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 You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3-

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ksos professionnel
Im Ji Ho
Im Ji Ho
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMar 29 Juil - 16:02

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Que suis-je en train de faire ? Moi qui voulais faire disparaitre cette étrange attirance voilà que je plonge encore plus profondément… Car désormais, plus rien ne sera comme avant, je ne pourrais plus jamais la regarder sans repenser à ce regard qu’elle m’a jeté, de sa main entre ses cuisses alors qu’elle me chevauchait. J’ai eu plusieurs partenaires et jamais de laiderons et pourtant, c’est Su Nah, ma douce et gentille amie d’enfance qui vient de donner un visage à ma vision de la perversion. Désormais, je le sais… Il nous faudra recommencer, je serais incapable de m’en passer… Je veux que l’on reste les meilleurs amis du monde mais si elle ne veut pas que notre amour s’étale au grand jour, alors je lui demanderais son corps… Je ne la forcerais jamais mais si elle apprécie autant que moi, alors, il n’y a pas de mal à faire éclater ainsi notre amour au grand jour, de manière à nous sentir mieux ensuite… Sans avoir à souffrir encore… Et pourtant… Je me demande si désormais, ce n’est pas une douleur bien plus profonde qui vivra en moi, dans ce souvenir… Désormais… Elle est mon obsession, ma muse, ma réincarnation de la luxure, celle qui donne un nom au sexe, celle dont je veux partager les draps pour le restant de mes jours. Ainsi…je murmure à son attention.

« Je suis à toi… Mon corps t’appartient… A toi… et rien qu’à toi… »

J’ai envie de lui appartenir même si elle refuse d’être mienne, c’est complétement fou mais c’est exactement cela que je ressens à ce moment bien précis, je suis entré dans une sorte de transe à laquelle je ne peux plus échapper… Elle a tout fait pour me montrer sa progression, qu’elle n’avait pas fait ça pour me faire plaisir mais par désir… Par envie… Me démontrant qu’elle n’était plus une adolescente mais bien une femme… Une femme qui a évolué et qui désormais sait comment rendre fou un homme comme moi… Elle n’a jamais été ainsi à notre époque, probablement parce que je ne lui aie jamais fait ressentir assez de plaisir… Lui ai-je déjà offert un orgasme ? Soudainement, je me mets à douter, comme si son regard lubrique détruisait toutes les certitudes que j’avais la concernant. Je lui demande de m’offrir sa nuit, elle ne me répond pas, son regard le fait à sa place, comme si elle me hurlait de ne pas autant réfléchir, de me laisser aller ce soir… De profiter jusqu’à ce que l’un d’entre nous retrouve la raison alors… Je change, je me fais plus actif, je veux lui prouver que je peux lui donner du plaisir comme ceux qui lui ont offert ce regard sauvage… Que je ne suis pas une moitié d’homme ni un handicapé… Je veux qu’elle découvre un autre Ji Ho, celui que Haneul connait, ce type qui n’a peur de rien… Mais pour cela.. Je dois la forcer à oublier ma maladie. Ainsi, je passe au-dessus d’elle, je la supplante et bouge davantage mon bassin. Elle me rejoint rapidement dans une danse endiablée alors qu’elle gémit comme jamais auparavant, criant au monde le plaisir que je lui offre… Elle m’embrasse, je la serre un peu plus fort, lui demandant si elle me laisserait lui en donner plus… Si elle accepterait que je prenne ce risque pour elle, pour lui offrir une jouissance comme elle n’en a jamais connue. A ma grande surprise et probablement également parce qu’elle est également dans un autre monde, elle me répond, m’ordonne d’en faire plus, de lui en donner plus, je lui réponds, obéissant.

« Comme jamais je n’en ai donné à une autre… »


Elle s’accroche à mes épaules, à le diable au corps… Je la regarde, je lui montre combien je la désire et combien je veux la posséder, je ne l’ai jamais regardé ainsi parce qu’elle n’a jamais été à mes yeux une amante potentielle et pourtant… A cet instant… Il n’y a plus d’autres femmes, il n’y a qu’elle et son corps parfait… Il n’y a que nous… Elle m’embrasse à nouveau, je profite de ces instants, je me noie dans ces sensations. Elle me ramène à la réalité en me criant d’y aller plus fort. Je ne la reconnais plus et ça me plait… Je décide alors de tenir ma promesse… de lui en donner plus…plus que mon corps ne puisse supporter s’il le faut… Ainsi… Je passe ma main dans son dos et la redresse pour que l’on se retrouve tous les deux en position assis, je la fait grimper sur moi, posant mes mains sur ses fesses et la faisant aller et venir le long de mon membre avec force alors que mon bassin ne cessait de s’enfoncer en elle jusqu’à la garde. Je la fixe, je ne la lâche plus, mes dents viennent s’emparer de son téton, je mordille, lèche, lape, aspire alors que je la fixe, que je l’admire, avant de murmurer, prit à mon tour dans cette vague de plaisir.

