come up to meet you, tell you i'm sorry (+18)

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Come up to meet you, tell you i'm sorry
Cela faisait plusieurs jours qu’il tentait d’intercepter Ko An. A chaque fois qu’il le voyait soit il se trouvait en bonne compagnie ou bien il n’osait pas se lancer. Pas évidemment pour un mec comme lui d’aller présenter ses excuses. Il redoutait la réponse du coréen. Et s’il refusait de lui pardonner ? Et s’il ne voulait même pas l’écouter ? Il ne dormait plus beaucoup depuis leur dispute. Il se repassait en boucle tout ce qu’il lui avait dit, tout ce qu’il savait déjà mais qui bizarrement sonnait autrement dans sa bouche. Il finit par réaliser qu’à force de repousser les autres, comme il avait essayé de le faire avec Ko An, il allait effectivement se retrouver seul. Mais surtout il prit conscience qu’il ne voulait pas être seul. Il ignorait dans quelle chambre se trouvait Ko An et c’est pourquoi il le guettait souvent de loin, prêt à le suivre dès qu’un peu courage pointerait le bout de son nez. Un soir, il l’aperçut au bout d’un couloir et se décida enfin. Il fonça vers lui prêt à se mettre à genoux pour qu’il lui pardonne sa bêtise. Il s’immisça entre Ko An et la porte, les bras écartés, l’empêchant ainsi de rentrer dans sa chambre. Bon, comme ça il savait au moins laquelle c’était. « Je sais dire ‘pardon’ en coréen, tu veux bien m’écouter ? » De toute façon, il ne lui laissait pas trop le choix puisqu’il lui barrait l’accès à sa chambre -même s’il suffirait qu’il le pousse à peine pour libérer la voie, il était après tout beaucoup plus fort que lui-. Il ravala sa salive et laissa retomber ses bras le long de son corps. Plus facile à dire qu’à faire visiblement. Il se massa la nuque. Il n’osait même pas le regard dans les yeux. Il n’arrêtait pas de se mordre la lèvre. Il bredouillait des trucs incompréhensibles un mélange entre japonais et anglais. Il n’allait pas y arriver. On aurait dit qu’il n’allait pas y arriver pourtant il se mit enfin à parler en coréen, avec un accent toujours aussi minable. « Tu as raison. J’ai peur. Enfin un peu.. » Il sentait le regard de Ko An sur lui. « Ok je flippe et tu me fais flipper. C’est que la seule fois où j’ai bien voulu m’engager.. Disons juste que c’était un échec. » Il ne voulait pas en dire plus pour le moment et puis ce n’était pas le sujet. « Tu n’es pas un passe-temps. Je te jure que non. Je ressens un truc même si j’essaye de l’étouffer. Et je suis désolé d’avoir peur. Je suis bien avec toi en plus. Je sais pas. » Il leva enfin les yeux. « Pardonne-moi s’il te plait. » Et pourtant, il ne trouvait pas encore la force de lui dire ce qu’il ressentait ni même ce qu’il attendait de lui.

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On ne pouvait pas vraiment dire que je le fuyais, ça serait mentir. Je passe juste mon chemin à chaque fois que je le vois car je savais très bien que maintenant c’était en quelque sorte fini entre nous –même si cela n’a jamais commencé. Je préférais profiter de mon voyage au lieu de m’apitoyer sur mon sort, je marchais beaucoup dans la ville, je sortais le soir avec des amis et des fois avec des potentiels coups d’un soir. C’était tout ce qu’il fallait pour oublier la dispute avec Charlie. Je ne pouvais pas rester sur cette défaite et de toute façon, même si j’avais envie de sa présence à mes côtés, ce n’était pas à moi de faire le premier pas, je l’ai beaucoup trop fait avec lui. J’étais dans les couloirs de l’hôtel prêt à rentrer dans ma chambre pour prendre une douche après avoir passé ma journée sur la plage. J’espérais avoir un peu bronzé mais je sentais également que j’avais des coups de soleil pour mon plus grand malheur je les avais dans le dos. Cela risquait d’être difficile à atteindre, je devrais sûrement demander de l’aide à un de mes roomates pour ce voyage. J’étais sur le point d’entrer dans ma chambre quand –par miracle, Charlie se planta devant moi. J’avoue avoir été surpris de ce geste moi qui pensais qu’il ne le ferait jamais. Je ne laissais passer aucune expression sur mon visage, même si j’étais plus que content de revoir la bouille de l’américain. Je ne répondis pas à sa question et me contentai d’attendre qu’il parle. Je mis mes mains dans mes poches mon regard toujours posé sur son visage alors que lui n’osait même pas me regarder. Il se décida finalement à parler et je l’écoutai avec plaisir essayant de comprendre sa façon de penser. C’est en faisant des erreurs qu’on apprend Charlie, ça fait peut-être mal mais tout le monde n’est pas comme ton ex. Je ne suis pas comme ton ex. dis-je d’une petite voix toujours en le regardant. Je ne savais même pas si je clignais des yeux, tellement mes yeux se délectaient de ce qu’il voyait en face de lui. Je me mordis la lèvre quand il me dit que je n’étais pas qu’un passe-temps pour lui et cela me rassurait de savoir cela. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me saute dessus et me dise qu’il m’aime. Je veux juste qu’il prenne en considération le fait qu’on pourrait former un couple et que j’étais différent des autres. Mon souffle s’arrêta quand nos regard se croisèrent pour la première fois depuis quelques jours. Je passai ma main derrière mon dos assez gêné de cette situation. Je te pardonne Charlie, mais je ne pourrais plus te voir comme je te voyais avant… Même si je ne le veux pas, je pense qu’on devrait se voir comme des amis, juste des amis. Cela voulait dire, pas de câlin, pas de bisous, pas de sexe, aucune petite intention… C’était une vrai torture pour moi mais c’était peut-être mieux pour lui après tout.

