Sujet: Kiss me hard before I go » Mikaz Mer 30 Juil - 10:59
Kiss me hard before I go
Ne me laisse plus, ne m'abandonne pas, j'ai peur sans toi ▬ Le syrien est un égoïste sans borne. Embourbé dans sa douleur aiguë depuis quelques temps, il ne voit plus que les mauvaises choses, en oublie les bonnes et blesse les quelques rares personnes qui le supportent encore. Combien ont pris la fuite ? Minh a laissé une plaie béante en s'en allant, et ce fut le début de la fin pour le garçon. S'il avait su qu'il serait si douloureux de perdre après s'être attaché, sans doute aurait-il rué de coups le lycéen plutôt que s'y accrocher. Tasyr avait été incapable de tenir ses promesses envers la plus jeune des Yi, et la voilà qui s'éloigne et s'enfuit à son tour. Il ne lui en tient pas rigueur : elle fait le bon choix et il le sait. Il ne peut pas vivre éternellement dans une attente à sens unique, tout comme les autres ne le peuvent. Mika y compris. Depuis combien de temps ne l'a-t-il pas vu plus de quelques secondes ? Il ne passe plus qu'en coups de vent à l'appartement, fuit l'infirmière. D'amis, ils sont devenus amants, pour mieux se retrouver étrangers. Le tsebe sait que tout est sa faute, que depuis qu'il traîne avec ses aînés verts, plus rien n'est pareil, qu'il se perd et s'enfonce dans ses conneries, pourtant.. Il se plait ainsi, il se supporte mieux. Il est un égoïste, mais ça ne peut plus durer, et il est temps qu'il agisse en adulte ▬ See me, see me ya, such a liar.
Son sac sur le dos, Tasyr traîna les pieds jusqu'à la porte de leur appartement, s'arrêtant un instant face à celle de Kan. Mika savait-elle que depuis qu'il avait perdu Yue, c'était chez leur voisin qu'il passait la plupart de ses nuits, à quelques exceptions près ? Il espérait qu'il n'en était rien, il ne voulait pas que toute cette histoire retombe sur le tsebe alors qu'il n'y était pour pas grand chose. Finalement, le syrien poussa la porte, leur porte, la lèvre incessamment mordillée. Dire qu'il ne stressait pas serait mentir : il avait décidé aujourd'hui de parler de tout l'infirmière, quitte à se placer sur sa liste rouge. Il n'était pas le garçon qu'elle pensait, elle était bien loin de la vérité, pas même à deux doigts de l'effleurer. Soupirant tristement, le garçon se racla la gorge et annonça sa descente en enfer en s'engageant dans le salon de quelques pas. Noona .. Je suis là .
Sujet: Re: Kiss me hard before I go » Mikaz Jeu 31 Juil - 14:17
Je suis perdue. C'est ce que je me répète depuis que j'ai passé à nouveau les portes de mon appartement après ma journée de repos. Je n'ai fais qu'aller en bord de mer et penser. Rien de très reposant en vérité, plutôt déprimant. Un retour en arrière, un résumé de ces derniers mois et rien de bien joyeux. Je voulais fuir cet appartement trop vide et les angoisses qui vont avec. Tasyr n'est pas là, Tasyr n'est plus là. Je le croise, le salue et lui souris à peine. Je n'en ai plus envie, je l'ai trop fais dans le vide, je l'ai trop fait avec pour seule réponse ignorance et mépris. Je remonte mes jambes contre ma poitrine et laisse un soupir m'échapper. Je déteste le silence, il est pesant et destructeur. J'ai l'impression que si je parle, ma voix me répondra en un écho des plus insupportables. Comment est-il possible que d'un bruit constant, de sourires, de rires et de joie, cet appartement soit devenue tristesse, froideur et désolation? Minh est partit et Tasyr n'est qu'un fantôme. La console de jeux ne marche plus depuis trop longtemps, la télévision me regarde plus que l'inverse. J'ai envie de vomir, d'hurler, de me laisser mourir sans me battre. Je n'ai plus envie de rien, plus envie de sortir et plus envie de rester là à la fois. Je suis partagée, je ne sais plus quoi faire, je ne sais pas comment j'en suis arrivée là, je suis perdue. C'est à ça que j'en viens, à cette horrible conclusion.