« Chevauches moi… Déchaines toi… Je te veux comme jamais tu l’as été avec un autre… »

Les autres... J’en parle enfin, lui fait comprendre que je sais qu’elle a eu d’autres amants comme moi j’ai eu d’autres maitresses mais cela n’a plus aucune importance, au final, ce ne sont que des hommes et des femmes qui chacun, nous ont enseigné le moyen de se retrouver pour faire l’amour comme personne dans cette ville ne sera jamais capable de le faire. Parce que c’est nous, parce que notre lien est incroyable, parce que mes muscles la soulèvent au risque de faire une crise, parce que mon cœur risque d’exploser, parce qu’elle est contre moi, nos corps l’un contre l’autre, impossible de faire plus proche alors qu’elle peut enfin sentir l’intégralité de mon sexe en elle… Ce moment est parfait… mais il ne sera pas le seul… La nuit est à nous… Que jamais le soleil n’aie l’audace de se lever… Car notre amour est sincère et pourtant… Tellement destructeur…

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Cho Su Nah
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMer 30 Juil - 19:27

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Le sexe … C’est un mot tabou, parfois prohibé, souvent tabou. Les gens voient le côté sale du sexe. Le côté dépravant. Ou la luxure ne laisse pas de place pour l’amour. Mais le sexe c’est beau. Le sexe c’est … différent de ce qu’on peut vivre d’ordinaire. Parfois on en a honte, et parfois ça nous rend plus fort. On a beau se mentir, être accroc à l’adrénaline et au plaisir, moi je suis sûre qu’on cherche tous la même chose dans le sexe. L’amour. On cherche la sensation d’être aimé. Cette lueur dans le regard de l’autre, la sensation que demain n’arrivera jamais. C’est avoir le cœur qui gonfle et qui éclate dans sa poitrine. C’est avoir la sensation de pouvoir bouffer le monde et d’être puissante. Immortel. Oui, j’ai la sensation d’être immortelle quand je vois le regard de Ji Ho sur moi. Quand je le sens me serrer contre lui comme si demain la fin du monde nous séparerait. J’en perds les mots, j’en perds le fil de mes pensées. J’aimerais garder cette sensation tentatrice dans le creux de mon ventre pour l’éternité. J’aimerais pouvoir … tu sais, rester sur mon petit nuage pour le reste de ma vie. S’envoyer en l’air c’est une chose, faire l’amour s’en est une autre. On dit toujours que le sexe avec les sentiments fait la différence, et ce soir je peux vous assurer que c’est vrai. Ji Ho … c’est le garçon que j’ai regardé toute ma vie grandir à côté de moi. Je le connais si bien que j’ai finis par ne plus savoir s’il faisait partit de moi ou non. C’était ça entre nous qui me plaisait le plus. La sensation de ne jamais être seule, d’avoir toujours cette ombre derrière moi qui me suivait et surtout, qui me soutenait. Petite quand je me faisais mal et que je m’écorchais les genoux, Ji Ho était le premier à me porter sur son dos pour m’emmener jusqu’à la maison. Même après que l’on est détecté sa maladie. Il s’entêtait à être celui qui me soulagerait de toutes mes peines. Celui qui saurait me rendre le sourire quand mes joues sont baignées de larmes. Celui qui serait toujours là … Il n’a jamais abandonné, jamais pour moi, jamais jusqu’à peut-être notre histoire d’amour. Il a abandonné, il m’a abandonné. Et j’ai accepté sa décision, en restant sur le côté en priant qu’il me remarque à nouveau, qu’il fasse tomber les barrières et qu’il m’aime à nouveau …

