Sujet: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Dim 16 Fév - 21:31
don't mess with me, i stole your food
Pour Areum, Park Jin Hyun est un idiot de première catégorie dans son estime. Il a d'ailleurs une place très élevée dans l'échelle des idiots, le privilège d'être au sommet n'est pas donné à tout le monde et Dieu sait qu'il en a fait des choses pour la pousser à bout. Elle qui a voulu être gentille, sympathique, lui changer un peu les idées -outre le fait qu'elle l'ait drogué- elle le regrette. Jamais ô grand jamais elle ne se permettra de lui faire confiance une seconde fois.Trop de risques pour trop peu. Et notre Boo nationale n'est pas une Boo si elle passe à côté de toutes ces occasions de se venger. Cela fait un moment maintenant mais elle est rancunière à un point inimaginable. Alors le monsieur ne doit pas bien comprendre ce qu'il lui arrive, le pauvre mais si dans les couloirs bondés parfois il manque de tomber ce n'est pas une maladresse, c'est le pied de la jeune femme qui s'est posté pile au bon endroit au bon moment. S'il lui arrive de trouver des lettres suspectes comme "si j'étais toi, je ferais attention la prochaine fois"infâme, tu devrais avoir honte" dans son casier, il devrait vraiment écouter plus sérieusement sa mémoire et culpabiliser pour ce qu'il a fait.
Ce qu'il a fait ? Oh alors au cours de la soirée, alors qu'ils étaient tous les deux sur le toit et qu'un flic était en train de monter eh bien, il ne l'a pas aidé, il l'a au contraire laisser descendre les escaliers et alors, impossible de s'enfuir avec des talons. Impossible. Et depuis, elle voue un culte à cette routine quotidienne qui est de rendre la vie du jeune homme la plus négative possible, dans le plus grand anonymat. Elle avait essayé les poupée vaudou mais apparemment, ça ne lui aura pas empêché marcher tout le long de la semaine alors elle a fini par abandonner le vaudou, c'st aussi simple que ça. Aujourd'hui alors qu'elle a fini ses heures de cours, couloirs bondé comme d'habitude, elle attend de trouver sa precieuse victime. Il est sans doute midi, elle a piqué toutes les options pour lui d'avoir un déjeuner : carte de crédit, liquide, tout. Et pour ça elle a du passer par les vestiaires des garçons, ce qui a également été une torture... Mais aussi une façon d'améliorer ses minutes en apnée, à ce rythme, elle va devenir une sirène. Et comme certains criminels, elle aime regarder sa proie perdre la tête. La dernière fois, elle a fait couler ses vêtements dans les toilettes des filles, mais il a trouvé un moyen de s'en sortir, un ami sans doute, alors il a fallu être plus créatif de semaines en semaines ; mettre beaucoup de sel à ses plats commandés, gâcher ses rendez-vous en parlant à la jeune femme dans les toilettes femmes de la façon, ô l'horrible façon dont il avait rompu avec elle, l'appeler sur des numéros masqués, ruiner ses vêtements incognito et maintenant, encore une fois son déjeuner.
Leurs casiers n'étant qu'à un mettre l'un de l'autre, Areum fait comme d'habitude, elle fait mine de chercher quelque chose. Et elle est plutôt douée. Elle sort son téléphone, ferme son casier et s'y adosse en parlant suffisament fort pour que monsieur l'entende
Areum - Est-ce que tu as déjà mangé ? Oh ? Perdu ton déjeuner ? C'est malheureux... Quoi ? Tu n'as pas de sous sur toi ? Oh vraiment ? Oh... Il ne te manque plus qu'à mendier... Elle sourit faiblement sans croiser le regard du jeune homme Non non, moi j'ai déjà mangé merci. Si c'était bon ?
Areum, ou l'art de torturer avec la nourriture
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Lun 17 Fév - 23:24
i told you, what goes around comes back around.
Encore une journée de cours qui s'annonçait des plus ennuyantes. Comme à mon habitude, j'avais passé la première moitié de la matinée à rêvasser, à dormir sur ma table de cours et à me questionner sur le but de ma présence en ces lieux. Pourquoi avais-je pris la peine de me lever alors que la seule chose que je faisais c'était perdre mon temps à assister à des cours qui ne m'interessaient aucunement ? Telle était la question... Heureusement, la seconde moitié de la matinée se révéla être plus attrayante. En effet, j'avais fini par me retrouver dans la salle de danse de l'université et m'appliquer à répéter une nouvelle chorégraphie que la crew, à laquelle j'appartenais, venait de créer. Après plusieurs enchainements, et alors que la sonnerie annonçant l'heure du déjeuner venait de retentir, je cessai mon activité et quittai la pièce, le sourire aux lèvres. Oui, j'étais de bonne humeur, pour une fois... Après un petit passage éclair sous la douche, histoire de ne pas puer la transpiration, je me dirigeai vers les vestiaires et m'habillai rapidement. J'attrapai ensuite mon sac de sport et y rangeai rapidement mon survêtement et ma serviette, avant de tapoter machinalement les poches arrières de mon pantalon... « Qu'est-ce que... ? » Pas de porte monnaie. Je me mis alors à fouiller dans mon sac mais, malheureusement, je ne pus obtenir que le même résultat. Aucun porte monnaie, rien, nada. Une dernière option s'offrait donc à moi : mon casier... Il était fort probable qu'il soit resté là-bas, avec le reste de mes affaires. Je fermai donc mon sac, l'attrapai et quitté rapidement les vestiaires, confiant. Après tout, où pouvait être mon porte monnaie si ce n'était pas dans mes poches ou mon casier ? Je pris la direction du bâtiment réservé aux étudiants en littérature et arts et traversai, non sans peine, la foule qui s'était formée dans les couloirs, jusqu'à que je puisse atteindre les casiers. Une fois devant le mien, je dévérouillai le cadenas qui le protégeait et l'ouvris. J'entrepris alors de le fouiller, lui aussi, comme je l'avais fait avec mon sac quelques minutes plus tôt. Mais en vain... Toujours rien. Aucune trace de ce fichu porte monnaie. Et en plus de ça, quelqu'un avait eu la brillante idée de me dérober mon petit déjeuner. Qu'on me pique mon argent, d'accord, je pouvais comprendre. L'université n'était pas seulement peuplée de personnes riches et honnêtes. Mais qu'on me vole ma nourriture... Où était le respect ? J'étais frustré. Oui, c'était le bon mot : frustré. Tellement frustré que je laissai, malgré moi, échapper un rire, espérant certainement qu'on me dise finalement qu'il s'agissait d'une caméra cachée et que mon bien allait très vite m'être restitué… Cependant, rien de tout cela ne se passa et, alors que je m'apprêtai à fouiller mon casier, une nouvelle fois, une voix que je ne connaissais que trop bien me parvint aux oreilles. Boo Areum... J'aurai dû m'en douter. Cette meuf passait son temps à me faire les pires crasses possibles depuis quelques jours. Pourquoi ? Parce que lors d'une soirée, et alors qu'un flic était à nos trousses, je n'avais pas jugé important de la mettre en garde, voire même de l'aider. Du coup, elle s'était faite attraper. Et, depuis, elle mettait tout en oeuvre pour se venger et me faire comprendre, ô combien je ne méritais pas de vivre après lui avoir fait un tel coup. « Tu es fière de toi ? » Je portai mon attention sur la jeune femme et mes lèvres s'étirèrent en un sourire en coin. « Non mais sérieusement... C'est vraiment tout ce que tu as trouvé ? » Je toisai la jeune femme du regard et une moue boudeuse apparu sur mon visage. J'hochai ensuite la tête de gauche à droite et pris un air faussement compatissant. « Voler ma nourriture... Même un gamin de 10 ans aurait eu plus d'imagination que ça. Je suis déçu, vraiment. Se donner tant de mal pour ça. Je te croyais beaucoup plus créative... » J'avais beau faire le malin, au fond de moi je n'en menais pas large. On pouvait même dire que j'étais en deuil. S'en prendre à mon petit déjeuner... C'était certainement la pire chose que l'on pouvait me faire. Heureusement, j'avais ce don de ne jamais montrer ce que je ressentais au fond de moi... Je fermai la porte de mon casier et glissai mes mains dans les poches de mon pantalon avant de m'approcher de la jeune femme. « Au poste de police ils ne t'ont pas appris que ce n'était pas bien de voler ? » ajoutais-je, en arborant un sourire moqueur.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 18 Fév - 0:00
Areum - Une pizza. Oh comment ça je vais prendre du poids ? Elle rit doucement avant d'être interrompue par la voix du jeune homme. Un soupir quitte ses lèvres avant qu'elle ne rajoute Min Ah, je te rappelles, je crois que le diable est de sorti aujourd'hui... Hélas ça devait arriver elle rit à nouveau Son regard croise alors par inadvertance celui du jeune homme puis secoue faiblement la tête. Non, ce n'est pas ce que tu crois... Non sérieusement, ce n'est pas ça. Ah, je vais avoir besoin de vomir maintenant, excuse moi... Oui c'est ça, je te rappelle plus tard.
Jin Hyun n'aura pas mit beaucoup de temps avant de réaliser la perte de son bien. La nourriture, c'est de la nourriture hn ! Et c'est sans doute leur seul point commun. Ah, que de satisfaction en voyant ce sourire disparaitre pour laisser place à cette mine boudeuse, mais ce n'est pas assez pour Areum. Areum voudrait qu'il rampe, qu'il se mette sur ses deux genoux, qu'il s'excuse et même après, elle n'est pas sûre de lui pardonner... Mais l'intention y aurait été d'une certaine façon hn. Elle range son portable dans son sac après avoir raccroché et puis lève alors les yeux vers lui pour lui dire sur le ton le plus sincère du monde
Areum - Ça alors ! Toi aussi tu as perdu ton déjeuner aujourd'hui ? Un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu'elle ajoute Oh Jin... je TE pensais plus créatif. Tu pense vraiment que je n'ai que ça à faire de mes journées ? Bien que je ne doute pas du fait que ton déjeuner ait du être vraiment vraiment bon, je crois que tu déborde un peu trop d'imagination. Ou peut être que je te manque un peu trop et alors m'accuser de tous tes malheurs du monde est une façon d'engager la conversation ? elle soupire en secouant à nouveau la tête et lui dit alors si ça peut te consoler, on peut devenir les meilleurs amis du monde... Pour la vie ! Qu'est-ce que tu en pense ? C'est une belle offre non ? Ça satisferait cet énorme manque qui te conduit à m'adresser la parole ? On pourrait faire des pyjama party, qui est censé venir chez l'autre en premier ? Je dois emmener ma collection de CDS ou c'est trop d'émotions d'un coup pour toi ? Sarcasme bonjour. Rien de sérieux à l'horizon.
Elle incline doucement la tête sans pour autant détacher son regard du jeune homme et alors lorsqu'il parle du poste de police, elle ne peut s'empêcher de sourire. Il veut savoir ce qu'elle a fait au poste de police ? Vraiment ? Entendre le bruit de son casier se fermer n'est pas bon signe du tout. Elle n'aime pas ça, le voir se rapprocher et rester trop longtemps dans son périmètre, partager le même air que monsieur Park. Seulement, elle est douée pour faire comprendre le contraire et alors lorsqu'il aborde le sujet, elle passe une main dans ses cheveux en lui répondant ;
Areum - Tu serais surprit de savoir tout ce que j'ai appris là-bas, mais la prochaine fois, emmène moi mon magazine de mode et ma lime à ongle tu veux ? En un passage on en a déjà apprit suffisamment reprenant un peu de son sérieux, elle ajoute alors Me laisser descendre les escaliers en sachant ce que tu savais était vraiment la pire chose que tu aies faite en 2013, tu t'en rendras sans doute compte plus tard, quand ton cerveau commencera à fonctionner, en supposant qu'il existe. Mais je ne t'en veux pas si ça prend du temps hn. Lui adressant un sourire faussement amical, comme il a l'habitude d'en faire, elle lui demande alors totalement hors sujet, qu'est-ce que tu avais au petit déjeuner ? Il faut bien alimenter nos conversations parfois..
Ah Areum, tu es cruelle...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 18 Fév - 20:12
i told you, what goes around comes back around.