La porte s'ouvre et cela me fait presque sursauter. Je suis dans le noir, sur le canapé du salon et je n'ai pas bougé depuis je ne sais même pas combien de temps. J'attendais Tasyr, comme souvent, mais cette fois c'est différent, cette fois je sais qu'il va rester, un bref moment au moins. Cette fois je sais qu'il a à me parler et que ce que je vais entendre ne va pas me rendre plus heureuse ou plus sereine. Je crois qu'après notre discussion, j'aurais besoin d'aller voir Kan et s'il n'est pas là, alors je n'en sais rien. Ethan peut-être, s'il est libre, s'il veut bien de moi. “Bienvenue à la maison.” Ma voix sort à peine de ma gorge, ne pas parler pendant plus d'une journée donne donc se résultat. Mes mots sonnent faux, comme un mauvais automatisme japonais qui revient. Je tourne simplement ma tête vers lui et lui adresse un faible sourire. Je tiens à Tasyr, j'aime Tasyr, je m'inquiète pour Tasyr et d'un autre côté je lui en veux, je suis en colère. La conversation doit commencer quelque part et je n'ai pas envie de faire semblant, pas aujourd'hui, je ne suis pas d'humeur. “Je n'ai pas répondu à ton dernier texto, je ne trouvais pas cela nécessaire. Cela dit, non je n'ai pas fouillé dans ton portable, même si l'idée m'a déjà effleurée l'esprit, plus d'une fois. Et je ne m'attends pas à ce que tu restes ici après notre discussion, je ne m'y attends plus depuis longtemps.” Mes mots n'ont rien de sympathique ou de compatissant, je n'ai pas envie d'être gentille avec lui à cet instant. J'ai peur, je suis terrifié. Il va partir, il va me laisser, il va me quitter. J'en suis persuadée et j'ai mal, j'ai envie d'hurler mais je ne lui montrerais pas.
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POINT : 2268 MERDES LAISSÉES : 1547ÂGE : 29
Sujet: Re: Kiss me hard before I go » Mikaz Ven 1 Aoû - 15:31
Kiss me hard before I go
Sans Mika, il n'y a plus de Tasyr ▬ Combien de mensonges a-t-il pu proférer avant que la vérité ne le rattrape ? L'enfant ne sait pas ce qu'il désire. Ses caprices sont parfois plus réalistes, plus accessibles, ils n'en restent pas moins des envies fugaces et furtives. Mika fut-elle un simple caprice ? Le syrien en doute malgré tout. Tout avait commencé par une porte poussée à la volée, un regard farouche vrillé dans celui d'une femme qui ne trembla pas. Des étreintes désespérées en avait suivi, mettant l'engrenage en route de la plus naturelle des façons qui soit. Des corps-à-corps, transformés en cœur-à-cœur. Elle ne fut pas un caprice ; le vent avait simplement changé de direction. Ce fut bref, mais Tasyr n'en regrette pas un instant ; pas un. Ses pas cessants l'immobilisent dans l'entrée, son regard terne balaye le visage fatiguée de son aînée. Les efforts ne sont plus de mise, ils ne reçoivent aucun retour. Souvent, elle a essayé, toujours, il l'a ignorée. Pas un sourire, pas un regard, pas un baiser, le regard de l'étranger s'est installé. Les choses ne peuvent plus durer, ils ne peuvent plus se voiler la face encore, et souffrir séparément. Le syrien ne sait pas quand est-ce que les choses ont décliné, depuis quand elles défaillent : il n'a rien vu venir. Mais il le sait, tout est de son oeuvre et de sa faute. Elle est la blanche colombe, et il est de son devoir d'éloigner son poison.
