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 You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3-

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Cho Su Nah
Cho Su Nah
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MessageSujet: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 13:03

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Allongée dans m lit je savoure le moelleux de ma couette et la chaleur de mon lit. Même si les températures extérieure sont chaudes, il y a toujours ce moment de flottement à mon réveille où je me sens détendue et bien. J’ouvre un œil puis l’autre avant de cligner des paupières aveuglées par la lumière dans ma chambre. J’ai encore oublié de fermer les volets hier soir … Je retins en soupir en enfouissant mon visage dans mon coussin. J’ai mal au bras. J’ai encore passé une partie de la nuit à bosser à l’atelier. Je fais des horaires de fou, juste pour peaufiner la maitrise des outils et ne pas un boulet pour Hyo Jin. Il m’a d’ailleurs fait l’honneur de me demander d’être sa collaboratrice. C’est un rôle qui me va à la perfection mais qui demande une rigueur et un niveau de travail beaucoup plus important que la simple vendeuse que j’étais avant. Et puis je ne veux pas le décevoir, il m’a confié une part de sa boutique, celle de sa mère, c’est trop important pour que je fasse tout foirer cette fois. Putain, je parle toujours du boulot, je pense toujours au boulot. Les bijoux deviennent mon quotidien, mon jour et ma nuit maintenant. Et je suis seule la majeure partie du temps. Mais je crois que c’est ce dont j’ai besoin. Enfin … Je n’ai pas envie d’avoir du temps pour moi et réfléchir au sens de ma vie. J’ai beau avoir pleins d’amis, il n’empêche qu’en ce moment j’ai l’impression que tout m’échappe. Je crois que j’ai plus de mal à me remettre de ma rupture que je ne le pensais. Depuis que j’ai décidé de tirer un trait sur Young Ja plusieurs semaines s’étaient passées, et j’avais tout de suite repris mon sourire, mes éclats de rires et une attitude positive, mais j’ai l’impression que tout ça sonnait faux. Que c’était juste pour faire plaisir aux gens, c’était juste pour ne pas leur imposer ma tristesse. Quelqu’un de déprimant c’est chiant, ça fait fuir et je ne veux pas faire fuir les autres … Paradoxalement, quand je vois que l’un de mes proches est triste, je préfère qu’il me dise ce qui ne va pas plutôt que de le voir sourire et de savoir, qu’en rentrant chez lui, il pleurera peut-être. C’est insupportable comme idée, pourtant, moi, je me force à sourire et à agir comme si de rien n’était. Je crois que c’est aussi pour ne pas inquiéter Ji Ho. Il a déjà tellement à gérer entre sa maladie, ses cours, ses parents qui sont souvent sur son dos et la vie en général que je me sens coupable quand je viens pleurer dans ses bras en geignant que mon amoureux est un connard et que c’est fini. Ma rupture me semble tellement dérisoire face à ce que doit supporter mon meilleur ami. Pourtant, quand je suis allée le trouver pour lui dire que tout était fini avec Young Ja et que je me suis mise à pleurer devant lui, il m’a juste pris dans ses bras. Et il m’a serré tellement fort que mes larmes se sont taris. Il ne m’a jamais jugé, ni reproché ma relation. Il aurait pu, il aurait pu me dire que je n’étais qu’une idiote qui perdait son temps mais je crois qu’il avait trop de respect pour moi et qu’il comprenait que j’avais besoin de réparer mes erreurs pour aller de l’avant … quoiqu’il en soit, il m’a bercé, et il m’a caressé les cheveux, comme lorsque nous étions enfants et que j’avais peur de quelque chose.  Je me suis endormie contre lui et à mon réveil, il n’avait pas bougé, il avait simplement posé une couverture sur mes épaules et il m’avait laissé allongé contre lui toute la nuit. Sincèrement, qu’est-ce que je ferais de ma vie si je ne l’avais plus ?

 

Depuis que je suis toute petite je me suis toujours dit qu’un jour je me tiendrais au côté de Ji Ho, devant un autel, avec une belle robe blanche. J’ai toujours cru qu’il serait mon prince, mon chevalier servant. On était fait l’un pour l’autre et je m’en étais convaincu toute ma vie. Alors le jour où nous nous sommes embrassés, je me suis dit que le premier jour de ma vie venait de commencer. Que je pourrais enfin vivre comme je le voulais … Que je pouvais l’aimer. Et qu’il pouvait m’aimer … Je lui ai tout donné, comme il m’a tout donné. On n’a pas fait semblant, on s’aimait, on s’aimait j’en étais persuadée. Pourtant il a préféré que l’on reste ami, et moi, de peur de le perdre j’ai accepté. J’ai accepté ce qu’il me donnait sans me plaindre. Si je l’aimais encore ? Bien évidemment. Mais je l’aimais encore plus dans ma vie, alors imaginé le perdre pour ça … Non, j’y arrivais pas. Et des années tard j’étais toujours à ses côtés, c’était le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire. Sa maladie était un sujet qu’on abordait peu. Je ne me montrais jamais inquiète, mais il savait, il savait que j’avais une trouille monstre de recevoir un jour ce coup de fil qui me dira que tout est finis et qu’il est parti. Cette pensée me fait frissonner et je me redresse brusquement dans mon lit. Putain, voilà. J’ai une boule au ventre maintenant. Heureusement que je le vois bientôt ! Je devrais peut-être me bouger. Je sens un poids dans mon lit et je me tourne en poussant un soupir. Je rabats la couette pour voir West, baver sur l’oreiller à côté de moi. « Putain West dégage ! » râlais-je en poussant le jeune homme hors du lit. Il tombe lamentablement sur le parquet et ne bouge pas. Enfin, je crois qu’il dort toujours pour dire vrai … Je lâche un nouveau soupir en levant les yeux au ciel. Mon coloc est un vrai pot de colle. Il ne fait jamais rien de déplacé mais il déteste dormir tout seul quand il est bourré, alors il vient toujours s’affaler dans mon lit. Il me saoule, mais il paye son loyer, alors je ne vais pas me plaindre. Puis il n’est pas méchant. Il est juste un gros lourdingue. Mais ce lourdingue finit par aller bosser alors je me retrouve avec l’appartement pour moi toute seule. Et je deviens impatiente au fur et à mesure que les heures passent.

 

J’ai hâte de le voir, d’ailleurs je passe l’après midi à lui envoyer des sms en comptant les heures. J’envoie même des snapchats de ma tête juste pour le rendre encore plus impatient. Parfois j’ai l’impression de redevenir une enfant avec lui, mais ça nous fait du bien un peu d’insouciance. J’enfile rapidement un short en jean et un débardeur avant de me regarder dans le miroir. Pff, j’ai l’air … d’une petite fille … Je n’aime pas avoir l’air d’une petit fille. Alors je sors un soutient gorge push-up pour gonfler un peu plus ma poitrine et enfile un débardeur avec un jolie décolleté qui fait apparaitre la galbe de mes seins. Ça ne fait pas un peu trop … ? Enfin… Oh et puis merde, j’ai envie d’être jolie pour Ji Ho c’est quoi le souci ?! Je reste une femme avant d’être son amie ! Alors quand la sonnette retentit je me précipite pour ouvrir, pied nu, glissant presque sur le parquet et ouvre la porte à la volé. Il a du me prendre pour une folle, mais en même temps il a l’habitude. Je suis même sûre que de m’entendre courir dans tout mon appartement l’a fait sourire. Quand j’aperçois son visage mon cœur rate un battement et je me mets à sourire niaisement en lui sautant au cou. « Ji Ho ! » je me serre contre lui et vient même déposer un baiser sur le bout de son nom. « Tu m’as manqué ! » Oui, ok c’est vrai je l’ai vu y a pas si longtemps, mais j’ai l’impression que ca fait une éternité. Je l’attire avec moi dans mon appartement sans me décoller de lui et recule jusque dans mon entrée avant de finalement me détacher après avoir déposé un énième baiser sur ses joues. « Entre vite ! » Tout était déjà près pour lui. J’avais même investis dans une table de massages mais Son Ah et West l’ont cassé en l’utilisant, alors du coup, je me retrouvais à faire des massages à Ji Ho sur mon lit. Ce n’était pas le mieux mais c’était confortable. Mais pour l’instant j’accueillais le jeune avec un sourire radieux et lui demanda « Alors ta journée de cours c’était comment ? »


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 13:48

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Cho Su Nah, comment vous dire ? Je ne sais pas si le titre « l’amour de ma vie » est adéquat mais disons que si je devais me retrouver seul sur une île déserte, ce serait avec elle et personne d’autre. Pourquoi ? Parce qu’elle est parfaite : Jolie, amusante, sensible et très attentive… Elle serait la petite amie parfaite et durant toute mon enfance je me suis évertué à le croire jusqu’à ce que ma maladie ne détruisent tous mes rêves de gosse, qu’elle me prive de mon adolescence, qu’elle m’empêche de sortir, de rencontrer des gens, d’aller me promener en barque ou autre chose un tant soit peu romantique. Su Nah a vécu également la même chose mais contrairement à moi, c’était par choix, elle voulait rester avec moi. Les années ont passé et si c’était à refaire, je lui dirais clairement de me laisser tranquille et de vivre sa vie, d’en profiter un peu… Pourtant, je ne peux revenir en arrière et je me sens responsable, je suis la cause de tant de sacrifices et au final, je ne peux même pas lui offrir mon cœur… Je n’ai donc plus qu’à la regarder, qu’à l’encourager à faire sa vie, à rencontrer un homme qui saura l’aimer et qui prendra soin d’elle. Son bonheur est la chose que je souhaite le plus au monde afin de la remercier de tout ce qu’elle a fait pour moi. J’espère qu’un jour elle m’oubliera… Qu’elle se dira qu’elle à autre chose que de s’occuper de moi… J’ai pourtant tenté de vivre avec une autre, de tenter une relation mais après ma séparation, elle était là… Elle m’attendait… Comme je l’attends encore aujourd’hui car secrètement, oui je l’avoue, je ressens quelque chose de fort pour elle, dépassant l’amitié. Peu importe… Je n’ai pas le droit de céder une nouvelle fois… Pas encore… Je n’ai pas le droit de profiter à nouveau de son bonheur, de la priver de tout ce qu’elle a déjà manqué à cause de moi et pourtant… Jour après jour, cette pense semble peu à peu s’effriter tant je ne peux m’empêcher de penser à elle, à cet homme qui a abusé d’elle et qui la rendu si triste… Je dois la revoir… Je dois comprendre, lui faire face me rappellera à mes idéaux… C’est le seul moyen de stopper cette torture qui ponctionne mon cœur…

Je me revois, elle contre moi, la serrant dans mes bras, sans un mot, je ne juge pas, je ne parle, je ne suis pas doué pour réconforter les gens avec des mots car j’ai du mal avec ça. Tant de médecins m’ont dit que « ce n’était rien » que ma vie serait « normale » que je ne ressent plus le besoin de parler pour lui dire que ça ira mieux demain car demain elle sera à nouveau triste et c’est ainsi, je préfère qu’elle sente contre elle mon cœur qui bat, que mes bras la réconfortent, que mon souffle sèche ses larmes alors je suis resté ainsi une nuit durant et au réveil je suis partit en cours. Voilà la dernière soirée que l’on a passée ensemble, c’est presque mignon et pourtant, vous n’imaginez pas les pensées que j’ai pu avoir les jours suivants, cette présence chaude dont je ressentais le besoin, que je souhaitais à nouveau… J’avais cherché à le cacher au fond de moi mais je n’avais pas réussi, je pensais à elle un peu plus chaque jours alors je décidais de lui donner un rendez-vous… Sans lui dire bien évidemment les véritables raisons, arguant que j’avais besoin d’un massage au niveau des articulations car c’est aussi un de mes regrets puisque au lieu de passer du temps avec ses amies, elle a préféré suivre une formation pour m’aider… Encore une chose que je me reproche…

Ainsi, je l’appelle, lui demande si je peux passer, elle accepte comme à son habitude, même si elle avait quelque chose de prévue, elle l’aurait annulé pour moi, je la connais assez bien là-dessus et si c’est une délicate attention, ça me gêne du moins, un peu moins désormais que je la sais célibataire. Passer avant son mec me dérangerait réellement. Je vais ensuite en cours, écoutes mon professeur d’histoire contemporaine évoquer l’Ukraine alors que je m’endors doucement pour finalement bondir lorsque la sonnerie retentit. Je laisse d’abord mes camarades sortir de peur d’être bousculé puis quitte l’amphi lentement en bon dernier, prenant un taxi car les transports en communs me sont déconseillés en heure de pointe, pour me rendre chez ma meilleure amie. Je porte un jean slim, un débardeur faisant ressortir mes muscles qui, malgré mon absence de sport, sont bien présent. Merci la gonflette et la rééducation de l’hôpital… J’ai l’air d’être un sportif alors que je ne peux même pas courir… Etrangeté de la vie une nouvelle fois.

Lorsque j’atteins la porte de sa colocation, je toque doucement à la porte, entendant un véritable raz de marée se diriger vers moi. Elle coure… Difficile de ne pas le remarquer n’est-ce pas ? Pourtant, je souris bêtement à l’idée que je puisse manque à quelqu’un et lorsqu’elle se jette sur moi et m’embrasse sur le bout du nez, m’appelant par mon prénom alors que je souris timidement et hoche la tête, collée contre moi, sa poitrine écrasée mon torse, je me sens frissonner brièvement, ce n’est pas de l’attirance… C’est plus que ça et pourtant je ne peux ni en parler ni l’accepter, je dois refouler toute chose qui nous rapprocherait un peu trop… J’ai eu tant de mal à briser notre couple sans la détruire que je ne pourrais recommencer une nouvelle fois par caprice alors, je murmure lentement.

« Toi aussi tu m’as manqué… Je suis content de te voir, tu as l’air d’aller mieux. »

Ma voix est posée, calme, presque apaisante alors que j’évoque sans le dire, sa rupture avec celui que j’appelle « l’autre crétin » et ces instants ou j’avais tenté d’être là pour elle comme elle avait toujours été là pour moi. J’entre toujours collé à elle, la table de massage semble toujours en piteux état… Faire ça dans son lit… Lieu ou je lui aie fait vivre sa première fois, que d’autres hommes souillent probablement de leur présence sans que je ne puisse rien dire. Pourtant, je souris, à vrais dire, je souris tout le temps, portant un masque pour que personne ne puisse savoir ce que je pense, ce que je ressens… C’est ainsi et même face à ma meilleure amie, je suis ainsi.

« Comme d’habitude tu sais… Et toi alors ? Tu as travaillée aujourd’hui ? »


Cela ressemble à des banalités, c’est un peu ça, comme pour vérifier si l’un et l’autre allons bien pour ensuite ne plus penser qu’à nous deux, qu’à sourire, rire, parler de tout et de rien, une sorte de vérification obligatoire. Je pose alors ma lèvre sur sa joue et y dépose un doux baiser murmurant doucement.

« Dis donc qu’est-ce que t’es jolie aujourd’hui ! Euh… Je veux dire… Comme d’habitude hein… t’es pas moche le reste du temps… »

Pourquoi je suis aussi maladroit lorsque je suis avec elle ? Habituellement, je sais blablater tout un tas de truc aux femmes mais avec elle, j’ai l’impression d’être le gamin du bac à sable qui prête sa voiture à pédale à son « amoureuse » au final… Rien n’a changé…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 14:31

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Parfois, c’est dans la banalité de nos échanges que je peux savoir comment il va. C’est dans ces petits riens qui peuvent paraitre si anodin aux autres que moi je sais. Je sais ce qu’il peut penser, ce qu’il peut vouloir dire. C’est derrière ses sourires ou ses soupirs que je remarque. C’est avec cette lueur dans ses yeux que je devine. Parfois, les mots semblent superflus avec Ji Ho … On se comprend sans avoir besoin de faire de long discours, on se comprend parce qu’on ressent les mêmes choses. Quand il souffre je souffre, quand il est heureux je le suis aussi. C’est comme un échange de bon procédé. Je ne sais plus vraiment si on est aussi proche lui est moi parce qu’on se ressemble énormément, ou si on se ressemble autant parce qu’on est proche. C’est comme si en grandissant j’avais finis par devenir cette fille qui ne pouvait que lui aller. Ji Ho est tout mon monde et bien plus que ça. Quand je parle de lui j’ai toujours cette lueur dans le regard, celle qui me trahit, celle qui montre à quel point je tiens à lui. Je suis née pour le rencontrer, nos parents étaient déjà amis avant que ne viennent au monde. Quand nous étions plus jeune je m’amusais à lui dire que nous étions destinés, que lui et moi nous étions beaucoup plus que deux être différents. On est un tout. Un ying et un yang, on peut être opposé, il y aura toujours ces moments et ces gestes qui vont nous montrer à quel point on se complète. Parce qu’au final nous deux c’est ça. C’est être différent pour mieux se ressembler. Les gens m’ont souvent fait remarquer que j’étais très présente pour lui et que je l’aidais beaucoup, même si ce n’était que par des sourires ou des moments volés qui lui changeaient les idées. Mais ce qu’ils n’ont pas compris, eux, c’est que je ne faisais pas ça seulement pour Ji Ho, je ne faisais pas ça par pitié ou par amour. Je faisais ça parce que sa présence est devenue vital pour moi. J’étais présente parce que lui, me voulait à ses côtés, parce qu’il arrivait toujours à me réveiller avec un sms qui m’attendait pour me souhaiter une bonne journée, parce qu’il me souriait malicieusement quand je blaguais et qu’il éclatait de rire quand je me montrais maladroite. Si j’apportais quelque chose à Ji Ho, lui il rendait ma vie plus belle et plus colorée. Il rendait mon quotidien parfait, alors je refuse qu’on se contente de dire que je changeais la vie de Ji Ho quand lui donnait un sens à ma vie.

Et j’ai de la chance, je sais que j’ai de la chance de l’avoir toujours avec moi après tant d’année. Nous avons vécut trop de choses ensemble pour tout perdre comme ça. J’ai fait des sacrifices pour lui, mais si c’était à refaire je le referais, et je suis persuadé qu’il en a fait aussi pour moi … On s’est blessé l’un et l’autre, on s’est fait du mal parfois, mais je crois que c’est juste parce qu’on s’aime un peu trop. Ce genre de relation fusionnelle ça fait tourner la tête. On ne sait plus ce qu’on a le droit de faire et de ne pas faire. Je ne savais plus ce que j’avais le droit de demander ou d’exiger. Est-ce que j’avais le droit de l’aimer et ce qu’il pourrait m’aimer même encore demain ? Le perdre. C’était une situation que je ne pourrais jamais envisager, pourtant j’ai l’impression d’avoir faillit à de nombreuses reprises. Et pas seulement à cause de sa maladie. Mais parce que le voir amoureux me tuait à petit feu. Est-ce vous savez quel sensation ça fait de regarder l’homme qu’on l’aime dans les yeux et l’entendre vous dire qu’il est amoureux … Qu’il est amoureux d’une autre avec ce petit sourire gêné et presque contrit. Est-ce que vous savez à quel point c’est dur, c’est dur de lui sourire et d’être heureuse pour lui quand vous avez seulement envie de pleurer. Mais j’ai pris sur moi et je l’ai félicité, comme l’amie que j’étais censé être devait le faire. Les jours ont passé et j’ai finis par m’effacer de sa vie, assez pour ne plus avoir mal de le voir heureux sans moi mais il y a toujours ce quelque chose qui m’empêche de le quitter pleinement. Il a fait une crise et il a terminé à l’hôpital. J’ai cru qu’il était mort. Alors j’ai compris. J’ai compris que je le préférais amoureux d’une autre que plus du tout dans ma vie … Alors je suis revenue, j’ai arrêté d’être égoïste et je me suis remise à lui sourire sincèrement … Il m’aura fallut du temps mais j’ai réussis. Et aujourd’hui il est dans mes bras et semble … et semble être bien quand je suis là. Je crois que c’est tout ce que je peux lui demander.