Je me souviens de cette nuit où il me croyait endormi. Il s’est excusé, il m’a murmuré que je resterais toujours sa princesse et que j’étais la seule qui compterait dans sa vie. Le lendemain, il m’a annoncé qu’il avait une copine. Un coup de massue. En plein cœur. J’ai encaissé, je crois même que j’ai souris ce jour-là et j’ai juste … acquiescé de la tête. Qu’est-ce que je pouvais faire d’autres ? Je ne voulais pas mentir, je ne voulais pas m’extasier et lui dire que j’étais heureuse pour lui. Je ne l’étais pas. Pas vraiment. Les jours qui ont suivi j’ai été là, puis un peu moins. J’ai menti, longtemps, je souriais, souvent, mais je n’ai pas su continuer mon petit jeu. La mascarade devenait trop dure à mettre en scène. J’ai jamais voulu le blesser, j’ai juste préféré m’effacer pour qu’il soit heureux ; peut-être qu’on s’aimait trop ? Peut-être qu’on s’aimait pas assez. Un jour il dira à sa copine la raison de ces rendez ratés et de ces départs précipités. Un jour il lui dira qu’il est malade et qu’il est heureux de voir qu’elle l’accepte. Et ils seront heureux, et ils auront un avenir, celui que j’ai toujours voulu avoir … Alors quand je le voyais sourire en me parlant de sa copine il y avait quelque chose de doux et de douloureux. Je l’écoutais me parler d’elle, parfois brièvement, parfois plus longuement et je pouvais sentir dans le ton de sa voix : il a fini par tomber amoureux d’elle. C’est ce jour-là que je me suis jurée de ne plus jamais être un frein pour lui. Alors je me suis forcée à tourner la page. Je me suis noyée dans mes études. Je ne voyais que ça, je ne pensais qu’à ça. J’en ai même délaissé Rae Won alors qu’il ne le méritait pas. Egoïstement je me suis enfermée dans mon monde … et c’est là que je l’ai rencontrée, Young Ja, et aujourd’hui voilà où j’en suis …

Je retombe dans les bras de cet homme que je me suis toujours interdit d’aimé. Je retombe dans les vices de mon amour pour lui, celui que j’ai tout fait pour oublier le jour où Ji Ho m’a oublié … J’ai peur, j’ai mal et j’ai envie de fuir pourtant je m’accroche à lui encore plus fort. Il me dit qu’il m’appartient et moi je le crois. J’attrape son visage entre mes mains et l’embrasse à en perdre la raison. Je ne t’aimerais qu’une fois Ji Ho. Demain j’aurais trop de mal à me relever. Demain j’aurais trop mal à m’oublier. Je ne veux pas enfouir deux fois ce que je ressens pour toi. Alors ce soir … ça sera l’exception. « Comme jamais je n’en ai donné à une autre… » Pourquoi t’es partie … ? Pourquoi tu m’as laissé … ? Je te déteste de m’avoir détruit Ji Ho. Parce que tu sais, ma douleur était à la hauteur de mes sentiments. Il me soulève et je me retrouve assise avec lui dans le lit. J’enroule mes jambes sur ses hanches et prends appuie sur le lit avec mes pieds alors que mes mains se cramponne à ses épaules comme si j’avais peur de sombrer. « Chevauches moi… Déchaines toi… Je te veux comme jamais tu l’as été avec un autre... » Un autre … il n’y en a que deux. Un que je voyais peu, et un que je vois souvent. Mais je lui donnerais ce qu’il veut, j’ai toujours été faible face à lui. Je suis fébrile, mes lèvres frôlent les siennes mêlant nos deux souffles. Je monte et descend en rythme de ses va et viens. Son corps moite contre le mien m’électrise. J’ai une mèche de cheveux qui me colle sur les tempes. De la sueur me coule dans le creux des reins. Loin de trouver ca repoussant, ça me grise un peu plus. Mon bassin ondule de plus en plus vite sur le sien alors que je rejette la tête en arrière pour lui offrir ma gorge. Qu’il embrasse ma peau, qu’il la marque. Je ne le repousserais pas et je gémirais ses prénoms. Je baisse mon visage vers lui et notre cadence défait mon élastique qui libère mes cheveux en une cascade flamboyante. Mon regard brûlant s’ancre au sien. J’ai la gorge sèche et mon souffle me brule. Mes deux bras s’enroulent autour de son cou alors que je viens cueillir ses lèvres. Je pousse un râle alors qu’une vague de plaisir monte en moi. « Ji Ho … » soufflais-je comme pour m’assurer que ce soit bien lui et non pas un rêve fou que je ferais … Qui sait, je vais peut-être me réveiller et reprendre le massage là où je l’ai laissé. « Tu m’as manqué … » laissais-je échapper en mordillant sa lèvre inférieure doucement. Ses lèvres m’ont manqué. Leur douceur, leur chaleur, leur goût, sucré et doux. Oui il m’a manqué, cruellement manqué …