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Sauf qu’il n’avait pas fait d’erreur cette fois là. C’était l’autre imbécile qui pensait qu’il pouvait se permettre d’aller voir ailleurs et qu’il serait assez con pour ne pas le remarquer. Mais comme d’habitude, Charlie ne dit rien. Il se contenta d’hocher la tête. Il n’était pas en bonne position et ce qu’il désirait pour le moment c’était que Ko An veuille bien lui pardonner d’être un gros peureux. Seulement, il ne lui offrit pas réellement la réponse qu’il avait espérée. Il eut l’impression qu’on venait de lui donner un grand coup dans la poitrine, vous savez, ceux qui vous coupent la respiration pendant quelques secondes. Juste des amis ? Alors c’était ça sa solution ? Le regard de Charlie passait du visage de Ko An au sol, du sol à Ko An et ainsi de suite. Il réfléchissait. Il cherchait quoi dire. Il secoua vivement la tête. Il n’était pas d’accord avec ça mais alors vraiment pas d’accord. « Non, Ko An. Je ne veux pas qu’on soit amis putain. » Il n’avait peut être pas besoin de jurer mais c’était sa façon à lui d’extérioriser. Il fallait qu’il continue à parler, qu’il lui dise autre chose, qu’il lui prouve qu’il le voulait vraiment. Il passa une main dans ses cheveux blonds qu’il n’avait même pas pris la peine de coiffer aujourd’hui et à nouveau chercha dans le regard de Ko An quelque chose. Il ne savait pas ce qu’il voulait trouver mais il avait besoin de se raccrocher à un truc. « On ne peut pas être des amis. Pas après ça. » Mais il avait l’impression de lutter pour rien. Et si Ko An avait déjà pris sa décision ? Peut être que ça ne servait à rien ce qu’il faisait. Il baissa la tête et fixa ses pieds. Le voilà de nouveau perdu. « Je ne veux pas qu’on soit amis. Je veux qu’on soit plus que ça.. » Murmura-t-il assez fort pour que le coréen puisse l’entendre. Et alors, qu'est-ce qu'il voulait dans ce cas.

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Les choses étaient bien trop compliqué entre nous et je ne sais pas pourquoi mais j’ai pensé que peut-être rester ami serait la meilleure des solutions. Au final, plus je réfléchissais plus je pensais que mon idée était totalement de la merde. Comme si nous pouvions vraiment rester amis après tout ce qu’on a vécu ensemble, c’était tout bonnement impossible à imaginer. Pourtant, je ne voulais pas perdre contact avec lui alors quel était la solution au final ? N’y en avait-il aucune ? Je fus assez surpris d’entendre sa négation, il ne voulait pas qu’on soit de simple ami, mais que voulait-il ? Je n’arrivai pas à le comprendre, j’essayais mais c’était vraiment dur… Je ne répondis rien attendant la suite. Je baissai les yeux, il avait raison on ne pouvait pas être ami après tout cela. Je le sais qu’on ne pourra pas mais tu veux quoi comme solution ? Je n’ai pas envie de perdre contact avec toi alors on fait quoi ? dis-je en passant une main dans mes cheveux en soupirant doucement. Je n’avais plus aucune solution à proposé, c’était la fin d’une amitié ? Je ne le voulais pas, je le voulais à mes côtés même si ce n’est pas par amour. Je me mordis la joue inférieure quand il murmura qu’il voulait être plus qu’ami. Je m’approchai de lui et passai une main dans ses cheveux doucement. Je le collai ensuite contre mon torse pour finalement déposer un baiser sur le haut de sa tête. On va attendre et voir où cela nous mènera. Mais sache que je pourrais te rentre heureux, car moi seul arrive à te supporter. dis-je en rigolant légèrement avant de passer mes bras autour de sa tête pour qu’il soit un peu plus collé à moi. on va peut-être entré dans ma chambre maintenant nan ? Je crois qu’il n’y a personne, on pourra discuter un peu tous les deux comme cela. dis-je en souriant avant d’ouvrir la porte avec ma carte. Je fis reculé Charlie dans la chambre et ferma la porte d’un petit coup de pied. Je le lachai finalement en souriant doucement et caressai sa joue avant de m’éloigner un peu pour aller dans la salle de bain. Je vais prendre une douche, je reviens de suite. Je partis me laver rapidement et une fois sorti avec un caleçon propre enfilé, j’entrai dans la chambre en le regardant. Tu peux me mettre de la crème ? J’ai un coup de soleil dans le dos. dis-je en m’installant sur le lit avec la crème en main.

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La délivrance. Lorsqu’il sentit Ko An le serrer contre lui, il eut l’impression qu’il avait de nouveau le droit de respirer et laissa échapper un long soupir. Qu’est-ce que ça pouvait lui faire du bien. Une véritable bouffée d’air frais par cette chaleur cuisante. Il ferma les yeux en l’entendant dire qu’ils allaient voir où ça pouvait les mener. Charlie hocha la tête. C’était mieux que de rester amis à son sens. « Arrête de faire comme si j’étais insupportable. » Et il se mit à rire à son tour. Il espérait que la tempête était passé et qu’ils pourraient peut être repartir sur de meilleures bases car pour tout dire il n’avait pas tort lorsqu’il disait être le seul à pouvoir le supporter. Charlie était tout de même un personnage. Il ne plaisait pas à tout le monde. Rentrer dans sa chambre pour parler ? Seulement pour parler ? Charlie grimaça un peu. Il aurait préféré faire autre chose de sa langue mais bon. Il recula en même temps que Ko An avançait en faisant attention histoire de ne pas se retrouver les fesses à terre. Il gonfla les joues quand il lui annonça qu’il allait prendre une douche. « Dépêche-toi hein. » Et se retrouva seul dans la chambre. Il se rapprocha de la fenêtre et l’ouvrit. Est-ce qu’il avait le droit de fumer ici ? Il haussa les épaules. Qu’importe. Il tira son paquet de sa poche et s’en grilla une le temps que Ko An prenne sa douche. Il en sortit pile lorsqu’il l’écrasa contre le rebord de la fenêtre avant de la jeter. Parce qu’en plus il devait lui mettre de la crème ? « Couche-toi, j’te fais ça. » Il le laissa s’installer sur le lit et retira ses chaussures avant d’y monter lui aussi. Il n’hésita pas à prendre place sur les fesses rebondies du coréen, après tout il fallait lui montrer qu’il voulait plus que de l’amitié, et mit une bonne dose de crème dans sa main. Il en mit un peu partout et généreusement sur son dos avant de l’étaler. « La crème solaire tu connais ? » Il passait ses mains lentement sans trop appuyer pour éviter de lui faire mal parce que c’était bien rouge et il allait sans doute le sentir celui-là. Il remonta jusqu’à ses épaules et étala ce qui lui restait sur les mains sur ses bras. Il se pencha, l’embrassa dans le cou et se laissa tomber à côté de lui où il s’assit en tailleur. « Voilà monsieur. J’ai quoi en échange ? » Demanda-t-il sur un ton malicieux pour détendre l’atmosphère et surtout pour éviter de reprendre une discussion sérieuse qu’il savait qu’ils finiraient par avoir.