Je secoue la tête en souriant amusée « Non, je suis rentrée à 5h ce matin, j’ai bossé toute la nuit à la bijouterie, du coup Hyo Jin m’a donné ma journée. J’ai finis nos commandes en retard. » Et j’étais fière de moi. Fière de mon travail et fière de voir que je réussissais enfin dans quelque chose. Après avoir essuyé échec sur échec. Mon travail était le domaine dans lequel je pouvais briller sans avoir honte. A sa remarque j’arque un sourcil faussement vexé. Je penche la tête sur le côté et croise les bras le visage sans expression en l’entendant s’enfoncer dans ses explications cafouilleuses. Je recule d’un pas et pince mes lèvres comme si j’attendais une bonne excuse à sa remarque déplacé. Puis devant son visage j’éclate de rire avant d’attraper son visage entre mes paumes. « Je rigole petit cœur ! » Je dépose un baiser sur le bout de son nez, qui est d’ailleurs l’endroit de son corps que je m’approprie le plus. Son nez m’appartient à défaut de pouvoir embrasser le reste. « Merci » soufflais-je malicieusement en me sentant fière qu’il me trouve jolie. Après tout c’était pour lui que j’avais fait cet effort vestimentaire. Je me mis dos à lui pour lui montrer le gros nœud derrière « Regarde, c’est mignon tu ne trouves pas ? » Le débardeur ressemblait à un dos nu, seul un nœud au niveau des omoplates rattachait les deux bords. On pouvait donc voir le reste de mon dos que j’avais bronzé au Brésil. J’attrapais sa main pour l’entrainer dans la cuisine. « Tu veux boire quelque chose ? Je t’ai acheté la boisson que tu adores » je souris en sortant sur le comptoir deux verres et la bouteille. Je le trouvais encore plus musclé que d’habitude, c’est moi ou je me fais des idées ? Je me détourne et me penche en avant pour attraper un set de table sous le meuble. Ça m’évite de laver la table dix fois dans la journée. « Tu vas devoir te contenter de mon lit encore aujourd’hui Ji Honey, c’est pas grave ? » je grimaçais pour m’excuser. Je l’affublais toujours de pleins de petits surnoms assez ridicule je dois l’avouer mais qui lui allait si bien …


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 15:07

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Su Nah… Ce petit ange qui veille sur moi, parfois je me demande comment elle est quand je ne suis pas là. Elle est devenue une femme maintenant avec des rêves, des envies, des besoins. J’ai du mal à la voir autrement que par le prisme magnifique d’une amitié sans faille ou jamais au grand jamais elle n’aurait pas été là pour moi. A vrais dire, je ne connais pas ses nouveaux amis, ceux de son boulot, les mecs avec qui elle sort, si il lui arrive d’avoir des sex friends comme moi avec Haneul. En fait, je crois bien que c’est un sujet que je n’aborderais jamais avec elle. Elle m’est trop précieuse et je ne veux pas qu’elle constate que je serais hyper jaloux de la savoir tromper l’ennui de nuits interminables avec un autre que moi. C’est égoïste je sais et peut être même stupide lorsque l’on sait que si l’on n’est plus ensemble c’est uniquement de ma faute mais c’est ainsi, elle est mon étoile, elle brille, me regarde mais je ne peux l’atteindre même si je le veux réellement. Je n’ai pas encore trouvé de fusée assez puissante pour la rejoindre alors je la fixe, je la contemple mais finalement, je reste là sans rien faire ni tenter. Pourtant, j’ai vraiment l’impression d’être proche d’elle, parfois on se comporte vraiment comme un couple, je lui envoie des sms pour lui souhaiter bonne nuit, pour lui dire bonjour, pour savoir si elle a bien mangé, je fais des snapchats ou j’embrasse mon téléphone et pourtant… Nous sommes seulement les meilleurs amis du monde. Du coup, je n’ai pas vraiment besoin de chercher longtemps une excuse pour la voir… C’est tellement facile que même sans raison, elle m’accueillerait à bras ouvert bien que j’évite de passer sans prévenir par respect pour elle et pour sa vie privée.

Vous m’imaginez sonner à la porte et tomber sur un grand type Barraqué en peignoir ? Franchement ? Je serais capable de lui en mettre une et de tomber dans les pommes justes après à cause du bleu que je me serais fait à la main… Il vaut mieux éviter. Ainsi, après un échange de messages, me voilà devant sa porte, trépignant d’impatience de la voir alors que j’entends le tsunami Su Nah déferler vers la porte. A peine a-t-elle ouvert qu’elle se jette sur moi, se décidant une nouvelle fois à faire de mon nez son aéroport à bisous. Elle me fait entrer, me demande si mes cours se passent bien. A vrais dire, je n’ai pas grand-chose à lui raconter, mes cours me plaisent mais ils sont un peu barbant pour les non-initiés. Elle me parle alors de son travail, de la boutique, je sais qu’elle est fière de ce qu’elle fait et je dois dire que ses créations sont juste magnifiques. Je hoche la tête, fronçant involontairement les sourcilles. Hyo Jin… Elle en parle constamment… je me demande si ce type s’intéresse juste à ses talents ou bien à autre chose. Et voilà... Je suis encore jaloux sans raisons… C’est maladif.

« N’oublies pas de te reposer alors ! Le manque de sommeil c’est le meilleur moyen de choper la crève ! Moi je dors tout le temps… mais ça ne marche pas… »

J’éclate de rire, à vrais dire, je ne plaisante pas souvent sur ma maladie mais depuis peu j’essaye de relativiser quand je suis avec elle, d’en rire ou d’en plaisanter pour lui donner l’impression que je vais mieux moralement. Je ne sais pas, je n’ai pas envie qu’elle s’inquiète… Et puis… Voilà que je recommence à être maladroit et qu’elle s’en amuse également. Mon compliment a semblé se perdre un peu… Dire « aujourd‘hui » quand on parle de la beauté d’une femme ce n’est pas forcément la meilleure des choses à faire. Elle se la joue vexé, recule alors que je fais une moue faussement triste avant qu’elle ne prenne mon visage entre ses mains pour me signifier qu’elle plaisante.

« Petit cœur ? Ce n’est pas un nom de gâteau ça ? »


Et voilà que je rigole à nouveau à ma plaisanterie, à en croire mon attitude on pourrait penser que tout va bien et… C’est le cas… En sa présence je me sens étrangement bien et cela sans raison… Surtout après ce nouveau baiser sur mon nez. Elle me remercie, je crois qu’elle aime bien quand je la complimente… Enfin… Je ne sais pas vraiment, ça fait un peu bizarre mais ce qui l’est encore plus c’est lorsqu’elle se tourne pour me montrer son dos nue ainsi que le gros nœud qui rattachait le tout. Heureusement qu’elle ne me voit pas parce que si elle voyait mon regard… Il n’est pas pervers ou autre… C’est comme… Et bien comme si je venais de voir la plus chose sur cette terre ou comme un croyant qui verrait le pape, enfin un truc dans le genre. Je reprends un air à peu près normal quand elle se retourne et la… VLAN : Le décolleté. A vrais dire, je ne l’avais pas vu avant, je n’avais pas vraiment eu le temps d’y faire attention mais là… C’est trop. Du coup, quand elle me dit que son haut est mignon… Je suis obligé de lui répondre sincèrement sinon elle ne va pas me lâcher.

« Mignon ? Sur toi c’est… Sexy… La vache… j’ai de la chance d’avoir une meilleure amie… Enfin comme ça quoi… »


Allais-je dire « aussi bien roulée ? » Je l’ai pensé oui mais je ne pouvais le lui dire… J’avais terminé ma phrase un peu comme le compliment de tout à l’heure… De manière plate alors qu’elle me prend la main pour m’emmener dans la cuisine. Elle me dit avoir acheté ma boisson préférée : chouette ! Je la fixe… De l’Umeshu, un alcool de prune extrêmement sucré mais… Alcoolisé, assez traitre à vrais dire mais avec de la glace en plein été c’est juste extraordinaire !

« Merci !!! Avec le massage, rien de tel qu’une boisson bien fraiche ! »

Je la laisse alors tout préparer alors qu’elle se penche en avant pour saisir un set de table. Woaw… Elle m’offre une sacrée vue sur son décolleté… A la voir ainsi, je suis certain qu’elle a mis un push up. OH WAIT ! Attendez, si elle a dormit toute la journée et qu’on s’est vue c’est que… Elle l’a mis pour moi ? Ben elle n’en met pas d’habitude quand on se fait un restaurant ou quelque chose comme ça… Non je dois délirer… Su Nah est une fille prude et euh… Bon… Je retire ce que j’ai dit… J’exagère un peu. Tournant la tête brusquement pour regarder le micro-onde, alors qu’elle m’annonce que je vais devoir me contenter de son lit. Dans une autre situation… On pourrait penser… Mais…. Pas là… Enfin… Je crois…

« Euh… Non ce n’est pas grave, c’est gentil de ta part et puis… T’excuses pas, tu imagines le nombre de mecs qui aimeraient être à ma place ? Enfin… Allez dans ton lit quoi… »

Etre à ma place avec ma maladie ? Pas vraiment… pourquoi est-ce qu’il faut toujours que je m’explique à la fin, mes plaisanteries retombent et je me sent mal à l’aise. Je crois que c’est ainsi… Elle trouve ça mignon moi j’ai l’impression d’avoir l’air d’un imbécile… mais bon… Elle est seule juge non ? Je prends alors mon verre et murmure.

« Euh… Santé ? »

Ouais… Santé… A croire que je le fais exprès de choisir ce genre de mots…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 16:17

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

« Un nom de gâteau ? » je lui jette un regard surpris et amusée par-dessus mon épaule en l’amenant à la cuisine. Où est-ce qu’il est allé cherche ça ? Quoiqu’il a peut être raison, je ne connais pas tous les gâteaux sur cette terre ; mais pour moi, Ji Ho n’avait rien d’un gâteau, bien qu’il soit appétissant. Quand je le vois me regarder avec ses yeux là, je fonds, enfin, je dois avouer que je suis fière et je suis obligée de me détourner pour ne pas qu’il remarque le rouge de mes joues. C’est bête, avec le temps je devrais me dire que je n’ai plus à rougir quand Ji Ho me fait un compliment, après tout c’est mon meilleur ami, je devrais être simplement contente de voir qu’il me trouve jolie. Mais Ji Ho c’est aussi un homme que j’ai aimé, et un homme vraiment beau … Alors je me doute que même si le physique n’est pas une préoccupation chez lui, ça reste tout de même un homme qui doit avoir des goûts haut placés. Il n’ira pas se taper la fermière du coin si vous voyez ce que je veux dire. Et j’ai tendance à me trouver plutôt quelconque comme fille. Mon nez est tellement fin que des fois on ne le voit pas, et j’ai du me coltine le surnom de voldemort pendant toute ma scolarité. J’avais du mal à encaisser ça mais Ji Ho, lui, m’assurait que j’étais très jolie. Alors quand aujourd’hui il continue de clamer haut et fort que j’étais une belle femme bien foutue je ne pouvais qu’apprécier. Je l’ai fait exprès de mettre ce haut pour lui. Disons que je l’ai acheté récemment et que j’attendais une bonne occasion pour le mettre. Est-ce que c’est mal de vouloir être sexy devant un garçon à qui on tient beaucoup ? Ce n’est pas vraiment que je veux l’allumer, mais … merde, regarder le regard qu’il porte sur moi ! On dirait que je suis une bombe. Alors pour cacher mon trouble je lui souris et lui lance « Je sais petit cœur, c’est pas donné à tout le monde d’avoir ça à porté de main » je soulève mon t-shirt vers lui pour lui montrer mon ventre plat. Je n’ai pas de jolie courbe d’abdo pour souligner mon ventre mais il reste mignon à regarder, puis ça ne dure qu’une seconde, histoire de le taquiner et de prendre ma remarque à dixième degrés.

Je me dénigrais souvent devant lui mais j’avais arrêté le jour où il s’était fâché après moi. Mais il faut voir les filles qui tournoyaient autour de moi. J’avais l’impression d’être le vilain petit canard. Déjà, je n’ai presque pas de seins et je suis obligée de mettre des push up pour leur donner un semblant de forme. Et j’ai toujours peur que si je couche avec un homme il soit déçu de voir que je n’ai pas de seins derrière mon rembourrage. Remarque, Ji Ho les connait par cœur mes seins … Et cette remarque me fait rougir encore plus. okay, tais toi Su Nah sert lui juste son verre et arrête tes conneries. Je lui donne son verre alors qu’il me remercie. Je ne sais pas depuis quand j’ai appris à faire ces massages, je devais avoir à peine 18 ans je crois. Je ne supportais pas de le voir souffrir en silence. Il avait beau garder un visage impassible quand on regardait la télé et que je m’allongeais à côté de lui, je voyais ses poings se fermer frénétiquement tant la douleur lui était insupportable. J’avais beau glisser ma main dans le creux de sa paume qui me paraissait immense, ça ne changeait rien au fait qu’il avait mal. Je tentais de détourner son attention comme je pouvais … Quand nous étions ensemble il m’arrivait de lui faire l’amour tendrement pour qu’il oublie sa douleur et se concentre sur son plaisir … Il restait allongé, alors que je prenais soin de lui … J’allais doucement, pour ne pas lui faire mal, mais mes soupirs et me gémissement finissaient toujours par être plus fort et plus intense à mesure que nous atteignons l’orgasme … et c’est avec la tête qui tourne que je m’allongeais toujours à côté de lui en l’embrassant tendrement. Alors oui, il oubliait sa douleur un temps, mais elle ne disparaissait jamais complètement … et puis parfois c’était trop douloureux pour que je puisse faire quoique ce soit … alors après notre rupture, pour lui montrer que je tenais toujours à lui malgré sa décision, et parce que le vois souffrir m’arrachait le cœur, j’ai suivis cette formation de massage. Depuis, je lui prodigue chaque fois qu’il en a besoin. Parfois même quand il n’a pas mal pour chauffer l’articulation et l’empêcher de s’ankyloser. J’aimais prendre soin de lui et je suis sûre qu’il adorait aussi.

Je m’appuie sur le bar en calant mon menton dans le creux de ma paume et sourit tristement à Ji Ho avant de secouer la tête « Bof, y a pas franchement d’homme qui se bouscule au portillon. » Si ce n’est Rae Won, mais avec lui c’est … différent. Ce n’est pas comme si il aurait pu se retourner sur moi dans la rue, ou que sais-je, c’’était d’abord une amitié avant d’être … ça. Et puis avec Young Ja … « Je ne pense pas que la gente masculine rêverait de me mettre dans son lit si tu veux mon avis … Enfin j’ai peut-être une chance avec ce débardeur, mais je l’ai acheté spécialement pour toi alors ... » Je fixais mon verre pensivement en disant ça puis me rendant compte de mes propos je me relève brusquement en fixant Ji Ho surprise. « Ouais … pour … » tais-toi. Non, ca vaut mieux sinon tu risques de dire encore plus de connerie. Je lâche un rire gênée avant de boire cul sec mon verre. Je lève mon verre pour trinquer avec lui après m’être servis à nouveau et hoche de la tête « Hm, santé. » Santé. Je crois que je n’ai jamais autant détesté un mot. Faisant claquer un peu trop brusquement mon verre je me trahis quant à mes pensées. Je me racle la gorge et pousse une exclamation en m’étirant dévoilant un peu de ma peau blanche. « On y va petit cœur ? En plus j’ai regardé les nouveautés sur internet, y a un massage que je voudrais tester avec toi, ça devrait te soulager. C’est le doc qui m’a filé l’adresse et il m’a conseillé ce genre de touché. Ça chauffe l’articulation et ça détend le muscle. Ça devrait te fair du bien. » Tout en parlant je m’étais glissé dans son dos pour enrouler mes bras autour de son torse et déposer mon menton sur son épaule en me hissant sur la pointe des pieds. Je caressais doucement ses côtes, pensive pendant quelques secondes, je profitais de ce petit flottement pour le serrer contre moi et le câliner. Déposant un baiser dans sa nuque je l’attirais à ma suite dans ma chambre où je défis la couette pour la mettre par terre. C’est plus confortable avec seulement le matelas. « T’es prêt petit cœur ? » demandais-je en me tournant vers lui ? Fallait qu’il soit en boxer pour ça et je sais pas pourquoi, mais l’ambiance aujourd’hui était différente de d’habitude. Comme si quelque chose se passait dans la tête de Ji Ho. Je crois que ce sont ces regards qui me font penser ça. mais je n’ose pas poser de questions pour l’instant, on verra bien pendant le massage, s’il se livre à moi …


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 16:49

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Ma première avec Su Nah ? Oh… Pourquoi est-ce que j’y repense à cet instant bien précis ? Habituellement, j’évite, surtout en sa présence mais si je dois mettre des mots sur cet acte, je dirais que c’était juste… Extraordinaire. Le fait que ce soit sa première fois a encore plus renforcé la pureté ainsi que la sensualité de ce corps à corps. Elle était belle, elle me voulait, elle me murmurait des « je t’aime » dans le creux de l’oreille alors que mes lèvres glissaient lentement sur sa peau sucrée, remonte inlassablement vers les siennes pour des baisers enflammés, nos regards ne se lâchaient pas, pour la première fois, je me sentais… Normal… Sans la maladie, sans le stress, simplement normal… Comme si j’étais en bonne santé. Cela avait duré longtemps et nous avions continué encore et encore avant que je ne décide un jour de tout stopper… Ce qui a tout déclenché ? Su Nah ne l’a pas su mais j’étais partit voir les alliances, pas spécialement pour la demander en mariage, simplement par curiosité comme si notre relation me donnait un espoir, ou plutôt quelque chose de simple : Un futur. Ce jour-là, j’ai fait une crise, je suis tombé sur le trottoir et j’ai finalement appelé le SAMU avec mon téléphone portable… A cet instant, j’ai compris que peu importe ce que je voulais, cette saloperie me rattraperait tout le temps. J’ai dit alors à mon amie que j’étais partit un weekend chez mes parents et quelque jours plus tard, une fois remis, je lui annonçais préférer que l’on reste ami… C’était comme cela que j’avais préféré régler les choses après que le médecin m’ait dit que j’avais risqué de mourir à sortir ainsi et qu’il y avait quelque chose qui me poussait à agir dangereusement ces derniers temps… Oui ce quelque chose c’était l’espoir mais il n’est plus… Il n’est jamais revenu et j’ai abandonné mon amour… Pour elle… Pour qu’au moins elle, elle puisse avoir un futur… Pourtant, si elle est constamment collée à moi, son corps me manque et je m’en rends compte dès lors qu’elle me montre son débardeur. Je ne sais quoi lui dire, je tente une esquive sur le surnom qu’elle me donne, elle parait surprise alors je hausse les épaules.

« Un gâteau sec… Avec du chocolat au milieu… En forme de cœur…
»


Je ne sais pas vraiment pourquoi je lui parle de ça, peut être-ce pour me concentrer sur autre chose ou qu’elle arrête avec ses surnoms qui aujourd’hui étrangement, me mettent mal à l’aise. Elle se tourne, me montre ce nœud qu’elle trouve mignon. Au fond de moi, mon corps ne rêve que de tirer dessus pour la mettre à nue mais mon esprit a vite fait de reprendre le dessus me rappelant qu’elle est telle la prêtresse d’un temple… On ne peut la toucher ou tu moins… Sa pureté doit être préservée… Pourtant ce sont tous ses souvenirs, ces fois ou elle me faisait l’amour alors que je pouvais à peine bouger, ces autres fois plus sauvages mais toujours avec une certaine douceur… Je ne peux lui dire que son top est mignon alors je lui dit que je la trouve sexy, jurant que j’ai de la chance de l’avoir, chose qui n’a pas grand rapport avec mon compliment mais bon. A ma remarque, elle me montre son ventre plat. Ouf… heureusement qu’elle n’a pas soulevé un peu plus… Là j’aurais été capable de craquer dans la seconde. Je lui souris alors qu’elle plaisante.

« Non… C’est certain… Je suis un petit chanceux ! »

J’esquisse un sourire et prend un air fière avant de la regarder avec douceur. Heureusement qu’elle sait placer une plaisanterie au bon moment pour faire redescendre la tension. Elle nous sert donc à boire, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté avant que l’on ne boive et qu’elle m’annonce qu’une fois de plus, le massage aurait lieu dans son lit. J’essaye une plaisanterie mais elle semble me regarder avec un visage un peu triste, murmurant qu’ils ne sont pas nombreux à se bousculer au portillon. A vrais dire, c’est méchant mais je suis content qu’elle n’ait pas une foule d’hommes devant sa porte, c’est triste pour elle mais c’est comme si je voulais la garder rien que pour moi alors que je sais qu’il n’y a aucune possibilité pour que l’on se remette ensemble. Elle reprend alors, se dénigrant quelque peu, comme à son habitude, avant de m’avouer qu’elle a acheté ce débardeur pour moi… Pour moi ? Elle vient de… Elle vient de se taire… Mais pourquoi dit-elle que c’est pour moi ? Je la fixe, intrigué et pose ma main sur son épaule, caressant sa joue.