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyJeu 31 Juil - 13:58

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Du fait de ma maladie, j’ai beaucoup lu, j’ai également beaucoup vu, que ce soit au cinéma ou chez moi ou des centaines de DVDs s’étalent sur mes étagères sans que je ne puisse plus vraiment ni les ranger par ordre alphabétique, ni par genre. Malgré tout cela, je n’ai jamais encore vue, adapté à l’écran ou écrit entre quelques lignes, de relation comme celle que je vis avec Su Nah, peut-être parce qu’une personne malade n’intéresse les gens que si il doit mourir à la fin du film… Il est vrai… Quelle image donne-t-on des gens comme moi ? Je crois que celui qui me ressemblait le plus ça devait être l’homme de verre dans Amélie Poulain et quelle image renvoi-il ? Celui d’un homme seul, agacé qui ne peut rien faire sans l’aide des autres. Alors quel réalisateur, scénariste, écrivain pourrait inventer une histoire entre amour et amitié aussi belle que la nôtre ? Probablement personne alors je ne puis mettre de mot pour la désigner. J’ai juste envie de vous dire qu’elle est plus pure que n’importe quoi d’autre, que l’amour que l’on éprouve l’un pour l’autre est puissant même si il ne pourra jamais s’exprimer autrement que dans cet instant que l’on vit actuellement. Le dernier… Probablement pas de la nuit… Mais de cette nouvelle vie qui débutera demain. Je ne pense pas changer, elle ne changera pas, je l’aimerais toujours, elle pensera que ce n’est que de l’amitié voir une attirance bien trop grande et tout redeviendra comme avant. Mais pour moi… Ce n’est pas le cas, je ne pourrais plus penser à une autre femme, je ne sais pas si j’arriverais à avancer mais une chose est sûre, je ferais tout pour car c’est cela qu’elle désire le plus au monde : que je puisse enfin avoir une vie normale…

A y repenser, si l’envie ne m’avait pas forcée à abandonner mes bonnes habitudes de rejet… Aurais-je osé l’embrasser ? Aurais-je posé ma main sur mon sexe durcit ? Lui aurais-je dis tous ses mots alors qu’elle me témoignait son besoin de lui faire l’amour… De se donner cette impression de s’aimer encore, comme si l’on abandonnait, que l’on essayait tout en sachant que jamais plus, il ne pourra y avoir de « nous » dans le mot couple. Une amitié ? Oui, très profonde, sincère, puissante, aussi belle que rare… Mais une vie ensemble… Non… Et c’est dans cet acte que d’une certaine manière nous le comprenons pour mieux en abuser. Perdu entre ses bras, je me sens enfin vivant, comme à l’époque, comme lorsque je pouvais laisser parler mes sentiments devant son corps endormis, caressant ses cheveux alors qu’elle devait probablement rêver de nous, de notre avenir et pourtant… J’ai dû y renoncer un matin… Je ne le regrette pas, c’était la chose à faire pour elle, pour qu’elle puisse de nouveau me regarder droit dans les yeux en m’annonçant qu’elle était de nouveau heureuse. Pour qu’on puisse en parler, que je lui souris, la serre dans mes bras en la félicitant. Peut-être est-ce dont j’ai besoin, qu’elle soit en couple, qu’elle en aime un autre pour mettre à jamais une croix sur cet amour impossible… je ne sais pas… Il n’y a que dans la détresse que l’on peut prendre certaines décisions…

C’est pour cela, probablement, que je lui dis que je lui appartiens, sa réaction est surprenante, plus que des mots, elle m’embrasse comme si c’était la fin du monde, jusqu’à risquer l’asphyxie, ses mains sur mes joues. Je sais qu’il n’y aura surement pas de prochaine fois, alors, je lui signifie que je ne serais plus l’enfant malade de nos premières fois, qu’elle aura ce que je n’ai jamais offert à une autre : mon corps dans son ensemble : mes muscles, ma peau… Tout ce qui m’est interdit en temps normal. Alors je la fixe encore pour ne pas oublier ce regard qu’elle m’offre puis je la relève et moi avec, je lui offre une position interdite tant mon corps sera mis à rude épreuve mais c’est celle que je veux pour elle car ainsi, nous n’aurons jamais été aussi proches. Je m’assois donc et la fait venir, la laissant me chevaucher à nouveau, poussant un soupir quand je me retrouve à nouveau en elle. Ses mains se retrouvent sur mes épaules alors qu’elle ondule à nouveau avec grâce, cherchant la rencontre de mon bassin. Ses lèvres me frôlent comme pour me signifier que je n’ai qu’un geste à faire…pour lui rendre ce baiser fiévreux qu’elle m’a offert lorsque j’ai dit lui appartenir. Je pose une main sur sa joue, la caressant délicatement comme je le ferais avec le pétale d’une fleur, l’autre glisse sur son sein, avec finalement un certain respect comme si j’avais peur de vraiment le toucher, de l’abimer de mes mains impurs. Et voilà… Nos langues se rencontrent, je lui donne tout mon souffle, tout mon désir, toute ma passion dans ce baiser que je sais unique… Comme elle n’en a jamais eu… Du moins… De ma part.