Dans l'obscurité, le garçon progressa. Il posa son sac contre le mur, et s'installa dans le canapé, son dos s'y noyant. Merci , noona ... ça faisait longtemps . Loin d'être idiot, le tsebe nota le manque de chaleur dans la voix de sa colocataire, mais s'efforça de mettre de la vie dans ses mots ; c'était l'effort ultime à fournir pour partir. Ses doigts se levèrent jusqu'au visage de la nippone pour saisir son menton, duquel il se rapprocha lentement. Dans un soupire triste, réalisant que ce serait là l'affront de trop, il se détourna au dernier moment vers sa joue, y laissant alors un baiser affectueux. J ' ai beaucoup de choses à te raconter . En fait , tout aurait été plus simple si tu avais osé fouiller . Un sourire imperceptible étira ses lèvres, ses doigts glissèrent le long du bras de la femme pour terminer entre les siens. Mais merci de pas l'avoir fait . Quand est-ce que cette maturité l'avait pris, qu'il avait tant grandit ? Ses traits eux-mêmes s'étaient masculinisés, il avait encore gagné en taille. Non , je resterais pas . Ne sachant par quel bout commencer, de quelle corne du taureau se saisir, Tasyr tournait autour du pot. Malgré tout, il ne pouvait s'éterniser en formules de politesse ; il lui devait au moins la franchise. Il y a beaucoup de choses que tu ne sais pas . Tu t'es évertuée à me voir comme quelqu'un de bien , et ça m ' a fait plaisir ... Mais ça n ' est pas le cas , tu n ' en savais juste pas assez .
Sujet: Re: Kiss me hard before I go » Mikaz Lun 4 Aoû - 2:39
Je me sens vide de toute chose. Je veux savoir, je veux comprendre et en même temps, j'aimerais demeurer ignorante. Je n'ai pas envie de savoir ce que Tasyr fait lorsqu'il est à la maison, combien de filles il touche, combien d'hommes il combat, quelles drogues il consomme. Je n'ai pas envie de connaître la noirceur et la destruction, j'ai envie de garder l'image de Tasyr que j'ai à présent. Seulement, je sais que si je le fais, tout ne sera que leurre et mensonge et je ne le souhaite pas. « Je ne l'aurais pas fais... Je me considère assez intrusive dans ta vie. » Ou du moins je l'étais, avant. Quand tout était simple, quand nous étions encore heureux, chacun de notre côté puis ensemble. Tant de choses ont changés en si peu de temps qu'il est dur de comprendre, dur de s'y retrouver. Je ne réponds même pas lorsqu'il me dit qu'il ne restera pas. Je ne suis même pas certaine d'avoir envie qu'il le fasse. Je déteste être seule mais je déteste encore plus l'ambiance qui règne entre nous lorsqu'il est là. Le silence pesant, la présence d'un inconnu que je connais pourtant si bien. Ou que je crois connaître, au vue des propos qu'il me tient ensuite.
Je n'ai aucune illusion. Les rumeurs vont vite à l'Inshinae et je vois beaucoup de monde passer à l'infirmerie, les gens parlent et j'écoute. Je sais que Tasyr n'est pas tout blanc, il n'est sans doute même pas gris mais je refuse de ne le voir qu'en noir. J'ai toujours refusé de voir les gens selon ce que l'on dit d'eux, parce que j'en ai déjà entendu bien trop à mon propre sujet. Kan ne serait pas mon meilleur ami si j'avais écouté, Tasyr ne serait pas mon colocataire et Perséphone pas ma protégée. Les humains sont complexes et ils devraient être considérés comme tels. Tasyr peut dire ce qu'il veut, les pires horreurs qu'il a faites, je n'oublierais jamais que je l'ai vu s'empiffrer de gâteaux en jouant aux jeux vidéos pendant des heures, je n'oublierais jamais avoir couru derrière Minh et lui dans tout l'appartement pour récupérer mes sous-vêtements. Je n'oublierais pas les rires enfantins. Je n'oublierais pas les bons côtés de Tasyr, peu importe ce qu'il me racontera. Il peut me dire les pires horreurs, mon avis sur lui peut changer mais il ne sera jamais tout noir à mes yeux, jamais. Je soupire légèrement et allume la lampe de chevet à mes côtés, me tournant ensuite vers lui. Je m'installe en tailleur et le regarde, prenant un coussin sur mes genoux pour être plus à l'aise. « Je t'écoute Hwang Tasyr. » Lorsque je prononce son nom en entier, ce n'est en général pas de très bons augures mais n'est-ce pas ce pourquoi nous sommes là? Ce pourquoi il a prit la peine de venir dans son propre appartement en ma présence?