« T’es sublime… J’aime pas t’entendre dire ça… Mais… Tu l’as acheté pour moi ? Pourquoi ? T’as pas besoin de ça pour être la plus belle fille qui soit à mes yeux même si… la vue est plutôt… Intéressante… »

Et voilà, j’ai gaffé, la colère m’a poussé à lui dire ce que je pensais d’elle et ma dernière phrase… Elle ne me ressemble pas mais au moins… Elle qui me voulait moins secret… Elle a au moins mon avis sur son décolleté c’est déjà ça… Je trinque alors avec elle et boit également mon verre cul sec, espérant qu’elle n’a pas mal pris ce que je viens de lui dire. Je la regarde s’étirer alors qu’elle me demande si je suis prêt, je hoche doucement la tête alors qu’elle m’explique connaitre une nouvelle façon de masser. Pendant qu’elle me dit ça, elle passe dans mon dos, se collant une nouvelle fois à moi, je frissonne doucement une seconde fois à son contact alors qu’elle m’explique les bienfaits de ce qu’elle a trouvé sur le net.

« Oh… je vois… Essayons alors ! Et… ça consiste en quoi ? »

Je suis curieux par nature et bien que je lui fasse confiance, j’aime savoir le traitement qui va être fait à mes muscles et à mes articulations si fragiles. Elle dépose un bisou sur ma nuque…dire que je n’ai pas aimé serait mentir alors que je saisis sa main pour la rejoindre dans sa chambre. Je la fixe retirer la couette alors qu’elle me demande si je suis prêt. C’est une sorte de rituel et je sais ce que je dois faire. Sans aucune gêne, je retire mon débardeur que je pose sur une chaise puis enlève mes chaussettes, mon pantalon, me retrouvant en boxer face à elle. Je viens alors m’allonger sur le dos, la fixant, lui souriant.

« Je suis prêt ! Tu veux que je me mette sur le dos ou sur le ventre ? Fais attention aux boutons de ton short en jean… C’est le genre de griffure bête qui me pourrit la vie… »

Et oui… La moindre chose peut me conduire à l’hôpital, même une griffure superficielle… Quand soudain je me rends compte que… La connaissait, si prévoyante et autre… Elle serait capable de l’enlever… Pitié Su Nah, va juste te changer ailleurs… Aujourd’hui, je sais pas ce que j’ai mais… Je veux plus que d’habitude et c’est beaucoup trop dangereux… Pour moi… Mais surtout pour toi…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 17:40

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

  T’es sublime … il me trouve sublime. Je ne sais si c’est parce que c’est lui en particulier ou si c’est parce que j’ai pu lire toute cette sincérité dans son regard. Mais ça me touche, ça me touche beaucoup qu’il puisse me trouver sublime. Ce n’est pas n’importe quel mot … C’est fort. Je l’imagine sourire en me regardant. Je l’imagine avoir son cœur qui rate un battement quand je lui souris. C’est l’imaginer me trouver belle avec n’importe qu’elle tenue. Il me l’a dit, je n’ai pas besoin de ce débardeur pour être belle à ses yeux. Je n’ai pas besoin de montrer mon corps plus que de raison. J’ai juste besoin d’être moi. Et quand il m’avoue trouver la vue intéressante je pensais qu’il plaisantait. Je relève mon regard vers lui prête à le voir rire mais il semblait surtout gêné. Comme si la vérité lui avait échappé. Et ça me trouble, je l’avoue. Je me souviens encore de ces fois où Ji Ho me regardait avec envie, quand il s’approchait dans mon dos pour me murmurer que j’étais belle alors qu’il m’enlaçait. Ça nous arrive d’être aussi proche, et ça me plaît de voir que je suis toujours … cette jolie fille à ces yeux. J’aurais pu croire que le fait de me voir grandir l’empêche de me voir en tant que femme, mais il faut bien que je me rende à l’évidence … J’étais bien devenue une femme à ses yeux … Mais ces sentiments amoureux me manquent parfois. Ces baisers volés avant d’entrer en cours, cette main qu’il tenait dans la rue, comme s’il était fier de marcher avec moi … Parce que moi je l’étais, moi je le suis toujours, quand on marche dans la rue, je vois ces regards d’envies se poser sur nous. Sur lui. Mais il était à moi et aujourd’hui … il l’est toujours un peu sans vraiment que je puisse le dire. J’aimerais parfois qu’il me trouve attirante, même après notre rupture, parfois, je surprenais sur moi des regards qu’il appuyait un peu trop. C’était … troublant, mais je ne cherchais jamais à voir plus loin, parce que je risquais de le renfrogner et au final, je n’aurais plus rien.  Alors quand je vois son regard sur moi … Ouais, ça me plonge des années en arrière quand il m’aimait encore … Ca me fait bizarre. Je déglutis et tente de penser à autre chose.

Arrivée dans la chambre je me tournais vers lui pour le voir allongé dans le lit, à moitié nu. Putain … Son corps est tellement parfait … ses séances de rééducation dosée pour sa maladie lui on sculpté un corps de rêve. Il est vraiment canon. C’est pour ça que parfois mes doigts se perdent un peu plus longuement sur sa peau. Il ne dit rien, ne me repousse jamais. Il me laisse faire et moi, je culpabilise de profiter de lui. Je ne devrais pas. il m’a dit que je n’étais qu’une amie, une super amie, sa meilleure amie, mais son amie tout court … Je n’ai pas le droit de lui demander plus, de lui prendre plus sans qu’il ne le veuille. Je m’en veux d’être comme ça avec lui … J’ai besoin d’une affection et d’un amour qu’il ne peut plus me donner, qu’il ne veut plus me donner. Je ne peux pas agir comme je le fais. Je culpabilise toujours et après quelques temps je retrouve un certain équilibre et je dois avouer que Rae Won m’aide dans ces cas là … Il comble un manque de Ji Ho ne peut plus m’offrir … Pourtant … rien qu’une fois on pourrait … non, oublie ça Su nah ! Tu parles de ton meilleur ami ! Meilleur ami qui t’attends sur le lit pour que tu le soulages de ces blessures ! C’est … t’as pas le droit de penser à des choses comme ça ! C’est dégueulasse. Alors que ma conscience était en train de m’engueuler, je me tournais vers  lui alors qu’il me fit la remarque sur mon jean. Je rougis et me sentit mal à l’aise. « Oh merde ! Pardon ! D’habitude je mets un bas en coton c’est vrai ! Excuse-moi Ji Ho ! » Confuse je m’empresse de retirer mon short en secouant la tête et en me traitant de tous les noms. Je suis nulle putain, comment j’ai pu oublier un détail pareil … Je m’en veux. Je lui lance un regard désolée en glissant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et sourit en coin.

J’ouvre la porte de ma penderie et cherche un short en coton que j’ai toujours à porté de main. C’est bizarre, je pensais vraiment qu’il était là. Je me penche en avant, dos à Ji Ho en marmonnant pour moi-même. « Putain de short … je suis toujours entrain de le chercher. » je finis par m’accroupir en tirant sur ce que je croyais être mon short mais sort un gilet. Je me relève en soupirant. « Bon laisse tomber je ne sais pas où il est. » je suis tendue. Parce que je m’en veux toujours d’avoir oublié pour le jean. Comment est-ce que je peux être aussi conne sérieux ? Je ressors de la chambre pour aller chercher les huiles dans la salle de bain et revient vers lui en esquissant un petit sourire. Je grimpe sur le lit, toujours en culotte mais qu’importe, il m’a déjà vu nu ou en maillot de bain c’est presque pareil non. Puis je la trouve mignonne ma culotte rose en soie. « Hm alors tu préfères lequel ? Celui là endors les muscles, tu risques d’avoir la jambe un peu lourde après ça. Mais au pire tu peux rester ici ce soir si tu veux. Ça te fera du bien de te reposer. A chaque fois je te vois repartir et ça me fait chier. Enfin … » ce n’est pas le sujet. T’as peur pour lui parce que t’aimerais pouvoir veiller sur lui H24 mais tu sais aussi que ça l’étoufferait … Finalement j’attrape une bouteille parfum vanille et m’assois sur les genoux à côté de lui. la position n’est pas très confortable mais je fais avec. Je pause mes paumes sur le torse et lui dis doucement « ON commence comme d’habitude par un massage du corps ? Pour te détendre entièrement ? » j’esquisse un sourire alors qu’une mèche de cheveux me tombe sur le visage. Gênée je me penche vers lui pour lui demander « Est-ce que tu peux la mettre derrière mon oreille s’il te plait, elle s’échappe toujours de mon élastique celle la. » je ris doucement en attendant, penchée vers lui, qu’il dégage mon visage. Je n’ai pas envie de salir mes cheveux avec mes mains pleines d’huile.

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 18:23

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Le cœur à ses raisons que la raison ignore n’est-ce pas ? Je ne suis pas du genre à me servir de citations pour faire mes choix mais il est très clair que mon cœur s’emballe à chaque fois que je crois le regard de Su Nah… Il y a quelque chose, comme un dernier morceau de conscience qui m’empêche de tout envoyer au feu, de lui dire de me laisser tranquille, de profiter enfin un peu de sa vie. J’avais réussi à l’époque, coupé cette relation mais en serais-je de nouveau capable si cela se reproduisait ? J’en doute et c’est surement cela qui me fait le plus peur. Il est vrai qu’elle n’est pas parfaite physiquement, qu’elle manque surement de poitrine, de formes, qu’elle a un visage un peu poupon mais à mes yeux, je la trouve parfaite. Ses seins, dont elle semble tellement frustrée, les trouvant bien trop petit comme elle me l’a répété mille fois, ce sont les siens… A mes yeux, plus gros ils la changeraient, elle n’a pas besoin de changer quoi que ce soit, Su Nah est la fille parfaite d’autant que son caractère frôle la perfection. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme elle mais encore une fois, je me demande toujours comment elle est avec les autres quand je ne suis pas là. Ne m’a-t-elle pas dit que les hommes ne se bousculent pas au portillon ? Elle ? Si douce ? Si avenante ? Si sensible ? Si… Si parfaite… A croire qu’ils ne la voient pas comme je la vois, qu’elle est différente pour pas qu’ils ne cherchent tous à obtenir sa main… Peut-être est-ce par ce que l’on se connait depuis toujours ? Peut-être est-ce justement pour cela qu’elle est ainsi avec moi… Je prie les Dieux que ce ne soit pas par pitié qu’elle fait tout cela pour moi… Que ce soit pour autre chose, n’importe quelle raison mais surtout pas celle-là, ça serait la chose la plus blessante qui soit d’apprendre qu’elle a pitié de moi…

Elle n’a pas répondu, ni à la raisons pour laquelle elle a acheté ce débardeur, ni à mes mots la jugeant sublimes. Je ne sais pas vraiment comment le prendre, si elle est heureuse, si ça lui fait de la peine, si elle me trouve choquant ? Après tout… je viens tout de même d’avouer que j’aimais la vue sur son décolleté… Ce n’est pas rien. A la place, elle m’emmène dans sa chambre, je déteste quand elle ne me répond pas et pourtant, je ne peux pas la lui reposer, ce serait bien trop gênant. Ainsi, je m’affère, je sais qu’elle veut tester son nouveau massage et sur le contenue, elle a préféré ne rien dire, probablement parce qu’elle n’avait plus envie d’avoir une conversation avec moi, en tout cas, pour le moment… Pourtant, il y a un léger problème que je préfère lui signaler. Son short en Jean… C’est très jolie, je l’avoue mais c’est déconseillé pour moi… Trop de métal, des risques de griffures, légères mais qui peuvent se transformer en flot discontinue de sang et si cela ne me tuera pas, ça me fera passer quelques heures à l’hôpital… Du coup, je le lui dit et elle réagit enfin. Elle s’excuse, se rend compte de son erreur, je trouve ça mignon.

« T’excuse pas, c’est rien du tout ! Et puis il te va bien mieux que tes shorts en côton. A force de te voir avec, je me suis dit que tu ne devais porter que ça. »

J’esquisse un sourire… Oui, c’est une plaisanterie. Mais lorsque je la vois retirer son short à vitesse grand V, je pousse une sorte de « ouf » de surprise. Sérieusement ? Je sais qu’on est les meilleurs amis du monde mais Su Nah… Je suis un homme… Je ne suis plus un petit garçon… Et de la soie en plus… Rose… Sexy à souhait… Avec le petit nœud décoratif devant…Oui avec son débardeur qui lui arrive jusqu’au nombril, je vois tout et pendant qu’elle cherche son short, elle ne semble plus vraiment réfléchir et quand elle s’abaisse, il se passe la même chose qu’avec son débardeur…une vue dégagée et totale. Cette fois… Pas de four micro-onde pour détourner mon regard, cette fois, elle cherche et lorsqu’elle se met à râler en tirant un vêtement qui n’est pas celui qu’elle cherche… elle s’accroupit, avec son dos nu, on la croirait vraiment en sous-vêtement quoique… A mon époque… C’était plus du coton que de la soie… Mademoiselle se fait plus sexy mais pour qui ? Probablement pas pour moi… Elle se relève alors que je suis perdu dans mes pensées et m’annonce qu’elle ne le trouve décidemment pas. Alors quoi ? On annule ? Elle sort sans un mot, probablement pour enfiler un peignoir en soie si elle en a un ou quelque chose comme ça mais finalement… Non ! Je la vois apparaitre toujours en culotte avec les flacons d’huile. Ça veut dire… Attendez ! Ça veut dire qu’elle va me masser dans cette tenue ? Elle me demande de choisir l’huile… A vrais dire, j’ai l’habitude de me faire masser mais je n’ai aucune connaissance des bienfaits de tel ou tel plante. Ainsi, je hausse les épaules mais c’est la phrase suivante qui me fait réagir. Rester ici ce soir ? Dans son lit ou bien dans son appartement ? Après tout, la dernière fois elle s’est bien endormit dans mes bras… Quoique… c’était diffèrent… Elle allait mal… Ainsi, je la fixe… ça la fait chier quand je rentre chez moi ? Je lui fais un sourire.

« Alors je reste ici ce soir, comme au bon vieux temps ou on faisait des soirées pyjamas ! Enfin… Si tu en as envie hein ! Et puis… J’adore te regarder dormir, tu as l’air d’un ange… C’était le cas quand tu avais six ans et bien c’est toujours le cas maintenant… »

Un autre compliment ? Et… Je viens sans le vouloir d’insinuer qu’on allait dormir ensemble… Oula… je dérape sans le vouloir, moi qui suis habituellement si réfléchis. Peu importe, elle vient s’assoir sur mes genoux et pose ses mains sur mon torse. Le contact est froid et en même brulant, je frissonne à nouveau mais cette fois, elle pensera que c’est la froideur de l’huile… Elle propose de commencer comme d’habitude… La détente en premier lieu, je hoche la tête et répond doucement.

« Oui… On fait comme d’habitude… Quand je suis détendu, c’est moins douloureux… C’est même agréable ! »

Moins douloureux… putain pourquoi je lui dis que ses massages me font mal ? Ce n’est pas le cas, en réalité j’ai toujours mal, cela ne s’arrête jamais mais j’ai fini par m’y habituer, c’est devenu presque normal. Pourtant, une mèche de ses cheveux glisse et elle me demande de la remettre, je relève alors un peu mon buste qui se retrouve collée contre son corps alors que je remets sa mèche de cheveux, ma main glissant sur sa joue alors que nos visages ne sont qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.

« Je te remercie… Pour tout ce que tu fais pour moi… »


Je voulais le lui dire… Depuis longtemps, ma main toujours sur sa joue, la caressant doucement, mes lèvres se rapprochent dangereusement des siennes mais dans un éclair de lucidité, elles viennent s’écraser sur un front avec douceur avant que je ne rabaisse pour la laisser commencer son massage.

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 18:56

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Je ne sais pas ce que j’ai vraiment, ni même pourquoi je me sens comme ça. Je me sens … triste ; pourtant je ne devrais pas. Je suis avec lui, on partage un moment rien que tous le deux comme on n’a pas fait depuis un moment.  Lui comme moi nous ne supportons plus les hôpitaux, devoir si rendre trois fois par semaine, devoir supporter cette médication qui devient de plus en plus lourde et de plus en plus contraignante. Sans compter ces nuits qu’il doit passer à l’hôpital. Ces appels que je reçois en pleine nuit et qui m’arrache de mon lit. Je n’en manque jamais un. Ses parents sont loin et ne peuvent pas le rejoindre aussi souvent qu’ils le voudraient, alors ils me confient cette tâche. Quand on les prévient de l’admission de leur fils à l’hôpital, ils m’appellent pour que j’aille avec lui. Combien de fois Ji Ho m’a vu débarquer à l’hôpital la mine encore endormie et des vêtements enfilés rapidement. Je débarque toujours avec quelques barres chocolatés et va le trouver. Je m’en fou que les heures de visites soient dépassée, je suis de la famille. Point barre. Je me glisse toujours dans son lit et m’endors souvent contre lui ou alors dans ce fauteuil quand il va trop mal. J’en ai des courbatures mais ça n’a pas d’importance. Je veux juste … qu’il ne soit pas seul quand il vit ça. Je ne peux pas toujours être là pour lui et ça me tue. Quand j’apprends qu’il était à l’hôpital, encore, mais que je n’ai pas pu me libérer pour y aller. Je déteste ça, je vous jure je déteste ça … Je sais que souvent, il refuse de me dire qu’il y est parce que la situation n’est pas grave, qu’il ne veut pas que je laisse tout en plan pour venir me voir, mais merde qu’est-ce que je peux haïr quand il me le dit après coup. Je ne suis pas près de lui par pitié, mais parce que je l’aime, parce que j’ai besoin de lui et parce que je ne veux pas le perdre … C’est bête mais depuis qu’on est petit, chaque fois qu’il doit rester confiner chez lui ou à l’hôpital je m’arrange pour être avec lui, je me dis que tant que j’ai mon regard rivé sur lui, personne ne viendra me le piquer. Personne. Je refuse de le perdre et tant que je serais à ses côtés je sais qu’il ne m’abandonnera jamais. Il n’a pas le droit.