Son corps et brulant, ma main quitte sa joue pour remettre sa mèche en place comme je le fais souvent lorsqu’elle me masse. C’est un geste complice et il se retrouve ici, malgré la fougue de ce corps à corps endiablé. Elle jette alors sa tête en arrière, m’offrant sa gorge que je viens immédiatement rencontrer de mes lèvres, embrassant d’une multitude de baisers papillons, la surface de cet épiderme. Elle en profite alors pour accélérer, j’ai de plus en plus de mal à continuer mes baisers… Elle me tient totalement en son pouvoir sans probablement en avoir conscience. Sous la puissance de nos ébats, ses cheveux se retrouvent libérés, ainsi, elle a des airs d’amazone et je la trouve encore plus qu’elle ne l’est déjà. De nous deux, c’est elle la plus active, ça a toujours été le cas entre nous mais pour d’autres raisons à l’époque… Parce qu’elle ne voulait pas que je me blesse… Ses bras ainsi enroulé autour de mon cou, sa poitrine s’écrasant contre mon torse, nos souffles ne faisant plus qu’un… Elle m’embrasse comme pour me dire qu’elle ne fait pas ça pour le sexe mais parce que c’est moi… Comme pour une nouvelle fois me rassurer. J’apprécie, je l’embrasse à mon tour et l’entend gémir mon prénom dans un râle un peu plus prononcé. Mordillant ma lèvre inférieure, elle me murmure alors les plus belles paroles qu’elle ne m’a jamais dites de toute ma vie… je lui ai manqué… Je la regarde doucement, avec ce regard avenant qu’elle aime tant et répond tout en l’embrassant.

« Toi aussi Sunah… Ma jolie princesse… Je préfère vivre avec mes souffrances que vivre sans toi… Te rencontrer a été la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivé. »


J’avais ralentit la cadence pour lui dire cela… pourquoi avais-je eu besoin de me retrouver entre ses bras pour enfin la remercier d’être là, pour enfin lui dire combien j’apprécie sa présence, son aide, sa douceur… Et pourtant, j’accélère à nouveau, comme pour lui prouver que je suis toujours « moi » et pas un homme complétement abusé par l’instant… Je la fixe, la désire des yeux. A-t-elle déjà vue un homme la regarder ainsi ? Je l’ignore, mais je murmure à nouveau, avec une douceur presque angélique.

« Tu es devenue une femme…. Si belle… »

Elle n’est plus une adolescente… Alors je continue, je l’emmène avec moi dans ce monde ou il n’y a plus qu’elle et moi… Mon visage glissant contre sa poitrine, parcourant sa peau de mes lèvres impatientes…


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Cho Su Nah
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 9:19

[quote="Cho Su Nah"]
Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



la douceur de ses mains. La chaleur de sa peau. Le goût de ses lèvres. Je me souvenais de chacunes de ses choses pourtant, malgré leur saveur familière j'avais l'impression de le découvrir. Peut être que nous étions trop jeunes à l'époque. on faisait comme les grands sans être vraiment capable de comprendre ce qu'on ressentait, sans réellement osé tout se donner. il avait fallut que j'attende Young Ja pour me rendre compte de la femme que je pouvais être au lit. une femme libérée, une femme puissante et dominatrice. Aujourd'hui mon coeur se serrait d'une pointe de regret en constatant ces changements. je ne condamne ce que m'a offert Young Ja mais je crois au fond de moi que j'aurais préféré les vivres avec Ji Ho. comme si je n'avais réussis a n'être moi même que loin de mon meilleur ami. la vérité c'est qu'on vivait constamment dans la peur de sa maladie. et ce qu'il avait longtemps tenté de me faire comprendre c'est que son état finissait par empiéter sur notre relation. d'une facon que je n'avais pas remarqué. peut être qu'il me détestait finalement ? peut être que moi, celle qui se battait corps et âme pour que mon meilleur soit juste un homme et non plus un malade, j'avais fini par être comme les autres. a le prendre avec des pincettes et a rendre mon amour pour lui étouffant. en réalité j'ai toujours cru qu'il avait rompu avec moi a cause de ça ... parce que je l'aimais trop et que j'avais fini par être trop couvante avec lui. je ne m'étais rendu compte de rien et peut être que je me trompais ... mais ce soir, ce doute que j'avais longtemps refoulé me saisit le ventre. il a beau m'avoir dit qu'il m'avait quitté par amour je n'arrive pas a m'en convaincre. moi qui pensait qu'il me détestait ...

