisé mon ange. dis-je en rigolant doucement. Je mis la couverture sur nous doucement et penchais la tête sur le côté pour pouvoir fermer les yeux doucement. J’étais totalement épuisé à cause de mon petit bébé qui venait de prendre toute mon énergie. Je caressais alors son dos doucement me laissant bercer par les battements du cœur de mon petit chat. Je sentais que je pouvais le dire maintenant, j’étais amoureux de Charlie même si je n’étais pas encore prêt à lui dire ses trois mois qui le feront sûrement vibrer j’en suis sûr même.

» moon elena + run for your life if you meet her.
» BANG ISEUL - meet you. crazy. here my number. call me maybe.

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