Il reste ce soir, et ça m’arrache un sourire, je suis contente qu’il soit là. J’ai besoin de lui je crois. J’éclate de rire doucement en l’entendant prononcer ces mots. Et secoue la tête gênée mais attendrie « Ne dis pas n’importe quoi … je suis sûre que je bave. » Je me mordille la lèvre inférieure pour croquer mon sourire. Depuis quelques minutes j’ai l’impression de moins parler. Il déteste ça quand je ne parle pas, parce qu’il sait, parce qu’il se doute que quelque chose ne va pas. Et à cet instant je me hais de me sentir comme je me sens. C’est comme si je n’arriverais pas à sourire ce soir. Comme si j’avais quelque chose sur le cœur qui me pesait. En réalité, depuis que j’avais coupé les ponts avec Young Ja j’avais ce poids sur le cœur. Pas celui qui me pousse à envoyer des messages à mon ex pour lui dire qu’il me manque, au contraire, j’ai tiré un trait sur lui, mais je cherche ce qui ne va pas chez moi. Pourquoi est-ce que les hommes que j’aime finissent par me repousser. Est-ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez moi ? Ce n’est pas le physique, alors quoi ? Peut-être que j’aime trop ? Peut-être que j’aime mal ? J’ai toujours tout donné à Ji Ho mais il préférait me voir comme une amie quand moi je crevais d’amour pour lui. C’était dur. Putain Ji Ho c’était dur tu sais … C’était dur de devoir me contenter de toi comme tu le faisais … Je t’aimais comme jamais personne ne sera capable de t’aimer tu sais. Je t’aimais même avec ta maladie, je t’aimais avec ou sans, moi je t’aimais pour celui que tu étais, pour celui qui voulait bouffer le monde et qui se sentait si étriqué dans ce corps qui fatiguait trop vite. Tu te souviens. Tu rêvais de voyager à Tahiti pour voir les plages du monde mais tu n’es pas capable de pouvoir le faire, alors j’ai transformé ton jardin en plage improvisé. J’ai monté une piscine gonflable et j’ai mis du sable un peu partout après avoir dessiné et colorier des palmiers grandeur nature sur une fresque. Des noix de coco et de la musique. C’est ce que tu as trouvé en rentrant, je t’attendais en maillot de bain, toute souriante, avec un collier de fleur. Tu vois comme je t’aimais ? Si tu ne pouvais pas aller à la rencontre du monde, le monde viendrait à ta rencontre. N’importe qui aurait pu trouver ça minable, pas suffisant, mais moi j’ai voulu te montrer que tu n’étais pas juste Ji Ho le malade, mais que tu étais Ji Ho l’aventurier …

Dis moi ce que j’ai fait de mal Ji Ho … J’ai l’impression d’être une égoïste en pensant à tout ça. Je devrais juste mon concentrer sur toi, sur ce que tu ressens, sur tes douleurs et ce que je peux faire pour te soulager, au lieu de ça je laisse mes vieux démons se réveiller des années après avoir réussis à les endormir, parce que j’ai laissé un homme me briser le cœur à nouveau. Tu sais à quel point ça m’a fait mal Ji Ho ? J’avais le cœur en miette quand il a rompu avec moi il plus d’un an, et toute ces fois où, indécis, il ne savait plus s’il devait m’aimer ou me détester … Mais j’ai tenu bon, j’ai tenu bon grâce à toi et si je pleurais, c’était en silence, sous ma couette, loin de toi pour ne pas te faire de mal. Mais tu vois, t’es ma raison de tenir encore debout. Et moi, la seule chose que je veux c’est que tu m’embrasses et que tu me dises que tu m’aimes parce que je suis en manque cruelle de ton amour. Tu ne me trouves pas ridicule ? Parce que moi si putain … Je me sens tellement … tellement idiote. Alors quand il me remercie j’ai presque envie de pleurer et de me jeter à son cou. Au lieu de ça, je lui souris tendrement en penchant ma joue sur le côté pour la lover dans sa paume. « Si je le fais c’est parce que je t’aime Ji Ho » murmurais-je dans un souffle, pas le moins gêné du monde par ce que je viens de lui dire. Il peut le prendre comme bon lui semble, je sais juste que je l’aime et si ce n’est pas d’amour, mon amitié y est équivalente. Je ferme les yeux quand il m’embrasse sur le front. Et si je ne veux pas que l’émotion me gagne, je ferais mieux de commencer à masser. Je le repousse doucement pour qu’il s’allonge parce que je sens ma gorge se serrer. Je commence à masser son torse, pensive, le regard sur son corps que je connais par cœur. Chaque cicatrice qu’il a pu se faire et la peur que ça a causé. Je descends le long des bras en appuyant sur les épaules pour le détendre et lui murmure « je suis désolée si je te fais mal pendant mes massages Ji Ho … » je pince mes lèvres, désolée, et lève mon regard vers lui. Ce qu’il m’a dit ne m’a pas échappé. Je remonte dans le creux de son cou que je masse doucement avant de descendre sur son torse, puis sur son ventre que je viens effleurer doucement. Je descends le long de ses hanches jusqu'à sentir le tissu du boxer sur mes poignets. Je remonte sur ses côtes puis je redescends. Je soulève doucement mon bassin pour coller mes cuisses et me rapprocher de lui. J'ai besoin de prendre de la hauteur, je suis penchée au dessus de lui mais c'est plus facile pour masser les muscles du haut de corps. J'attrapre un bras que je fais glisser entre mes mains habiles. Arriver à la paume je dépose un baiser dessus, malicieux puis me penche pour attraper l'autre bras et faire la même choses. « Ca va petit cœur ? »


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 19:25

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Je ne sais pas pourquoi je dis ça, mais avec ma thérapie sexuelle comme je l’appelle, avec Haneul, je dois dire que niveau pratique, je me suis sacrément amélioré. Ce n’est pas simple de faire l’amour ou encore de baiser avec une femme quand la moindre de ses griffures peut vous envoyez à l’hôpital. Haneul ne sait rien de moi, ni de ma maladie alors c’est probablement pour cela que je me lâche un peu plus, que je me sens enfin vivant, enfin normal… J’ai appris à me maitriser, à esquiver des mains trop baladeuses dans mon dos pour m’éviter tout soucis tout en donnant du plaisir à ma partenaire car oui… Avec Su Nah ça a toujours été ma hantise, j’ai toujours eu peur de ne pas lui donner assez de plaisir. Après tout, j’étais son premier elle n’avait pas eu moyen de comparer mais maintenant… Je n’en avais aucune idée, on ne parlait jamais de cela bien que je sais qu’avec son idole alias monsieur connard, je me doute qu’ils n’ont pas fait que jouer au Monopoly. Du coup… Avec lui… Est-ce qu’elle ne s’est pas dit que coucher avec un handicapé tel que moi était en réalité… Ennuyeux ? Je ne peux le dire… A cette époque, il était régulier qu’elle me chevauche pour m’éviter trop d’efforts, elle se donnait du plaisir toute seule en quelque sorte et à y repenser… J’ai vraiment l’impression de n’être qu’un nulle… A croire que je n’aurais jamais réussi à lui prouver combien elle est importante pour moi… Et pourtant… Si elle savait que les meilleurs massages qu’elle m’a offert c’est quand nous faisions l’amour… Elle n’aurait surement pas suivit ce stage pour apprendre à masser les gens souffrant de pathologie comme la mienne…

Pourtant, ce soir, c’est un massage normal, c’est ce que je dois garder en tête, il y a peut-être une nouvelle technique mais ça restera classique, il faut que je laisse ce passé derrière nous… Elle est là pour me soulager… Rien de plus… Après on se fera une soirée télé et demain je rentrerais avant de la bombarder de SMS, c’est ainsi que ça doit se passer et ça se passera ainsi. Du moins… Jusqu’à ce que je lui fasse la remarque concernant son short et qu’elle ne se décide à l’enlever sans crier gare, me dévoilant une culotte que je ne lui connaissais pas, en soie rose… C’est ce que monsieur connard aimait comme couleur ? Non… Jamais je ne lui poserais cette question et pourtant… J’ai tellement envie d’en savoir plus sur sa vie amoureuse ou sexuelle… Lui demander si finalement, je n’étais pas trop mauvais… N’est-ce pas totalement ridicule et humiliant ? Probablement mais ces deux sentiments font partis de ma vie depuis si longtemps… Je ne sais plus quoi faire ni quoi dire désormais et pourtant, alors que je remets doucement sa mèche derrière son oreille, mon cœur se met à battre plus fort, elle doit le sentir car je suis collé à elle et pourtant, une fois encore, j’arrive à résister et c’est sur son front que je déposer un doux baiser. Elle me sourit, colle sa joue contre ma main et puis… Elle lance ce que je pourrais appeler une véritable petite bombe si ses paroles n’étaient pas si… vagues… Ou plutôt parce que je les interprète ainsi.

Elle fait ça par amour ? Non par pitié mais parce qu’elle m’aime ? Je le savais depuis longtemps mais je ne pensais pas que ce sentiment était toujours présent en elle. Elle m’aime mais est-ce de l’amour ou de l’amitié ? Je ne saurais le dire, je pense qu’elle-même ne saurait le dire. Elle s’est retenue pendant tant d’années et elle me dit ça ce soir… Ce fameux soir ou elle m’attire plus que de raisons… Je la fixe, je ne sais pas quoi répondre… Je ne peux pas lui briser le cœur en lui mentant mais je ne peux pas lui dire la vérité de peur que tout recommence et que je la rendre malheureuse à nouveau. Ainsi, je la fixe et murmure timidement.

« Je t’ai toujours aimé Su Nah… Et je t’aime toujours… Tu as toujours été là pour moi… Tu sais… Si on a rompu ce n’était pas parce que je n’avais pas de sentiments, c’est juste que je veux te garder près de moi pour toujours… »


Sacrée déclaration quand on me connait… Mais au moins je pense avoir réussi à la rassurer sans lui avoir donné trop de faux espoirs, comme si être en couple pouvait déraper, nous éloigner… Je lui faisais comprendre les raisons sans vraiment tout lui dire… Finalement c’était mieux ainsi… Elle commence son massage, parcours mon torse avec habilité, se joue de mes épaules puis de mes bras et s’excuse de me faire mal. Je lui souris doucement, elle est vraiment trop mignonne.

« Ce n’est rien, la douleur est toujours présente peu importe ce que je fais… Toi tu permets de la calmer… Je ne te remercierais jamais assez pour ça. »

Elle reprend, imperturbable et masse mon cou puis ma nuque, je frissonne en sentant ses mains sur mes hanches et frémis lorsqu’elle soulève son bassin avec agilité, elle est presque à quatre pattes sur le côté, son décolleté plus frappant alors que sa tenue tombe en avant, dévoilant ses hanches, cette vision crée en moi une chaleur presque intenable avant de comprendre ce qu’il se passe. C’est de l’excitation… Et mon corps réagit… Mon Dieu, mon sexe grossit lentement mais surement dans mon boxer… Que se passera-t-il quand elle s’en rendra compte ? Elle joue avec mes mains, y dépose un baiser, me demander si je vais bien. Je pousse un soupir…

« Oui… ça va… Su Nah… »


Je ne dis rien d’autre… Voulais-je dire « embrasse-moi » ou bien « rhabille-toi ? » Mon cerveau st confus et je ne sais plus quoi faire, la seule chose dont je me rends compte c’est que je ne peux faire disparaitre cette excitation qui s’est terré au fond de mon âme pendant toutes ces années…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyDim 27 Juil - 22:16

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Ses mots … je crois que j’ai attendu plus de 5 ans pour les entendre. Je n’y étais pas préparé. Je ne sais pas quoi en penser, ni comment les encaisser. Pourquoi maintenant ? Pourquoi comme ça ? J’ai le cœur fou et j’ai mal au ventre. J’ai le cœur au bord des lèvres et la gorge serrée. Tu vas juste encaisser Su Nah. Ne cherche pas à comprendre, il t’aime, comme il t’aime depuis des années voilà tout. C’est normal qu’il tienne à toi. Vous avez passé votre vie ensemble, et ce n’est pas un euphémisme. C’est normal qu’il te considère comme le pilier de sa vie. Alors oui c’est normal qu’il te dise qu’il t’aime. C’est normal qu’il … qu’il veuille te garder pour toujours … C’est normal qu’il … soit comme ça. N’y pense pas, ne te laisse pas gagner par l’émotion. Sourit. Hoche de la tête et soit forte. J’ai les doigts qui tremblent quand je caresse sa peau, c’est plus fort que moi. Sa déclaration si soudaine me laisse … elle me laisse sans voix. Je n’y arriverais pas à faire semblant. Je continue de le masser, parce que c’est pourquoi je suis douée. C’est ceux pour quoi il est venu. Parce qu’il en a besoin. Parce qu’il aime ça, parce que ça lui fait du bien. Il vient de me le dire. Je ferme les yeux, ses mots tournent en boucle dans ma tête. S’il m’a quitté c’est pour me garder pour lui toute sa vie ? Ce n’est pas logique Ji Ho, ce n’est pas logique de m’éloigner de toi si tu m’aimes … t’avais pas le droit de faire ça. C’est égoïste. Et ça m’a fait tellement de mal … si tu savais … Mais c’est trop tard pour lui dire tout ça maintenant. Ce n’est plus le bon moment. Et il ne comprendrait pas. Il ne pensait pas à mal il voulait juste … me dire qu’il m’aimait ? Oui, qu’il tenait à moi à tel point qu’il avait peur de me perdre. C’est la seule chose que j’avais finis par retenir avec les temps et c’est tout ce que j’avais le droit de lire sous sa phrase. De toute façon il ne me donnera jamais plus … et aussi égoïste que ça puisse être, je n’ai pas envie qu’il me donne la moitié, enfin … Je ne veux pas avoir juste du sexe dans notre relation si jamais on en arrivait à là. Moi je veux qu’il m’aime, comme il aimerait la femme de ses enfants … et si on n’a pas d’enfants tant pis. Moi je ne veux que lui … Mais je crois qu’il ne l’a jamais compris ou qu’il n’était pas près à faire ce sacrifice pour moi. Enfin, je veux dire, que je fasse ce sacrifice pour lui …

Je remonte sur ses épaules et appuie un peu plus fort sur ses muscles pour les détendre. Il est tendu, plus que d’habitude. Je relève mon visage vers lui pour regarder son expression. Il a l’air … contrarié ? Comme si quelque chose le gênait. Peut-être que je vais trop fort ? Peut-être que je lui fais mal ? Je m’arrête, lève mes mains et le fixe. « Quelque chose ne va pas … ? » je penche la tête sur le côté en me rasseyant sur mes pieds. Je réfléchis quelques instants avant de lui dire. « Hm, c’est vrai que le lit ce n’est pas très confortable. Pour ça, je veux dire. » J’esquisse un sourire avant de me redresser et de l’enjamber d’une cuisse pour m’asseoir sur son ventre. Taquine je baissais mon regard vers lui et lui dit « Ne te plains pas parce que je suis assise sur ton ventre hm ! Tu n’es pas fait en sucre et je suis légère comme une plume ! » C’était ça aussi ma relation avec Ji Ho, quand tout le monde de son entourage qui connaissait sa maladie le prenait avec des pincettes moi j’arrivais avec mes gros sabots pour leur montrer que mon petit homme était plus fort qu’on pouvait le croire. Il supportait beaucoup c’est vrai, mais il fallait arrêter de croire que le vent allait le casser. D’ailleurs une fois je m’étais engueulé avec sa mère. Elle trouvait que j’étais trop brusque avec lui, que je ne devais pas grimper sur son dos pour qu’il me porte, que je ne devrais le faire rentrer aussi tard juste pour passer du temps à la belle étoile, que je ne devrais pas le faire rester trop longtemps dans la piscine avec lui et que surtout je m’ôte cette idée folle de la tête de vouloir lui faire apprendre le vélo … Et moi ça m’étouffait de voir à quel point elle enfermait son fils dans une bulle de le peur de le perdre … Je ne me suis pas démonter et je lui ai balancé au visage, du haut de mes 20 ans qu’elle ne pourrait pas empêcher son fils de mourir en le privant de vivre. J’ai reçu une gifle. Mérité, je vous l’accorde, mais c’est sa liberté que j’ai protégé bec et ongle.

Ji Ho n’est pas faible. Ji Ho est fort, c’est un homme puissant que personne ne semble remarquer. Mais moi je le vois, moi je vois au-delà de sa maladie. Moi je veux voir l’homme qu’il est, l’homme qu’il cache derrière ses airs. Je veux … je ne veux que son bonheur. Et rester enfermer chez lui ne lui réchauffe pas la poitrine. J’attrape un coussin pour lui caler sous la tête et croise son regard. je lui souris avant de me pencher doucement vers pour déposer un baiser doux à la commissure de sa lèvre. Le seul endroit que je m’autorise, cette seule limite que je ne franchirais pas. « On passe aux jambes ? » Et sans avoir conscience du problème majeur qui se tramait dans son boxer je reculais pour m’asseoir sur le matelas. A vrai dire, je ne lui laissais pas vraiment le choix ni ne le temps de répondre. Je m’assis entre ses jambes et passa sa gauche entre les miennes. Nos jambes s’entremêlaient pour me laisser libre accès à toute sa jambe gauche que je me suis mise à masser. Je commençais par son pied, puis je remontais jusqu’à son mollet, instant sur les nœuds que je pouvais sentir, puis arriva au genou, la partie sensible que je massais doucement. Je ferais l’autre massage plus tard. Je m’approchais de lui, faisant glisser mon bassin jusqu’au sien sur le matelas. Je glissais sur l’extérieure de sa cuisse avant de remonter vers l’intérieure. Le boxer était toujours ma limite, mais cette fois ci je glissais ma main sous l’élastique de la jambe, pas de beaucoup, juste assez pour atteindre le haut de sa cuisse. Je ne frôlais rien d’intime. Je savais faire à attention à ce genre de chose, même si j’étais proche. Mes pouces massaient sa peau alors que mon corps s’approchait de celui de Ji Ho. « T’as vraiment l’air tendu en ce moment, qu’est-ce qu’il y a ? » je le regardais en massant sa cuisse. J’avais l’impression que quelques choses l’empêchaient de se détendre mais je n’arrivais pas à le comprendre. Pourtant, la preuve était juste sous mes yeux. Mais trop obnubilé par mes pensées et mon massage je n’ai pas fait attention …


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 6:03

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Etais-je prédestiné à a la voir aujourd’hui ? Je veux dire… J’ai évoqué plusieurs fois une sorte d’obsession la concernant, un manque à combler, un besoin de passer du temps avec elle. Habituellement, c’est mon amitié qui me guide mais pas cette fois… Alors… Pourquoi avais-je céder à ce caprice de mon cœur alors que habituellement, mon esprit contrôle tout, enfermant cette pompe à battement dans une boite à double tour. C’était donc avec les pires ou bien les meilleures intentions du monde, question de point de vue, que je lui avais demandé un massage en étant certain qu’elle me dirait oui. Je ne savais pas si je me lançais un défi de lui résister ou si j’avais simplement envie de tout lui céder surtout la connaissant… Si Tactile… Le risque avait été grand et désormais, je comprenais que Su Nah n’était pas que ma meilleure amie, elle était mon obsession, mon fantasme, mon amante, ma maitresse, mon épouse… Et pourtant… Je ne pouvais le lui montrer, je ne pouvais faire comme elle en la couvrant de baiser, elle pourrait prendre cela comme une volonté de ma part de reformer notre couple. Alors je suis un peu maladroit mais je fais attention aux surnoms que j’utilise, aux endroits où je pose mes mains sur sa peau et pourtant… Face à ses mots, face à ce qu’elle vient de m’avouer, les mots tombent… Je lui dit l’avoir toujours aimé, l’aimer encore et que je veux la garder près de moi pour le restant de mes jours. Je ne sais pas ce qu’elle en pense, comment elle le prend, je ne lui aie jamais dit « je t’aime » je crois que même durant notre relation, je ne lui ait pas dit… Je pense qu’elle l’attendait… Qu’elle voulait savoir mais maintenant… N’ai-je pas ouvert la boite de Pandore en me voulant totalement sincère avec elle ? Encore une fois… Elle ne dit rien… Je déteste cela mais elle est comme ça, je ne vais pas lui demander de changer alors qu’elle fait déjà tout pour moi.

Son massage commence alors, comme si je n’avais rien dit, comme si ces mots qui semblaient avoir touché son cœur n’avait jamais existé, ses mains, douces et agiles caressent mes épaules dans le but de me détendre mais pour la première fois, c’est bien le contraire qui se produit, chaque touché de sa part me rend plus tendu, elle s’en aperçoit rapidement et me demande si quelque chose ne va pas… Elle est à quatre pattes à côté de moi, son décolleté presque collé contre mon visage alors que je distingue les courbes parfaites de ses hanches et de ses cuisses… Le pire, c’est qu’elle aurait eu la réponse en regardant un peu en bas car oui… J’étais excité et mon sexe avait rapidement tourné de l’œil, se faisant plus imposant dans mon boxer. Essayant donc de cacher cela, je murmure doucement.

« Tu sais les partiels arrivent bientôt… Et avec mes séjours à l’hôpital… j’ai peur de tout planter… »

Bon ce n’est pas faux mais avec tous les problèmes que j’ai, je ne suis pas du genre à stresser pour mes cours. A côté de cela, je ne peux pas lui dire qu’elle me rend fou et que l’envie de la posséder de nouveau ne fait que progresser peu à peu dans mon esprit. Elle semble également penser que c’est à cause du manque de confort de son lit, puis me propose de changer de position, s’asseyant sur mon ventre, se disant légère comme une plume alors que je sens parfaitement son fessier et la douceur de la soie contre mon corps. Je tourne la tête un instant pour ne pas la regarder et murmure calmement, du moins… J’essaye…

« J’aime t’entendre dire que je suis pas en sucre. »


Je lui souris, j’aime quand elle ne me traite pas comme un handicapé, comme un type en cristal qui risque de se briser au moindre geste. Bien évidemment, je prends des précautions mais les gens et en particulier mes parents ne me touchent plus du tout, de peur de provoquer en moi des saignements… Du coup, je n’ai pas spécialement envie de les voir, le téléphone suffit, de toute façon on n’a pas de contacts physiques alors bon… Je sors de ma torpeur quand elle prend un coussin pour relever ma tête alors qu’elle s’abaisse lentement, déposant un baiser sur la commissure de ses lèvres. Je me rends alors soudainement compte que j’en voulais plus… Que mes lèvres en réclament bien plus, qu’elles veulent sentir ses sœurs jumelles contre elle, plus longuement… Je suis perturbé et quand elle me propose de passer aux jambes, je lui fais signe que c’est bon pour moi alors qu’elle change à nouveau de position.