Boo Areum... Si je n'avais pas déjà eu affaire à cette nana et si je n'avais pas eu la possibilité d'en apprendre un peu plus sur sa personnalité, lors de cette soirée pendant laquelle nous avions échangé quelques mots, j'aurai certainement pensé que c'était une malade mentale, une psychopathe bonne à être internée... Mais que dis-je ? C'est une psychopathe bonne à être internée. Je maudissais presque ce jour où elle était venue m'adresser la parole. Que de péripéties étaient survenues dans ma vie après cela. C'était à se demander si la jeune femme ne portait pas la poisse. Ou si elle n'était pas à l'origine de mes malheurs, devrais-je plutôt dire. Oui... elle avait beau se donner beaucoup de mal, je n'étais pas dupe et je savais que tous ces messages téléphoniques ou tous ces mots anonymes que je recevais venaient d'elle. Mais je me plaisais à continuer de lui faire croire qu'elle agissait en tout anonymat et que je n'étais au courant de rien, que j'étais totalement à sa merci. Après tout, pourquoi la priver de tous les stratagèmes qu'elle se donnait tant de mal à mettre en place pour m'atteindre ? Qu'elle continue si cela lui faisait plaisir... Mais si elle pensait que je m'excuserai pour ce que j'avais fait, elle risquait d'attendre longtemps. Je n'avais rien à me reprocher. Ces marches, elle les avait descendu toute seule. Je ne l'y en avait en aucun cas forcé avec un couteau sous la gorge, que je sache. Alors, pour les excuses, elle pouvait passer son tour. Je n'étais déjà pas du genre à m'excuser pour des choses dont j'étais coupable alors ce n'était pas pour sa petite mésaventure que j'allais le faire... Elle me mettait tout sur le dos alors qu'elle était la seule fautive, pour le coup. Mais, après tout, n'étais-ce pas le propre de l'homme d'accuser son prochain des fautes qu'il avait commise ? Étais-ce moi qui avait fait preuve d'inattention en me précipitant dans les escaliers alors que je savais pertinemment qu'un flic était à nos trousses ? Bien sûr que non... Je regardai la jeune femme, un sourire en coin, alors que cette dernière s'évertuait à me montrer ses « magnifiques » talents d'actrice. Talents qui n'avaient pas vraiment évolués depuis notre dernière rencontre. Mais soit. « Bah, écoute... » commençais-je, sur un ton las. « Ta vie est si peu intéressante que tu te drogues pour te convaincre qu'elle peut l'être. Alors, que tu passes ton temps à mettre au point ces gamineries pour la rendre un peu plus attrayante, ça ne m'étonnerait pas du tout... » Je lui adressai mon plus beau sourire et ajoutai, faussement sérieux... « Non mais oui... je l'avoue. Tu me manques terriblement. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai, à plusieurs reprises, prié le ciel pour qu'ils te gardent un peu plus longtemps au poste de police. Malheureusement... » D'un signe de la main, je montrai rapidement la silhouette de la Jeopardize, en soupirant, et ajoutai... « Il semblerait que je ne sois pas assez bon pour bénéficier des bonnes grâces du tout puissant. » Bon, trêve de plaisanterie. On peut passer aux choses sérieuses ? Où est ma bouffe et où est mon porte monnaie ? Exaspéré, je me stoppai à une cinquantaine de centimètres de la jeune femme qui, pour ne pas changer, continuait de ressasser le passé. Ahlalala... pauvre fille. Et alors qu'elle finit par me demander qu'elle était le contenu de mon petit-déjeuner, je ne pris pas la peine de lui répondre et m'exclamai, après avoir levé les yeux au ciel, légèrement agacé... « Pourquoi tant de haine, princesse ? Tu me reproches d'être long à la détente mais il semblerait que ton cerveau ne fonctionne pas mieux que le mien et que tu ais la mémoire courte, toi aussi... Tu ne te rappelles pas de ces fameux gâteaux magiques que tu m'as fait avaler lors de cette soirée ? Ne t'avais-je pas dit que je me vengerai à ce propos ? Alors pourquoi ? Pourquoi es-tu si surprise que j'ai pu te laisser te faire prendre ? Tu savais très bien que tôt ou tard, il t'arriverait quelque chose. » Je m'approchai finalement un peu plus d'elle, avant de poser mes deux mains sur le casier, de chaque côté de sa tête. Je la regardai ensuite dans les yeux, un sourire en coin. « Le pire dans tout ça c'est que je t'avais prévenu mais t'es tellement idiote que tu t'es quand même faite avoir. » Je me reculai ensuite, avant d'ajouter... « Finalement, c'est à se demander qui est le plus con de nous deux... »
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 18 Fév - 21:07
Ah, il s'en fallait de peu avant que le sarcasme de monsieur lui manque. Un sourire se dessine sur ses lèvres bien que ses paroles amères soient difficiles à digérées. Areum a été conditionnée pour ce genre de choses toute sa vie, mais c'est difficile, c'est toujours difficile avec Jin Hyun sans qu'elle ne puisse se l'expliquer. Elle hausse les épaules et porte ses mains au niveau de sa tête avant de dire sur un ton sérieux ;
Areum - Mince, maintenant que tu sais que ma vie est si déprimante, qu'est-ce que je vais faire ? J'avais tout misé sur toi et j'ai perdu... Je vais devoir retourner à ma vie monotone...
Un de ces quatre, elle lui en collera une et une bonne parce qu'il l'aura mérité. Sacrément mérité. Elle ne regrettera même pas une seconde le geste. Certaines personnes nous font regretter mais Jin ne mérite pas ses regrets, elle pense tout en le regardant dans les yeux. Durant une fraction de secondes, elle le pense alors trop proche d'elle. Etant adossée contre son propre casier, la jeune femme ne peut pas reculer, mais si elle en avait eu la possibilité, elle l'aurait fait. Son coeur s'arrête sans raison, une fraction de secondes à ses paroles pourtant noyée dans l'ironie "tu me manque terriblement". Elle fronce légèrement les sourcils sans détacher son regard du sien et alors automatiquement il se remet à battre. Quel idiot, quels idiots ; ce coeur, cet enfant. Tous les deux fonctionnent terriblement mal. A nouveau, malgré elle, Areum sourit avant de lui répondre ;
Areum - Allons allons, avec le temps tu te rendras compte que ce n'est pas si terrible. Les paysages de l'enfer ont quelque chose de ... Cet espèce de je ne sais quoi. J'ai mit du temps avant de comprendre où j'étais avec toi, mais elle prend une grande inspiration avant de soupirer silencieusement et ajouter ça va plutôt pas mal...
Et ensuite, sans comprendre comment, ni pourquoi la situation devient inconfortable. Elle l'a déjà été auparavant, ce n'est pas nouveau mais c'est un peu plus intense ? Tu es trop proche, elle pense tout en écoutant ses paroles amères, comme à son habitude. Et une voix dans sa tête lui dit alors ; "à quoi est-ce que tu t'attendais Areum, un idiot reste un idiot. C'est vrai, pourquoi est-ce que tu es si surprise ?" Et maintenant qu'il est trop proche, peut être que ses paroles sont évidentes à présent. Un sourire se dessine alors sur le visage tandis qu'elle se met à parler ;
Areum - Tu vois, si je dois être d'accord avec toi c'est bien maintenant, elle regarde alors autour d'elle, les couloirs à présent vide J'ai été stupide de croire qu'une personne comme toi pourrait être sympathique, rectification, presque agréable à vivre le temps d'un instant sans raison... Parce que oui, de temps en temps il m'arrive d'aller outre le règlement, mais ça n'empêche personne de vivre ou de bien dormir la nuit que je sache. Elle se décolle de son casier et ajoute alors Mes pensées ont du être un peu embrouillées le temps d'un instant parce que tu vois, j'ai pensé à la possibilité de bien m'entendre avec toi. un faible rire moqueur parcourt ses lèvres tandis qu'elle secoue à nouveau la tête C'est pire que de la stupidité arrivé à ce stade...
Sans prévenir alors, elle s'éloigne et puis se retourne au bout de trois mètres pour lui dire
Areum - Et puis tu sais, j'aime la façon dont tu me présente ma vie alors que finalement, tu ne sais que très peu de choses à propos de moi. Je découvre de nouvelles choses chaque jour ! ... J'ai sans doute été conne sur le coup c'est vrai. Mais pour ce qui est de ton cas, tes prières vont être récompensées, c'est soudainement devenu terrible de te voir, crois moi... elle marmonne plus bas Idiot...
Elle s'éloigne d'avantage sur ses paroles sans attendre de réponse de la part du jeune homme. Tous les couloirs du monde sauf celui ci seraient une forme de bonheur pour Areum parce que, elle est sur le point d'atteindre un point qu'elle n'avait pas touché depuis un moment ; la limite du masque de l'indifférence. Le couloir étant malheureusement terriblement long, elle n'est pas sûre de pouvoir tenir. Et elle même elle ne comprend pas pourquoi un tel idiot arrive à la mettre dans tous ses états. Peut être que ça fait plus mal que prévu finalement. Tout simplement..
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mer 19 Fév - 19:43
i told you, what goes around comes back around.
Bon, okay, je devais avouer que parfois je pouvais être assimilé à un être abominable, mauvais et sans compassion aucune. Mais de là à évoquer l'enfer et à m'y raccrocher... N'était-ce pas un peu tiré par les cheveux ? Amusé, j'esquissai un sourire en coin avant de détourner le regard, tandis que la Jeopardize déblatérait encore et toujours ses conneries. Jusqu'à qu'enfin – ou pas - la conversation prenne une tournure un peu plus sérieuse... « Que tu penses que ce soit stupide ou pire d'avoir pu croire que je puisse être sympathique, grand bien te fasse... Mais le summum de la stupidité c'est le fait que tu ais pensé pouvoir t'entendre avec moi vu ce que tu m'avais fait quelques minutes avant... » m'exclamais-je, sur un ton complètement dégagé. Je laissai ensuite échapper un léger rire de frustration avant de poursuivre, la mine sérieuse. « Allons Boo... C'est ça ta conception de l'amitié ? Droguer les personnes dont tu veux essayer de te rapprocher ? Tu as cru que c'était si facile ? Qu'il suffisait d'utiliser ta petite poudre blanche pour que je puisse ensuite être agréable avec toi, pour que nous puissions bien nous entendre ? Désolé de te décevoir ma grande mais ici on est pas à Bisounours Land. Les poudres magiques ça n'existe que dans les contes de fée. » C'était la meilleure ça... Si elle pensait être la personne la plus rancunière sur cette terre, elle ne me connaissait pas du tout. Mais alors pas du tout. Et c'était certainement pas une petite séance « déco du quartier et bataille de peinture » qui m'aurait fait oublié ce qu'elle avait fait juste avant. J'étais certainement aussi rancunier qu'elle, si ce n'est plus. La différence, entre nous, c'est que je savais saisir le moment opportun pour infliger ma vengeance. Je ne me cassais pas la tête à mettre au point trente-six milles coups foireux pour rendre la vie de la personne impossible. « Mais soit... Pense ce que tu veux de moi si ça peut te permettre de mieux te sentir dans ta peau. » Après tout, qu'elle ne me croit plus capable d'être quelqu'un de bien, qu'est-ce que cela allait changer à ma vie ? Je n'avais rien à lui prouver. Pas plus à elle qu'à un autre... Je replaçai mes mains dans mes poches et observai la jeune femme s'en aller avant qu'elle ne finisse par se retourner vers moi, quelques mètres plus loin. Je ne savais pas grand chose d'elle... C'était exact. A part le peu de choses que j'avais pu apprendre à son propos, durant cette fameuse soirée, je ne savais rien d'elle. Mais elle ne savait rien de moi non plus. Pourtant, c'était la première à penser me connaître sur le bout des doigts. Alors, elle était très mal placée pour me dire ça... « Hey ! Boo... » m'exclamais-je, passant complètement outre les dernières phrases de la jeune femme, alors que cette dernière s'éloignait. Non, je n'avais pas l'intention de m'excuser pour mon comportement. Certainement pas... « Alors quoi ? C'est déjà fini ? Elle est où la Jeopardize si sûre d'elle qui disait qu'elle ferait tout pour que je regrette mon acte ? » J'étais mauvais, oui. J'étais le plus gros chieur du monde, aussi. Mais peu m'importait ce que l'on pouvait penser de moi... Je ne regrettai en aucun cas mes actes. J'assumai pleinement ce que je faisais. Après tout, si elle ne m'avait pas provoquer, rien de tout ça ne serait arrivé. Si il y a bien une personne à qui elle devait s'en prendre, à présent, c'était à elle et seulement à elle. Elle avait voulu jouer à ce petit jeu avec moi, au risque de se brûler les ailes, et elle avait perdu. J'avais été patient jusqu'à aujourd'hui... J'avais laissé passer toutes les crasses qu'elle m'avait faite depuis plusieurs jours. Mais là, c'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Malheureusement pour elle, je n'étais pas le genre de personne à y aller avec des pincettes. Et je voulais la voir réagir. Peu importe comment. J'étais même prêt à prendre des coups de sa part si il fallait en arriver là. Mais là seule pensée de la pousser à bout, de la voir exploser émotionnellement parlant me faisait sourire intérieurement. « Je ne te pensais pas aussi lâche. Ou peut-être que c'est trop dur pour toi d'affronter la réalité en face ? » continuais-je, en haussant les épaules, d'un air innocent. C'était bien beau de vouloir se la jouer « je me vengerai et te ferai payer ce que tu m'as fait » Mais si c'était pour abandonner devant la première difficulté, ce n'était même pas la peine de commencer. J'avais conscience de ne pas être la difficulté la plus facile à surmonter mais, avec un peu de volonté, elle réussirait sûrement à... Non, laissez tomber, en fait. Elle n'avait aucune chance. Jamais elle ne réussirait à m'atteindre, peu importe ce qu'elle tenterait contre moi...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mer 19 Fév - 22:37
Areum déteste Jin Hyun ; parce qu'il est difficile pour la jeune femme de concevoir l'idée que quelqu'un d'aussi désagréable qu'elle existe sur cette planète en version masculine. De plus, il a été le seul capable de faire en sorte qu'elle se remette en question sur certains points par moments, durant de courtes minutes. N’appelons pas cela des regrets, c'est autre chose, c'est bien autre chose mais elle déteste ce sentiment. De ce fait, elle en déteste l'origine même ; Park Jin Hyun. Elle le regarde alors et porte sa main au niveau de ses lèvres avant de dire sur le ton le plus sarcastique du monde :
Areum - Alors c'est vrai... Les contes de fées n'existent pas.
Irrécupérable. Elle secoue la tête avant de croiser son regard et rajouter plus sérieusement ;
Areum - A quoi est-ce que tu t'attends Jin ? Des excuses peut être ? Il faudrait peut être que je regrette pour ça, et il n'y a aucun moyen que ça se produise. Il est toujours trop tard pour les regrets et je ne regretterai pas dans un futur proche ou lointain le fait d'avoir échappé à l'ennui totale d'une soirée centrée sur la critique, l'argent et le jugement. Elle hausse les épaules. Mais si tu aurais préféré assister à ça alors... Je pourrais songer à être désolée. Je ne suis pas très créative hm, mais j'arriverai à vivre avec.