je me revois, toutes ses fois où nous faisions l'amour où j'avais toujours peur de trop faire battre son coeur et de déclencher une crise ... j'arrivais pas a être égoïste avec lui. je le voulais lui, je le voulais tellement lui mais j'avais peur de le perdre si j'osais le réclamer en entier ... mais ce soir il me le prouvait, il me le montrait, il me le donnait ... cette force de lui qu'on ne soupconnait pas. il me l'accordait. c'était le plus beau des cadeaux qu'il me faisait ... et je me rappelais juste en plongeant mon regard dans le sien cette photo de nous que je lui avais offert un Noël en lui inscrivant derrière " La vie ne vaut pas la peine d'être vécu si on ne se brûle pas les ailes ... " et c'est ce soir vraiment que j'en prends pleinement conscience. j'ai toujours voulu lui offrir le monde, la terre entière ... et s'il voulait plus je serais aller lui chercher les étoiles. je lui avait fait une surprise, il devait trouver ça cucul quand j'y repense, mais j'avais placarder mon plafond d'étoiles fosforecente. elles brillaient dans le noir et nous éclairaient presque. les lumières de la ville sont trop fortes pour qu'on puisse voir les étoiles. et le seul point de la ville où on pourrait les voir se trouvent sur un point culminant de la colline. ji ho pourrait mourir avant de l'attendre ... et sans jeu de mot macabre. alors bien sûr ça nous arrivait de voir des étoiles des points fins presque imperceptible mais je m'étais dit que nous créer un cocon sous cette voûte céleste nous ferait passer un bon moment. et j'ai eut raison. je crois qu'on a passé la meilleure nuit de notre vie ... est ce qu'il se souvient ...? de toutes ces choses qu'on a fait ensemble ? de cette journée de cours que je l'ai obligée a sécher pour partir en bus a l'autre bout de la ville pour voir un concert de rue. les risques que je lui ai fait prendre et que je lui fais prendre ... est ce si mal que ca ?! jai toujours pensé que j'étais celle qui l'aidait a vivre sa vie ... mais peut être que je suis seulement celle qui le tue a petit feu ...? Peut être que ce sont les autres qui ont raison. le confiner dans une bulle pourrait rallonger sa vie ... mais il en serait malheureux pas vrai ? et cette simple idée me rebute. il mérite mieux ... il mérite tellement mieux ....

encore une fois ses mots me touchent en pleins coeur. ma jolie princesse ... dieu que j'aime cette façon qu'il a de le prononcer ...je me sens tellement importante, tellement puissante ... il me rendait cette force et cette confiance en moi que j'avais perdu ... je fixais ses lèvres lorsqu'ils parlaient et elles me donnaient tellement envie. son regard me fait fondre et j'ai presque arrêté de me mouvoir sur lui pour écouter religieusement ce qu'il me murmurait tendrement. Ce regard ... ce regard m'a tellement manqué. c'est celui que toute femmes rêverait de voir poser sur elle ... par l'homme qu'elle aime. Ji Ho ... si tu savais comme je t'aime. là, tout de suite, à cet instant bien précis. on s'en fou de ce que ça peut vouloir dire. je t'aime c'est tout. t'as toujours été mon tout ... et ce soir tu l'es plus que jamais ... quand je sens le plaisir attendre son paroxysme je m'accroche à ses épaules en gémissant de plus en plus fort. je soupirais son prénom comme pour entrer cette vérité que c'était bel et bien lui dans mes bras. qu'il me voulait moi ... et qu'il était en moi, unis comme nous ne l'avons pas été depuis une éternité ... " Ji Ho je viens ... " murmurais-je faiblement comme un supplice presque douloureux. jattrapais ses lèvres pour un baiser délicieux. quand j'atteins l'orgasme je poussaid un gémissement tellement fort en collant mon front au sien que je me suis entendu jouir ... et ca avait quelque chose d'étrange. toutes mes forces mabandonnerent d'un coup mais je sentis les mains de Ji Ho s'agripper sous mes fesses et me soulever en rythme. je le ferais jouir ... et je ne reculerais pas. j'accentuais mes coups de bassin pour le faire jouir en moi et susurra fébrilement " Murmure mon prénom ... " dis moi que je suis la seule qui sache te faire découvrir le 7eme siècle .... quand je le sentis venir en moi j'esquissais un sourire en embrassant ses lèvres tendrement avant de m'écrouler sur lui fiévreuse. Nos corps couverts de sueur s'épousait à la perfection ... Je restais un instant sur lui, pour garder cette sensation de le contenir en moi. puis je me redressais encore sous l'émotion du plaisir qu'il m'avait donné. déposant un baiser sur le bout de son nez je lui murmurais " Je t'aime ..." parce qu'il avait le droit de savoir, rien qu'une fois, une dernière fois. je passe une main dans ses cheveux avant de me blottir contre lui. mon corps tremblait malgré moi. mais je refusais de me détacher de lui.