Elle se recule, s’asseyant entre mes jambes, elle vient attraper cette partie qu’elle souhaitait masser alors que nos peaux, l’une contre l’autre se touchent, j’en ai presque la chair de poule. D’abord le pied, puis le mollet, elle agit avec une rigueur presque militaire, alors qu’elle vient coller son bassin contre le mien, m’offrant une vue encore plus somptueuse sur son décolleté, assez pour savoir que le soutien-gorge était assortit avec la culotte tandis que de la savoir dans cette position me rend encore un peu plus excité… J’essaye de le contrôler, de repenser au dernier épisode de The Walking Dead que j’ai vu pour vite débandé malheureusement… Cela ne marche jamais quand on en a besoin. Surtout avec ses mains sur mes cuisses, je commence à suffoquer alors qu’elle passe sous mon boxer sur le haut de ma cuisse alors qu’elle me fixe, me demandant ce qu’il se passe, ayant l’air inquiet. J’avais presque du mal à respirer, et la fixe… J’ouvre la bouche mais ne dis rien… Bordel…. Il faut que je me calme…

« Je… Enfin… Su Nah… Je peux vraiment tout te dire ? Tu me jures que tu ne seras pas fâché ? Que tu ne changeras pas d’avis sur moi ? »

J’attend sa réponse bien que je la connaisse… Ainsi… Puisque je suis incapable de le dire avec des mots, je passe ma main sur la sienne qui se trouve à l’intérieur de mon boxer et la guide lentement, remontant doucement afin qu’elle découvre ce sexe durcit par l’envie, le plaisir… Par elle... Par sa présence… Je ne pouvais pas lui dire « j’ai envie de toi… » Elle voulait savoir ce qui me tracassais… Maintenant… Elle le sait… Et vous savez quoi ? Je suis désormais plus rouge qu’une tomate… Oui… J’ai honte… J’ai envie de chialer tellement je me trouve ridicule mais ce qui est fait est fait…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 8:41

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Les cours. C’est vrai que j’avais oublié depuis bien longtemps la pression des examens. Avec le boulot et le quotidien un peu routinier qui s’en était suivis, j’avais eut vite tendance à ne plus me souvenir de ce que ça représentait. La fatigue, la pression, la crainte de ne pas réussir, la sensation que tout ce jour sur le coup, tel jour, en tentant de donner le meilleur de nous même. C’est dur et un travail de longue haleine, mais j’étais certaine que Ji Ho n’avait pas de soucis à se faire de ce côté ci. On va dire que si Dieu existe il a été clément avec lui et lui a accordé certaine facilité. Ji Ho est quelqu’un de très intelligent, qui n’a pas besoin de bosser pendant des heures pour arriver à un résultat satisfaisant. Il a une très bonne mémoire qu’il sait utiliser à bon escient. Il est comme ça Ji Ho, il peut tout retenir, et je me revois entrain de réviser dans sa chambre quand nous étions encore au lycée. J’avais un mal fou à retenir mes cours, à comprendre les théorèmes et à les appliquer. Alors il prenait toujours sno temps pour m’expliquer, il récitait ces dates par cœur et ces définitions après ne les avoir lus qu’une ou deux fois. C’était aussi impressionnant que frustrant je dois l’avouer. Mais pour aujourd’hui ça ne me rassurait, je savais qu’il réussirait, il réussit toujours. J’esquissais un sourire en coin en me disant qu’à sa place j’aurais sûrement d’avantage balisé. Mais c’est vrai qu’avec tout ce qu’il doit gérer, penser au cours ne doit pas être une partie de plaisir, surtout avec la tonne de devoir qu’il doit rendre. Et puis … vu comme il cachait sa maladie à tout le monde, il devait redoubler d’effort et d’attention quand les gens ne faisaient pas attention avec lui. Mais je crois qu’il préférait ça plutôt que de voir un amphi entier s’écarter de lui, de peur de lui faire mal. Comme un lépreux qu’on ne voudrait pas toucher. Cette situation c’est déjà produite quand nous avions 18 ans, et je refuse qu’il la revive. Et lui aussi … Alors c’est vrai que ces journées devaient être épuisantes … C’est d’ailleurs pour ça que je lui proposais régulièrement des massages.

« Tu t’en sortiras comme un chef Ji Ho, je t’aiderais si tu veux, comme je peux et de la façon que tu veux ! »Je me revois encore lui apporter du café et m’endormir sur son lit quand il révisait pour ses premiers partiels. Je passais toujours beaucoup de temps avec lui alors il n’était pas rare qu’on soit souvent ensemble et qu’il devenait difficile de trouver un souvenir où nous n’étions pas ensemble. J’essaye de ne pas faire fit de son attitude, quelque chose le tracasse et j’arriverais bien à lui tirer les vers du nez. Il est étrange depuis qu’il est arrivé tout à l’heure et je dois avouer que ça me fait peur … Comme si il avait quelque chose à m’annoncer. Et je déteste ça. Parce que j’ai toujours peur que ce soit une mauvaise nouvelle … Et si … Mon cœur rate un battement quand je l’imagine me dire que sa maladie à progressé d’un stade et qu’il va de plus en plus mal. Je crois que je ne suis pas prête à entendre ça. c’est peut-être pour ça qu’il fuit mon regard depuis qu’il est là ou qu’il semble si gêné. Putain, si c’est ça je promets de ne pas pleurer mais … mais j’en sais rien en fait. C’est comme si je n’étais pas d’humeur à apprendre une mauvaise nouvelle le concernant. Vous pouvez tout me dire, même me dire que je perds mon job ou mon appartement, j’encaisserais et je rebondirais. Mais ne me dites pas que je risque de le perdre lui … Mon cœur ne le supporterait pas. Je continue mon massage progressant sur son corps et sur ses jambes méthodiquement, minutieusement. D’habitude il se laisse aller, on parle peu, il profite juste et je peux l’aider à se détendre progressivement. Mais aujourd’hui il y a trop de choses qui tournent dans sa tête et qui le rendent contrarié. Je relève mon regard vers le sien quand il me murmure cette phrase. Je sais mon cœur … Je sais que tu aimes quand je te dis ça parce que c’est la vérité. Je l’ai toujours vu comme un géant à mes yeux. C’était mon chevalier et il n’a pas besoin d’aller combattre des dragons pour ravir mon cœur. Un seul de ses sourires suffit.

« Je… Enfin… Su Nah… Je peux vraiment tout te dire ? Tu me jures que tu ne seras pas fâché ? Que tu ne changeras pas d’avis sur moi ? » Je le savais … Mon cœur rate un battement. Il a quelque chose à me dire et tout passe dans ma tête en une fraction de seconde. Est-ce qu’il a trouvé une petite amie ? Est-ce qu’il veut déménager ? Aller à Séoul ? Est-ce qu’il … sa maladie ? Non ça ne peut pas être sa maladie, je ne serais pas fâché après lui … c’est juste que … Non ça ne peut pas être ça. Alors l’idée qu’il s’est trouvé une fille me taraude, bien que je ne voie pas pourquoi il m’annoncerait ça comme ça … Ou alors … est-ce qu’il est gay ? Tout est possible, tout est possible dans mon esprit à cet instant sauf ça. Quand il m’attrape la main, je me laisse faire, je ne saisis pas tout de suite ce qu’il s’apprête à faire … Ce n’est que lorsqu’il me fait caresser son membre durcie que je réalise ce que je suis entrain de faire. Pendant un quart de seconde je baisse mon regard vers cette bosse sous son boxer, là où ma main disparait. Je resserre mes doigts dans un spasme de crispation et me recule brusquement à l’autre bout du matelas comme si je m’étais brûlé. « Qu’es-ce que … qu’est ce que ça veut dire ?! » Jamais je n’ai vu Ji Ho perdre son sang froid comme ça … Je l’ai toujours massé, pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi comme ça ? Ca ne me dégoute pas, ça ne me répugne pas, ça me surprends juste et d’y avoir touché, je dois avouer que c’est juste une façon brutal de voir les choses. Je me redressais en voyant son expression perdu et totalement désemparé. « Attends Ji Ho … excuse moi …. C’est juste que je m’y attendais pas … je … je pensais que tu allais m’annoncer que tu avais trouvé quelqu’un à nouveau et je … je ne pensais pas que tu … » puisses avoir du désir pour moi ? Aussi soudainement je veux dire … Je déglutis en m’approchant de lui à quatre patte et vient m’assoir à côté de lui sans oser le regarder. Nous étions tous les deux face à mon armoire et mon cœur se mit à battre à tout rompre alors que je lui murmurais « c’est moi qui… » qui t’excite ? Putain, on a déjà couché ensemble, ce n’est pas comme si on ne se connaissait pas, mais le contexte est tellement … tellement différent que je ne sais pas comment réagir …



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 9:16

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

L’erreur… C’est peut être comme cela que je devrais qualifier mon geste… Après tout, pour quelqu’un qui ne veux pas briser le cœur de sa bien-aimée, la conduire jusqu’à mon sexe pour lui faire constater que je suis excité n’est pas vraiment la meilleure des choses à faire, surtout avec sa meilleure amie qui vous prend probablement encore pour un enfant en vous offrant une vue multiple sur son décolleté plongeant, en se baladant en culotte et en se collant à moi constamment… Après tout, n’avait-elle pas dit qu’elle avait acheté son débardeur pour moi ? Etais-ce ce qu’elle voulait vérifier ? Si je pouvais lui résister ? Si j’étais devenue insensible à elle ? Non… Ce n’est pas son genre… Enfin… Comme je l’ai dit à plusieurs reprises, elle vient de vivre une rupture difficile, peut-être avait-elle juste envie de voir si elle était toujours capable de séduire ? Et quoi de mieux que son meilleur ami qui a préféré rester ami que de continuer une histoire d’amour plus que parfaite pour cela ? Oui… Sauf que je suis un homme… Un homme qui a des besoins… Un homme qui l’aime plus que tout au monde et qui a besoin de lâcher du leste, du moins… Aujourd’hui… Pour la suite… on verra si je suis capable de remettre mon masque de froideur comme je l’ai si souvent fait… J’invoque alors l’excuse des cours et comme d’habitude, elle se porte volontaire pour m’aider. Elle est vraiment mignonne alors que son patron la fait bosser des semaines durant, je me vois mal la priver de sommeil pour des partiels que je réussirais probablement en passant une semaine à tout relire. Je lui souris avec douceur, lui démontrant combien j’apprécie son offre.

« Tu viendras chez moi après le travail ? On pourra bosser ensemble et tu pourras dormir sur place pour aller bosser le lendemain, histoire que tu puisses te reposer ! »


En fait, je ne peux pas lui dire « non » sinon elle pensera que je n’ai plus envie de la voir, qu’il y a quelque chose, je la connais, elle s’inquiète pour un rien et si depuis que je suis à la FAC on révise ensemble, louper mes examens risquerait de lui faire penser que je n’ai plus envie d’être avec elle, disons que c’est comme une sorte de rituelle qui a lieu chaque d’année depuis notre sortie du lycée. Pourtant, ce ne sont pas les cours qui me mettent dans pareil état, à vrais dire, c’est une excitation puissante et soudaine pour elle, pour son corps, pour ses formes, comme si en simple adolescent je me retrouvais pour la première fois avec une femme en tenue sexy… Mon sexe réagit, elle ne s’en aperçoit pas, elle continue. Dans ses conditions, je ne pourrais jamais revenir à la normale si elle entretient cette envie que j’ai la concernant. Ainsi, à force de questions et parce que je sens que je risque de faire une bêtise si elle continue, je lui pose une question, lui demandant si je peux vraiment tout lui dire, de ne pas se fâcher, de ne pas me juger. Elle ne répond pas bien que son visage le fasse pour elle et au lieu de dire quelque chose, tout simplement parce que je ne sais même pas donner un mot sur ce que je ressens, je prends sa main sur ma cuise et la fait légèrement remonter de sorte à se retrouver sur ma queue brulante de désir.

Woaw… Elle semble surprise… Elle se laisse faire, regarde la bosse de mon boxer puis, appuie sur mon membre de façon choqué comme si elle venait de comprendre ce qui venait de se passer avant de se reculer à l’autre bout du lit. Je passe ma main sur mes yeux… J’ai honte… D’autant que c’était certain qu’elle allait réagir comme ça… Qu’est-ce que je pensais… Enfin… C’était ça ou bien elle risquait de s’en apercevoir. Pourtant, sa réponse me mis mal à l’aise. Ce que ça voulait dire ? Elle le savait pourtant, elle n’avait tout de même pas envie que je lui fasse un dessin quand même ? A vrais dire… Je ne sais absolument pas quoi lui répondre et me tais, les yeux baissés fixant le matelas. Elle se redresse alors et… S’excuse ??? Ce serait plutôt à moi de le faire vous ne pensez pas ? Elle continue, pensant que j’allais lui annoncer une autre nouvelle avant de ne pas finir sa phrase comme elle en a l’habitude mais disons que j’ai un sixième sens pour ça alors... je comprends ou elle veut en venir. Elle ne pensait pas que je pouvais la désirer… Je relève doucement la tête et murmure…

« Ben… Euh… Excuse-moi d’avoir été si… démonstratif… »


Non, je ne pouvais pas lui répondre clairement, je ne pouvais que me morfondre en excuse et pourtant, je la voyais avancer à quatre pattes, m’offrant à nouveau une vue imparable sur son décolleté alors qu’elle s’assoit à côté de moi, fixant tout comme moi son armoire… ravissante vue n’est-ce pas ? Elle prend à nouveau la parole me demandant si c’était elle qui…. Qui m’excitait ? Oui je finissais ses phrases et pourtant, je prends mon temps pour répondre, incapable de trouver les mots.

« Oui… C’est toi qui… »


J’ai l’air stupide à ne pas finir mes phrases pourtant, je décide de franchir un pas supplémentaire, de toute façon ça ne peut pas être pire que la situation dans laquelle nous sommes actuellement. Ainsi, je pose ma main sur sa joue pour qu’elle me regarde et c’est droit dans les yeux que j’ouvre la bouche pour parler mais aucun son ne sort… non à la place mes lèvres se rapprochent des siennes pour l’embrasser d’abord délicatement puis avec un peu plus d’envie, ma langue tentant de passer la barrière de ses sent alors que je murmure contre ses lèvres.

« J’ai envie de toi… Je sais que c’est mal mais depuis quelques jours je ne pense qu’à toi… Tu m’obsèdes… Repousses moi s’il te plait… Ne me laisse pas te faire ça… Tu mérites tellement mieux… »

Je sais que je ne pourrais pas stopper ce que je viens de débuter… Je ne veux pas la faire souffrir, pas encore… Qu’elle me repousse… Qu’elle arrête de faire ça pour me faire plaisir… C’est à elle de faire ses choix, pas à moi… Cela suffit…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 10:05

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Comment les choses ont-elles pu tourner comme ça ? Je veux dire, hier encore on s’envoyait des sms en parlant de choses et d’autres sans beaucoup d’importance. Et aujourd’hui … Aujourd’hui nous voilà tous les deux mortifiés sur mon lit comme deux adolescents maladroits. Avec Ji Ho ce n’est pas une question de désir, de sexe ou de tension … C’est beaucoup plus que ça, c’est déroutant, c’est des sentiments inachevé, c’est des promesses qu’on n’a pas réussir à tenir mais c’est des efforts et des sacrifices qu’on a fait tous les deux pour que notre relation continue de fonctionner encore aujourd’hui. On peut croire qu’une telle relation ca va tout seul, qu’on fait les choses naturellement sans réfléchir, que tout est facile entre nous … Mais quelle erreur. On a beau s’aimer et faire tout l’un pour l’autre, ça n’empêche pas que c’est dur, que c’est dur de voir à quel point on peut tenir à une personne. Il faut pouvoir gérer le manque, la frustration, les sentiments, la jalousie … Parce qu’on a beau dire, elle reste toujours là. Cette foutue jalousie, celle qui vous tord le ventre, celle qui empêche de dormir, celle qui vous fait vous détester, celle qui vous fait imaginer la personne que vous aimer dans les bras de quelqu’un d’autres … c’est douloureux. C’est tellement douloureux que ça a finit par m’achever. A petit feu. Puis j’ai appris à vivre avec, à me dire que ça irait, à me dire que … J’étais la seule fautive et que je n’avais pas le droit de le privée de son bonheur. Il fallait juste que j’accepte que ce ne soit pas moi qui le faisais sourire. Qu’il fallait que je le laisse aller vers d’autres …

Mais le sexe dans tout ça ? Le sexe entre adulte, le sexe entre ami, le sexe quand on est plus un couple. Avec Rae Won c’est facile, ca va tout seul, c’est fort et ça me prends aux trippes mais peut-être parce que je sais qu’il sera souvent là … Mais si … avec Ji Ho. Je veux dire … Ca va mener à quoi ? On va coucher ensemble et après ? Je vais retrouver l’homme que j’ai aimé pendant des années, il va me posséder comme il ne l’a pas fait depuis longtemps … on va ne faire qu’un et après … ? Après je vais devoir faire quoi ? Le laissé repartir ? Agir comme si tout ça c’était normal ? Lui dire bonjour, au revoir, qu’il me manque, le masser, l’emmener à l’université et partir au boulot ? Le revoir, aller au cinéma, se faire un restaurant et rentrer chez moi en me demandant s’il ne va pas aller trouver une fille pour passer le temps ? Ou alors on va craquer à nouveau, on va mêler le sexe à notre amitié et se contenter de ça ; de ses à côtés sans être un couple, sans avoir d’avenir, en se disant …. Ok, ce n’est pas grave s’il couche ailleurs, de toute façon on n’est pas un couple. Putain. Moi je te le dis Ji Ho je ne serais pas capable de supporter ça … Non je ne serais pas de supporter savoir que tu couches avec d’autres et que tu reviens vers moi parce que tu m’aimes mais que t’es pas foutue d’assumer tes sentiments. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Je l’écoute mais je suis incapable de parler. Qu’est-ce que je pourrais lui dire de toute façon. Je suis tétanisée. Je fixe mes jambes tendues devant moi sans porter de regard à mon meilleur ami. Il le sait … il le sait que je ne pourrais pas le repousser, il le sait parce qu’il sait combien je tiens à lui. il le sait parce qu’il sait aussi que je n’ai jamais vraiment pu tirer un trait sur lui, sur nous. Mais j’ai peur, au fond de mon cœur, qu’il se dise que si je couche avec lui c’est juste pour combler l’absence de Young Ja …

Quand il glisse sa main sur ma joue je ferme les yeux en retenant ma respiration. Il tourne mon visage doucement vers le sien et j’ai le cœur qui lâche. Quand ses lèvres touchent les miennes mon cœur devient fou et j’ai des papillons dans le ventre. J’ai l’impression de tomber dans un gouffre. J’ai le vertige et je me rends combien ses lèvres pleines ont pu me manquer … Je deviens folle, j’ose à peine répondre à son baiser mais quand je sens sa langue caresser la mienne je n’y tiens plus. Je m’accroche a son poignet avec une expression douloureuse sur le visage. J’ai tellement besoin de lui et de ses lèvres et du reste s’il le veut. Je l’aime, je ne sais plus comment, d’amour ou d’amitié, mais je l’aime. Je l’aime alors quand il approfondit notre baiser, moi je m’y perds. J’ai le cœur fou et le ventre qui explose, mais ça me va. Je ne réfléchis pas, j’arrête de réfléchir. Il m’a manqué … il m’a tellement manqué … Je refuse de le perdre une deuxième fois …. Alors on s’en fou s’il ne me donne que ça, on s’en fou si on risque de tout briser entre nous … le sexe … on saura dealer avec. Ouais, on saura gérer ça. Rien qu’une fois ? Je n’en sais rien … mais pour l’instant je préfère me concentrer sur l’instant présent. Je frissonne. Quand il se recule et qu’il me murmure ses mots ça me fait mal. J’en ai les larmes aux yeux parce que je le sais qu’il souffre de me faire ça … je sais qu’il veut me donner tellement plus mais qu’il en est incapable. Et ce soir … ce soir il n’arrive plus à se retenir. « Tais toi … » lâchais-je dans un souffle. Parce que ses mots me détruise et je n’ai pas envie qu’il l’est murmure. Je n’ai pas besoin de mieux, je ne mérite pas mieux, je ne veux que lui aujourd’hui. Je me jette à nouveau sur ses lèvres et le rallonge sur le lit en m’asseyant à califourchon sur son érection tendu. J’étouffe un soupir contre sa bouche en le sentant aussi dur et je chasse toutes mes pensées qui pourraient m’assaillir et me faire fuir. Je l’embrasse avec beaucoup plus de passion, je veux le faire taire, je veux qu’il m’appartienne. Je veux juste … j’en sais rien en fait, mais je sais que je suis incapable de repousser ses lèvres sur les miennes, surtout pas quand je sens ce besoin presque vital qu’il a de moi … Putain Ji Ho on fait quoi là … ?