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Autant le dire directement, ce gamin est insupportable et il est difficile de l’apprécier à première vue. Pourtant, j’ai fini par mis attacher à cette petite chose. Mais tu es insupportable. dis-je en rigolant. Je collai son corps contre le mien pour un petit moment de tendresse avant de décider qu’on ne pouvait pas rester dans le couloir comme cela. J’ouvris la porte après lui avoir dis qu’on allait entrer dans ma chambre. Je ne pus m’empêcher de me sentir sale et c’est pour cela que je lui dis que j’allai prendre une douche rapidement. Ce que je fis à vitesse grand V. Je sortis rapidement en boxer et alla m’installé sur le lit lui demandant de me mettre de la crème dans le dos à cause de mes coups de soleil que j’avais attrapé cette après-midi. Je m’installai sur le ventre en l’entendant me demander de le faire et je soupirai de plaisir quand je mis ma tête sur l’oreille. Je le sentis me monter dessus et je ne pus empêcher mes pensées de divaguer un peu. Je mordis ma lèvre doucement et le laissa me mettre de la crème. J’aimais plus particulièrement sentir ses mains sur mon corps. C’est difficile d’en mettre dans le dos, peut-être que j’aurais dû demander à une jolie brésilienne de m’en mettre dans le dos. dis-je avec un sourire au coin. Oui, je voulais un peu voir sa réaction au niveau de ce genre de sujet, avant il s’en foutait mais maintenant est-ce toujours le cas. Je tournai la tête vers lui et souris quand il me demanda ce qu’il avait en échange. Je savais très bien ce qu’il voulait, je pris son bras et l’attira contre moi le collant ainsi à mon corps, allongé sur le lit. Je déposai mes lèvres sur son nez pour un petit baiser doux et j’en déposai un autre sur ses lèvres roses et sucrées. Deux petits bisous voilà ton échange. dis-je en rigolant, je savais que cela ne suffirait pas à le satisfaire, je le connaissais après tout. Je penchai la tête sur le côté et le regardai simplement, je l’admirai et espérai pouvoir l’admirer encore longtemps. Ma main caressait son bras doucement alors qu’il était toujours collé à côté de moi.

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Une jolie brésilienne ? Et puis quoi encore. Il le cherchait. Et s’il le cherchait il allait le trouver. Charlie vivait dans l’excès alors lorsqu’il décrétait que quelque chose lui appartenait, ça lui appartenait. Ko An n’était pas vraiment à lui mais c’était tout comme. Alors il fronça les sourcils. Il ne voulait pas que quelqu’un d’autre le touche surtout comme ça. D’autant plus qu’une brésilienne pourrait étaler sa crème avec ses seins siliconés. Il fit glisser son index le long de sa colonne vertébrale et se pencha à son oreille pour le menacer. « Je pense que si je te frappe là où c’est bien rouge tu vas avoir mal. Alors gaffe à ce que tu dis. » Il se redressa pour continuer sagement son travail en espérant que le message était passé et quand il termina il réclama comme tout ouvrier son salaire. Il ne s’attendait pas à en recevoir réellement et fut un peu surpris lorsqu’il l’attira contre lui comme ça mais plutôt agréablement surpris. Il fronça son petit nez en sentant les lèvres du coréen dessus et sourit au petit baiser suivant. Il s’estimait plus qu’heureux d’avoir au moins eu droit à ça. Il se demandait tout de même ce qu’ils étaient à présent. Ils n’avaient pas mis les choses au clair mais Charlie n’était pas pressé de le faire surtout s’il avait tout de même le droit à un peu de douceur de sa part. « C’est tout ? » Il pouvait toujours essayer. Il leva les yeux vers lui et se mit à toucher du bout de ses doigts sa joue. Il passa son index sur son nez puis sur ses lèvres, celles qu’il avait déjà dessiné. Il le trouvait vraiment beau. Encore plus avec ses cheveux mouillés comme ça. Un véritable dieu. « T’es beau. » C’était juste sorti tout seul. Pour autant il ne se mit pas à rougir et il ne détourna pas non plus le regard. Au contraire, il continuait à le regarder dans les yeux. Il le pensait alors pourquoi devrait-il être gêné ?

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Il était finalement jaloux d’une brésilienne. C’était plutôt mignon à voir même si je savais qu’il ne fallait pas trop que j’en joue, j’étais en face d’un vrai tueur quand il s’y mettait. La preuve, il était en train de le menacer de lui faire mal en le tapant sur son coup de soleil. Un vrai diable, je vous dis ! Mooh t’oserais pas tout de même hein. dis-je en faisant la moue doucement. Je me laissai faire en souriant et j’appréciai le contact de ses mains sur ma peau. Je me mordis légèrement la lèvre quand il s’arrêta et décida de lui donner une petit récompense mais attention, une petite hein. Je l’attirai ainsi contre moi et déposa un doux baiser sur son nez et un autre sur ses lèvres. Cela me faisait du bien de retrouver cette tendresse qu’on avait ensemble tous les deux. Je sentais qu’on pouvait vraiment être heureux tous les deux. Je souris en l’entendant dire que c’était tout. Oui monsieur, on verra si tu es sage… dis-je en rigolant doucement. Je le fixais ensuite, le regardant dans les yeux admirant son regard avec amour. Je me mordis la lèvre quand il me dit que j’étais beau. Je me penchai un peu vers lui et embrassa une nouvelle fois ses lèvres. Tu es aussi très beau mais ce n’est pas juste… Il n’y a que moi en petite tenue ici… dis-je avec un sourire au coin. Je passai alors ma main sous son haut et caressa sa peau doucement du bout des doigts, je remontai de plus en plus pour lui faire comprendre qu’il fallait qu’il le retire maintenant. Une fois cela fait, je passai ma main sur son torse fin et alla déposer un baiser sur celui-ci avant de remonter sur ses lèvres pour un baiser long et tendre.