Tandis qu'elle part, elle l'entend prononcer son nom, elle ne se fait pas de films, il ne risque pas de s'excuser non plus. Elle ferme les yeux quelques instants lorsqu'il se remet à parler, il est irrécupérable lui aussi. Mais ce point en commun n'est pas une très bonne chose finalement. Elle souhaiterait qu'il puisse se taire pour une fois, histoire de changer un peu, une trêve ? Ce n'est pas comme si mademoiselle demandait la paix, la paix est quelque chose de trop difficile à demander à un idiot pareil, elle pense. Monsieur décide d'être cassant aujourd'hui. La provocation n'a jamais été un bon mélange avec Boo, monsieur Park, tu devrais le savoir. Tu devrais savoir que la dernière fille en date qui a osé dire du mal d'elle n'a pas survécu à la tempête et qu'elle s'est mise à dos toute l'université. Non ? Tu devrais en tous cas. Elle s'arrête alors au bout du couloir. Elle pensait ne pas atteindre la fin de ce couloir, mais finalement ils ne sont pas si loin l'un de l'autre et ce couloir n'est pas si long enfaite. Se mettant avec un calme incompréhensible à chercher dans son sac, elle en retire alors cette pochette si précieuse aux yeux du jeune homme pour finalement la lancer vers lui. Celle-ci glisse presque jusqu'au niveau de ses pieds.
Areum - Je ne joue plus, tu me fatigues... Elle dit sur un ton froid et désintéressé sans prendre la peine de croiser son regard. Il va falloir te trouver une personne qui correspondra plus à tes attentes pour assouvir tes pulsions masochiste.
Et sur ces paroles elle passe les grandes portes du couloir. Elle porte une main au niveau de sa tête tandis qu'elle monte les escaliers pour se diriger vers le toit et en bonne maladroite qu'elle est, elle ne remarque pas l'objet cylindrique à la septième marche du premier étage. Qui a dit que le sept portait chance ? Parce que pour ce qu'Areum sait maintenant... Elle tombe sans pouvoir porter sa main droite sur la rampe d'escaliers. Heureusement pour elle, elle n'est pas morte. Malheureusement pour elle, ça fait mal et ce n'est pas une petite chute dont on se relève intact. Et elle n'en a peut être pas encore conscience en cherchant son portable du regard. Evidemment, il ne se trouve pas à côté, il a glissé jusqu'au rez-de-chaussée Joyeuses choses en perspective...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Ven 21 Fév - 21:36
i told you, what goes around comes back around.
« Des excuses ? Il me semble qu'à la base c'est toi qui est venue en réclamer, pas moi... Je ne t'ai rien demandé. Je n'attends rien de toi et encore moins des excuses. Et même si par miracle tu m'en faisais, je n'en aurais que faire. Ce n'est pas moi qui court après l'autre, depuis le début, afin d'en obtenir... » Je ne la comprenais pas. Elle me provoquait, m'ennuyait parce qu'elle voulait que je m'excuse de mon acte et après elle tentait d'inverser les rôles, souhaitant me faire passer pour le précurseur de cet affront alors qu'elle en était à l'origine. Je ne faisais que me défendre, après tout... Non ? « Ah, les femmes... » murmurais-je, pour moi-même, tandis que la Jeopardize s'éloignait. J'haussai ensuite les épaules, l'observai fouiller dans son sac et un sourire en coin se dessina sur mon visage quand je la vis sortir mon porte monnaie. Alors, elle était vraiment en train d'abandonner ? Quelle déception... Bien que je me doutais qu'elle ne tiendrait pas face à moi, je ne pensais vraiment pas que ça se terminerait aussi vite. D'autant plus qu'elle semblait si sûre d'elle, au début. Dommage... Moi qui commençais tout juste à trouver cela marrant. Je la vis jeter mon porte monnaie, qui traversa la moitié du couloir et vint s'arrêter à quelques centimètres de mes pieds. Je le ramassai rapidement et reportai ensuite mon attention sur la jeune femme qui m'avoua ne plus vouloir jouer. Pauvre petite... C'est qu'elle se fatiguait vite. Elle jouait à la grande et finissait finalement par fuir. Elle aurait du se douter qu'elle tomberait sur plus fort qu'elle, un jour ou l'autre. Mais soit. Une fois que la jeune femme disparu de mon champs de vision, je m'apprêtai moi aussi à quitter le couloir pour pouvoir enfin aller manger. Parce que oui... c'était bien beau de discuter mais mon estomac n'attendait plus, lui. Cependant, et alors que tout semblait être rentré dans l'ordre, j'entendis deux bruits provenir des escaliers. Tout d'abord, un bruit sourd et, ensuite, celui d'un objet entrant en contact avec le sol et glissant sur celui-ci. Je restai pendant quelques millièmes de secondes à regarder en direction d'où provenait le son et fini par me diriger vers l'endroit que venait à peine d'emprunter Areum, il y avait même pas une minute. En passant les portes qui menaient aux escaliers, j’aperçus un portable sur le sol. Certainement l'objet que j'avais entendu tomber et glisser. Et quelques mètres plus loin... « Non mais quel boulet... » réussis-je à dire, en voyant la jeune femme par terre. Je n'avais pas dit cela par moquerie, pour une fois, mais bien par inquiétude. Oui... j'avais des réactions plutôt bizarres quand j'étais inquiet. Et, oui... il m'arrivait de m'inquiéter pour les gens, de temps en temps. Quoique, beaucoup trop à mon goût, ces derniers jours. « « Elle n'en rate vraiment pas une... » D'un pas rapide, je me dirigeai vers la Jeopardize, non sans laisser échapper un soupir, et récupérai son portable au passage. « Arrête moi si je me trompe mais il t'arrive que des merdes quand un escalier est à proximité. » Bon okay... c'était peut-être pas le moment de s'essayer à de l'humour. De l'humour noir, qui plus est. Mais c'était sorti malgré moi... D'autant plus que, j'avais beau tenter de dédramatiser la situation, je n'en menais pas large de mon côté. La jeune femme semblait avoir du mal à reprendre ses esprits suite à cette chute et il était plutôt difficile, d'un simple coup d'oeil, de déterminer si il s'agissait de quelque chose de grave ou non. Elle ne saignait pas, n'avait pas d’hématome – visible, en tout cas – et ne semblait pas s'être cassée quelque chose. Du moins, c'est ce que j'osai espérer... « Tu peux te relever toute seule ? » lui demandais-je, avant de m'accroupir à ses côtés et de l'observer rapidement.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Ven 21 Fév - 22:32
Il est difficile pour Areum de revenir à la réalité. La réalité est sans doute trop douloureuse. Tout est flou autour d'elle, tout est vague et elle peut entendre la voix de Jin Hyun lancer quelque chose d'ironique à propos d'elle et des escaliers. Petit à petit, elle peut clairement entendre sa voix. Et contre toute attente, elle ne s'attendait pas à être autant rassurée d'entendre la sienne. Ma foi, ce genre de choses arrivent, rarement certes, mais arrivent quand même. La jeune femme pose alors son attention sur lui avant de lui demander d'une voix encore un peu éteinte ;
Areum - Tu ... Elle interrompt sa phrase en se mettant à légèrement tousser un court instant alors quoi... l'idée que ce soit plutôt à cause de toi ne t'as pas encore traversé l'esprit ?
Oh Areum, ce n'est sans doute pas le moment de lancer les pics tu ne pense pas ? Elle parvient à se redresser doucement contre le mur dans une position assise plus ou moins confortable. Elle savait qu'elle aurait du passer outre pour une fois et ne pas perdre son temps avec cet idiot de Jin Hyun mais la racune a été trop forte. Maintenant son regard évite le sien et reste appuyé sur des points imaginaires, partout où il n'est pas. Elle voit dans sa main son portable mais au clignotement rouge maintenant visible, il ne doit pas rester beaucoup de batterie. Si elle peut se relever, au fond d'elle quelque part elle sait très bien que non. Mais elle ne veut pas penser à cette possibilité. Alors, elle tente d'ignorer sa question en tendant doucement son bras vers la main du jeune homme dans le but de récupérer son portable. En résumé ? Un échec, la douleur est trop forte, elle ramène son bras au niveau de ses genoux et lève alors les yeux vers Jin Hyun pour lui dire d'un ton calme mais sur la défensive ;
Areum - Qu'est-ce que ça peut te faire Jin, je pensais que tu t'en fichais ? Je vais parfaitement bien ! Je devrais tomber dans les escaliers un peu plus souvent tient... Je-
Remarquant alors à travers son jean slim bleu nuit que son genou droit a légèrement enflé, elle s'arrête de parler. Son regard se perd sur la blessure qu'elle peut imaginer à travers son jean. Se mordant la lèvre inférieure, elle ferme ses yeux quelques secondes à peine. Elle voulait fermer les écoutilles des émotions, cela étant un trop grand luxe, même pour elle. Les rouvrant, elle dit alors à Jin Hyun ;
Areum - ... Oui, comme je le disais tout va bien, tu peux partir... J-j'ai besoin de rester seule. Rend moi juste mon portable et pars s'il te plait...
Sur ses dernières phrase, sa voix se brise. Elle croise les bras et tourne alors la tête vers l'énorme vitre dans les escaliers pour éviter de croiser son regard qui éventuellement serait comme d'habitude. A nouveau, elle mord légèrement sa lèvre inférieure mais avant même qu'elle en ait conscience, des larmes coulent le long de son visage. Encore une fois, l'émotion est un trop grand luxe pour Areum...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Sam 22 Fév - 18:40
i told you, what goes around comes back around.
A cause de moi... Fallait s'y attendre. Je levai les yeux au ciel et soupirai, légèrement ennuyé. Vu les circonstances actuelles, je ne préférai pas relever les accusations indirectes de la jaune. Après tout, je commençai à m'habituer au fait que la jeune femme me mette tout sur le dos. Si elle s'était faite choper par un flic, c'était de ma faute. Si elle n'était pas capable de faire preuve d'un peu plus de répartie face à moi – oui bon... c'est vrai que, dans ce cas, je ne l'aidais pas beaucoup - c'était de ma faute. Et si elle s'était cassée la gueule dans les escaliers, c'était aussi de ma faute. Tout était de ma faute, oui. Alleluia. Non mais, plus sérieusement... était-ce vraiment de ma faute si, à son âge, la Jeopardize ne savait toujours pas marcher correctement ? Sans compter que mademoiselle se permettait de me provoquer, une nouvelle fois, alors qu'elle était, en ce moment même, dans une très grosse merde et qu'il n'y avait personne, à part moi, pour se soucier de son état. Alors quoi ? Elle voulait que je parte et que je la laisse agoniser là ? D'autres l'auraient très certainement fait, à ma place. De plus, notre relation conflictuelle me donnait une très bonne raison de l'abandonner à son triste sort. Ce que la jeune femme ne manqua pas de me rappeler, soit dit en passant... « Que je m'en fiche ou non, qu'est-ce que ça change ? Je suis peut-être con, comme tu aimes si souvent le répéter, mais ce n'est pas dans mes habitudes de fermer les yeux sur ce genre de choses... » Si je n'avais pas eu la curiosité d'aller voir ce qui avait provoqué les bruits que j'avais entendu, bien évidemment, je n'en aurais eu que faire. Mais j'étais venu. Et maintenant que j'étais là et que, malgré qu'elle dise le contraire, je voyais très bien que la jeune femme avait besoin d'aide, je n'allais pas faire comme si de rien n'était et repartir. D'autant plus que la situation s'annonçait un peu plus grave que prévu. Suivant le regard de la Jeopardize qui venait de se poser sur son genou, je remarquai, moi aussi, que celui-ci avait pas mal enflé. A l’œil nu, impossible de savoir si il s'agissait seulement d'une entorse ou si elle s'était carrément fracturée le genou. Je reportai de nouveau mon attention sur la jeune femme, tandis que celle-ci cherchait à tout prix à éviter de croiser mon regard, et laissai échapper un soupir, pour la énième fois. Tête de mule, va... Ne prêtant aucunement attention à ses paroles et feignant de ne pas avoir vu ses larmes, je rangeai son portable dans l'une de mes poches. « Arrête ton blabla, tu veux, et bouge toi. » m'exclamais-je, tentant de rester le plus indifférent possible. Accompagnant les gestes à la parole, j'attrapai le bras de la jeune femme et le fis passer derrière mon cou. Je déposai ensuite mon bras dans son dos et l'obligeai à se relever. Conscient qu'elle n'était pas en mesure de marcher, et même si je risquai très fortement de m'attirer ses foudres, je plaçai finalement mon second bras à l'arrière de ses cuisses et la soulevai, faisant tout de même tout mon possible pour ne pas accentuer la douleur. Déjà qu'en osant aller contre la volonté de la Jeopardize qui m'avait demandé de partir, je prévoyais de passer un mauvais sale quart d'heure jusqu'à que nous ayons atteint l'infirmerie, alors je ne préférai pas y ajouter le possible scandale qu'elle pourrait me faire si j'avais le malheur de lui faire mal. J'en supportais déjà bien assez comme ça. Pauvre de moi... Prenant la direction de l'infirmerie de l'université, j'esquissai un léger sourire en coin. « Et n'en fais pas une habitude, hein... » Je voulais bien évidemment parler du fait que mademoiselle se faisait limite porter comme une princesse. Par moi, qui plus est... Ce n'est pas tout le monde qui avait cette chance.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Sam 22 Fév - 20:22
Peut être que si elle ferme les yeux et qu'elle y pense très fort alors il disparaîtra ? Ramenant ses pensées dans une direction un peu plus positive elle hausse doucement les épaules lorsqu'il lui demande ce que ça change s'il se sent soudainement éprit d'une émotion de compassion ou d'une émotion positive tout court. A défaut de pouvoir dire quoi que ce soit, un haussement d'épaules en dit long croyez moi. Mais le reste de la phrase du jeune homme, ce n'était pas vraiment ce à quoi elle s'attendait. Elle s'était préparé à quelque chose de cassant, comme il a l'habitude de faire quoi. Mais alors, l'opposé venant d'une personne comme lui, comme elle l'avait imaginé du moins l'empêche de parler pendant un petit moment. Et alors quand elle se remet à parler ce n'est pas pour dire quelque chose de très positif non plus. En gros ; "laisse moi agoniser ici, je préfère crever, mais si tu me passais mon portable ce serait un peu plus surmontable". Non d'accord, clairement la traduction est un peu trop poussée. Mais je ne dis pas qu'il est impossible qu'elle se retrouve à dire ce genre de choses à Jin Hyun un jour, surtout par fierté. La fierté fait faire des choses terribles, croyez-moi.