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 10:31

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Lui demander de me repousser… Chose qu’elle n’a jamais faite… J’aimerais parfois qu’elle pense un peu plus à elle, en m’oubliant un peu dans l’équation compliquée qui lui permet de faire des choix dans sa vie. Imaginez la souffrance que je peux lui infliger, elle qui vient de conclure une relation compliquée, elle qui a tant souffert de redevenir ma meilleure amie alors qu’elle partageait ma vie en tant que petite amie… Lui infliger ça c’est comme jouer avec elle, avec ses sentiments, c’est lui infliger une douleur que je serais incapable de soigner, une sorte de blessure qui comme avec moi, ne se refermerait pas immédiatement. Pourtant, ça serait si facile de lui demander de nous remettre ensemble mais que se passera t’il le jour où j’aurais une crise plus importante ? Ou bien si ma maladie évolue à un stade supérieur ? Elle perdrait son amour et son meilleur ami ? Les deux d’un coup ? Non… Je n’ai vraiment pas le droit de ne penser qu’à moi alors qu’elle a toujours été là pour moi dans les moments difficiles. J’aimerais calmer mon cœur et mon corps encore plus, lui dire que je ne dois pas la toucher, pas la regarder, surtout pas l’embrasser mais j’ai perdu cette bataille et seule elle, peut me détourner de ce but qui pourtant me pousse à éprouver un profond dégout envers moi-même. Elle doit le faire, il y a quelques secondes elle a réussi à me repousser mais c’était de la surprise, son action n’était pas volontaire, c’est probablement pour cela qu’elle est devenue s’assoir à côté de moi, me demandant si c’était elle qui m’excitait, comme pour vérifier que ce n’était pas quelqu’un d’autre…une autre femme… Et pourtant c’est bien Sun Ah pour laquelle mon désir me pousse à briser tous les codes de notre amitié. Pourtant, ce n’est pas une question de manque, j’ai des rapports réguliers… C’est elle… Juste elle.. Parce que la posséder l’espace d’une nuit, au final, c’est cela que je recherche dans les bras d’autres femmes, oublier Sun Ah… Tourner la page et pourtant…

Assis à côté d’elle, regardant tous deux la commode, je lui caresse la joue délicatement puis l’embrasse, ne te laisses pas faire Su Nah… et pourtant, après la surprise là voilà qui profite, qui prolonge ce baiser, elle se fait plus sensuelle, je me rends compte à cet instant combien ses lèvres m’ont manqué, combien nos baisers étaient essentielles à ma vie… Et pourtant, mes lèvres contre les siennes, je lui avoue mon attirance, lui fait comprendre que ce n’est pas qu’une histoire d’embrassades, que j’en veux plus, qu’elle m’obsède, que je ne peux plus me contenir et c’est pour cela que je lui demande de me repousser, de ne pas briser ce que nous sommes, de se trouver quelqu’un d’autre car aller plus loin serait indigne… Qu’elle ne mérite pas ça. Je ne sais pas ce qui se trame dans sa tête mais elle me demande de me taire, un ordre… Elle ne m’en donne jamais d’habitude… C’était comme ci c’était trop… C’est surement de la haine qu’elle a à mon égard de lui avouer la vouloir, de vouloir faire l’amour avec elle car oui… C’est de l’amour, on s’aime, ça serait tellement plus facile si ce n’était qu’une baise entre potes consentants mais non… Nous deux ça va beaucoup plus loin.

Pourtant… Non… Elle se jette sur mes lèvres, se fait langoureuse, puissante et m’allonge sur le lit, venant à califourchon sur mon corps, assise sur ma virilité au garde à vous. Le soupir qu’elle étouffe contre ma bouche semble montrer combien son excitation vient de grimper en flèche. Désormais, plus rien ne pourra nous arrêter. Sa poitrine écrasant mon torse, elle m’embrasse encore et encore, nos langues jouent l’une contre l’autre, elles dansent, bien trop heureuse de se retrouver à nouveau alors que mes mains glissent, caressent son dos, dessinent des arabesques invisibles avant que je ne la fixe droit dans les yeux.

« On fait une erreur… Mais… Je veux t’appartenir Su Nah… J’ai tellement pensé à toi… A ça… A ton corps… C’est ces massages-là qui me font perdre l’esprit, le seul moment où je ne souffre plus… »

Mon visage glisse dans son cou, j recherche le gout de sa peau alors que mes mains viennent à la rencontre de ce petit nœud si mignon qu’elle me montrait tout à l’heure. Je le défais délicatement, son débardeur tombe me laissant découvrir son soutient gorge. Elle est tellement belle… la première fois qu’on l’a fait elle était encore une adolescente… Maintenant elle est une femme et j’ai l’impression de redécouvrir son corps comme au premier jour. Assise contre ma virilité, j’ondule du bassin pour qu’elle me sente davantage, tout se joue à l’instinct et pourtant… Si ça doit être notre seule et unique fois, je veux qu’on fasse ça bien… Je veux imprimer mon empreinte sur son corps, la marquer à jamais…

« Tu es si… parfaite… »

Mes lèvres retournent contre les siennes, j’en ai besoin, c’est ma drogue… Je prends sa main, la plongeant dans mon boxer… Je veux qu’elle me touche, qu’elle me caresse, je veux la sentir contre moi… Qu’elle me montre qui elle est désormais, quitte à faire saigner mon cœur en me montrant qu’elle a eu le temps d’apprendre depuis notre dernière fois…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 11:33

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Je ne sais pas ce qu’on fait mais on a bien le temps de paniquer plus tard. Quand je touche son corps j’ai l’impression de le découvrir à nouveau. Ji Ho à toujours était bien fait, mais adolescent il avait entre ses traits poupons et son corps maladroit. Aujourd’hui il était un homme, un vrai, un homme bien bâtit. Un homme fort et je ne doutais pas qu’un nombre de femmes étaient passé dans ses bras. Et je préférais ne pas y songer … parce que ça me faisait un pincement au cœur et mon humeur chutait d’un coup. Il a le droit d’être heureux, il a le droit de prendre son pied avec d’autres femmes. C’est une litanie que je me répète encore et encore, encore et encore … J’essaye de m’en convaincre et puis j’essaye de ne plus y penser. Parce qu’après tout, moi je me contente bien dans les bras d’un autre homme quand je vais mal … pourtant, je ne peux imaginer mon meilleur ami faire l’amour avec une autre. Pas de la même façon qu’il le fait avec moi. Pas quand il pose son regard tendre et plein de désir sur mon corps. Pas quand il caresse mon corps de ses mains fébriles … C’est bête, mais même encore aujourd’hui j’ai cette farouche envie qu’il ne fasse pas l’amour à d’autres femmes. Il peut les sauter, les baiser, les prendre ou tous les termes péjoratif que vous voulez, mais il n’a le droit de ne faire l’amour qu’à moi … est-ce que c’est si mal que ça de penser à ça ? De vouloir ça ? J’ai tellement envie de ne le garder que pour moi … J’ai envie de l’avoir dans ma vie et si je passe la majeur partie de mon temps avec lui, ce n’est pas suffisant. C’est ça mon soucis, c’est que ce n’est jamais suffisant entre lui et moi … Quand je passe le prendre après les cours, j’ai envie qu’on voit en moi sa petite amie, la seule qui est capable de le rendre heureux, celle qui réussis à percer son masque froid …

Parfois, je le vois discuter de loin avec une fille, j’ai toujours peur qu’il soit entrain de flirter, mais je ne l’interromps jamais. Je me contente de le regarder de loin, d’attendre qu’il est finit sans savoir ce qu’ils se disent. Je pourrais venir les séparer, même s’ils ne parlent que des cours, mais je me retiens. Parce que je suis son amie. Sa putain d’amie. Je déteste ce mot aussi. Et je pensais avoir enfoui toute cette peine et toute cette colère en moi mais je me rends compte que je me suis trompée. J’ai toujours ce besoin de m’approprié Ji Ho, de montrer à la terre entière qu’il est à moi … mais je me contente de rester à ses côtés ; sagement. Et ce depuis plus de 6 ans. C’est long une vie. C’est long une vie à aimer un homme. Encore plus quand il ne vous aime pas comme prévu en retour. Pourtant ce soir on va faire une exception. Il ne peut pas me retirer ça. Maintenant qu’il a commencé, maintenant qu’il m’a avoué ça, je lui interdits de revenir sur ses mots. C’est trop tard Ji Ho tu peux plus faire demi tour. Maintenant qu’on a commencé, maintenant que tu m’as touché en plein cœur, maintenant que tu as réveillé mes sentiments pour toi je t’interdits de me fuir … Pas pour cette nuit en tout cas … et mon appétit de lui est tellement grande que j’ai l’impression de ne pas pouvoir me contenter d’une fois … Oui, je le veux pour toute la nuit, une fois, deux fois, trois fois s’il le faut … Je ne veux plus me privée de ce corps que j’aime tant … Il m’embrasse, caresse mon corps et moi je me perd. …. C’est ce moment où je ne souffre plus … Mon cœur rate un battement alors qu’un rire emplit d’émotion de larmes s’échappe de mes lèvres. Je l’embrasser avec plus de passion. Et quand son bassin ondule contre le mien je lâche un gémissement en me contractant. Mes cuisses se resserrent contre son corps pour contrôler mon désir qui monte en flèche …

Je me d’ailleurs a bouger en rythme sur lui à travers ces tissus qui me gêne. Je grogne parce que j’en veux plus Je le laisse défaire mon haut qui dévoile un peu plus mon corps. Il me trouve parfaite … personne ne m’a jamais trouvé parfaite …. Il m’attrape la main et la glisse sous son boxer. J’ai l’impression de découvrir son corps pour la première fois et j’essaye de me dire que ce n’est pas le Ji Ho meilleur ami mais celui à qui je faisais l’amour plus jeune … J’attrape son membre gonflé et le masse de haut en bas en exerçant de légère pression. D’autres femmes lui ont déjà fait ça hm ? D’autres femmes ont déjà pris soin de lui comme ça. Je refuse de croire que lui et moi ce soit une erreur. Lui et moi c’est … c’est beau merde. Mon regard se voile et devient lubrique. Je recule doucement à quatre pattes sur le lit en déposant des baisers sur son torse huilé, il glisse sous mes doigts et ça me fait sourire. Il est impatient et son sexe me parait dur comme de la pierre. Peut-être est-ce que ça fait longtemps qu’il n’a pas … enfin qu’il n’a pas touché une femme ? J’aimerais croire à cette idée. Je fais glisser son boxer le long de ses cuisses en retenant un hoquet que je le mets à nue devant moi. il est … enfin il a toujours été bien bâtit … Je croise mon regard avec le sien, hésite une seconde avant de descendre doucement pour le prendre en bouche. Je ne sais pas si d’autres filles font souvent ça avec leur petit ami, moi je sais que j’adore lui faire … Je ne trouve pas ça sale et puis surtout, j’adore sentir son corps se cambrer sous le mien et son visage se crisper dans des expressions de plaisir … Ma langue le taquine malicieusement avant que je ne fasse des va et vient profonds. Il ne souffre plus pas vrai … ? Alors j’ai envie de lui faire tout oublier le temps d’une nuit. Ça sera juste … lui et moi. Comme avant. Quand nous n’avions aucune contrainte, quand il se sentait encore libre de m’aimer … Je viens griffer ses cuisses doucement, sans laisser de marques, sans le blesser, juste pour repousser les limites de son corps. Je fais attention à ce que je fais, je suis douce, sans être trop précautionneuse. Mes lèvres s’activent alors que je plante un regard fiévreux dans son regard. Ma tête se redresse légèrement et se soulève en rythme du plaisir que je lui procure. Tu te souviens Ji Ho … J’ai envie de tout te donner.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 13:26

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Et si c’est ce qu’elle cherchait ? Oui, jusque-là je n’ai jamais osé une telle affirmation mais qui sait… Ne m’a-t-elle pas dit de son propre aveu qu’elle avait choisi de mettre ce débardeur ultra décolleté pour moi ? Qu’elle l’avait acheté pour le porter devant moi ? Et puis ce short en coton, qui me dit qu’elle ne l’a pas cachée volontairement pour apparaitre en culotte devant moi ? Franchement qu’est-ce que je raconte… Su Nah n’est franchement pas une fille comme ça… Pourtant… Je me dis qu’elle a connu d’autres hommes et que si elle s’est montré avec eux comme elle l’est avec moi, il est impossible qu’un type la largue pour une autre. Si c’est une paire de sein qui intéresse son mec, il peut aller tirer son coup mais la quitter… Comme ça… Je n’y crois pas, cela doit signifier que comme moi, elle est différente face aux autres. Quand j’embrasse ma meilleure amie sur la joue, sachez que personne n’a le droit à un tel traitement de faveur ni à entendre mes plaisanteries car mes camarades de classe me juge froid, les filles apprécient ce côté mystérieux mais ça ne va pas plus loin… Enfin… Je crois…

Je sais que Su Nah ne sera jamais mienne, qu’un jour elle rencontrera un gars bien, qu’elle le suivra, qu’elle tombera amoureuse, qu’elle me parlera de lui avec des étoiles dans les yeux, qu’elle me demandera de l’aider à choisir sa bague de mariage. Je la regarderais partir peu à peu, être de moins en moins présente, disparaitre de ma vie, ne plus se voir qu’autour d’un café une fois par semaine puis une fois par mois… Ce jour-là, quand je serais certain qu’elle a trouvé l’homme de sa vie, je disparaîtrais complétement, je changerais de ville, de pays si il le faut mais je la laisserais enfin en paix. Je lui enverrais une carte postale de temps, lui disant combien ma vie est extraordinaire et puis à un moment donné, je lui dirai que ma maladie se résorbe peu à peu et je la laisserais, je ferais la mort… J’y aie déjà réfléchis et depuis que j’ai 18 ans, je pense agir ainsi, depuis qu’on a rompu parce que je sais que je ne supporterais pas de la voir avec un autre, je ne l’accepterais jamais alors pour son bonheur, je préfère sacrifier le mien, je lui dois bien ça… Pourtant, avec toutes mes convictions… Je viens de rechuter… De sombrer dans mon désir pour elle… Je l’ai embrassé, j’y ai mis tous mes sentiments, tout mon amour et elle m’y a répondu avec la même force que nos amours passées comme si ranimer la flamme était quelque chose dont elle rêvait tellement qu’elle en avait oublié la possibilité.

Ainsi sur moi, à califourchon sur mon corps allongé, je lis dans ses yeux le même désir qui m’habite, alors que nous nous embrassons à en perdre notre saoul, je la fixe, l’admire et puis mes mains gravissent ses bras, ses avant-bras, ses épaules et puis le nœud… Je libère sa poitrine toujours engoncé dans ce push up qu’elle a également choisit pour moi comme pour me montrer qu’elle pouvait toujours être une femme désirable… Elle n’a pas besoin de cela pour l’être à mes yeux mais tant pis si elle ne le comprend pas, j’apprécierais toujours qu’elle veuille être belle pour moi. Ainsi, je bouge mon bassin, je lui rappelle des sensations et son regard change comme si il voulait me hurler ne surtout pas revenir en arrière, d’aller jusqu’au bout, jusqu’à demain et peu importe si le soleil ne se lève pas, ça nous en fera plus… Elle se resserre… Elle semble vouloir allez au bout… Et nous sommes deux. Ainsi, je lui souris car non, je ne la baiserais pas comme avec Haneul, Su Nah est la seule femme à qui je fais l’amour… Elle bouge alors en rythme, mon sexe ne peut se faire plus long, plus dur, elle l’a stimulé comme il le fallait et j’avoue que ça n’a pas été très difficile.

Je prends alors sa main et la glisse sous mon boxer, elle n’a pas besoin de conseils comme à l’époque, elle me masturbe de haut en bas puis de bas en haut, j’aurais presque envie de dire qu’elle sait y faire… Un peu trop à mon gout. La pression qu’elle exerce est parfaite et je pousse un soupir de plaisir, elle se recule comme pour me faire comprendre que tout se mérite mais qu’elle est loin d’en avoir terminé, je peux lire dans son regard une envie de sexe, en fait je connais toutes les façons dont Su Nah me regarde, mais celui-là même à l’époque, il n’existait pas… Elle a dû l’apprendre avec d’autres que moi… Et dire que je n’aurais pas à le voir si je ne m’étais pas enfuit… Si je n’avais pas fait cette crise à ce moment-là et pourtant c’est ainsi et personne ne connait le futur, quand j’avais 18 ans, je ne me voyais pas atteindre les 25 ans et maintenant, je ne me vois pas atteindre les 30, je décide de ma vie sur le court terme et Su Nah mérite le long, le très long terme. Ses mains glissent sur mon corps et atteigne mon boxer pour me l’enlever rapidement avec ce petite sourire de la jeune fille qui va faire une bêtise mais qui en est consciente et l’assume pleinement, elle s’abaisse et me prend en bouche. Je jette ma tête en arrière, je ne la lâche pas du regard alors qu’elle s’active sur ma queue, d’abord en jouant avec sa langue sur mon gland puis en me faisant coulisser entre ses lèvres. Je la fixe, soupire une nouvelle fois quand elle me griffe, et enfin nos regards, ils ne se lâchent plus, elle me rend dingue à me fixer ainsi alors qu’elle me fait autant de bien. J’ai envie de lui hurler dessus, de lui crier qu’elle n’avait pas à faire ça à d’autres hommes ? Mais qui suis-je pour lui faire des remontrances mis à part le mec qui l’a poussé vers d’autres ?

« Su Nah… Je veux t’entendre dire que tu as envie de moi… Je me sentirais moins coupable… J’ai jamais voulu te forcer tu sais… »


Et oui, même dans ce moment-là, je reste le même… Je veux son bien, je ne veux pas qu’elle le fasse car cela me soulagera… Je veux qu’elle le fasse parce qu’elle en a autant envie que moi et puis, doucement, je la repousse avec douceur, je viens l’embrasser et l’allonge à mon tour sur le lit descendant lentement, me frayant un chemin de baiser sur son corps jusqu’à arriver devant sa culotte que j’abaisse lentement avant de glisser ma langue entre ses cuisses sans la lâcher du regard. Oui… Je ne lui ai jamais fait avant… Pour une raison toute simple… Les femmes deviennent parfois violente quand elles en veulent plus et se retrouver avec une griffure sur le crane ou autre est quelque chose de coutumier. Mais désormais je sais comment m’éviter cela, ainsi, je prends sa main libre et la pose sur le haut de mon crâne, au milieu de mes cheveux pour qu’elle puisse me presser un peu plus contre elle quand elle en voudra plus et reprend tout en la fixant, je veux la voir enfin perdre la tête puisqu’à l’époque… J’en étais incapable…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 14:14

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Quand il a rompu avec moi je n’aurais jamais cru qu’on se retrouvait dans ce genre de situation. J’ai tout fait pour les fuir je l’avoue. Et lui aussi je crois … pendant de longs jours on s’est à peine regardé, à peine touché. On ne savait plus trop comment faire, comment agir avec l’autre, puis avec le temps on a trouvé notre équilibre, on a retrouvé notre complicité. Mais ce soir … ce soir ça dépasse tout ce que j’ai pu imaginer avec lui. je les espéré c’est vrai, je l’ai rêvé dans mes nuits les moins sages mais jamais, non jamais je n’aurais pensé qu’il pourrait vouloir de moi de cette façon. On s’aime c’est vrai, on est tactile c’est vrai, on dort souvent dans els bras l’un de l’autre c’est vrai mais … je crois que finalement c’était quelque chose sur lequel j’avais tiré un trait. Je me disais que je n’avais pas besoin de ça, que son amitié me suffisait. Parce qu’elle n’a rien de normal cette amitié, elle est fusionnelle et elle est belle. Combien de fois on nous a pris pour un couple ? Je me sentais toujours gênée à ce moment là je préférais en rire. Après tout, j’étais la femme de sa vie pas vraie ? On se connaissait depuis notre naissance, c’est tout ce dont nous avions besoin. Et je ne me voyais pas quitter sa vie s’il retrouvait quelqu’un … pour dire vrai … je ne le voyais pas retrouver quelqu’un. Est-ce que c’était méchant à dire ? Non, mais comprenez, pour moi j’étais la seule femme dont Ji Ho pouvait tomber amoureux et dépasser ses peurs pour construire sa vie avec elle … Alors je crois que s’il rencontrait une autre femme et qu’il l’épousait, qu’il faisait sa vie avec et même … qu’il avait des enfants avec elle … Je crois que je prendrais ça pour de la trahison. Parce que moi j’étais là depuis le début, parce que moi je l’ai aimé et accepté depuis qu’on est tout petit. Parce que moi je l’aime … alors j’ai le droit d’être celle qui fera de sa vie un paradis. Et je refuse qu’il puisse en aimer une autre alors qu’il m’a privé de son amour … Et il n’a pas le droit de me dire qu’il m’aime trop pour me faire ça … parce que moi je l’aime trop pour qu’il m’abandonne. Alors on fait comment Ji Ho maintenant ? On fait comment maintenant que je suis allongée à moitié nue contre toi ?