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C’était beaucoup mieux comme ça non ? En tout cas, Charlie préférait être dans ses bras. Il fallait qu’ils effacent toutes les horreurs qu’ils avaient pu se dire, qu’ils remplacent tout ça par beaucoup de tendresse, vraiment beaucoup. Et pour ça Ko An devait encore l’embrasser sauf qu’il n’avait pas l’air de cet avis. Pourtant Charlie n’attendait que ça. Il ne voulait juste pas être le premier à céder. Comment ça s’il était sage ? Il prit un faux air vexé. « Je suis toujours sage ! » Ouais ou presque. Il soupira pour lui faire comprendre que vraiment il abusait mais bon il allait jouer au mec sage alors si c’était ça ce qu’il attendait de lui. Si sage qu’il se perdit dans sa contemplation. Il jeta un coup d’œil furtif au corps de son bel apollon. Il avait presque oublié qu’il ne portait qu’un boxer. Et quand il releva la tête, ses lèvres réceptionnèrent un petit baiser pour son plus grand plaisir. « Et c’est grave ça ? » Il se mordit doucement la lèvre inférieure en sentant ses mains sur son torse. Ce mec mais ce mec mais il le rendrait dingue. Il obéit à son ordre dissimulé et retira son t-shirt qu’il laissa tomber à côté du lit. Il retourna rapidement contre lui avec un plaisir qu’il ne cachait pas et qui augmenta lorsqu’enfin il l’embrassa. Voilà quelque chose qui lui avait vraiment beaucoup manqué et encore c’est un euphémisme. Ses mains trouvèrent toutes seules le chemin jusqu’au corps musclé du coréen. Elles se baladèrent ainsi sur son torse, ses épaules, ses bras. Quel corps de rêve. Elles glissèrent en douceur sur son coup de soleil. Il passa au passage ses doigts sous l’élastique de son boxer mais recommença ensuite à caresser son torse. Il aimait sentir sa musculature sous ses doigts. Il était terriblement bien foutu. Il décolla ses lèvres des siennes juste le temps de lui dire : « J’aime bien ça. » Il ne parlait pas de son corps -même s’il l’aimait aussi-. Il voulait parler d’eux, de cette tendresse, de cette chaleur qu’il sentait dans son ventre. Il frôla ses lèvres et pinça celle du haut entre les siennes avant de rire doucement. Pourquoi ? Sans raison particulière. Juste parce qu’il se sentait bien.

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Je tombais de plus en plus sous son charme, je me demandai d’ailleurs pourquoi je n’avais pas repéré cela avant. Ce n’est pas la première fois que je me sentais aussi bien avec lui après tout, mais cela semblait même meilleur qu’avant car ils avaient mis les choses un peu au clair entre eux, pas complètement mais c’est un début. Pour l’instant, c’était le moment de la tendresse après tout. T’es un vrai petit démon et tu le sais. dis-je avec un petit sourire au coin. J’aimais son petit démon, cela m’était toujours un peu d’ambiance entre nous, c’était cool. Alors que nous étions entrain de nous toucher gentiment, je remarquai ainsi qu’il était encore totalement habillé contrairement à moi. Oui c’est grave, j’ai envie de profiter un peu de ton corps après tout. dis-je avec un sourire tendre. Je l’incitai ensuite à retirer son haut doucement, parce que j’avais également envie de déposer mes lèvres sur son torse. Je l’embrassai, d’ailleurs, avec tendresse avant de lui déposer un long baiser tendre sur ses lèvres. Je laissai ainsi mes mains vagabonder sur son corps avec tendresse. J’aimais sentir sa peau sous mes doigts, j’en profitai pour titiller un de ses tétons du bout des doigts commençant à le pincer légèrement. Je voulais l’exciter car j’avais envie de lui, vraiment je voulais lui faire l’amour pour lui faire comprendre que j’étais pour lui. Je souris quand je l’entendis dire qu’il aimait ça, je me plaçais ensuite au dessus de lui pour l’embrasser avec plus de fougue. Je retirai mes lèvres des siennes et commença à défaire son pantalon doucement. Je lui retirai rapidement avant de venir embrasser son torse, laissant des petits bisous partout tout en remontant vers son cou, son menton et ensuite ses lèvres devenu rouge à cause de notre précédent baiser. Cela allait être chaud ce soir, chaud mais tendre à la fois, je me le promettais.

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Le ton était donné et il avait déjà chaud. Ou alors c’était juste la température ambiante. Non, ça ne pouvait pas être que ça. C’était aussi ses mains sur son corps, sa façon de titiller un de ses tétons et il ne lui en fallait pas plus à vrai dire. Il gigota même un peu riant avant de retrouver la douceur de ses lèvres qu’il avait décidemment bien du mal à quitter. Il le laissa prendre le dessus parce qu’il aimait ça. Leur baiser devenait plus fougueux et il commençait même à manquer de souffle mais il ne voulait pas qu’il prenne fin alors il noua ses doigts dans la nuque du coréen le retenant ainsi contre lui jusqu’à ce qu’il commence à lui retirer son pantalon. Charlie leva tout naturellement les fesses pour l’y aider. Son visage illuminé par un grand sourire qui s’envola lorsque Ko An commença à couvrir son corps de baisers. Il le regardait faire en se mordant le petit doigt et passa sa main dans ses cheveux humides. Il accueillit avec plaisir un nouveau baiser et posa ses mains sur ses joues. Lentement il se redressa et incita le coréen à faire de même. A genoux tous les deux sur le matelas, à s’embrasser langoureusement, avec juste leurs boxers. Il n’aurait pas pu rêver mieux comme réconciliation. Il passer ses doigts sous l’élastique alors que ses lèvres dérivèrent dans son cou pour venir ensuite mordre le lobe de son oreille. « T’avais pas besoin d’en mettre un. » Il tira doucement dessus pour le faire descendre le long de ses cuisses. Ses doigts ne firent que frôler ses bourses puisqu’ils remontèrent sur son torse alors que sa bouche elle descendait beaucoup plus bas. Il les posa sur chacun de ses tétons en jouant en même temps de sa langue puis il continua sa douce descente. Il lança un dernier regard quelque peu malicieux à Ko An avant de commencer par enrouler ses doigts autour de son membre. Rien que quelques mouvements, juste ça pour l’instant.