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 10:27

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Su Nah m’a tout appris, elle a très rapidement la place de ma mère qui tenta dès la découverte de ma maladie, de m’enfermer dans ma chambre. Elle avait tout enlevé, plastifié le lit, retiré les jouets… Il n’y avait que le vide, quelques posters aux murs, des cartes Pokémons qui trainaient ainsi que quelques feuilles et des feutres. Je n’allais plus à l’école et je m’enfermais sur moi-même, je crois que c’est durant ces dix jours que quelque chose en moi a changé, une certaine haine venant de ceux qui tentaient de me protéger en m’infligeant encore plus de souffrance. Et puis un jour… Un bruit d’une vitre qui éclate… c’est la mienne. Un caillou vient d’y être jeté. Surpris, je regarde en bas et vois ma jolie princesse qui me dit de venir. Ce jour-là, j’ai dû me mettre en danger plus que toute les autres fois. A ce moment-là, j’ai eu le courage de la rejoindre en nouant mes draps au balcon pour descendre et être près d’elle. Pourquoi n’ai-je pas réussit à en faire de même une dizaine d’année plus tard ? Mettre de côté ma maladie, vivre l’instant, ne pas chercher à comprendre le futur mais à abuser du présent. J’ai perdu ce côté terreur parce qu’elle est tombée amoureuse de moi et que je ne voulais pas la faire souffrir si un jour ma maladie évoluait. En voulant la protéger j’ai détruit la seule chose qui me faisait me lever le matin… La seule chose pour laquelle ma vie mérite d’être vécue.

Alors, dans ses bras, contre elle, je veux trouver le courage, je veux lui montrer que pour elle et surtout avec elle, je peux être plus fort, qu’on peut me guérir avec de l’amour, qu’on y arrivera… La médecine progresse mais moi aussi… Avec elle, je peux vivre et pourtant… A mesure que je suis en elle, je compte les secondes avant que cela ne se termine. Elle m’a promis toute la nuit… oui… On le fera… Une dernière fois… mais avant cela… je prendrais soin de toi… Comme tu l’as fait avec moi. Cette nuit, c’est moi qui te masserais, qui te fera prendre ton bain, te frotteras le dos avec énergie en déposant des baisers sur tes épaules, qui te fera un petit encas. Et puis… Avant de se coucher, on le fera une dernière fois pour clore ce chapitre et reprendre notre amitié demain matin, là où nous l’avions laissé lorsque j’ai franchis la porte de chez toi… Oui Su Nah… Laisses moi être un homme cette nuit… seulement cette nuit… Je t’en supplie… Tu pourras me protéger dès que le soleil se sera levé… mais pas avant, laisse-moi imaginer comment aurait été notre amour sans ma maladie… Par pitié…

Je me souviens de tout, des étoiles, de la plage, de ce concert de rue… Tout cela c’est toi… J’ai été jaloux par le passé du lien que tu avais avec Rae Won… J’avais peur qu’il prenne ma place mais tu as toujours été là pour moi. Mais maintenant… Que nous avons grandis, que nous avons tous peur de la mort car nous avons conscience qu’elle est bien réelle… Il n’y a plus ce grain de folie… Tu as peur pour moi, constamment… je le sent dans ton regard, quand tu vois que j’ai mal quelque part… Su Nah… Si tu savais comme j’ai peur de disparaitre… non pas pour moi… mais pour toi… Je sais que je te manquerais… Que tu m’aimes alors je fais attention, je vais au cinéma tout seul, je refuse la compagnie des autres, de ceux qui ne sont pas de ton clan mais… Est-ce le mieux pour moi ? Dans cette nuit, je veux te montrer que l’on peut recommencer non pas à s’aimer mais à vivre, à vivre normalement…