Mais là, il n'y a pas que la fierté qui entre en jeu ; Areum n'est pas du genre à partager "ce genre de moments". Areum ne pleure pas en public, elle ne laisse pas ses faiblesses l'envahir en compagnie de tous pour alors faire passer la jeune femme pour un maillon faible. La dernière fois que c'est arrivé, elle s'est promit de ne plus jamais jamais avoir l'air dépassée par les évènements devant qui que ce soit. Mais Jin Hyun est trop têtu aujourd'hui ; elle sait qu'il est toujours là en l'entendant soupirer à nouveau. Et finalement, elle se rend compte qu'il fait autre chose que lui rendre son portable, s'il comptait le faire, il l'aurait fait depuis un peu plus d'une minute. Alors quoi, il veut vraiment mourir ? Bon techniquement, elle n'est pas très en forme pour s'occuper de son cas mais tout de même, il ne faut pas sous estimer les faiblesses de quelqu'un qui vient de tomber... Non enfaite, il faudrait et je vous invite à le faire comme Jin Hyun le fait sinon, des tas de personnes sur Terre investiraient dans un "Death Note" pour se débarasser de ses ennemis.
Et donc il lui dit d'arrêter tout ce blabla et se lever sans lui laisser vraiment, le temps de protester. Et bien qu'elle tente de le repousser en premier plan, elle comprend vite quand la douleur revient à la charge qu'il vaut mieux s'agripper à son cou qu'autre chose étant à moitié debout quand il passe sa main derrière son dos. Un quart de secondes, une douleur traverse son genou quand il finit par la porter. Et à défaut de voir l'expression sur la visage du jeune homme, Areum garde ses bras autour de ses épaules et regarde alors derrière eux tandis qu'il lui lance ironiquement qu'il ne faudrait pas qu'elle s'habitue à cette situation. Il n'a pas à s'inquiéter pour ça, elle qui détestait qu'il soit trop proche d'elle tout à l'heure, c'est toucher le jackpot que de légèrement froler son visage pour ne pas dire le toucher. Mais Areum étant Areum, elle tente tout de même de s'écarter doucement. Son coeur se serre un court instant et elle marmonne quelque chose d'incompréhensible comme ;
Areum - Merci... Et tant pis si tu ne l'as pas entendu..
Passant sa main au niveau de son visage pour rapidement balayer ses larmes, elle prend une grande inspiration et rajoute d'une voix tremblante malgré elle ;
Areum - Non sérieusement... Pourquoi t'es toujours là Jin Hyun hn ? Tu saias... Si tu veux des photos des blessures et des détails de la raison pour laquelle je suis tombée, je peux te les rédigées et les envoyés par SMS plus tard tu sais. Si ça peut te faire plaisir. Mais là c'est pas vraiment le bon moment... Qu'est-ce que tu fabriques hn?
Elle savait que les larmes seraient difficiles à faire partir mais sans doute la douleur est trop grande et l'attention qui lui porte trop importante, soudainement alors qu'elle avait renoncé à l'idée que ce soit possible. Elle tente de continuer à faire bonne figure et avoir l'air forte, mais la vérité c'est que tout ça plus le reste est devenu un peu trop frustrant.
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Park Jin Hyun MONEY, FAME
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Dim 23 Fév - 18:24
i told you, what goes around comes back around.
Comme je m'y attendais, la jeune femme chercha à me repousser lorsque je voulu l'aider à se relever et la porter. Cependant, elle ne le fit pas avec autant d'entrain que ce que j'avais imaginé. Moi qui m'étais préparé à ce qu'elle me frappe presque... Mais, en y réfléchissant bien, elle avait tout intérêt à ne pas se débattre car, d'une part, il n'y avait personne d'autre pour faire à ma place ce que j'étais en train de faire et, d'autre part, me repousser n'aurait eu pour effet que d'accentuer la douleur qu'elle ressentait déjà. Et ça, la Jeopardize sembla le comprendre plutôt rapidement à en juger par ses bras qui vinrent entourer mon cou, non pas pour m'étrangler mais bien pour s'accrocher. Finalement, et alors que je marchais dans les couloirs avec la jaune dans les bras, un silence s'installa entre nous l'espace de quelques instants, jusqu'à qu'elle décide de prendre la parole. Et oh, miracle... elle me remerciait. Bien qu'étonné, dans un premier temps, je ne le montrai pas et un sourire un tantinet moqueur vint se dessiner sur mon visage. « Ne t'en fais pas pour moi... J'ai de très bonnes oreilles. » Surtout pour ce genre de choses, en fait... Il y avait beaucoup de choses que je faisais semblant de ne pas entendre, habituellement. Mais un « merci » de la part de celle qui, plus tôt, disait ne plus vouloir avoir affaire à moi plus longtemps et qui me traitait de con sans cervelle, ça méritait tout de même que j'y porte une attention toute particulière. Sans compter que j'étais loin de faire partie de ces personnes qui avaient souvent droit à des remerciements. Et, pour cause... Je n'étais pas vraiment le genre d'individu à en mériter. Alors, vous comprenez... C'était presque nouveau pour moi d'en entendre. De la part d'une femme, qui plus est. Les seules fois où j'avais peut-être la chance de bénéficier de la gratitude de quelqu'un, c'est seulement quand je m'appliquais à œuvrer pour quelques associations caritatives, lorsque le temps m'en donnait la possibilité. Et encore... Étant donné que je cachais ce détail de ma vie à pas mal de monde, ça ne risquait vraiment pas de m'apporter une quelconque reconnaissance. Mais soit. Ce n'était pas le moment de déballer ma vie, ô combien remplie de petits secrets... Tiré de mes pensées par la voix de la jeune femme qui, comme à son habitude, s'obstinait à vouloir comprendre le pourquoi de ma présence persistante à ses côtés, je me contentais de lui répondre, sur un ton faussement évident... « Il fallait que je fasse ma bonne action de l'année, voilà tout. » Comme si cela m'importait autant de faire quelque chose de bien, franchement... Seul un idiot y croirait. Mais, pour être honnête, j'étais tout simplement agacé par ses questions qui se révélaient être constamment les mêmes, ce qui m'avait poussé à lui répondre de façon si sarcastique. A croire que c'est ce qu'elle cherchait à tout prix... que je me montre méchant avec elle. Je m'arrêtai quelques secondes, alors que nous n'étions plus très loin de l'infirmerie, et tournai mon visage vers le sien, avant de la regarder dans les yeux. « Ça te convient comme réponse ? » Ne pouvait-elle juste pas se contenter de profiter de l'attention, aussi minime soit elle, que je lui portais, au lieu de m'importuner avec tout son blabla. « Sinon, je peux essayer d'en trouver d'autres ?! Attends, laisse moi réfléchir... » Je détournai le regard, laissant celui-ci se perdre dans le vide, et fis mine de réfléchir. Puis, finalement, je relevai la tête avant de la tourner, une nouvelle fois, vers la Jeopardize. « C'est bon, j'ai mieux... En fait, j'aurai pu te laisser, c'est vrai. Mais je n'avais aucune envie d'avoir ta mort sur la conscience, tu comprends ? Abstention volontaire de porter assistance à une personne en danger... Oui, il me semble que c'est ça... » finissais-je, sur un ton moqueur, avant d'adresser un grand sourire à la jeune femme. Je ne lui laissai pas le temps de répliquer et me remis en marche vers notre destination que nous atteignîmes rapidement. Une fois le pas de la porte de l'infirmerie passé, je remarquai qu'une personne était déjà présente dans la salle d'attente. Il s'agissait d'un autre élève de l'université. Certainement là pour un petit mal de ventre... Je reposai ensuite mon regard sur la porte qui menait à la pièce d’auscultation, d'où un second élève finit par sortir, et la voix de l'infirmière se fit entendre, intimant au suivant de la rejoindre. « Tu attendras... » m'exclamais-je à l'attention de l'individu qui attendait - certainement depuis pas mal de temps - et qui avait commencé à se redresser. Surpris, il reprit place sur sa chaise, tandis que je passai devant lui avec la jeune femme.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Dim 23 Fév - 19:52
Pour faire sa bonne action de l'année, pourquoi est-ce si difficile d'y croire pour Areum hm ? Elle s'apprête à ouvrir la bouche pour lui dire que sa conception du mot bonne action est un peu différente de la sienne pour le coup mais finalement le silence est sans doute plus confortable. Elle était prête à rester sur cette réponse et garder le silence jusqu'à l'infirmerie (où jusqu'au cimetière s'il prévoyait secrètement de se débarrasser définitivement de son corps, mais soyons réaliste, il faudrait vraiment qu'il la déteste beaucoup pour ça). Mais le fait qu'il s'arrête si soudainement n'est pas bon signe. A nouveau, par précaution, avant qu'il n'ait l'idée de se tourner vers elle, la jeune femme balaie toute trace de larmes sur son visage. Ce serait le comble ça ; qu'il la voit pleurer et qu'il se réserve le droit de ressortir toute l'histoire ou la modifier. Areum n'est pas du genre à facilement faire confiance, mais parfois, elle aime croire que les gens peuvent être sympathique. Elle a parié sur lui et elle a perdu. Et maintenant il l'embrouille en faisant ce qu'il fait. Elle aurait limite préféré qu'il n'ait pas entendu le bruit dans les escaliers pour ne pas avoir à se remettre en question à propos de lui mais il est là. Il est là c'est tout.
Son coeur se serre à nouveau lorsque leur regards se croisent et elle se retrouve incapable de dire quoi que ce soit, le laissant alors poursuivre. Areum se dit que peut être qu'il aurait été préférable qu'elle ne dise rien du tout jusqu'à l'infirmerie. Car maintenant qu'elle s'en rend compte, chaque conversation qu'elle a avec lui est ou devient désagréable et douloureuse par moment. Pas qu'il ait réussi ou cherché à la comprendre non ; c'est le fait qu'il se trompe sur toute la ligne parfois qui est douloureux. Et c'est incompréhensible car après toutes les rumeurs qui ont circulés à propos d'elle et qui ne l'ont pas empêchées de dormir, il y a Jin Hyun. Jin Hyun qui n'était pas prédestiné à entrer officiellement dans sa vie mais qui est là à présent et qui est étrangement doué dans l'art de faire de sa vie quelque chose de moins agréable par moments. Bien entendu, elle arrive toujours à dormir, ce n'est pas ça le problème, le problème c'est après tout ce temps, se remettre en questions à cause d'un idiot pareil sur des choses qui semblaient tellement évidentes. Mais passons, elle ne lui en parlera pas, elle ne veut pas en parler et même si c'était le cas elle ne le ferait pas
Areum - C'est affolant comme tu es agréable aujourd'hui, fais attention ça risque de me réchauffer le coeur... elle dit d'une voix presque inaudible. Elle reprend un peu plus clairement en ajoutant alors qu'il s'est déjà remit à marcher Rendons nous service et ne parlons plus jusqu'à l'infirmerie s'il te plait... Le ton ironique de tes phrases ne s'accorde pas vraiment à la gravité de la situation bien que ça te dépasse complètement...
Ils arrivent finalement à l'infirmerie avant qu'il n'y ait un mort. La jeune femme aura préféré garder le silence tout le long du chemin. Tout ce qu'elle pouvait entendre c'était le bruit de ses pas dans les couloirs vides et parfois les battements de son coeur ("mais c'est absurde pas vrai ? Il n'a pas de coeur" elle lancerait ironiquement si la situation n'était pas si grave.... Non non, ça n'a pas de sens. Et puis dans quel contexte Boo Areum finirait dans les bras de Park Jin Hyun hn ?). Passant les portes de l'infirmerie, elle est surprise d'entendre Jin se remettre à parler. Elle regarde alors en passant l'étudiant qui devait passer avant elle et pour elle ça tombe sous le sens à présent, il n'était pas "si mal en point que ça. Entrant finalement dans le bureau, l'infirmière indique alors à ce dernier la table d'auscultation. Quand alors il se détache d'elle pour la poser sur la table, dans un bref instant de panique, sa main attrape son poignet pour le retenir et elle lui dit alors avec malgré elle une once de détresse dans les yeux :
Areum - Attends moi à la sortie... S'il te plait.
S'il te plait. Trop de s'il te plait en une journée Areum. Et surtout pour la même personne. Elle n'a pas le temps d'avoir sa réponse que l'infirmière se dirige vers elle et indique alors monsieur la sortie. Ce après quoi la jeune femme lâche son poignet et regarde alors quelque chose d'autre que lui et sa réaction. Et après qu'il ait quitté la pièce, la jeune femme a du se débarasser de son slim encombrant pour voir la collection de dégâts causés par cette chute. Elle regarde à travers le visage de l'infirmière qui lui dit qu'une radio serait nécessaire, mais qu'à priori, elle aurait juste d'horribles bleus par la suite; Cependant, elle a insisté à propos de la radio. Etant en panne de chaise roulante, elle ajoute que le plus rapide serait de repartir de la même façon qu'elle est arrivée, ce dont Areum ne se réjouit pas tellement. Une coupure dans son jean slim pour éviter que son genou étouffe et puis l'infirmière se dirige vers la salle d'attente pour appeler le jeune homme, au désespoir d'Areum. Elle préfère d'ailleurs se concentrer sur la légère coupure au niveau de son genou plutôt que d'avoir à regarder l'expression de son visage s'il est toutes fois resté.
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Park Jin Hyun MONEY, FAME
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Dim 23 Fév - 22:44
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Rester silencieux jusqu'à qu'on arrive à l'infirmerie ? Aucun problème. Je ne demandais que ça, de toute façon. D'ailleurs, j'aurai vraiment préféré qu'il en soit ainsi depuis longtemps. Mais mieux vaut tard que jamais, comme on dit. Au moins, j'allais pouvoir être dispensé de répondre à quelques possibles autres questions stupides de la part de la jeune femme, jusqu'à que nous ayons atteint notre destination. C'était donc complètement dans mon intérêt de ne pas la contredire, pour une fois...