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Les choses commençaient à être beaucoup plus sérieuses. Je ne pouvais pas m’empêcher de le toucher, c’était inévitable maintenant que j’avais son corps sous la main. Je n’arrivais pas à être comme cela le jour de notre engueulade pour une raison que j’ignore mais maintenant ce n’était plus le cas, je voulais lui faire l’amour et le faire bien. J’essayais de l’exciter un peu plus pour le mettre au même niveau que moi. Je sentais mon membre devenir toujours un peu plus dure. Ce mec est une bombe et pas parce qu’il a un corps super musclé, nan parce qu’il est mignon mais également à la fois sexy. Je rigolai en l’entendant lui dire qu’il n’avait pas besoin de remettre un boxer alors qu’on était maintenant tous les deux à genoux sur le lit. Je continuais de caresser son corps, passant mes mains sur ses fesses tendrement. Je les pris en main et les pinça doucement, les écartant ensuite un peu, je jouais avec elles pour mon plus grand amour. Tu aurais dû venir t’excuser complètement nu. dis-je en souriant contre ses lèvres. Je le regardai ensuite descendre le long de mon torse, je le regardai faire et mordit ma lèvre tendrement en le voyant s’approcher de mon sexe. Car bien sûr, mon boxer avait disparu entre temps. Je sentis sa main prendre mon sexe, je soupirai déjà alors qu’il n’avait presque rien fait encore. J’étais si faible que cela en face de lui ? Je l’étais autant le dire clairement. Je passai ma main dans les cheveux de mon petit diable, les ébouriffant un peu plus qu’ils ne l’étaient déjà. Tu essayes de me faire languir c’est ça ? dis-je en relevant la tête de mon blond. Je caressai ses lèvres doucement avec un sourire au coin, j’espérai pouvoir les sentir autour de ma verge le plus tôt possible. Je n’étais pas patient après tout et ça il le savait.

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Il se rappelait maintenant pourquoi ils finissaient toujours sous les draps. Leurs corps s’attiraient d’une façon inexplicable. Et encore, ce n’était que le début. Il afficha un petit sourire coquin alors que Ko An jouait avec ses fesses, bien moins musclées que les siennes certes, mais tout aussi belles. Comment on dit déjà ? Un petit cul, voilà. En même temps, Charlie n’était pas très épais. Il n’était pas maigre non plus mais disons juste qu’il était loin du corps d’athlète de Ko an. « Tu m’aurais épargné ton discours sur l’amitié si j’avais fait ça ? » Il leva un sourcil. Il ne faisait que le provoquer -et puis on pourrait croire qu’il cherchait la merde un peu-. Il entama sa longue descente jusqu’à se retrouver à quatre pattes le visage juste à hauteur de son membre qui visiblement était déjà bien dur et pour son plus grand bonheur. Il secoua doucement la tête à sa question. Quel menteur. Il chopa entre ses dents son doigt avant de le lécher et même carrément de le sucer mimant le geste sans le quitter des yeux. Charlie ne ressemblait plus à un enfant. Plus du tout. C’était un homme qui savait ce qu’il faisait et comment s’y prendre pour exciter son partenaire. Mais il n’allait pas non plus le torturer plus longtemps que ça. Il relâcha son doigt pour passer sa langue sur son sexe, de ses bourses jusqu’à son gland. Il y posa ensuite ses lèvres et doucement le prit en bouche. Pas question de se presser. Ils avaient toute la nuit devant eux. Enfin si aucun de ses roomates ne se pointait. Il recommença la même opération. Il débuta sa gâterie sur un rythme des plus lents et titillait parfois le bout avec sa langue tout en levant les yeux pour observer les réactions du coréen.

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Il jouait avec moi ce petit con, quand je dis que c’est un démon, c’en est vraiment un ! C’est une torture ce qu’il me faisait à être comme ça à quatre pattes devant mon sexe déjà bien tendu et il ne bougeait pas ! Le petit démon, je n’avais qu’une envie là tout de suite le retourner pour le plaquer sur le lit et le prendre à sec. Mais je n’allais pas le faire, car c’est un petit bébé et je veux lui faire l’amour comme il faut. Je mordis ma lèvre quand il commença à sucer son doigt tout en me regardant, et moi comme un gogole je le regardai faire et cela m’excitais un peu plus. Maintenant que je te vois entrain de me faire languir comme cela, tu peux être sûr que je t’aurais pris directement contre la porte sans aucune préparation. Si Charlie a un côté démon séducteur, moi j’ai un côté animal quand on parlait de sexe. Même si je savais faire l’amour avec tendresse, j’ai toujours l’âme d’un animal et ne peut m’empêcher d’y aller fort. Fort tout en faisant les choses biens. Je gémis de soulagement quand je sentis la chaleur de la bouche de charlie autour de mon sexe. Il avait enfin décidé à arrêter de me faire languir. Je ne pus m’empêcher de bouger le bassin pour que cela aille plus vite, il le faisait bien mais il faisait exprès d’y aller lentement, je le sais ! Je laissai alors mon sexe taper au fond de la gorge de mon petit ange. J’aimais pouvoir le regarder dans les yeux quand on faisait ce genre de chose. C’était tout simplement juissif vraiment. Quand je fus assez dure, je le redressai en tirant légèrement sur ses cheveux et alla l’embrasser avec fougue, laissant ma langue rencontrer directement la sienne. Je l’allongeai ensuite sur le lit et retira son boxer en l’arrachant à moitié. Suis-je devenu une bête maintenant ? Je commençai ainsi à lui caresser son sexe tout en continuant de l’embrasser.

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Contre la porte ? Intéressant. Il ne put s’empêcher de rire doucement. Mas là maintenant il avait d’autres responsabilités comme celle de soulager son cadet qui semblait ne plus pouvoir attendre. Il refusait même le rythme lent imposant le sien ce qui ne dérangeait pas Charlie qui posa une main sur ses fesses. Il les griffa même. Ravi d’entendre mais surtout de lire sur le visage de Ko An que cela lui plaisait. Il se savait plutôt doué avec sa bouche. Il serrait les lèvres autant que possible, l’avalait aussi loin qu’il le pouvait. Il comprit en le sentant tirer sur ses cheveux qu’il fallait qu’il arrête et il donna un dernier coup de langue sur ses lèvres avant de revenir à sa hauteur pour l’embrasser. Il passa ses bras autour de sa nuque, écrasa ses lèvres contre les siennes et débuta une danse aussi humide que sensuelle entre leurs langues. Il se laissa tomber en arrière retrouvant le confort d’un oreiller. Il sourit amusé de le voir retirer avec tant de hâte son boxer. « Dépêche. » Il osait même lui demander d’aller encore plus vite que ça. Il colla sa bouche à la sienne pour étouffer un gémissement lorsqu’il commença à le masturber. Tout son corps frissonna et ses doigts se crispèrent sur les épaules du coréen. Son bassin remuait tout seul. Il s’impatientait déjà. Il ne pensait déjà qu’à une seule chose. Il voulait le sentir en lui et cette histoire de le prendre contre la porte lui avait donné encore plus envie. Il saisit brusquement son poignet pour qu’il arrête la torture là et planta son regard dans le sien avec ce petit sourire en coin que Ko An devait connaître par cœur. « Maintenant. Prends-moi maintenant. » Souffla-t-il contre ses lèvres tout en se redressant lentement. Il le poussa doucement au niveau du torse pour qu’il suive le mouvement puis sans un mot de plus il se retourna. Sa joue collé à l’oreiller, il écarta ses fesses lui-même tout en guettant Ko An du coin de l’œil. C’était plus qu’une invitation.