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Hwang Tasyr MINI KING
POINT : 2268 MERDES LAISSÉES : 1547ÂGE : 29
Sujet: Re: Kiss me hard before I go » Mikaz Ven 8 Aoû - 13:31
Kiss me hard before I go
« Hwang Tasyr » ne sera jamais plus qu'un doux murmure ▬ Lorsqu'elle prononce son nom de cette façon, le garçon se raidit et déglutit généralement. C'est un automatisme qu'il a développé à force de vivre avec elle, de traîner avec Minh. Cela signifie qu'elle sait quelque chose, qu'elle l'a percé, et qu'elle est insatisfaite. Cela témoigne de son comportement enfantin. Se raidir, déglutir, Tasyr n'y a pas le droit à l'instant. Il ne s'agit pas de se faire passer un savon pour avoir perdu le double des clés, pour avoir (volontairement) oublié de nettoyer l'appartement. Ni même d'une remontrance pour avoir confié en toute confiance une partie de ses sous-vêtements à des amis contre quelques billets. Il ne s'agit pas, non plus, d'un de ses jeux pour l'angoisser, avant que la soirée ne se termine au lit, ses lèvres contre sa nuque. Rien de tout cela ne sera jamais plus envisageable, et le tsebe se force à être adulte encore un peu, la gorge pâteuse, à affronter l'obstacle le plus important de sa courte vie. Parce que, cette Mika, elle a tant chaviré son coeur qu'il se sent vide, las, comme s'il lui laissait en guise de souvenir. Mais Suwon est bien petit, et il arrivera forcément le moment où il la croisera dans les couloirs de l'université ▬ Ce qu'on veut fuir est toujours la première chose que l'on voit le matin
Les signes d'anxiété le trahissaient. Malgré son entêtement à prendre de la distance et sa froideur vis à vis de la nippone, il n'était en rien aisé pour l'étudiant de parler, d'agir. Il aimerait tourner encore un peu autour du pot, la noyer contre son corps et la parsemer de baisers mais le respect qu'il nourrissait pour elle l'en empêchait. Pas pour lui dire ensuite que tout était terminé. Game Over. Aigoo .. C ' est compliqué , Mika . Tasyr regretta immédiatement ses mots : elle le savait mieux que personne, que tout était compliqué. Rien n'était simple désormais. Gardant courage, il redressa son regard sur le sien, les traits durs et les lèvres pincées. Il préférait encore paraître froid et cinglant, que démuni et perdu. Je suis dealer à Gwonseon , c ' était pour ça que je rentrais plus le soir . Et même si l'appart est à deux pas de là , je préférais dormir chez Yue . Ou chez Bo Bae . Parfois , elle m ' héberge . ça évite que je lève la main sur elle , je l ' ai déjà trop marquée . D'un claquement de langue agacé, le syrien s'installa plus convenablement dans le canapé. Mêler tant d'informations si naturellement en une phrase lui offrait un ticket pour la vérité : Si l'infirmière l'interrogeait, il se sentirait plus serein.