Après avoir fait quelques pas de plus, je passai la porte de l'infirmerie, la Jeopardize toujours dans les bras, et ordonnai presque à l'élève qui était pourtant là avant nous de nous laisser passer avant. Une fois que nous entrâmes dans la salle d'auscultation et qu'enfin je pus déposer la jeune femme sur la table – non pas qu'elle soit lourde mais je commençais tout de même à fatiguer – je fus étonné de sentir sa main se refermer sur mon poignet. Alors quoi ? Elle n'allait quand même pas me jouer la scène de la fille effrayée par les médecins ou que sais-je encore... Si ? Je la regardai, en haussant un sourcil d'un air interrogateur, jusqu'à qu'elle me demande finalement de sortir. Ce qui m'arracha un sourire... « Qu'est-ce qui se passe princesse ? Tu as peur que je puisse te voir pleurer comme une enfant ? Ou alors, serait-ce plutôt le fait que tu te retrouves sans pantalon devant moi qui t'effraie ? Si c'est ça, ne t'en fais pas. J'en ai vu bien d'autres avant toi... » lui avouais-je, légèrement moqueur, sans prendre la peine de faire attention à la présence de l'infirmière. Bien sûr, je n'avais pas l'intention de rester mais, devant la détresse que l'on pouvait déceler dans le regard de la Jeopardize, je m'étais senti obligé de la taquiner un peu. Après tout, Jin Hyun n'aurait pas été Jin Hyun, si il n'avait pas utilisé, à son avantage, cette perche que lui avait tendu la jeune femme, malgré elle... Finalement, et alors qu'elle me tenait toujours le poignet, je lui adressai un sourire. « Ne fais pas cette tête. Ça va bien se passer... » m'exclamais-je, alors, sur un ton un peu plus sérieux, cherchant peut-être à la rassurer... Ou pas, en fait. J'attendis ensuite que la jeune femme daigne enfin me lâcher avant de me diriger vers la sortie. Un peu plus et elle me broyait littéralement le poignet, la petite... Si si, je vous assure. Elle n'en avait pas l'air, comme ça, mais elle avait pas mal de force dans les bras. Mais soit... De retour dans la salle d'attente, je rangeai mes mains dans les poches de mon pantalon et me laissai tomber, telle une masse, sur l'une des chaises. Un long soupir d'exaspération s'échappa de ma bouche, ce qui eut pour effet de faire sursauter l'autre élève présent dans la pièce. Je le regardai, pendant quelques millièmes de secondes, et finis par laisser ma tête venir s'appuyer contre le mur derrière moi, avant de fermer les yeux. Les minutes défilèrent... De longues minutes qui mirent ma patience à rude épreuve et que j'aurai, pourtant, pu éviter. Mais pour une raison qui m'était encore inconnue, j'avais décidé de rester et d'attendre la jeune femme. Franchement, qui aurait cru que j'aurai pu faire preuve d'autant d'attention envers quelqu'un que j'étais censé détester à la base, hein ? Tiré de mes pensées par la porte de la salle d'auscultation qui venait de s'ouvrir pour laisser apparaître l'infirmière, je tournai ma tête vers cette dernière. Elle me fit alors signe de la rejoindre et m'expliqua brièvement que, bien que cela ne s'annonçait pas très grave, il était indispensable que la Jeopardize passe une radio. Elle ajouta aussi que, n'ayant plus de fauteuil à sa disposition, il serait préférable que je me tape encore quelques mètres avec la jaune dans les bras... Aish. Un léger rictus apparu sur mon visage. Finalement, j'aurai vraiment du partir quand il en était encore temps. Je rentrai de nouveau dans la pièce, à la suite de l'infirmière, et me dirigeai vers la table sur laquelle était assise Areum. « Tu ne peux plus te passer de moi, on dirait... » affirmais-je, avec un sourire en coin. Sourire, qui s'estompa rapidement lorsque mon regard vint se poser sur le genou de la jeune femme que l'on pouvait apercevoir par la petite ouverture qu'avait faite l'infirmière dans son slim. Le genou... En y repensant, c'était certainement le pire endroit où un danseur pouvait se blesser. Me re-concentrant sur la jeune femme, je renouvelai les gestes précédents que j'avais eu à son égard, lorsque nous étions dans les escaliers, et la soulevai de la table. Nous quittâmes ensuite l'infirmerie et je pris la direction du parking de l'université jusqu'à que nous atteignîmes ma voiture dans laquelle j'aidai la jeune femme à monter.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Lun 24 Fév - 15:18
Moment de panique incompréhensible et sans doute incompris par le jeune homme qui ne manque pas d'en profiter. Sur le coup mademoiselle a vraiment du mal à réagir. Ah Areum, qu'est-ce que ça aurait été si tu étais tombée sur la tête hm ? Ça va bien se passer dit-il. Ça se voit autant sur son visage ? "Ça va bien se passer" alors pourquoi elle a tant de mal à y croire hn ? De plus après les remarques de l'infirmière, Areum perd encore plus espoir. Non, elle ne peut pas penser à autre chose que la danse, ce n'est pas concevable. Et puis Jin Hyun revient avec ses remarques naïves et son habituel sourire. Elle laisse alors retomber le manche de son t-shirt au niveau de son coude où il y a un bandage très discret et replace sa main sur la poche bleue froide posée au niveau de son genou pour éviter qu'elle tombe. Ne pas en faire une habitude, c'était bien ce qu'il disait pourtant c'était la deuxième fois de la journée en moins de deux heures. Si elle n'était pas à sa place, si elle n'était pas Areum, elle aurait trouvé cette situation légèrement comique.
Le long du couloir, elle n'a pas dit un mot au jeune homme, ils ne se sont rien dit enfaite. Bien trop occupée à imaginer l'importance des dégâts pour son cas, la jeune femme n'était pas vraiment présente mentalement. Ah karma karma, pourquoi ? Pourquoi comme ça ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ? Mais finalement à l'intérieur d'une voiture inconnue, le retour à la réalité a été rapide. En premier temps son regard s'est porté sur son sac à main, et puis ensuite l'heure et finalement Jin Hyun. Un soupire long de sens s'échappe de ses lèvres alors qu'elle se met à chercher dans son sac ;
Areum - C'était moins drôle que prévu finalement... Pour ne pas dire pas drôle du tout. Ah ne t'en fais pas, t'as pas besoin de parler hn, je sais très bien me démonter toute seule, l'épisode des escaliers entre sans doute dans les liste des preuves... Désolée elle dit d'une voix presque inaudible de sorte à ce qu'il ne l'entende pas. Quoi qu'il en soit, étant donné la situation, il ne sera même plus étrange de faire ce sur je fais... Contente toi de ne rien dire, et juste coopérer hn... Ou alors meurs de faim si ça peut te faire plaisir..-Non... Nouveau soupir tandis que ses yeux sont rivés sur son sac à la recherche de son déjeuner qu'elle n'a pas eu le temps de manger à cause de trop d'efforts dans l'action de prendre en otage celui de Jin Hyun et le donner aux chats à l’extérieur... Pardonnez là génial, je suis en train de faire la conversation toute seule.
La voiture ayant démarrée la jeune femme se contente de lui tendre son sandwich, autrement dit le nourrir. Mais du point de vue d'Areum, il est préférable de ne pas prononcer cette phrase. C'est assez décrit avec l'expression "tendre le sandwich". Le regard qu'elle lui lance n'est pas très amical mais pas non plus débordant de haine. Non, c'est plus un mélange de certain embarras. Elle secoue négativement la tête avant de lu dire ;
Areum - Ne me regarde pas comme ça, ce n'est pas comme si ça me plaisait hn, mais je ne veux pas mourir de cette façon, sur le chemin de la radiologie... Et je fatigue à force de garder la main tendue alors autant en finir rapidement... Dit-elle en détournant le regard.
Mourir avec lui à ses côtés qui plus est. Sa "bonne action de la journée" terminée, elle regarde à la fenêtre presque tout le long du trajet et attend en silence d'être arrivée à destination. Presque parce que par moments, elle lui jette des regards discrets -Areum ne serait pas Areum si elle ne le dévisageait pas par moments- en se demandant comment elle a pu en arriver là. Mais ça lui revient alors très vite à la figure. Et puis finalement ils arrivent à destination. Attention, elle commencerait presque à s'habituer au "porteur de service allergique à la culpabilité de non assistance". Ca a l'air cette troisième fois presque moins embêtant enfaite. Mais ne soyons pas fous, dans la tête d'Areum c'est tout autre chose. Elle tente d'avoir le moins de contact physique, et cela étant impossible, elle préfère ne rien dire et silencieusement elle espère qu'il en fera autant. Mais après avoir tenté de ne pas parler le long du chemin, à présent dans le parking à côté du centre de radiologie, elle tente d'avoir une position plus confortable et se redresse doucement. Pour le coup, elle est même obligée de passer ses bras autour de son cou
Areum - Tu me fais mal, elle marmonne après qu'un soupir silencieux ait parcouru ses lèvres. Si tu essaie de te débarrasser de moi plus vite, il y a un cimetière pas loin hn... Son regard croise alors le sien, la seule chose à laquelle elle peut penser c'est la phrase "trop proche" et alors elle détourne le regard la première avant d'ajouter sur le même ton de protestation Oublies ça...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 25 Fév - 21:39
i told you, what goes around comes back around.
Lorsque j'eus atteint ma voiture en compagnie de la jeune femme – même si cette compagnie n'était pas forcément voulue, fallait l'avouer – je pris place côté conducteur, après m'être assuré qu'elle était bien installée. Je démarrai ensuite dans l'espoir d'atteindre le site de radiologie le plus proche, et ce, le plus rapidement possible. La situation commençait sérieusement à me taper sur le système et plus vite nous pourrions arriver à destination, mieux ce serait. Sans compter que la Jeopardize se mettait légèrement – pour ne pas dire beaucoup – à divaguer. Pour je ne sais quelle raison, elle s'était mise à déblatérer toutes sortes de paroles, entre lesquelles j'avais réussi à déchiffrer un minuscule « désolé », malgré la volonté de la jeune femme à faire en sorte que je ne puisse pas l'entendre. Peu concerné, je ne pris même pas la peine de relever ses dires, tellement ceux-ci paraissaient insensés et inutiles, me contentant de la regarder du coin de l’œil avant de reporter pleinement mon attention sur la route. Ce n'était vraiment pas le moment d'être à l'origine d'un accident. La journée avait déjà eu son lot de péripéties en tout genre donc je me devais d'éviter d'en rajouter une couche... Finalement arrêté à un feu rouge, je lançai un regard interrogateur à la jeune femme, lorsque celle-ci me tendit son sandwich. Il est vrai que je n'avais pas mangé ce midi, et ce, à cause d'elle. Mais inspirais-je donc à ce point la pitié, pour qu'elle me fasse don d'une partie de son déjeuner, hein ? Surtout elle, quoi... Levant les yeux au ciel suite à ses paroles, j'attrapai le sandwich d'un geste bref. « Hn. Merci... » Oui, oui, je venais de lui dire merci. Grande nouvelle. Jin Hyun était con mais c'était un con poli, au moins. Alleluia. Suspicieux – et peut-être légèrement parano, aussi - j'observai rapidement le sandwich... On ne sait jamais. Elle aurait très bien pu y glisser du poison pendant que j'étais concentré sur ma conduite. Je relevai finalement la tête et portai le sandwich à ma bouche, croquant dedans. Bon, il est vrai que c'était loin d'être aussi appétissant que le petit déjeuner que je m'étais apporté à la base mais cela faisait amplement l'affaire. Mon estomac commençait à s'impatienter donc je n'allais quand même pas m'amuser à faire la fine bouche. D'autant plus qu'au vue de l'état actuel des choses, je n'aurai certainement pas le temps de m'acheter un meilleur en-cas sur la route. Valait donc mieux que je me contente de ce que j'avais... Après quelques minutes de route, et lorsque nous pûmes enfin poser pieds à terre – enfin, façon de parler. la jeune femme allait se contenter de se faire porter une nouvelle fois, elle – j'aidais la Jeopardize à descendre de la voiture et la soulevai pour la troisième fois. Franchement... c'était à se demander quelle mouche m'avait piqué pour que je fasse preuve d'autant de sympathie envers elle. Et en plus, elle trouvait le moyen de se plaindre. Je vous jure... « Oh... désolé princesse ! » m'exclamais-je, pourtant loin d'être désolé pour le coup. « Mon dieu, quelle chochotte...» murmurais-je alors, un sourire en coin, sans vraiment prendre la peine de faire attention à ce qu'elle n'entende pas. Je l'écoutai ensuite lancer ironiquement que si je voulais me débarrasser d'elle, il y avait un cimetière non loin. Un air légèrement blasé accroché au visage, je tournai ma tête vers la sienne, avant que nos regards se croisent. « Ouais, je vais faire comme si je n'avais rien entendu, ça vaut mieux. » Si l'envie de me débarrasser de son corps m'avait vraiment effleuré l'esprit, j'aurai choisi quelque chose de plus radical comme la balancer de la voiture pendant que celle-ci était en marche, par exemple. Le cimetière... C'était bien trop doux comme méthode, voyons... Me re-concentrant sur le but de notre présence ici, je passai les portes des urgences, la jeune femme toujours dans les bras, et me dirigeai vers l'accueil. Je la déposai ensuite sur le sol, de façon à ce qu'elle puisse s'appuyer sur le bord du bureau, et la laissai discutailler avec la secrétaire pendant que j'entrepris de chercher un fauteuil roulant. Une fois en possession de l'objet en question, je revins vers la Jeopardize juste à temps pour entendre la secrétaire lui dire de patienter en salle d'attente le temps qu'on la prenne en charge. Je plaçai donc le fauteuil à ses côtés pour qu'elle puisse s'y asseoir et, alors qu'elle s’apprêtait à rejoindre la salle qu'on lui avait indiqué, je m'exclamai, légèrement hésitant... « Bon euh... J'ai vu qu'il y avait un snack à côté donc je vais m'acheter un truc à bouffer. Tu veux que je te ramène quelque chose ? » Pourquoi lui avais-je demander ça, moi ? Non mais n'importe quoi... Depuis quand tu te souciais autant du bon plaisir des autres, Jin Hyun ?