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Ce mec est un orgasme à lui tout seul, oui il suffisait de le voir sucer et on comprenait pourquoi je suis aussi accro à son corps. Il suçait comme un dieu même s’il avait été beaucoup trop lent à mon goût, quand je vous dis qu’il veut me faire chier le petit con. Je ne pus résister longtemps avant de l’embrasser et de l’allonger sur le lit pour pouvoir lui faire l’amour sauvagement. Mais d’abord, il fallait tout de même que je prenne soin de lui un peu tout en prenant mon temps pour le masturber, nan je n’avais pas encore mis ma bouche mais il semblait beaucoup plus excité que moi et ne semblait déjà pas vouloir que je le prépare. Je me mordis la lèvre quand je le vis se tourner pour me montrer ses fesses et les écarte. Si ce n’était pas un appel au viol ça, je m’appelle pas Koan. Je touchai ses fesses rebondis doucement les malaxant entre mes doigts avant d’approcher mon visage de son entré. Je commençai à lui lécher pour l’humidifié et c’est un peu ce qu’on appelle une préparation. Après avoir bien mouillé ses jolies fesses, je me penchai et pris du lubrifiant que je mis sur ses fesses et j’entrai ainsi un doigt en lui doucement. Je fis quelques mouvements avant d’en mettre sur mon sexe. Il n’a pas l’air de vouloir d’une grande préparation alors je vais me contenter de celle-là pour le moment. Tu es prêt mon ange ? J’y vais. dis-je en souriant. J’approchai ainsi mon sexe et entra doucement en lui, j’embrassai son cou pour ne pas qu’il ait trop de mal tout de même. J’attendis quelques secondes avant de bouger doucement en lui. Je tenais ses hanches avec mes mains et commença à lui donner des coups plus rapide et brutaux. J’adorai sentir ses chairs étroites autour de ma virilité. Je l’aimais ce mec, surtout quand il gémissait comme une pucelle à chacun de mes mouvements. Moi, je grognai simplement de plaisir à chaque mouvement. Il était si bon.

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Charlie porta ses doigts à sa bouche pour retenir un gémissement à la sensation humide de sa langue sur son entrée. Il serra de son autre main un des coins de l’oreiller alors qu’il essayait de ne pas faire trop de bruit. Pas que cela le gêne particulièrement et il doutait aussi que ça dérange Ko An mais s’il perdait le contrôle déjà maintenant qu’est-ce que ça allait être après ? Il espérait que le coréen avait compris le message et qu’il n’allait pas perdre trop de temps. Charlie savait à quoi il s’engageait en lui demandant de sauter des étapes et il en avait rien à faire. Il se fichait de la sentir passer. Il voulait la sentir tout court. Ce fut suffisant pour qu’il se déconnecte totalement de la réalité. Il n’ouvrit les yeux qu’en entendant Ko An l’appeler par un surnom plutôt mignon et qui le fit sourire. Il aurait aimé l’embrasser mais dans la position où il se trouvait c’était plutôt difficile. Il prit tout de même appui sur ses avant-bras et colla sa tête contre l’oreiller pendant qu’il s’insérait. Il serra si fort les draps entre ses doigts que ses phalanges devinrent blanches. Avec si peu de préparation c’était plus délicat mais pas insupportable non plus. Il tendit son bras en arrière pour attraper la cuisse de Ko An et l’invita ainsi à bouger. Ses gémissements étaient aigues presque féminins. Il pouvait être terriblement bruyant et il le devint lorsque les mouvements du coréen se firent plus brutaux. Il entendait son bassin claquer contre ses fesses et il adorait ça. « P-plus fort. » Fut la seule chose qu’il réussit à articuler alors qu’il jetait un regard en arrière s’accrochant à un des poignets de son amant.

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Je ne pouvais m’empêcher d’aller plus fort et plus rapidement en lui. J’avais l’impression que son cul m’appelait et me demandait de toujours aller plus vite en lui. Je me contentais de l’accepter. D’ailleurs, il en redemandait lui-même. Je souris en le voyant comme cela, on ne voyait plus du tout son côté mignon et un peu fou. Là, on pouvait voir son côté sexy et bestial et c’était tellement excitant aussi. Je ne pus m’empêcher d’accélérer à mon tour pour pouvoir lui procurer plus de sensation. Mon bassin claquait bruyamment contre les fesses rebondies de l’américain. Il avait d’ailleurs les fesses toute rouge à cause de cela, pourtant je ne l’avais pas frappé, pas encore. Je me retirai d’un coup et le retourna pour l’allonger sur le dos. Je lui remontai les jambes et entra une nouvelle fois en lui. Je viens déposer mes lèvres avec siennes, reprenant des mouvements lent mais toujours aussi sec. Je laissai ma langue caresser la sienne avec tendresse, j’aimais ce moment c’était la première fois que je faisais l’amour avec autant de sentiment en moi. Tu aimes ça charlie ? dis-je en le regardant dans les yeux, faisant toujours ses mouvements secs et réguliers. Je mordis ma lèvre avec sensualité avant de mordre les siennes avec amour. Je remontai un peu plus ses jambes venant caresser ses cuisses. La position n’était pas très cool pour le soumis mais cela lui donnait toujours beaucoup plus de plaisir. C’est ce qu’il cherchait n’est ce pas ? Je suçais ses lèvres toujours tout en bougeant en lui. J’allais même le masturber au même rythme que mes mouvements. Qu’est ce que je ne ferai pas pour le plaisir de mon petit ange sérieusement ?