Sujet: Re: Kiss me hard before I go » Mikaz Sam 9 Aoû - 11:04
Ferme les mains, tente de le retenir. Fais tout ce qui est en ton possible, si tu tiens à lui. Seulement souviens-toi, parfois l'on ne peut retenir ce qui ne peut être retenu. La fumée s'enfuir dès que l'on relâche la prise, même s'il n'est question que d'une fraction de millimètre. J'ai voulu y croire et je me suis trompée. Je n'ai pourtant aucun regret, on apprend de ses erreurs, on grandit avec elle. Je ne cesse de grandir en l'attente du moment où je n'aurais plus à le faire. En l'attente du moment où ce sera à mon tour d'être heureuse. Longtemps j'ai cru que je n'y avait pas droit, je le pense encore la plupart du temps mais j'ai décidé que ce soir, peu importe ce que Tasyr me dira, je resterais positive. Baby don't cry, You stand vacantly alone. Don't worry, It may be lonely but you're not the only one. Look beside you, you're not alone. Non, je ne serais pas seule mais il ne sera plus avec moi. Je perds mon frère, mon ami, le garçon que j'ai aimé au-delà de la raison. Il grandira de cette erreur, il en sortira plus grand, il ne le refera plus. J'ose y croire du moins. J'y croirais toujours. Il y a un échappatoire pour chaque âme blessée.
Compliqué. Comme si je ne savais pas que c'était compliqué. C'est compliqué parce que je n'ai pas été capable d'être adulte, parce que je me suis laissée guider par un adolescent. Je m'en veut mais ce qu'il me confesse ensuite me fait comprendre que le fond du problème est bien plus enfoui, que les choses sont bien plus graves que ce que je ne le pensais. Je me suis leurrée. J'ai eu les yeux clos trop longtemps. L'amour rend aveugle et j'ai ce goût amer d'échec sur les lèvres. A desolate day, I receive a letter. Your circumstances make me tear. If my voice brightens your world, Farther and farther, I'll shout. J'ai mal. J'ai mal de m'être trompée, d'avoir cru en quelque chose qui me paraît à présent si loin. Dealer. Pire, il frappe une femme. Je ne la connais pas, mais s'il l'a marqué, s'il me le dit ainsi, je doute que ce soit de l'affection et de la tendresse. J'ai déjà vu Tasyr en colère, j'ai déjà expérimenté ses reproches, sa dureté, sa violence. Je pense qu'il a été doux avec moi, parce que je n'ai jamais été marqué autrement que lors de nos ébats. Je regarde Tasyr d'un regard lourd de reproche. On est toujours responsable de ses actes, on a toujours le choix. Lorsque l'on a grandit dans la violence et la peur, pourquoi vouloir faire subir le même sort à d'autres? Pourquoi vouloir faire souffrir des innocents? Se sent-on grandit? Se sent-on puissant? J'ai besoin de savoir, j'ai besoin de savoir ce qui pousse Tasyr à agir de la sorte.
« Pourquoi est-ce que tu frappes une femme Tasyr? » Mes mots sont acerbes, mon regard accusateur. « Tu te sens fort lorsque tu lui fais du mal? Tu te sens un homme fier et respectable parce que tu as soumis quelqu'un à tes désirs? Parce que tu as réussit à te calmer en la rendant faible? » Le deal, la consommation de drogue, je peux le tolérer. Qu'il sorte avec une fille, qu'il se moque d'elle, qu'il la fasse souffrir, ça passe moins bien. Le fait qu'il frappe quelqu'un de plus faible que lui, une femme, sans raison, ça, ça ne passe pas. « J'ai toujours cru en toi Tasyr mais cette fois, je veux comprendre en quoi cela peut te procurer une quelconque satisfaction. Ne fais-tu que la frapper pour qu'elle est peur de toi au point de t'accepter sous son toit pour t'éviter? Aussi paradoxal que cela paraisse. A-t-elle seulement le choix de te laisser hors de chez elle? » J'ai envie de vomir. Il me donne la nausée à me dire cela si calmement. Je sais ce qu'est la violence, je l'ai vécu. Je sais ce que c'est que de se sentir plus bas que terre parce qu'un homme vous prend pour son défouloir. Je ne le sais que trop bien et imaginer Tasyr responsable de cela me rend malade.