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Jeu 27 Fév - 21:44
Observant le jeune homme regarder le sandwich, elle secoue doucement la tête avant de lui dire ;
Areum - Yah ! Tu pense que je mettrai des trucs pas nets dans mes sandwich peut être ? Elle soupire doucement avant d'ajouter Je ne l'ai fais que cette fois-là parce que ça avait l'air marrant sur un coup de tête mais...- Ah, et pourquoi je me justifie hn. C'est à toi de voir si tu crève de faim ici ou pas.
Quand finalement il accepte son sandwich, elle est surprise de l'entendre dire merci. Oui, pour Areum, la situation est déjà assez bien étrange comme ça. Elle préférait attendre en silence. Mais garder le silence, souffrir en silence n'était absolument pas concevable. Moh ? Comment ça chochotte ? Et puis qu'est-ce que c'était que ce sourire qui se dessinait sur son visage hn ?
Areum - Je ne trouve pas ça drôle, je risque de te faire mal aussi monsieur Park.
Le moment inconfortable étant passé, elle se retrouve dans le centre de radiologie dans un fauteuil roulant. Ah, rien de mieux que les fauteuils roulants. Plus que quelques étapes avant de rentrer à la maison et dormir. Oh ? Bon d'accord, la situation devient vraiment étrange ; dans quel monde Park Jin Hyun demande à Areum si elle veut quelque chose hn ? Elle tourne alors la tête vers lui pour voir s'il s'agit d'une plaisanterie ou bien si tout ça est sérieux ; la nourriture étant la faiblesse principale d'Areum, et cette faiblesse lui faisant perdre de sa fierté par moments, elle se contente juste de hocher doucement la tête. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres alors qu'elle se tourne vers son couloir et qu'on la conduise vers sa cabine... Oui elle sait sourire, rarement, mais elle sait sourire sincèrement par moments.
Le moment des radios n'est pas trop déprimant, le plus déprimant c'est lorsque le spécialiste vient dans la pièce dans laquelle on l'a mise il y a sans doute une bonne dizaine de minutes. Les dix minutes sont longues dans une pièce vide. Et quand la sentence tombe, elle l'accepte sans se plaindre en premier temps ; entorse au niveau de la cheville, rien de cassé, mais les bleus ne vont pas tarder à se montrer et il est prévu que ça fasse encore plus mal le lendemain. Pas de dance pendant un mois au moins. Elle fait bonne figure en souriant au médecin lorsqu'il part mais à l'intérieur c'est tout autre. On l'aide à s'installer dans le fauteuil avant de l'accompagner dans la salle d'attente où elle rejoint Jin Hyun. Gardant le résultat de ses radios dans ses bras, fermement, à nouveau lorsqu'elle croise son regard, pour éviter qu'il ne se doute de quoi que ce soit, elle lui dit alors avec un sourire sur commande ;
Areum - Bon, on y va ? J'ai terminé et bien que ce soit tout sympa ici, j'ai quand même envie de voir le monde extérieur. Hm ?
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Park Jin Hyun MONEY, FAME
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Ven 28 Fév - 22:31
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Apparemment, mon comportement face à son sandwich semblait agacer, un tantinet, la jeune femme. Mais, je ne voyais pas où était le problème... J'avais le droit d'observer un sandwich, non ? Et, est-ce que je pensais vraiment qu'elle était capable de mettre des choses pas nets dedans ? Bien sûr que oui. J'étais même sûr à 100 % qu'elle en était capable. Venant d'elle, il fallait s'attendre à tout. Je l'avais très vite compris et, ce, à mes dépends lorsque je fus l'une de ses victimes, il y a peu de temps. Du coup, je me méfiais maintenant. Comme on dit, on est jamais trop prudent... Le sandwich engloutit, la voiture enfin garée et la Jeopardize dans les bras, je m'apprêtai à me diriger vers le centre de radiologie mais c'était sans compter sur la jeune femme qui se mit à râler et à me... menacer. Really ? Me menacer, moi ? Elle était sérieuse, la petite dame ? Je la regardai, la mine mi-étonnée et mi-amusée, avant de sourire. « Ben moi je trouve ça drôle ! » m'exclamais-je, en la narguant. Un gamin... Voila à quoi je devais certainement ressembler. C'est limite si je ne lui tirai pas la langue, hein... « Me faire mal... On aura tout entendu. » ajoutais-je, sur un ton moqueur. L'idée seule de le penser était déjà absurde. Après tout, que pouvait-elle me faire avec ses petits bras de fillette ? Sans oublier qu'elle prenait le risque de se faire mal elle-même en bougeant. Alors, à moins d'être idiote – ce que j'espérais qu'elle ne soit pas, pour son propre bien, malgré que je ne la pensais pas normale non plus – il ne valait mieux pas qu'elle tente quoi que ce soit contre moi. Et ce, encore moins après ce magnifique élan de générosité que je venais d'avoir à son égard. Mais quand je dis « élan de générosité » c'était vraiment de la générosité pure et dure. Lui proposer de lui acheter de la bouffe... Franchement, dans quel monde parallèle vivions-nous, à ce moment là, pour que le grand Jin Hyun propose de la bouffe à quelqu'un ? Même mes plus proches amis pouvaient, d'ordinaire, presque crever pour que je leur file à manger. Alors que j'agisse de cette manière avec Areum, qui plus est, c'était quelque chose que l'on pouvait assimiler à un miracle. D'ailleurs, je fus légèrement surpris de la voir hocher la tête pour seule réponse. En toute honnêteté, je m'attendais vraiment à recevoir une de ces phrases cassantes que j'étais habitué à recevoir, lorsque je faisais preuve de générosité ou de « gentillesse » envers quelqu'un. Vous savez... ?! Ces réponses du style « oh mais tu as un cœur ? » ou « wow, apportez lui une médaille. Il la mérite. » Oui, les gens étaient d'une originalité à en rendre jaloux plus d'un... hm. Suivant, dans un premier temps, la jeune femme du regard lorsque celle-ci me tourna le dos, je pris finalement la direction du snack. Le sandwich de la jaune ne m'avait vraiment pas suffit et ne pas manger plus risquait très fortement de me rendre de mauvaise humeur. Ou du moins, plus que je ne l'étais déjà... Moi, un estomac sur pattes ? Complètement. Figé devant le présentoir, je restai une bonne dizaine de minutes à contempler tous les produits proposés, ne sachant que choisir. Je poussai alors un léger soupir, conscient que je ne pourrais pas tout prendre. J'en avais largement les moyens, certes, mais bien que la nourriture était l'un de mes points faibles, je faisais tout de même un minimum attention à mon alimentation. L'une des bases quand on est danseur... En fin de compte, et après mûre réflexion, je pris un second sandwich, pour moi, et un paquet de gâteaux, pour la jeune femme. Parce que oui... je ne l'avais pas oublié. Je retournai ensuite au centre de radiologie et m'installai dans la salle d'attente où je ne vis aucune trace de la Jeopardize, certainement déjà occupée avec les médecins. Pauvre petite... Je jetai un coup d’œil autour de moi avant de sortir mon portable sur lequel je pus y lire plusieurs messages. Pratiquement tous les mêmes... « Où es-tu, mec ? » Je levai les yeux au ciel avant de ranger mon portable dans l'une de mes poches, sans répondre. Que pouvais-je bien leur dire ? Je suis au centre de radiologie car une imbécile a eu la bonne idée de se casser la figure dans les escaliers ? Non, bien sûr que non. Ça ne me ressemblait pas du tout un tel comportement... Après un quart d'heure d'attente, j'entendis un son provoqué par le frottement des roues d'un fauteuil sur le sol et, me doutant bien de la personne à l'origine de ce bruit, je me levai de la chaise sur laquelle j'étais assis. J'observai ensuite la jeune femme et me contentai de lui répondre, d'un ton évident... « Ce n'est pas moi qui se fait attendre depuis presque une demi-heure, hein... » Faux ! J'avais seulement attendu 15 minutes si on enlevait les 10 minutes que j'avais passé à baver devant de la bouffe. Mais soit. Nous quittâmes le bâtiment et nous nous dirigeâmes de nouveau vers ma voiture, la jeune femme et son fauteuil à ma suite. « T'es lente... Grouille toi un peu ! » répliquais-je alors, légèrement taquin. Il est clair que passer de mes bras à un fauteuil roulant - surtout quand on y est pas habitué - ça changeait pas mal. Surtout la vitesse, en fait. Et puis j'étais certainement plus confortable aussi. Hm... Arrivé à destination, j'ouvrai ma voiture et aidai la jeune femme à y grimper. Je ramenai ensuite le fauteuil dans le bâtiment et, une fois que ce fut fait, je rejoignis la jaune, lui donnai son paquet de gâteaux et démarrai. « Alors ? » Alors ? Pourquoi es-tu si curieux, Jin Hyun ?
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Dim 2 Mar - 17:28
Dans une autre situation, Areum aurait été ravie de mettre en pratique tout ce qu'elle a apprit dans les sports de combat pour lui fermer le clapet une bonne fois pour toutes. Mais la situation se présentant de cette façon, elle repose ses coudes au bord de ses épaules en soupirant. Une prochaine fois peut être Boo ? Ou peut être que si tu te concentre assez en fermant les yeux ? La jeune femme ferme simplement les yeux en pensant que dans quelques minutes, elle apprendra quelque chose de mauvais qui la déprimera bien plus que Jin Hyun ne le fait déjà. Passant une main dans ses cheveux lorsqu'elle s'assoit finalement dans le fauteuil, elle le regarde une dernière fois avant de partir dans sa cabine. Et encore une fois, elle se demande pourquoi il a fait ça, pourquoi sacrifier son après-midi avec quelqu'un qu'on ne peut pas voir au lieu d'aller s'amuser ? A d'autres, le prétexte de ne pas vouloir sa mort sur la conscience. Mais sur le coup, quand elle y pense, elle trouve l'attention plutôt bonne et l'instant d'après réprime cette pensée. Ne soyons pas fous, Jin Hyun gentil... Mais pourtant, il est bien allé lui chercher quelque chose hn. Ah Areum, ta faiblesse pour la nourriture te perdras !
Lorsqu'elle sort de la pièce avec ses radios, le regard un peu fuyant, elle ne lève pas les yeux vers lui lorsqu'il se plaint mais ajoute ironiquement en haussant les épaules ;
Areum - Ma jambe droite avait ce je ne sais quoi d'attractif peut être.
Elle traine dans son fauteuil roulant vers la sortie tandis que de son côté, il marche si aisément. Mais en même temps, ce n'est pas comme si Areum trainait derrière volontairement. Alors lorsqu'il se plaint une seconde fois, elle lui jette un regard mauvais avant de rappliquer ;
Areum - J'aimerais bien t'y voir dans ce fauteuil ! Tu crois que c'est facile peut être ?
Finalement, elle s'installe dans la voiture et le regarde partir avec le fauteuil et repose son attention sur le paquet de gâteaux qu'elle n'a pas encore ouvert. Une journée sans déjeuner n'est pas concevable mais pourtant, aujourd'hui, elle n'a pas si faim que ça. Il revient s'asseoir du côté conducteur sans qu'elle s'en rende compte et sa voix ramène mademoiselle à la réalité. Elle lève la tête vers lui et sait parfaitement de quoi il parle, mais elle préfère jouer la naïve de service ;
Areum - Alors quoi ?... Oh ! Les gâteaux ? Ne t'en fais pas, je ne pense pas être très compliquée vis à vis de ce genre de choses hn.