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Il tenta de reprendre son souffle les fractions de secondes avant que Ko An ne le retourne mais qu’espérait-il, il n’allait pas le ménager et lui, il aimait ça. Il bascula sa tête en arrière quand il retourna à l’intérieur de lui et laissa échapper ce qui ressemblait plus à un cri qu’à un gémissement. « Putain ! » Il releva la tête et attrapa le visage de Ko An entre ses mains. Il essayait de ne pas quitter ses lèvres mais parfois le besoin de gémir se faisait trop pressant alors il arrêtait de l’embrasser et reprenait ensuite. Ko An était une bête de sexe. Rien de nouveau jusque là. Pourtant il ressentait quelque chose de différent et prenait encore plus de plaisir que d’habitude sans savoir trop pourquoi. Ce qui était sur c’était qu’à l’entendre, à voir son visage se crisper et ses joues rouges, Charlie prenait son pied. Quand il lui demanda s’il aimait ça Charlie ouvrit les yeux juste un peu pour planter son regard dans le sien. Il bougea sa tête de bas en haut avec un sourire satisfait avant de plaquer sa main sur sa joue pour étouffer un gémissement. « Tellement. » Ses bras retombèrent le long de son corps et il serrait les draps entre ses doigts jusqu’à en trembler. Il grimaça lorsque Ko An remonta un peu plus ses jambes mais ce n’était que meilleur. Ce mec là savait ce qu’il faisait. Il savait comment donner du plaisir à tel point que Charlie en perdait la tête. Entre la pénétration et la masturbation, il souriait en gémissant tant c’était bon, tant il aimait ça. Il décida même de le provoquer une dernière fois. « C’est tout ? » Alors qu’il n’en pouvait déjà presque plus.

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Je me sentais bien avec lui, ou plutôt je me sentais bien dans lui. L’entendre gémir ainsi me prouve bien que je faisais bien les choses et cela me rassurais quelque peu. Je continuais de lui donner du plaisir tout en caressant ses hanches. Je l’avais retourné ensuite pour le prendre de face. Je l’embrassai ainsi à pleine bouche, suçant sa lèvre laissant sa langue jouer avec la sienne. Je mordis ma lèvre tout en lui, ayant remonté les fesses pour aller plus loin en lui encore. Il aimait cela, cela s’entendait et j’en étais heureux. Je grognai de mécontentement quand il me demanda si c’était tout. Je soupirai en souriant avant de bouger plus rapidement en lui, lui défonçant littéralement son anus, si c’est ce qu’il voulait, il l’aura. Il essayait de me défier et cela marchait affreusement. Je continuais de lui donner des coups brutaux alors que je continuais de le masturber en même temps. Je descendis mes lèvres dans son cou pour lui lécher, le sucer tendrement sans oublier de laisser une trace dans son cou pour bien montrer mon passage mais également dissuader les autres de s’approcher trop près de lui. Je souris en voyant la trace et murmura à son oreille : Tu es à moi Charlie, juste à moi. dis-je en souriant doucement. Je déposai ensuite un baiser sur ses lèvres avant de me sentir de plus en plus chaud. J’arrivais à la fin je le sentais, son corps est tellement bon que je n’arrivais pas à stopper mes coups de reins et que je n’arrivais même pas à résister plus longtemps.

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Il aimait que ce soit sauvage. Il adorait entendre son bassin claquer contre ses cuisses. Plus c’était brutal plus ça lui plaisait. Il n’avait réellement rien d’un petit ange au lit mais plutôt tout d’un démon. Ses gémissements résonnaient dans la chambre. Ses doigts se crispaient dans le dos du coréen, glissaient à cause de la sueur. Il mourrait littéralement de chaud. C’était si intense. En le voyant répondre à sa provocation il ne put que sourire alors que son dos se décollait du matelas avant de jurer encore une fois. Il tourna la tête pour lui laisser libre accès à son cou et passa sa main dans ses cheveux bruns. Qu’il n’arrête surtout pas. Qu’il l’épuise. Un suçon ? Vraiment ? Un sourire illumina son visage et il ramena Ko An contre lui pour l’embrasser avec fougue tandis que son corps tremblait sous ses à-coups toujours plus brutaux. Alors comme ça il était à lui ? Voilà une perspective qui lui plaisait beaucoup mais pour le moment il n’avait pas tellement les moyens d’y réfléchir. Il sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir tout comme il lisait sur le visage de Ko An que celui-ci n’était pas loin non plus. Il passa ses deux mains dans sa nuque et l’attira de façon à ce que leurs lèvres se frôlent à chaque fois qu’il butait contre ses fesses. Il planta son regard dans le sien et gémit son prénom. « Reste là. » Pas question de perdre une miette de l’orgasme de Ko An. Lui était si proche, vraiment proche. Il ne tarda pas à se libérer. Tous ses muscles se contractèrent y compris ceux qui entouraient le membre du coréen. Celui-ci ne lui laissa aucun répit et continua ses mouvements le faisant littéralement hurler jusqu’à ce qu’il jouisse aussi. Charlie se délecta de ce moment. Il ne détacha pas son regard du visage de son amant et à la fin colla ses lèvres contre les siennes. Il ne se souvenait pas avoir un jour autant pris son pied. Il laissa sa tête retomber sur l’oreiller et passa sa main dans ses cheveux blonds désormais légèrement humide du fait qu’il avait beaucoup transpiré. Il eut un léger rire qu’il cacha derrière sa main. Il n’en revenait pas. « Putain, j’ai presque peur de plus pouvoir marcher. » Il rit encore et baissa les yeux sur son ventre. Il passa son doigt là où il y avait son propre sperme. Non vraiment, il n’avait jamais joui comme ça. Il se redressa un peu, assez pour accéder au paquet de mouchoirs qui trainait là, et en prit un pour essuyer tout ça qu’il jeta dans la poubelle qui trônait pas loin.

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C’était vraiment intense au final, je n’en pouvais déjà plus, il me donnait tellement chaud aussi. Vous deviez voir la tête qu’il avait, son visage était un orgasme à lui seul. Cela se voyait qu’il prenait son pied et j’en étais le responsable alors bien sûr mon égo s’intensifia. Il m’avait provoqué, alors maintenant il subissait son affront à ce petit blond. Je déposai mes lèvres sur les siennes avec un sourire tendre avant d’accélérer d’un coup mes mouvements. Je sentais que demain, il ne pourra pas marcher et même maintenant en fait. J’avais vraiment hâte de voir cela. La jouissance montait de plus en plus, j’avais chaud vraiment très chaud et je l’embrassai toujours et encore en continuant mes mouvements. Je ne comptais pas partir, vraiment. dis-je avec un petit sourire au coin. Cela montait de plus en plus, mais il était totalement interdit de jouir avant lui et même quand il me fit, je ne réussis à me retenir un peu avant de tout lâcher en lui dans un long râle tout en le regardant. Je me retirai doucement de lui et me laissai tomber à côté en poussant un soupire de plaisir. Je venais de prendre ma douche mais je me doutais que cela n’avait servis à rien. J’ai hâte de te voir marcher tien, tu ne veux pas me faire une petite démo. dis-je en prenant un mouchoir pour me ressuyer également. Je restais ensuite allongé complètement nu en espérant que personne n’allait rentrer dans la chambre. Je ne pouvais m’empêcher de poser mon regard sur lui, regardant alors la marque que je lui avais laissé joliment dans le cou. Il était sexy avec cette marque, il m’appartenait un petit peu quand on regarde bien les choses… L’idée me plaît bien, elle me plait beaucoup même.