Il a peur. Je le vois dans son regard. Et moi je tente d’avoir un air détaché, comme si je prenais la situation comme elle venait, mais en réalité je suis morte de trouille. Je suis paniquée à l’idée que tout se brise, mais c’est plus fort que moi. Je ne peux pas résister à cet appel … Ji Ho m’attire et me repousse avec ses mots, pourtant ses lèvres ont du mal à se détacher des miennes, pourtant son corps se colle au mien … Il y a sa raison et son cœur qui bataillent férocement. Et moi je ne l’aide pas … je ne l’aide pas à se calmer. Moi je le veux. Je le veux depuis tellement de temps que je ne supporterais pas qu’il me repousse ce soir. Lapant une dernière fois son membre je me redresse vers lui à ses mots. Il me fait mal au cœur à trop réfléchir comme ca … il me fait mal au cœur à tel point que je ressens sa douleur … Je me penche vers lui pour caresser son visage et lui murmure « J’ai envie de toi petit cœur … J’ai envie de toi et de … de nous. Je ne fais pas ça seulement pour te faire du bien … mais parce que j’en crève d’envie … tu ne me forces pas … tu ne le vois pas ? » Regarde mes yeux Ji Ho, regarde la façon dont j’ai de me coller à toi brûlante, fiévreuse. Ta maladie n’a plus rien à voir là dedans et si de nous deux quelqu’un doit être malade, je crois que c’est moi. Je suis malade, malade d’amour pour toi … Il vient me chercher, il m’embrasse et m’allonge sur mon lit. Ses gestes sont doux et je sens les muscles de ses bras se tendre sous mes doigts. Je m’accroche à ses épaules alors qu’il se colle à moi. Ses lèvres me manquent déjà. Mais le voilà déjà partit plein sud. Je me crispe en le voyant glisser entre mes jambes. Jamais aucun homme ne m’a touché ici avec sa bouche … avec les doigts oui je vous l’accorde mais avec la langue … Non jamais. Je me tends, légèrement nerveuse mais me détend bien vite entre ses bras …

Il est doué … il semble savoir ou caressé et où passé sa langue pour me satisfaire … Ca me surprend venant de lui, il n’a jamais fait ça … jamais. Est-ce qu’il l’a fait à d’autres femmes … mon cœur se serre en pensant que oui. Ji Ho … j’ai mal au cœur. Parce que ce qu’one st entrain de faire n’est pas anodin et parce que … parce que tu es connu d’autres femmes et moi j’ai connu un homme alors … J’ai l’impression qu’on a tout gâché. On a gâché quelque chose … ? Dis-moi que non. Dis-moi que ça n’a pas compté, qu’avec moi c’est différent. Je gémis sous ses caresses et me cambre pour approfondir ses coup de langues … Je frémis dans ses bras et m’agrippe au drap que je serre dans ma paume quand le plaisir qui monte en moi est trop. Quelque part j’ai un peu honte, parce que je sais qu’en bas … mon excitation se fait ressentir. J’ai l’impression d’être trempé et j’ai presque peur que ça le dégoûte. Et je ne peux m’empêcher de me dire qu’il a changé, qu’il est devenu doué, moins hésitant, il me veut moi et il veut surtout que je prenne mon pied … Une larme brûlante roule sur ma joue quand Ji Ho accentue ses caresses. Parce que j’ai l’impression d’avoir manqué quelque chose dans sa vie et je déteste. Alors même si sa caresse m’arrache des gémissements de plaisir je ne tiens plus. Je me redresse et l’attire à moi en tremblant. « Viens … » parce que j’ai besoin de toi. J’attrape ses lèvres sans pensées à ce qu’il vient de faire et l’embrasser en me serrant contre lui comme si je risquait de le perdre. Mon baiser et désespéré et quand je me détache de lui je lui murmure « Ne pose aucune question … Ji Ho fait moi l’amour … aime moi … aime moi s'il te plait ... » moi voix se casse alors quand je colle mon front au sien. Parce que j’en ai besoin, j’en ai besoin tu vois … c’est toi qui est venu mais c’est moi qui réclame. Ne cherche pas à comprendre pourquoi je pleure, c’est juste l’émotion, c’est juste que je t’aime c’est juste que … je t’aime. Simplement. Et j’aurais aimé ne te garder que pour moi … rien que pour moi …




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 15:27

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Qu’est-ce que les mots face à la puissance des sentiments ? Des fois je me demande ce qu’aurait été ma vie si je n’avais pas été malade, est-ce que Su Nah aurait pris autant soin de moi ? Est-ce que nous aurions été proches sans cela ou alors nous serons dits au revoir après le lycée comme de nombreuses personnes avec lesquels on se promet une amitié éternelle. L’aurais-je aimé ? Aurais-je été un playboy ? Capitaine de l’équipe de foot ? Serions-nous mariés elle et moi ? Ou est-ce que ce serait avec Su Ah vu que je n’aurais pas eu à m’absenter sans raisons ? Je ne peux le dire mais ma vie est ainsi et en perdant la santé, j’ai découvert celle qui fait battre mon cœur, celle avec qui je veux passer le restant de ma vie. Etrange quand on sait que je la repousse, que je refuse de vivre une histoire d’amour avec elle n’est-ce pas ? Mais c’est pour elle, pour la protéger, pour lui permettre de connaitre autre chose, elle a trop utilisé son temps pour me permettre d’aller mieux pour que me l’accapare égoïstement. Je dis ça et pourtant le jour où j’apprends qu’elle aime un homme et que ce type est bien, je pense que j’oublierais ma maladie pour profiter de mes derniers instants… Histoire de ne plus rien espérer, ne plus rien regretter. Je sais que tout est paradoxal mais j’ai l’impression qu’elle m’aime tout simplement parce qu’elle n’a pas eu d’autre choix. Si dans cinq ans elle revient, me dit qu’elle n’aime que moi, qu’elle a vécue assez, qu’elle n’a pas besoin de continuer à flirter pour comprendre qu’elle m’aime alors, peut être que nous aurons un avenir…

Pourtant, dans ce lit, qui devait à la base servir pour un massage, elle sur moi, puis elle entre mes cuisse m’offrant une gâterie des plus incroyables, quelque chose à mi-chemin entre le nirvana et le paradis. Pourtant, elle se relève à mes mots, lorsque je lui demande de me dire qu’elle ne fait pas ça par pitié, pour moi mais parce qu’elle en a envie également… Elle m’affuble alors de ce surnom si mignon qu’est le « petit cœur » puis se lance dans un court monologue qui ne fait pas que me rassurer, il m’excite mais pas seulement, j’ai juste envie de lui à cet instant qu’on devrait se remettre ensemble, qu’on se mariera, que je ferais tout pour vivre pour elle mais je ne peux pas, je n’ai toujours pas le droit, les choses n’ont pas changé parce qu’elle me dit qu’elle a envie de moi, de nous, qu’elle en crève d’envie, elle me dit de regarder ses yeux, se dit malade d’amour, d’amour pour moi. J’ai envie de chialer mais au lieu de cela, je la fixe et murmure doucement.

« Si tu savais comme je t’aime… »

Elle ne le saura jamais… Elle n’en aura même pas un aperçu… Alors comme par dépit, je compte lui montrer dans cet acte qu’elle n’est pas n’importe qui, qu’elle aurait ce qu’aucune autre n’aura, qu’elle sera la seule que j’aimerais ainsi, la seule dont je prendrais autant soin… Ainsi… Je la repousse doucement et l’allonge sur ce lit… Je la touche, la caresse et puis je lui enlève son dessous, ma langue vient jouer avec son plaisir, j’ai l’impression que c’est la première fois qu’on lui fait ça… Je sais exactement ce qu’elle pense… Que je l’ai appris avec une autre… Si j’étais à sa place je créverais de jalousie alors je prends simplement sa main, la posant sur mon crane puis entre deux coups de langues je murmure simplement.

« Au fond de moi… Je savais qu’il y aurait une autre fois…. Je ne sais pas si c’est la dernière ou non mais j’ai appris à faire ça pour toi et uniquement pour toi… Ne sois pas jalouse ma princesse… »

Oui… Même là, je me sens le besoin de la rassurer, de l’affubler à mon tour d’un surnom que je trouve mignon et puis je reprends, elle se fait plus humide, ne me lâche pas du regard alors je lape son intimité comme un chien le ferait pour lui montrer qu’elle peut se laisser aller, que je veux gouter les prémices d’n orgasme que j’espère long et inoubliable. Pourtant, elle se redresse, me demande de venir, alors je la fixe et l’embrasse à nouveau, ses lèvres… Putain… Qu’est-ce qu’elles me manquaient !!! Elle me parle comme suppliante, me demande de ne plus poser de questions, de lui faire l’amour, de l’aimer… Elle répète plusieurs fois ce mot alors je prends son visage entre mes mains et lui sourit sincèrement. Elle sait que je ne mens pas et murmure calmement.

« Je t’aime Cho Su Nah ! Je t’aime comme jamais je n’aimerais une autre femme. Tu dois comprendre que tu mérites le bonheur et que jamais je ne pourrais l’apporter. On ne peut pas être ensemble justement parce que je t’aime trop Su Nah, parce que je veux que tu aies un futur, ne me juges pas… Ne dis rien… C’est ce que je veux pour toi… Tu ne connais rien du vrai bonheur alors part, découvre le… Je serais toujours là à t’attendre… Je te sourirais toujours… C’est pour ça que je veux ton amitié et non ton amour mais ce soir… Oublions cela… Faisons comme ci… Faisons comme ci… Il n’y avait que nous… Comme si je n’étais pas malade… »

Je viens de lui avouer la vérité, du pourquoi on s’est séparé et j’en ai les larmes aux yeux mais elle ne le verra pas. Je lui ai demandé de respecter mon choix, elle le fera, elle ne me le reprochera pas, c’est ainsi… Elle m’aime trop pour me contrarier et désormais elle sait que je ressent la même chose, que ça n’a jamais été un amour à sens unique, que je l’aime probablement plus qu’elle ne m’aime mais que les choses sont ainsi… Son front contre le mien, je l’allonge doucement, je ne veux plus qu’elle soit au-dessus, qu’elle fasse tout comme si je n’étais qu’un handicapé alors je l’embrase, je passe ma main dans son dos, détachant son soutient gorge et je lèche d’abord sa poitrine puis son téton et enfin, je prends mon sexe en main et le glisse entre ses cuisses déjà lubrifiée, je m’enfonce doucement jusqu’à ce qu’elle m’ait entièrement en elle puis je murmure doucement.

« Tu es tellement belle… Je ne veux plus jamais que tu en doutes… »

Et puis je l’embrasse à nouveau, commençant des vas et viens lent et langoureux… Je veux profiter de cet instant… Non… Je veux toute sa nuit… Jusqu’à ce que le soleil nous réveille… Pitié… Qu’il ne se lève jamais…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 17:39

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Il a appris à faire ça pour moi … ? Je ne sais pas si j’arrivais à trouver mon compte dans ses propos. Je préféreais le voir maladroit qu’aussi doué avec sa langue … L’idée qu’elle pu trainer ailleurs me dégoute. Je ne veux pas le privée de sa vie, il fait ce qu’il veut mais … Mais je veux juste pouvoir ignorer l’existence de ces filles avec qui il a couché. Est-ce qu’il y en a eut beaucoup ? Je déteste cette idée … Mais celle d’être celle qu’il veut avoir adoucit ma jalousie. Elle me fait mal au cœur, mais je me contente de ce que j’ai. De ce qu’il m’offre. Sans pensé à … elles. Putain je déteste ce sentiment de jalousie, ça m’oppresse le cœur. Mes sentiments m’étouffe, j’ai soif, j’ai froid, j’ai peur. J’ai faim. J’ai faim de lui, de son amour, de ce qu’il peut me faire ressentir, d’être la femme que je suis quand je suis dans ses bras. J’ai besoin de lui, de l’aimer, peu importe la manière. Je veux l’aimer voilà tout. Mais il y aura toujours cette limite … celle qu’il m’imposera parce qu’il aura peur, parce que sa maladie va revenir comme une chienne. Elle va le plaquer au sol et le blesser encore plus. Elle va revenir et anéantir le peu d’espoir qu’on avait. Connasse. C’est ça, sa maladie c’est une pute. Elle est là sans faire de bien ; jamais et quand tu crois pouvoir être heureux elle te rappelle son existence et te rit au nez. Pourtant ce soir j’ai pas envie d’y penser et j’écoute juste ses mots … Ca me déchire le cœur. J’ai envie de lui dire de se taire. De juste me dire qu’il m’aime … IL n’a pas à s’expliquer, pas maintenant, pas comme ça. je ne lui en veut plus. j’ai pas envie de lui en vouloir … Je vais comprendre, je comprendrais bien un jour … et plus il parle et plus j’ai envie de me boucher les oreilles. Me dit ça Ji Ho, s’il te plaît … Ne me dit pas ça … J’ai mal au ventre maintenant. En fait j’ai compris … En fait j’ai compris que même si on s’aime a en crever on pourra jamais être ensemble. On pourra jamais avoir d’enfant, ni partir au bout du monde sur un coup de tête. J’ai compris qu’il n’acceptera jamais de me pousser à faire ce sacrifice pour lui et qu’il préféra souffrir que d’être heureux avec moi pour le peu de temps qu’on pourrait avoir. Il préférera construire sa vie ailleurs, quitte à ce qu’il soit seul, mais tant pis, au moins il sait que je serais heureuse. Avec un autre même peut-être.

Et je le déteste. Je le déteste à cet instant de me faire comprendre ça. Parce qu’il n’a pas le droit de choisir pour moi, de croire qu’il agit pour le mieux, qu’il me protège en faisant ça ! Il croit quoi ? Que je suis une petite chose sans défense qui ne sera pas capable de surmonter cette épreuve ? Je suis plus forte que ça parce que je suis avec lui depuis le début. Même petite je m’interdisais de pleurer quand la peur me sciait le ventre quand je le voyais inconscient dans ce lit d’hôpital trop grand pour lui. J’ai toujours eut peur de le perdre ! Et ce n’est pas parce qu’on ne sort pas ensemble que sa perte sera moins douloureuse. Quel idiot ! Il n’a pas le droit de me faire ça putain ! Alors oui ce soir on oublie tout mais demain … Demain je vais faire quoi moi. Je l’embrasse à nouveau au m’accrochant à sa nuque, les yeux remplie de larmes. C’est ce quoi ce qui se passe entre nous Ji Ho. On fait l’amour et on pleure. C’est ça le bonheur ? C’est ça l’amour ? C’est le notre en tout cas. Parce que je crois qu’on s’aime trop. Ça peut que mal finir. On s’aime trop pour ça. On pourra jamais vivre l’un sans l’autre, c’est foutu maintenant, mais on ne peut pas s’aimer, tu ne peux pas m’aimer. Tu m’aimes mais ca te détruit. Peut-être qu’au final c’est moi qui t’empêche de vivre. C’est moi qui te fais souffrir. Tu serais peut-être plus heureux si tu n’avais que ta maladie ? Celle qui te bouffe, mais notre, lui, te détruit. C’est moi qui te fais du mal. Depuis toutes ces années je me suis acharnée à te rendre la vie plus facile, plus douce, mais ce n’était qu’un leurre. Et je suis trop égoïste pour te quitter comme ça Ji Ho. Tu peux me détester si tu veux mais tu ne peux pas me quitter …

Quand il entre enfin en moi je lâchai un soupir de plaisir. Ça fait longtemps, cette sensation qu’il me procure. J’ai l’impression de ne pas avoir ressenti ca depuis une éternité. A la différence du sexe avec Rae Won qui est plus brutal et plus soudain, coucher avec Ji Ho m’apparait comme plus langoureux et plus doux. Doucement il commence ses va et vient et moi, ça me coupe le souffle. Mes larmes roulent d’elles même, je n’en ai plus vraiment conscience, j’ai juste envie de prendre mon pied et de lui faire voir tout ce qu’il a raté depuis des années … Je me cabre contre lui pour lui offrir ma poitrine. Le voir les lécher et mordiller comme ça fait grimper encore plus mon plaisir et j’ai juste envie de gémir son prénom. J’ai plus envie de discuter avec lui de nous, de lui, de moi de tout ça … Je veux juste qu’il me fasse l’amour et qu’il ne se retienne pas … alors je préfère lui dire « fais moi l’amour mon amour … sans retenu. » Ouais, je m’accorde ce droit de l’appeler comme ça, rien que ce soir. Juste pour nous donner l’illusion que nous n’avons rien perdu. Je m’empare de ses lèvres et les embrasses avidement comme si le temps m’était compté et en même temps, mes doigts se faisaient doux sur sa peau. Je suivis la courbe de sa clavicule en y déposant une multitude de baisers mouillés. J’ondulais du bassin contre lui pour l’aider à prendre encore plus de plaisir et pour m’en donner aussi je l’avoue. Je me perdais dans ses bras et l’embrassa presque tendrement quand mon regard croisa le sien. Je me détachais juste assez pour venir caresser ses lèvres du bout du doigt en gémissant son prénom … je m’accrochais à ses épaules alors qu’il continuait ses coups de bassin torride. « Ji Ho … » soufflais-je en frémissant contre lui.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyLun 28 Juil - 18:52

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

L’aimer à m’en rendre encore plus malade, l’aimer à ne plus pouvoir me contrôler, l’aimer à en perdre la raison, l’aimer parce que je ne suis rien sans elle et pourtant, la repousser parce que je ne m’en crois pas capable, parce que je me vois mourir bientôt, l’aimer parce que je suis incapable de vivre autre chose et pourtant, le jour où elle trouvera un autre homme… Désormais j’en suis certain et c’est parce que nous faisons l’amour que je le sais… Je ne le supporterais pas, je devrais partir, je ne veux jamais la revoir, je ne veux pas qu’elle me parle de lui, de leurs fiançailles, de leur mariage… Non je veux être loin… Je ne veux pas de ça parce que je l’aime plus qu’aucun homme ne pourra jamais l’aimer… Pourtant, je ne peux pas lui dire… Je ne veux pas lui dire… Je devrais mais pourtant, je m’y refuse… Elle n’a pas le droit à cette vie. Faire un enfant oui mais pourquoi quand on sait que je ne serais peut-être plus là quand il naitra ? Putain Su Nah… Si tu savais comme je t’aime, tu ne partirais pas demain… Tu resterais avec moi à jamais… On pourrait habiter dans mon appartement et puis prendre une maison si je trouve un travail… On pourrait évoluer toi et moi… On pourrait… Vraiment… Je te le jure… On a un futur, j’ai beau ne pas y croire mais je suis certain qu’on peut en avoir un…

Ainsi, allongé sur son corps, la regardant me faire une gâterie des plus agréables puis passant entre ses cuisses pour lui rendre la pareille, je sens qu’elle n’y a jamais eu le droit, comme si aucun homme ne s’était abaissé à lui donner du plaisir en retour, du coup j’essaye de lui donner ce qu’elle recherche, je la veux heureuse, je la veux comme elle n’a jamais été que ce soit avc moi ou avec un autre et pourtant… Cela ne lui suffit pas… Elle préfère m’interrompre, me demandant de l’aimer, de la désirer, de lui faire l’amour comme personne… Elle ne comprend pas et je tente de lui expliquer, de lui dire avec mes mots pourquoi il a fallu qu’on se sépare… Jamais, elle ne pourra comprendre, jamais elle ne pourra se mettre à ma place alors je lui demande de se taire, de ne rien dire…. Etrange quand on sait que c’est ce que je souhaite le plus au monde, quelle me pardonne et qu’elle me demande de réessayer… Malheureusement ces mots ne viennent pas, j’ai le droit à son silence comme à mon habitude, putain que le la déteste quand elle est comme ça, quand elle préfère garder les choses en elle alors pour la premières fois en 25 ans.. Je la fixe d’un air un peu dur et répond à mes propres mots.