Elle se tourne alors vers sa fenêtre et l'enveloppe blanche de radios glisse de peu de ses genoux, elle la rattrape de justesse et ouvre la fenêtre puis prend une grande inspiration. Puis inconsciemment, sa main se referme avec un peu plus de pression autour de l'enveloppe. Ses larmes se remettent alors à couler et bien qu'elle les efface du revers de la main, cette fois ci elle n'arrive pas à les faire partir. Les larmes silencieuses se transforment en sanglots dans cet immense silence. Et alors elle relâche la pression de l'autre main pour couvrir son visage. Lorsque la jeune femme les retire, elle tente à nouveau de balayer les larmes de son visage et se tourne vers Jin Hyun :
Areum - J'ai besoin d'oublier cette journée, penser à autre chose... Commence la jeune femme d'une voix tremblante malgré elle Tu vois, ça va peut être te faire rire... Peut être que tu vas même te mettre à rire avant que je commence mais... Mais j'men fous de l'argent, de tous les vêtements dans ma garde-robe et tous ces trucs... Moi sans la danse... Sans la danse ça vaut plus rien. Sans la danse j'suis plus rien tu comprend ? Et c'est ce qu'on a passé tant de temps à m'expliquer à l'intérieur. Mais... Mais mon cerveau veut pas enregistrer l'information et j'ai pas non plus envie de rentrer chez moi et me retrouver seule avec cette information... Je saurais pas quoi en faire... Elle dit un peu plus bas Je saurais plus quoi faire de moi quand l'information sera là...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Lun 3 Mar - 19:39
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Ah ! Pourquoi fallait-il toujours que les femmes prennent tout au premier degré ? Ne connaissaient-elles pas l'humour ? Bon... je devais avouer que le mien était, parfois, un peu trop de mauvais goût mais cela restait tout de même de l'humour. Levant les yeux au ciel, je me contentai d'hausser les épaules, sans prendre la peine de me retourner vers la jeune femme lorsqu'elle me demanda si je pensais que c'était facile de se déplacer en fauteuil roulant. « Aucune idée... Je n'ai jamais eu l'occasion de m'asseoir dans un truc comme ça. » répondis-je, le plus sereinement du monde. Oui, je n'en avais jamais eu l'occasion. Et cela n'était certainement pas près d'arriver, pour le plus grand malheur de la Jeopardize. « Et je doute que tu es un jour l'occasion de me voir dans un tel état. Je ne suis pas assez idiot pour me péter la jambe en me cassant la figure dans les escaliers. » lui répondis-je, sur un ton moqueur. Est-ce que je la provoquais ? Peut-être. Ou alors j'essayai de détendre l'atmosphère à ma façon. Mais, allez savoir pourquoi, j'avais l'impression de m'y prendre plutôt mal. Je pris un temps de pause avant de m'arrêter l'espace de quelques secondes. Je rangeai ensuite mes mains dans les poches de mon pantalon et me tournai vers la jeune femme qui peinait toujours autant à faire avancer son fauteuil. « Mais promis... si tu dois te déplacer avec un machin comme ça pendant encore longtemps, je le trafiquerais pour qu'il aille plus vite. » Je lui adressai mon plus beau clin d’œil et me remis en marche. Je ne m'étais jamais essayé au bricolage mais sait on jamais. « J'y arriverai sûrement. Ça ne doit pas être bien difficile » pensais-je, rapidement. Mais, bizarrement, un sourire se dessina sur mon visage à cette idée. Le grand Jin Hyun, une clé à molette dans les mains... N'importe quoi. Non pas que je ne m'en sentais pas capable mais quand même... Comme si j'étais du genre à me salir les mains pour qu'un maudit fauteuil gagne en vitesse. La bonne blague. Finalement, une fois que nous fûmes installés dans la voiture, et alors que je venais de démarrer, je trouvai judicieux de ramener la conversation à la blessure de la demoiselle. Conversation qu'elle tenta de détourner, dans un premier temps, avant de reporter pleinement son attention sur le paysage extérieur. Hm... fallait croire que je venais d'avoir une très mauvaise idée, pour le coup. Mais comprenez moi... C'était normal que je veuille savoir ce qu'elle avait, non ? J'avais passé mon après-midi à l'attendre dans les salles d'attente d'une infirmerie et d'un centre de radiologie et, même si je pouvais donner l'impression que je m'en fichais complètement, c'était loin d'être le cas. Aurais-je pris la peine de me bouger le cul pour l'emmener passer des radios, si cela l'avait été ? Bien sûr que non... J'avais beau ne pas être un ange, je n'étais pas non plus du genre à souhaiter le malheur aux autres et, même si cela ne se voyait pas, j'espérai secrètement qu'elle n'ait rien de grave. Ce qui semblait, cependant, être peine perdue, à en juger par sa réaction. Discernant ce qui s'apparentait à des sanglots, je risquai un regard vers la jeune femme avant de m'apercevoir qu'elle était bel et bien en train de pleurer et que, contrairement aux fois précédentes, elle paraissait avoir du mal à contrôler ses émotions. Légèrement déconcerté et ne sachant pas trop comment réagir, je me contentai de l'écouter parler. Pourquoi voulait-elle que j'en ris ? J'étais moi aussi un danseur, pour qui la danse avait une place importante dans la vie, et bien que je ne m'étais jamais blessé auparavant, j'étais conscient de ne pas être à l’abri d'une quelconque défaillance. Tous les danseurs en étaient conscients. Et si une telle chose devait m'arriver, un jour, je ne sais moi-même pas comment je réagirai. La danse... Ce n'était certainement pas un sujet sur lequel je pouvais me permettre de rire. Alors, qu'elle le croit ou non, j'étais l'une des personnes les mieux placées pour la comprendre. Cependant, étais-ce une raison pour que je sois obligé de supporter ses lamentations ? Agacé, je décidai de me garer sur le bord de la route et tournai la tête vers la Jeopardize. « Tu comptes te plaindre encore longtemps ? Tu crois que c'est en t’apitoyant de la sorte que les choses vont changer ? » Je n'étais pas doux dans mes propos, j'en avais conscience. Mais le seul fait de la voir baisser les bras m'avait, malgré moi, énervé. Au moins, elle aurait une vraie raison de penser que je n'avais pas de cœur, maintenant... Laissant échapper un soupir, j'attrapai la pochette que la jeune femme avait laissé tomber à ses pieds, l'ouvris et pris le compte rendu qu'avait rédigé le médecin. Si elle ne voulait rien me dire, j'allais devoir l'apprendre par moi-même. Quelques minutes s'écoulèrent, pendant lesquelles je pris le temps de lire attentivement le morceau de papier. Une entorse à la cheville de stade 3... Ça devait bien faire 1 mois, si ce n'est un peu plus, de repos et donc d'arrêt total d'activité physique. Je rangeai finalement la feuille dans la pochette. Aucun de nous deux n'avait osé dire un seul mot, jusqu'à que je me décide enfin à briser le silence presque religieux qui s'était installé. « 1 mois sans danse... c'est pas si long... » C'est moi qui disait ça ? Un comble venant de la part de quelqu'un qui ne pouvait pas passer une journée sans enchaîner quelques pas et, pour qui, 1 mois sans danser équivaudrait à 1 mois de torture. Mais que voulez-vous ? Je n'étais pas très doué pour rassurer, voire réconforter, les gens. Je rendis son bien à la jeune femme avant de redémarrer. Pour aller où ? Je n'en avais aucune idée, pour l'instant... Et finalement, après un quart d'heure de route, nous arrivâmes aux abords du parc de la ville. Je décidai de me garer et sortis de la voiture. J'allai ensuite ouvrir la porte du côté de la Jeopardize, qui était certainement en proie à des questions sur le pourquoi de notre présence ici, et l'aidai à descendre...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Lun 3 Mar - 22:04
Le voyant se garer, elle pose son attention sur lui et comme d'habitude, les réaction de Jin Hyun ne manquent pas de briser d'avantage le moral de la jeune femme. Alors quoi ? Il s'attend vraiment à ce qu'elle encaisse l'information aussi facilement que ça ? Malgré elle, des larmes coulent encore quand leur regards se croisent. Et puis alors, elle ne bouge pas et l'écoute tandis qu'il se penche pour attraper l'enveloppe de radios. Dès qu'il ouvre la bouche, elle anticipe ses paroles mais malgré tout, ne s'attend pas à ça et ça fait mal. Attention mes amis, un crime est sur le point d'être commis. Un bref rire silencieux teinté de tristesse parcourt ses lèvres alors qu'elle détourne son visage du sien et secoue la tête. Ses mains couvrent son visage à nouveau ; elle ne veut même pas prendre la peine de répondre à ça pour la peine, sinon elle va vraiment être désagréable. Vraiment vraiment désagréable. Et qui sait, peut être qu'il finira par comprendre qu'il y a erreur dans son script et que c'était mal placé tout ça ? Un mois, un mois c'est une éternité pour Areum qui n'aime que très rarement attendre. Un mois sans danse c'est l'enfer. Un mois sans danse ce n'est pas concevable.
Elle se tourne finalement vers la fenêtre, balaie les larmes de son visage et croise ses bras. Elle savait qu'il ne pourrait pas comprendre de toute façon. Pourquoi avoir une vision des choses différentes juste parce qu'il sacrifie son après-midi (un peu contre sa volonté certes) pour elle hn ? Le problème avec Areum, c'est qu'elle se fait avoir pratiquement tout le temps. Un évènement ne change pas les gens et parfois, parfois elle a tendance à l'oublier trop vite. Jin Hyun restera toujours Jin Hyun et demain matin ou après demain tout ça sera oublié. Pouf, comme si ça n'avait jamais existé. Alors pourquoi est-ce que tu persiste à croire qu'il y a une part de positif en lui Areum hn ? Pourquoi ? Ne sois pas idiote et ne te fais pas avoir une seconde fois. Elle revient à la réalité lorsqu'elle entend la porte côté conducteur claquer et puis lève les yeux vers lui lorsqu'il ouvre la sienne et l'aide à se lever. La jeune femme passe ses bras autour de son cou et lui demande alors sur un ton sarcastique ;
Areum - Alors quoi, c'est ici que tu as prévu de m'enterrer, sous le toboggan géant ? Que de créativité, mon âme ne va pas pouvoir reposer en paix avec tous les gosses qui passeront le mercredi après midi... Sérieusement Jin, pourquoi est-ce que tu m'as emmené ici hn ? Tu ne veux pas plutôt me laisser rentrer chez moi et avoir ma mort avec un sèche cheveux dans la baignoire sur la conscience ? Elle marque une pause et laisse quelques minutes passer puis secoue doucement la tête en répétant "Un mois sans danse c'est pas si long"...-arrête toi-... Merde Jin Hyun, il t'arrive souvent de te montrer gentil avec qui que ce soit ? Tu sais j'en demande pas autant en général et je suis pas du genre à me lamenter sur mon sort mais je me demandais, situation de crise oblige tu vois. Ça te tuerait d'essayer ? Dis le moi une bonne fois pour toute, comme ça je pourrais te caser quelque part dans ma vie ; positif, négatif, y a pas de juste milieu. Y a jamais de juste milieu... Et puis regarde moi, j'men tape que les gens nous regardent bizarrement maintenant, t'as pas le droit de me sortir des trucs pareil tu m'entends ?! J'ai peut être l'air de me plaindre tout le temps mais tu sais pas par quoi je suis passée avant d'autant me plaindre, t'en sais rien et ça me fatigue que tu me colle cette étiquette à la figure...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 4 Mar - 15:24
i told you, what goes around comes back around.
Si il y avait bien une chose dont on pouvait être certain, à présent, c'est que la jeune femme me tapait sérieusement sur le système. Et ce n'était pas peu dire... « Dans quelle galère viens-tu de t'embarquer mon pauvre Jin Hyun ? » pensais-je alors, la mine blasée. Oui, dans quelle galère ? C'était à se le demander... Je ne savais même pas ce qui me retenait de remonter dans la voiture et de la laisser en plan, ici. Après tout, elle ne méritait pas tellement que quelqu'un se soucie un tant soit peu de son cas, vu son comportement. « T'en as pas marre de toujours répéter les mêmes choses, sérieux ? » Tu ne veux pas me laisser seule ? Tu ne veux pas me ramener chez moi ? Si tu veux m'enterrer, il y a un cimetière pas loin. Oh, finalement tu as prévu de m'enterrer dans le parc ? Non mais... Ferme la, juste pour une fois, s'il te plaît. Soupirant légèrement d'agacement, je m'apprêtai à demander à la jeune femme de monter sur mon dos. Mais c'était sans compter sur le flots de paroles qu'elle se mit à déblatérer à mon égard. Levant les yeux au ciel alors que les paroles plus ou moins agréables de la Jeopardize continuaient de pleuvoir, je finis par reporter mon attention sur elle. Un rire teinté de frustration s'échappa alors de mes lèvres, lorsqu'elle mit fin à son monologue. C'était quoi son problème à cette nana, au juste ? « Tu commences vraiment à m'énerver, tu le sais ça ? » Je me stoppai pendant un millième de secondes et m'approchai de la jeune femme, jusqu'à que les quelques centimètres qui nous séparaient, elle et moi, ne deviennent plus qu'un simple souvenir et que son dos aille se coller contre la carrosserie de ma voiture. Je posai ensuite ma main droite sur le toit du bolide, non loin du visage de ma camarade, et plongeai mon regard dans le sien, tandis que mes lèvres s'étirèrent en un sourire mauvais. « T'as raison, je ne sais pas par quoi tu es passée... Et je n'ai aucune envie de le savoir. » Au fur et à mesure que je parlais, le ton de ma voix se chargea de mépris et mon regard se fit de plus en plus mauvais. « Tu me demandes d'essayer de me montrer gentil ? Mais donne moi une seule bonne raison de l'être avec toi... » Je me reculai ensuite de quelques centimètres avant d'ajouter, un sourire moqueur. « Allons Areum, tu t'attendais à quoi ? Tu pensais que je te prendrai dans mes bras et que je tenterai de te réconforter en te disant que tout irait bien et que tu serais en état de danser plus vite que tu ne le penses ? Ne me fais pas rire... Je suis un connard, c'est vrai. Et je ne mérite certainement pas que l'on m'accorde un tant soit peu de crédit. Mais je vais t'en apprendre une bonne... Tu es loin d'être une sainte, toi aussi. » Le sourire moqueur qui avait alors prit possession de mes lèvres, quelques secondes plus tôt, s'estompa de nouveau, laissant apparaître un rictus plein de sarcasme. « Tu es pathétique, ma pauvre. C'est affligeant. » Elle avait réussi à me mettre hors de moi. Et, pourtant, dieu seul sait qu'il était plutôt difficile de me pousser à bout, d'ordinaire. Je n'avais pas été l'être le plus réconfortant, je pouvais le concevoir, mais si j'avais été aussi mauvais qu'elle le disait, je l'aurais sûrement laissé se démerder. Or, ce ne fut pas le cas. Et, pour une raison dont j'ignorais l'existence, le fait qu'elle fasse preuve d'autant d’ingratitude à mon égard m'avait légèrement vexé. Je ne faisais pas beaucoup pour les autres mais quand je me cassais un minimum le cul pour leur bon plaisir, ce n'était pas pour qu'au final on me brise du sucre sur le dos. Je ne lui demandais pas qu'elle me remercie pour ça. Haha. Ni même que l'idée seule de me remercier lui traverse l'esprit, ne fut-ce que le temps d'un éclair. Tout ce que je voulais c'est qu'elle la ferme. Alors, si on y ajoutait le fait qu'elle tente encore une fois de me faire passer pour le méchant, ça n'arrangeait rien. Pourtant, habituellement, je n'étais pas du genre à accorder une grande attention à ce que les autres pouvaient dire ou penser de moi. Mais ce qui m'énervait, en fait, c'est le fait qu'elle se permette ensuite de me reprocher que je lui collais une étiquette à la figure alors qu'elle faisait exactement la même chose... C'était l’hôpital qui se foutait de la charité, non ? Ne souhaitant pas plus m'énerver contre elle, je jetai un coup d’œil aux alentours. Une chance pour moi, il y avait une pharmacie à quelques mètres. J'intimai à la jeune femme de se décaler, d'un signe de la main, avant d'attraper sa pochette. Je la fouillai rapidement à la recherche d'une ordonnance et rendis le reste des documents à leur propriétaire. Sans un mot, je laissai la Jeopardize et pris la direction de la pharmacie. Quelques minutes plus tard, je revins, des béquilles à la main et une poche remplie d'anti-douleur que je lui tendis. « Pour l'instant, je ne sais pas si je suis disposé à te ramener chez toi... » m'exclamais-je, d'un ton parfaitement neutre. Je l'avais emmené au parc parce que c'était l'un des endroits dans lequel j'avais l'habitude de me réfugier quand j'avais besoin de penser à autre chose, de me changer les idées, d'être tranquille quoi... Mais ce fut une très mauvaise idée de ma part, apparemment. Je fermai la porte de la voiture et verrouillai cette dernière. Je reportai ensuite mon attention sur la Jeopardize qui n'avait rien dit depuis que j'étais revenu de la pharmacie. « Alors, fais ce que tu veux. Rentre à pied ou appelle un taxi, si ça te chante. Ce n'est plus mon problème. » Je lui tournai le dos et me dirigeai vers l'entrée du parc. Oui, j'avais grandement besoin de me changer les idées, là, tout de suite. Puis, la jaune avait des béquilles maintenant donc elle n'avait plus besoin de moi pour se déplacer. Une fois à l'intérieur du parc, je me laissai tomber sur le premier banc que je trouvai et poussai un long soupir...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mar 4 Mar - 16:55
Ah la franchise d'Areum. Ah, le caractère mauvais de Jin Hyun ; si un jour ils finissent par s'entendre, je veux dire vraiment s'entendre alors ce sera de l'ordre du miracle, je vous le dit ! Tandis qu'elle finit par doucement revenir sur terre, je veux dire, littéralement, il ne perd pas son temps pour la riposte. Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas facile facile de caser Jin Hyun du côté des bons ou des mauvais. Parce qu'autant il peut lui taper sur le système, autant parfois, comme aujourd'hui par exemple, du moins un court instant, il peut être agréable. Là en l'occurrence, il ne l'est absolument pas. Et si les yeux d'Areum pouvaient tuer, il serait très certainement mort pendu par les orteils, mitraillé de balles et je ne sais quoi encore. Elle a ce sourire en horreur ; mais les paroles c'est sans doute le pire dans l'inventaire de ce qu'il y a de négatif chez lui. Et puis s'il est énervé, qu'est-ce qu'elle devrait être hn ? Finalement, sans qu'elle ne puisse en placer une, il s'en va et la laisse là. Au départ, elle pense qu'il est partit pour de bon, mais ce serait idiot de partir sans sa voiture.