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Il crevait de chaud à présent. Il était essoufflé. Il sentait même son cœur battre à une telle allure que dans un autre contexte ça aurait pu lui faire peur. Heureusement on ne lui avait pas encore interdit le sport au lit. Mais c’est qu’en plus il osait se moquer de lui. Charlie lui tira la langue tout en se dressant sur ses avant-bras. « Je suppose que t’es fier de toi. » L’américain était plutôt fier de lui en tout cas. Quelle performance. Même s’ils étaient tous les deux en sueur il vint se coller à lui en passant une jambe entre les siennes. Il posa son menton sur le haut de son torse et laissa dans ses doigts sur sa peau. L’acte en lui-même avait dépassé toutes ses espérances. Il le plaçait en première place de ses meilleures fois. Est-ce que Ko An était capable de faire mieux que ça encore ? Charlie fit la moue. Peut être. Il leva les yeux vers lui. Il regardait quelque chose mais quoi. L’information ne tarda pas à monter jusqu’à son cerveau. Le suçon. Il passa ses doigts dessus en plissant les yeux comme s'il pouvait sentir quelque chose. Il avait tout de même osé le marquer. Personne ne faisait ça sans se prendre un sacré sermon normalement. Sauf que là les choses étaient différentes. Il se radoucit et se mit à sourire en repensant à ce qu’il lui avait dit. « Alors comme ça je suis à toi ? » Il appuya sur sa bouche avec son index et retraça le contour de ses lèvres. « Ce qui veut dire ? » Est-ce qu’ils ne seraient pas un peu ensemble quand même ? C’était surement le début de quelque chose. Quelque chose de nouveau. Charlie n’avait pas eu de relation sérieuse depuis l’imbécile qui avait osé lui briser le cœur. Depuis il s’amusait avec les autres, couchait à gauche à droite mais maintenant il devait arrêter non ? C’était sans doute ce que cela voulait dire. « J’espère que tes colocs vont rentrer tard. » Il n’avait pas envie de partir. Il se sentait trop bien dans ses bras là.

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Je ne pouvais m’empêcher de me moquer de lui, comme il ne pouvait s’empêcher d’être mignon dans toutes les circonstances. Je souris quand il tira la langue pour me dire que j’étais fier de ma connerie, oui c’était le cas et cela me fait plaisir. Je le regardai alors avec un regard tendre, allongé toujours sur le dos nu, alors qu’il s’approchait de moi pour se coller contre moi. Je le laissais faire le regardant avec tendresse et amour, je ne pouvais que fixer le suçon que je lui avais dans le cou. Je souris à ma connerie et ne pus m’empêcher de trouver que cela lui allait parfaitement. Je détournai un peu le regard quand il se moqua de moi en rappelant le fait que je lui avais dis qu’il était à moi. Oui, il était à moi après tout, enfin je voulais qu’il soit à moi nuance. Mais cela ne semblait pas lui déplaire cette idée. Cela te plaît ? Tu veux bien m’appartenir ? dis-je avec un sourire au coin. Je le collai un peu plus à moi et sortis ma langue pour qu’elle rencontre les doigts de mon bébé. Cela veut dire que si tu vas voir ailleurs, contre sur moi pour le faire également… Brésilienne. dis-je en haussant plusieurs fois les sourcils avec un petit sourire au coin. Je caressais toujours son dos avec tendresse, venant lui embrassé le nez doucement avant de fermer les yeux pour apprécier ce moment même si on était quelque peu dégueu à cause de cette partie de jambe en l’air très vivante. J’espère également qu’ils ne rentreront pas, cela voudrait dire qu’il te verrait tout nu et je veux pas. dis-je en faisant une moue mignonne comme il le faisait d’habitude lui, moi ça ne devrait pas rendre les choses pareil.

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Charlie ne voyait déjà plus que lui. Il doutait fortement avoir un jour envie de goûter à autre chose. Puis il était loyal lui. Il ne comptait pas faire à quelqu’un ce qu’il n’avait pas aimé qu’on lui fasse. Il s’apprêtait à hocher la tête pour approuver ses petites conditions jusqu’à ce qu’il mentionne la brésilienne. Ah bah non, ça c’était hors de question. Il lui pinça la joue en prenant un faux air fâché. « N’y songe même pas ! » Puis il rit avant de faire semblant de mordre son menton puis d’y déposer un baiser. Dans ce cas là, s’il lui appartenait, est-ce que cela voulait dire que Ko An était un peu à lui aussi ? Il supposait que oui parce que cela lui paraissait logique mais aussi parce que c’était ce qu’il voulait. Il le voulait lui. Alors d’une toute petite voix peu assuré il lui posa la fameuse question. « Tu es à moi alors, hein ? » Bizarrement il sentait son cœur battre comme s’il redoutait un peu sa réponse. Pourtant il ne devrait pas douter. Après tout c’était lui qui de base avait fait toute une scène parce qu’il refusait de se poser. Le voyant fermer les yeux il posa sa tête sa joue collé contre son torse et fixa un moment la porte de la chambre. Il priait de toutes ses forces pour que personne ne rentre. Déjà parce qu’ils étaient nus et qu’il était plus que facile de deviner ce qu’ils venaient de faire. Mais surtout parce qu’il ne voulait vraiment pas partir. Il n’avait pas envie de retourner dans sa chambre. Il aimerait tant rester ici. Il sourit à sa fausse remarquer de jaloux. « Je m’en fiche qu’ils me voient nu. Je voudrais juste rester là. » Il était tellement bien là. Si bien qu’il s’éloigna de sujet recommençant à dire tout ce qui lui passait par la tête. « Je meurs d’envie d’une clope en plus. » S’il était au courant que ce n’était pas bon pour lui et que dans sa condition ça ne pouvait qu’aggraver son cas ? Evidemment. Il faisait simple partie de ces gens inconscients qui prônaient le désir de ne pas s’empêcher de vivre même si ainsi c’était un peu comme s’il se condamnait lui-même.

» moon elena + run for your life if you meet her.
» BANG ISEUL - meet you. crazy. here my number. call me maybe.

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