« Réponds-moi… Je ne veux pas de ton silence, je veux ton avis… Convainc moi que notre relation à un avenir, à un futur, je t’en supplie… Je t’aime putain de merde ! »


Jamais je ne lui aie parlé ainsi, jamais je l’ai brusqué ou forcé à répondre à l’une de mes paroles alors qu’elle en avait décidé autrement. Mais cette fois, j’en ressens le besoin, je veux l’entendre, je veux qu’elle fasse le point… Qu’elle le fasse avec moi et pourtant c’est le moment que je choisis pour que nous ne fassions qu’un. Je me sens tellement bien, j’ai l’impression de vivre une seconde jeunesse, de me retrouver à cette époque ou à peine majeur je vivais le grand amour, les choses ont changés, son corps a évolué et pourtant… C’est si bon… Si enivrant… Elle semble dans le même état que moi, poussant un soupire de plaisir, l’observant, je remarque les larmes qui coulent le long de son visage… Su Nah… Pourquoi tu ne me dis pas la vérité… Pourquoi tu ne me dis pas ce que tu veux réellement ? je m’en doute mais j’ai besoin de l’entendre comme une promesse oubliée… Et pourtant, son corps a tellement changé, elle est devenue une femme… Je commence donc mes vas et viens… Je me sens tellement bien que pour la première fois depuis plus de cinq ans, je ne ressens plus la douleur, je me sent bien… Juste bien… J’ai l’impression que cela ne m’était pas arrivé depuis une éternité. Elle m’offre sa poitrine que j’ai enfin dénudée… Je me surprends à en avoir envie comme au premier jour et bien qu’elle… N’ait pas des seins immenses, ils me plaisent ainsi, j’ai même l’impression qu’ils ont grossit depuis notre dernière fois… Après tout… Elle est devenue une femme maintenant… Mes lèvres se posent alors sur son téton, elle me regarde, je la regarde, elle murmure quelques mots, me demandant de lui faire l’amour, m’appelant « mon amour » … Sans retenue… Elle me veux comme je suis avec Haneul ? Sans peur du lendemain ? Si je fais ça, elle risque de s’inquiéter mais ça vaut le coup et peu importe si je dois faire une crise juste après… Je le ferais… Si c’est pour elle… Je serais le meilleur rien que pour elle…

« Oui… Mon amour… »


Je viens de prononcer le mot interdit… Je ne devrais pas… Je n’ai pas le droit… Et pourtant, j’ai tellement envie qu’elle comprenne combien je l’aime, que ce ne sont pas que des mots balancés devant une amante mais bien la vérité… Elle m’embrasse à en perdre haleine… Elle ne me lache pas, comme si elle avait peur que je ne sois plus en vie demain… Elle glisse, embrasse ma clavicule… Ses doigts sur mes lèvres… pourquoi on fait ça ? Pourquoi tu fais ça ? J’avais envie de toi mais maintenant… je vais attendre autre chose de ta part… tu murmures mon prénom, je te fixe, je te souris, je t’embrasse à nouveau alors que j’ondule une nouvelle fois, j’y vais un peu plus brusquement, une main sur ses seins, l’autre sur son épaule, je la sens frémir… Je la regarde dans les yeux, embrasse la commissure de se lèvres et murmure doucement.

« Tu penses vraiment qu’on peut avoir un avenir toi et moi… Alors que ma maladie peut évoluer demain ? Tu n’as qu’un mot à dire… Et je serais à toi… »

Je m’y était interdit et pourtant, je baisse ma garde… Pourquoi ? Tout simplement parce que j’ai compris que je ne voulais plus savoir un home a souiller à nouveau… Je veux qu’elle soit mienne mais surtout lui appartenir… Pour toujours… Et à jamais…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyMar 29 Juil - 0:56

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Il panique je crois, il se perd dans ses mots, dans ses gestes. Et moi je plonge avec lui. Parce qu’il m’entraine vers un chemin que j’ai toujours refusé de prendre. Je ne peux pas faire ça Ji Ho … je ne peux pas penser à ça maintenant. Parce que si on en parle, si tu sais ce que je ressens tu vas culpabiliser, tu vas te détester et peut-être même m’en vouloir. Tu vas … tu vas savoir ce que j’ai toujours tenté de te cacher. Ma colère, mon amertume. Alors ne me demande pas ça maintenant, pas pendant qu’on fait l’amour. Je l’entends ton appel désespéré … ce besoin de moi, de nous, cette envie si forte qu’elle te consume, cet amour si puissant que tu contrôles plus rien. Que tu n’arrives pas à assouvir cet appétit. T’as faim, t’as faim de moi, de mon corps et ça grandit en doit, c’est brûlant, vital. Tu ne sais plus comment faire pour calmer cette agitation en toi. Tu me possèdes déjà mais ce n’est pas suffisant, tu veux plus, tu veux plus que la vie et l’amour. Tu veux quelques choses de nouveau, quelque chose de fort … J’ai besoin de cette folie moi. Parce que j’ai beau t’avoir dans mes bras, il me manque quelque chose, ce quelque chose qui peut me combler … et les mots me manquent. Tellement. Pourtant lui il les trouve, il me les dit, il me parle, il me supplie. Oui, il me supplie de ne jamais l’abandonner. Moi c’est ce que je comprends entre ses soupirs et ses gémissements. « Réponds-moi… Je ne veux pas de ton silence, je veux ton avis… Convainc moi que notre relation à un avenir, à un futur, je t’en supplie… Je t’aime putain de merde ! » Ca me déchire le cœur de l’entendre me dire ça. Et j’ai cette furieuse envie de le repousser pour lui dire que c’est trop tard, que c’était avant qu’il fallait me dire ça mais au lieu de ça je me jette sur ses lèvres, parce que ce qu’il me dit, c’est tout ce que j’ai toujours voulu entendre. Pourquoi tout devient tout à coup compliqué dans ma tête. Je le veux mais ça m’effraie alors je me perds dans le plaisir qu’il me donne. J’avais oublié à quel point le sentir en moi pouvait être délicieux. Je ferme les yeux sans lui répondre. Pardonne-moi Ji Ho mais je ne peux pas … Il m’embrasse, m’appelle mon amour et moi je veux y croire. Je veux y croire à ce nous …

Ses coups se font plus brusques. Et ses mots plus désespérés. Ils m’atteignent comme des lames en pleins cœur. Je suffoque. Sa respiration se perd dans la mienne. Et alors que je glisse mes mains sur son visage je lui murmure d’une voix cassée. « Ne me demande pas … pas maintenant … » Je veux qu’li se taise, qu’il me laisse profiter, je veux qu’il me rassure, qu’il ne me dise que ça ira. Je ne veux pas entendre ses doutes, pas alors qu’il me fait l’amour pour la première fois depuis des années … Je ferme les yeux et sent deux larmes rouler sur mes joues brulantes. « On aura un avenir Ji Ho … on aura un avenir … » qu’importe lequel. Je serais toujours dans sa vie. Toujours … c’est inscrit dans le contrat. Depuis qu’on est venu au monde c’est censé être ainsi. Je ne le laisserai pas me quitter, pas alors que j’ai le plus besoin de lui. Je me redresse et m’embrasse pour l’empêcher de répondre. Puis d’un geste brusque je roule sur lui pour le dominer. Mon regard s’ancre au sien alors que je monte ses deux poignets au dessus de sa tête. Je les maintiens, mon regard se fait plus sauvage. J’ai besoin de son corps, pas de ses mots. Je veux qu’il me fasse perdre la tête … Ses mots, eux, passent en boucle dans mon esprit. Ils me font réfléchir alors que je resserre mes cuisses sur ses côtes. D’une main je viens suivre la courbe de son torse en ondulant du bassin. Je finis par rejeter la tête en arrière en poussant des gémissements plus fort et plus intense. J’ancre mon regard au sien et ajoute en murmurant contre ses lèvres que j’étais brusquement venu chercher « je répondrais à toute tes questions Ji Ho … mais après … d’abord fait moi jouir … » c’est tout ce que je veux Ji Ho … C’est clair, mes mots sont sincères et juste. Je me redresse et reprends une cadence plus soutenue. Je glisse mes doigts sur mon intimité pour me caresser en même temps. Je veux juste le rendre fou en me regardant prendre du plaisir.

J’attrape ses mains pour les sentir sur mon corps et me retire en me laissant tomber sur le côté du lit. Je suis fatiguée de le chevauché et j’ai le cœur qui bat trop vite … je suis couverte de sueur et lui aussi je crois, pourtant ça ne m’empêche pas de l’attirer à moi puis de l’aider à entrer à nouveau en moi. je resserre mes jambes autour de ses fesses pour l’obliger à venir de plus en plus profond. Mes gémissements se font de plus en plus fort et de plus en plus aigu … le plaisir à prit possession de moi et je n’ai plus envie de rien d’autre. Je veux qu’il m’embrase, qu’il me brûle. Ma bouche se perd dans le creux de son cou et sur sa pomme d’Adam que j’ai tout particulièrement. Il sent toujours bon, cette même odeur que je lui connais depuis des années … je lui mordille doucement pour ne pas lui faire mal et plante mon regard dans le sien. Je veux qu’il comprenne. Qu’il comprenne que je ne le repousse pas, que je l’aime et que je veux juste profiter de cet instant … je veux que ce soit parfait, je ne veux pas de larmes ni de douleur, je veux juste … du plaisir et de l’amour. Comme on a toujours eu. Je le serre contre moi en lui murmurant « serre moi fort … » un murmure, une supplique … J’ai besoin de toi Ji Ho, alors me lâche pas … Il voulait mon avis, moi j'étais pas capable de lui donner maintenant et j'avais peur qu'il brise tout en continuant de me questionner comme il le faisait ... On avait le reste de la nuit pour ça ... Pour l'instant je voulais juste son corps et ses lèvres ... pour me rappeler que j'avais le droit d'avoir son coeur.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyMar 29 Juil - 6:32

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

La voir à moitié nue avait fait remonter en moi des envies passées, de la voir nue, de l’admirer dans sa tenue d’Eve, de voir ce sein qui la complexe et la frustre mais que j’ai toujours adoré caressé, sentir son téton contre mes doigts et puis… Lui faire l’amour m’a rappelé autre chose, cela m’a fait penser à cet amour qu’elle avait pour moi, toute cette passion qui faisait de nous un couple extraordinaire et puis… De fil en aiguille, j’ai repensé à mes sentiments de l’époque, ceux qui étaient enfouit au fond de moi et j’ai ressenti le besoin de les lui dire. Comme si c’était si facile de passer un coup d’éponge sur cinq années et de repartir comme si de rien n’était. Vous savez, comme un jouet que l’on retrouverait au fond du grenier et qui nous rappelle notre enfance, sauf que mon jouet en question à un cœur, à des sentiments, une âme et que je ne peux pas me permettre de lui demande ça… Surtout quand on sait que je pourrais changer d’avis demain, une fois revenue à la raison. Pourtant, plus j’essaye de ne pas y penser, plus j’y pense et cela me hante, me glace le sang… J’ai tellement peur et pourtant… Pour la première fois, j’ai vraiment l’impression de savoir ce que je veux. Mais n’est-ce qu’une chimère ? Je l’ignore… Et je ne veux pas le savoir…

Je lui demande dans un soupir désespéré de me convaincre de l’aimer à nouveau, je l’appelle mon amour comme elle l’a fait juste avant et pourtant, je sens en elle une sorte de rejet, une peur de briser cet instant magique que l’un et l’autre avons tant désiré sans jamais l’avouer. Je me fais alors plus brusque pour qu’elle me sente davantage en elle, j’adore lui faire l’amour, il n’y a qu’avec elle que je me sens enfin complet. Elle prend mon visage entre ses mains, semble me supplier de me taire, elle veut remettre cela à plus tard… Comme si le fait que j’aille dans son sens était bien trop dangereux pour être mêlé à l’excitation et au désir de se posséder mutuellement. Ses yeux se ferment alors qu’elle me promet que nous aurons un avenir… Mais de quoi veux-t-elle parler ? D’amour ? D’amitié ? Je crois qu’elle-même ne le sait pas vraiment. Alors j’essaye de lui faire plaisir et de ne plus rien dire mais je ne peux pas m’en empêcher et elle doit le lire en moi… Puisqu’elle vient m’embrasser, m’empêchant de continuer. Merci… J’aurais risqué de tout détruire une fois encore… Même cet instant magique où je me sens « normal » pour la première fois depuis mes 18ans.

Brusquement, elle me fait rouler pour passer au-dessus de moi, elle attrape mes poignets et la vue de cette femme, me dominant ainsi, m’excite terriblement…On a jamais fait ça avant elle ne m’a jamais regardé ainsi, comme si un besoin impétueux de sexe prenait possession d’elle. Elle ondule alors, son corps, debout, me surplombant alors que ses seins se mettent à bouger au rythme des coups de bassin qu’elle vient chercher… Su Nah n’est plus la petite fille sage de nos débuts, elle me montre à travers cette démonstration de force qu’en la quittant, j’ai manqué tout ça mais également que sans notre rupture, j’aurais probablement été incapable de la rendre ainsi. Ses gémissements sont la plus belle mélopée qu’il m’est été donné d’écouter alors qu’elle revient m’embrasser, me promettant de répondre à toute mes questions après… Quand je l’aurais fait jouir… L’entendre me parler ainsi prolonge mon envie et je murmure contre ses lèvres…

« Pardonne-moi… Je gâche toujours tout… »


Elle se redresse et commence à se caresser tout en s’empalant davantage sur mon membre gonflé de désir, cette vision est le plus puissant des aphrodisiaques qu’il m’est été donné de voir…Elle est sublime et n’est plus ma petite Su Nah inexpérimenté, elle cherche dans cette chevauché, l’envie, le plaisir et la jouissance… Pas des retrouvailles… C’est ce qu’elle me fait comprendre en jouant elle-même de ses doigts sur son intimité. Je la fixe, elle sait qu’à cet instant il n’y a plus qu’elle qui ne compte pour moi, comme si elle voulait encrer cette vision en moi pour que lorsque je serais avec d’autres femmes, je ne puisse m’empêcher de la voir encore et encore… Elle attrape mes mains, les fait glisser sur sa peau blanche, me refusant l’accès à cette féminité qu’elle caresse encore et toujours pour se faire du bien. Alors c’est sur ses seins que je viens poser mes mains, glissant mon pouce et mon indexe sur ses tétons, les pinçant légèrement avant de jouer avec ses formes…

« Su Nah… Toute…la….nuit… »


Qu’on le fasse encore et encore pour ne plus jamais oublier la présence de l’autre, c’est ça que je veux lui dire… Pourtant, elle se retire et passe sur le côté du lit… Au début, j’ai l’impression qu’elle m’en veut d’avoir osé dire ça comme si je ne me satisfaisait pas de ce que j’avais à cet instant bien précis. Elle m’attire alors à elle et me fait entrer à nouveau en elle, encerclant mon fessier comme pour m’empêcher de m’enfuir, comme pour me supplier d’y mettre toute ma force et toute ma volonté, que je lui fasse l’amour comme jamais je ne le ferais à une autre qu’elle. Elle gémit alors que je me perds dans son regard. Je décide alors d’aller plus profondément, plus fort, plus rapidement alors que je passe une main entre nos deux corps pour la stimuler davantage et lui faire perdre la raison. Les lèvres de Su Nah jouent dans mon cou, j’en fais de même mordillant le lobe de son oreille et susurrant doucement et avec sensualité quelques mots…

« C’est tellement bon… Mais je peux t’en donner tellement plus…. »

Je peux t’en donner plus si tu ne t’inquiètes pas pour moi et ma maladie, c’est ça que je voulais lui dire. Elle me fixe alors droit dans les yeux puis me supplie de la serrer fort contre moi, ce que je fais immédiatement, l’embrassant à en perdre haleine, je change de position en l’allongeant sur le dos alors que je passe au-dessus d’elle, mes mains de chaque côté de son corps, la surplombant toute en la fixant. Prendre appuie sur mes mains ainsi ? Je n’aurais pas osé de peur de me froisser un muscle ou autre mais là, je le faisais, mes coups de bassins se faisaient plus intense, plus rapide, comme si je me perdais totalement dans ce monde de plaisir et que pour la première fois, je n’avais plus l’impression d’être malade, je murmure doucement…

« Encore… »

Oui… Je ne sais pas si je pose une question ou bien si c’est quelque chose que je lui demande mais… Je veux la pousser encore plus loin… Qu'elle me traite comme un homme qui n'est pas en cristal. Si elle m’a fait oublier les autres… Maintenant c’est à moi d’en faire de même… Qu’elle revoit mon visage la prochaine fois qu’elle fera l’amour à un autre homme… A mon successeur…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- EmptyMar 29 Juil - 12:17

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Je me consumais dans ses bras. Je ne pensais plus à rien, ni à l’après, ni au passé. Je me contentais de l’instant présent. Dans mon cœur c’était fou. Dans mon ventre c’était des montagnes russes. Je ne sais plus où je suis, ni le bien, le mal. Ce sont des concepts qui m’échappent et si je me suis répétée depuis qu’il m’a embrassé que je ne devrais pas faire ça, c’est plus fort que moi. On s’en fou si ce n’est mal pas vrai ? On aura le temps d’assumer plus tard. On aura le temps de se faire du mal plus tard … Je veux juste profiter de lui et de nous. J’adore le regard qu’il porte sur moi, celui où il perd pied, celui où je le vois s’enfoncer dans la même folie que moi. il a envie de moi, mais pas seulement, j’ai l’impression qu’il veut me bouffer. Que s’il pouvait, il me garderait pour lui, que cette vision que je lui offre il ne l’a veut que pour lui. Possessif et jaloux, il m’emprisonnerait dans ses bras pour empêcher le reste du monde de me voir. J’aimais ça. J’aimais savoir ça et même si c’était faux, moi je voulais y croire. J’avais cette faculté de pouvoir me mentir, pendant un temps et de me satisfaire de ma folie. Si c’était un mensonge, alors tant pis. Je saurais ouvrir les yeux et ne pas en souffrir plus tard ... Normalement.

Il me veut pour toute la nuit … mois je suis prête à lui donner ce qu’il réclame, autant de fois qu’il le veut … Ce soir j’oublie sa maladie, j’oublie qu’il ne doit pas faire d’effort trop intense, j’oublie qu’il peut faire un malaise s’il se donne trop … Mais j’ai mal de lui, j’ai mal de son absence, j’ai mal de sa vie. Je veux que tout soit normal ce soir ! Je le veux comme il pourrait être, pas comme il se contente d’être. Je veux qu’il soit … un homme. Pas un malade. Alors je le laisse me posséder avec fougue. Sentir son bassin claquer contre le mien me rend fou. Je sens son cœur qui bat à tout rompre dans sa poitrine et je sais que je suis dans le même état que lui. J’ondule du bassin contre lui pour le faire venir plus vite, plus fort. Nos deux corps en sueur son collé l’un à l’autre et je perds pieds. Je gémis à en faire geindre les voisins. Ils doivent être habitués avec l’autre voisin qui passe sa vie à s’envoyer en l’air avec sa colocataire. Mais ce soir c’est moi. Ce soir c’est moi qui emmerde le monde. Je le veux alors je l’ai. Et si ca dérange quelqu’un je m’en contre fou. Sincèrement, je ne vis que pour être égoïste ce soir … Je l’embrasse passionnément alors qu’il me dit qu’il peut m’en donner plus … Si il peut alors je peux le prendre … IL me serre fort contre lui et moi je lui murmure « Donne en moi plus … donnes en moi plus Ji Ho ! » Ce n’est plus une supplique, c’est un ordre. Un ordre qu’il me fasse mourir de plaisir. Je m’accroche à ses épaules alors que je sens mon corps se tendre contre le sien. il n’est plus un enfant, et je dois avouer qu’il sait comment s’occuper d’une femme … S’il m’a déjà fait jouir, dans mes souvenirs c’était plus timide et moins féroce … au final, il me rend dingue avec son regard possessif et brûlant. Je crois que c’est la première fois qu’il me regarde comme ca. Et je mentirais si je disais que je ne craquais pas …

Je m’empare de ses lèvres et enroule mes jambes autour de ses hanches. Bizarrement, si au début ça me tuait de savoir qu’il couchait avec d’autres femmes, maintenant je m’en fou, je m’en fou parce que je me sens puissante dans ses bras. Les autres ne comptent plus. Je suis sûre qu’il les oublie alors qu’il me fait l’amour. Je suis sûre qu’il n’a pensé à aucune d’entre elles pendant que je gémis contre lui. Parce qu’à cet instant j’ai le sentiment que le reste du monde n’existe pas, il n’existe plus et il se résume à nous. Lui et moi. « Plus fort … » le suppliais-je d’une voix cassée, parce que je suis sur le point de venir et j’ai besoin qu’il me prenne avec plus de force. Pas que je sois adepte d’une quelconque pratique sadomasochiste. Mais simplement que la folie de notre échange montre à quel point je tiens à lui … C’est dans la folie que je lui prouve que je l’aime et c’est dans cette folie que je veux atteindre l’orgasme. Le sexe doux est un vrai délice, mais il termine toujours avec passion parce que les sentiments se déchainent comme un torrent qu’on ne contrôle plus. On se fait du bien dans la tempête de nos sentiments et rien que ça … ouais rien que ça me fait prendre mon pied. Ses lèvres je les accapare comme si je voulais y laisser ma trace, comme si je voulais crier au monde entier qu’il m’appartient. Les autres n’ont pas d’importance. Les autres je les oublies. Et qu’importe si d’autres sont passé par là. J’efface leur passage avec mes lèvres douces et habiles … Oubliez les Ji Ho. Ne pense qu’à moi …



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