Il revient au bout de quelques minutes avec des béquilles, anti douleur et elle les réceptionne du mieux qu'elle peut. "Ce n'est plus mon problème" dit-il. Et la jeune femme se demande alors à quel point il a pu être impliqué pour que ça le soit, en dehors du fait qu'il l'ait conduit jusqu'ici. Il s'éloigne alors et Areum reste à la même place, appuyée contre la voiture un long moment. Une dizaine de minutes, peut être plus avant de passer le sachet d'anti-douleurs autour de son poignet gauche. Elle n'avait jamais eu à utiliser de béquille auparavant, alors les débuts sont difficiles. Elle met sans doute dix ou quinze autres minutes à arriver jusqu'au banc où Jin Hyun a décidé de s'asseoir et se contente juste de récupérer son portable dans la poche de la veste du jeune homme. Elle ne lui jette pas un seul regard avant de refaire le chemin retour non sans boiter malgré elle. Il va sans dire que ça fait mal de marché avec des bleus au niveau des cuisses mais sa fierté est telle qu'à ce moment précis, elle préférerait crever plutôt que demander de l'aide à Jin. Au bout de quelques minutes, elle s'arrête finalement et se retourne puis lui demande ;
Areum - Tu crois que c'est pathétique d'avoir un tout petit espoir que tu sois sympathique sur du long terme ? Tu vois c'était exactement ce que j'étais en train de me dire. Mais pour ce que ça vaut -c'est à dire absolument rien du tout pour toi- je me fais avoir à chaque fois. J'arrête pas de me dire que peut être qu'il y a du positif derrière tout ça ; il aurait pas prit la peine de faire tout ce chemin sinon. J'ai raison ? elle ne lui laisse pas le temps de répondre rit légèrement avant d'ajouter en secouant doucement la tête Mais c'est vrai, c'est vraiment pathétique... Oh... économise ta salive, je pense avoir compris l'information Elle hausse finalement les épaules en regardant Jin Hyun puis reprend son chemin à la vitesse escargot. Un instant, elle manque de tomber mais se rattrape en posant sa main contre un arbre, et puis alors, petit à petit elle s'éloigne pour finir dans un coin décalé du parc. Elle compose plusieurs numéros à la suite sans réponse avant que finalement la batterie ne coupe son portable. Posant finalement son sac sur le banc, elle s'allonge et allume son Ipod pour faire tourner des musiques.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mer 5 Mar - 18:12
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Plus de Jeopardize capricieuse à l'horizon... Alleluia. Enfin, le calme et la tranquillité. Je n'avais plus à supporter ses questions, ses lamentations et ses pleurnicheries. La vie était belle. Quoique... J'avais peut-être pensé un peu trop vite, pour le coup. Distinguant des bruits de pas – ou de béquilles, devrais-je plutôt dire – à quelques mètres de moi et m'apercevant que ceux-ci se rapprochaient du banc où je demeurai assis telle une masse, j'ouvris lentement les yeux - que j'avais fermé au préalable pensant pouvoir m'assoupir un tout petit peu - et tournai la tête vers la Jeopardize. Cette dernière se dirigeait vers moi, non sans difficultés. Haussant un sourcil, je la suivis du regard et laissai échapper un long soupir d'exaspération, force est de constater que le répit allait être de courte durée... Une fois à mes côtés, la jaune glissa sa main dans la poche de ma veste et en sorti son portable, tandis que j'observai ses moindres faits et gestes, la mine légèrement blasée. Tout ça pour ça ? Elle était obligée de venir perturber ma tranquillité pour un portable ? Je n'avais pas l'intention de le lui voler, ni même de le garder en souvenir et je comptais le lui rendre plus tard, si c'est ce qui l'inquiétait. Et, en admettant qu'elle souhaitait appeler quelqu'un pour venir la chercher, elle aurait très bien pu utiliser une cabine téléphonique au lieu de venir m'importuner, encore une fois. Je doutais fortement qu'elle n'en ait pas les moyens, après tout. Ce n'était donc vraiment pas la peine qu'elle se donne autant de mal pour venir le récupérer. Parce que, oui... A en voir son visage, elle semblait pas mal galérer avec ses béquilles. Ce qui, malgré moi, m'arracha un sourire moqueur, soit dit en passant - oh le pas beau, oh le vilain. Il se délecte du malheur des autres, bouhouhou - Heureusement pour moi, la jeune femme se contenta de récupérer son bien et entreprit de faire le chemin du retour, sans m'adresser un seul regard. Tant mieux, je n'en demandais pas moins de sa part... Mais encore une fois, il semblait que je m'étais trompé et que la Jeopardize n'était pas décidée à me laisser tranquille. En effet, alors que je venais de refermer les yeux dans l'espoir d'avoir enfin la paix, j'entendis sa voix s'élever. « C'est bon, tu as fini ? » me contentais-je de lui demander, à bout de patience, sans pour autant attendre de réponse en retour. « Bien... » m'exclamais-je, finalement, voyant qu'aucune réponse de la Jeopardize n'arrivait. Je prenais ça pour un oui... Quelques secondes s'écoulèrent et j'ouvris de nouveau les yeux, me risquant à regarder la jeune femme s'en aller. « Sympathique sur du long terme... » murmurais-je pour moi-même, avant de laisser échapper un rire forcé. Elle se fichait vraiment de moi, non ? Elle m'en foutait plein la gueule, depuis le début de l'après-midi, et elle voulait que je sois sympathique avec elle ? Elle n'avait pas l'impression d'abuser ? Ce n'était pas le fait qu'elle puisse encore croire que le Jeopardize que je suis était capable d'être gentil que je trouvais pathétique, en soit. C'était surtout le fait qu'elle s'attende à ce que je le sois avec elle qui me faisait rire. Et le pire, dans tout ça, c'est que j'avais essayé de l'être. Oui, c'était difficile à admettre mais j'avais tenté de me montrer sympa avec elle en l'amenant ici, pensant que cela lui ferait du bien de prendre l'air, d'être au calme, de penser à autre chose. Quelle belle connerie de ma part... Je m'en voulais presque d'avoir pu pensé une seule seconde à éprouver de la sympathie pour elle. Je n'étais pas le genre de personne à mériter la bienveillance des gens mais elle ne la méritait certainement pas plus que moi.
Finalement, les minutes passèrent et se transformèrent en heures. En effet, cela faisait pratiquement une heure et demi que j'étais assis sur ce banc à penser et observer ce qui m'entourait. Peut-être roupiller un peu, aussi... Rassemblant tout mon courage, je décidai alors de me lever. J'aimais beaucoup cet endroit mais pas au point d'y passer la nuit, tout de même... Tout en marchant vers la sortie du parc, j'entendis mon portable sonner et décrochai. « Yo mec ! […] Rien d'important. J'avais quelque chose à faire mais je vais pas tarder à rentrer, là... […] Quand ? Ce soir ? [...] Ouais, pourquoi p... Attends, je te rappelle plus tard. » Je raccrochai et rangeai mon portable, les yeux rivés sur une chose qui avait eu le mérite d'attirer mon attention. Enfin, chose... tout était relatif. Il s'agissait bien évidemment de ma tendre et tant aimée Jeopardize blessée – joke - qui, les écouteurs dans les oreilles, avait fini par s'endormir sur l'un des bancs du parc. Hésitant, je finis cependant par m'approcher d'elle, avant de pousser un énième soupir. A ce rythme là, j'étais pratiquement certain que mon stock de soupirs serait bientôt épuisé tellement j'en avais usé durant la journée. Lassé mais conscient que ce n'était peut-être pas une bonne idée de la laisser ici, je dus me résoudre à la ramener moi-même. Par contre, pas question de la réveiller. J'avais déjà eu assez affaire à sa mauvaise humeur pour, au moins, un mois entier. Redressant doucement la jeune femme, je réussis tant bien que mal à la hisser sur mon dos, pris ses béquille d'une main et me dirigeai vers le parking où se trouvait ma voiture, dans laquelle je l'installai.
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun) Mer 5 Mar - 19:20
Dans le monde paisible d'Areum, on peut s'endormir dans les parcs sans se soucier de quoi que ce soit parce que personne n'aura l'idée de la kidnappée. Dans le nouveau monde de bisounours d'Areum, tout le monde il est beau et gentil. Après avoir passée une journée difficile dans tous les sens du terme, elle n'a même pas pensé à l'endroit dans lequel elle s'endormait, le sommeil est venu de lui même. Et puis vous connaissez Areum maintenant hn. C'est assez difficile de la réveillée quand elle est profondément endormie à vrai dire. Mettez l'effort que vous voulez là dedans mais ses amis ne s'y risquent pas et Jin Hyun inconsciemment a échappé à quelque chose d'assez comique à voir mais comment dire "difficile" à vivre disons. Jin Hyun qui n'avait pas voulu l'écouter tout à l'heure. Alors quoi, serait-il... Concrètement, aurait-il des tendances masochistes ? Car sinon je ne vois rien d'autre. Ah les hommes, quelle équation à résoudre ! Pendant ce temps là, dans son profond sommeil, quelque chose d'autre arrive, soudainement, elle passe ses bras autour du cou du jeune homme et marmonne quelque chose du genre ;
Areum - Imbécile...
Ca ne dure que quelques secondes à peine et après, tout retourne à la normale. Enfin, si on peut appeler ça quelque chose de normal. Dans quel monde sommes nous déjà ? Ah, sur Terre ! Et depuis quand Jin Hyun a été engagé pour porter Areum une moitié de journée hn ? Personne ne voudra le croire. Personne ne sera au courant d'ailleurs, parce que ce n'est pas quelque chose qu'Areum risque de faire circuler. Autant, elle aurait eu une photo de lui compromettante, là il y aurait eu des choses à dire ! Mais là... Là... Si déjà elle savait ce qui était en train de lui arriver, elle ne serait peut être plus dans la voiture. Mais le sommeil profond ne fait que retarder son attaque. Peut être que sa mort ne sera pas trop douloureuse, prions.
Le temps passe, le temps très vite pendant son sommeil, et beaucoup de choses arrivent. Premièrement, elle s'est retrouvé dans la voiture de Jin, encore une fois et puis maintenant elle se retrouve dans l'appartement de Jin. Laissons mademoiselle digérer l'information voulez vous ? Tiens d'ailleurs, elle se réveille. Elle n'a actuellement aucune idée d'où elle se trouve mais ça reste plus confortable que le banc sur lequel elle était allongée précédemment. Elle passe ses mains sur son visage avant de doucement se redresser. Quelqu'un semble cuisiner apparemment. Rapidement, elle se souvient de ses bleus et ne tente rien de trop brusque. Regardant autour d'elle, elle reconnait encore moins l'endroit et s'en inquiète un peu plus. Sur un ton hésitant, elle demande ;
Areum - Um... Excusez moi ? Excusez moi, Est-ce que quelqu'un pourrait me dire où je me trouve ?
Oh si tu savais Areum... Si tu savais...
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Sujet: Re: i told you, what goes around comes back around (park jin hyun)
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