Je la regarde je la remercie, on s’est presque arrêté l’un et l’autre de peur que le claquement de nos peaux respectives ne viennent perturber cet échange de mot. Je te regarde comme une femme, comme celle que j’aime et cela te plait, je le sais et ça me fait tellement mal de ne pas t’avoir donné plus en retour… Et puis, je me mouve à nouveau, elle me suit, s’accroche à mes épaules, sa voix qui gémit me fait frémir d’envie, surtout cette façon qu’elle a de dire ainsi mon prénom… Elle a évolué sexuellement… C’est la véritable Su Nah que j’ai sous les yeux désormais et elle me plait terriblement. Elle m’annonce la fin de cette chevauchée, je vais la faire jouir, cette fois j’en ai la certitude alors je murmure doucement.

« Je veux voir tes yeux à ce moment-là… T’admirer… Voir dans ton regard que…. Je suis Un homme… »

Et pas un handicapé, vous l’avez compris c’est ma plus grande peur, elle m’embrasse puis colle son front au mien, gémissant à en faire éclater les vitres… comme avec son caillou par le passé… Je la vois, ses yeux dans les mains, nos lèvres se frôlant alors que je pose mes mains sous ses fesses pour continuer, pour qu’à son tour, elle m’offre le plaisir ultime. Elle accélère alors, me demandant de susurrer son prénom… Je ralentis le mouvement pour l’observer me chevaucher, fixant la rencontre de nos deux sexes, jetant ma tête en arrière.

« Su Nah… Je n’ai jamais autant… »

Autant pris mon pied ? Autant apprécié de faire l’amour avec toi ? Qui sait… Je ne peux finir ma phrase, la jouissance me prend au trippe, je pousse un puissant râle de plaisir, mes yeux se révulsent un instant comme lorsque je vais faire une crise mais ne tarde pas à redevenir normaux. Elle s’effondre sur moi, brulante alors que je reprends mon souffle, elle m’embrasse sur le bout du nez et murmure qu’elle m’aime, je souris… la voit-elle la différence avec ces sourires de façades que je lui fais pour la rassurer ? Le voit-elle le bonheur dans mes yeux d’entendre ces mots ? Je ne sais pas, mais je réponds doucement.

« Su Nah… Je t’aime aussi… Je te dois la vie… Sans toi… Je serais resté à jamais dans cette chambre… Tu es mon ange gardien… Mon âme sœur et je t’aimerais toute ma vie… »


Je ne lui ai jamais fait ce genre de déclaration, même pas quand on était ensemble et je me rends compte que c’est justement pour cela qu’elle semblait croire que je la détestais. Allongée, toujours contre elle, elle passe une main dans mes cheveux, se blottissant contre moi alors que je murmure doucement.

« Je te fais couler un bain ? Ce soir… C’est moi qui m’occupe de toi ! Laisses moi être un homme normal prenant soin de celle qu’il aime… juste pour cette nuit… »

J’ai l’air triste quand je lui dit ça parce que j’ai peur qu’elle me dise « non », qu’elle me dise que c’était une erreur et qu’elle change… Qu’elle ne soit plus celle qui, peu importe le temps, la vie… Sera toujours là pour moi…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 17:11

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

On finit par s’allonger, blottit l’un contre l’autre dans ce lit qui me parait tout à coup immense et froid. Son corps est brûlant et je peux sentir son cœur fou dans sa poitrine. Ses bras autour de mon corps il m’enlace comme jamais, il me fait presque mal aux côtes mais je ne le repousserais pour rien au monde. Mon corps pèse contre son corps tendrement, lourdement peut-être aussi. Je viens loger mon visage dans le creux de son cou. J’inspire son parfum et baladant ma main sur son torse que je caresse doucement. Du bout des doigts, câline. Je le berce à ma façon. Tournée vers lui je me sens bien. Blottie contre son torse je me sens à l’abri du monde. Ma paume caresse son cœur pour le sentir battre sous mes doigts. Est-ce que je me sens coupable d’avoir ça ? Je crois que non, non pas du tout, pas même une seconde. Je suis même … satisfaite de nous. Comme si … on avait su trouver le moyen de se dire au revoir, de tourner la page, de se dire que … de se dire qu’on peut mettre fin à cette histoire d’amour qu’on a jamais su vivre. Est-ce vraiment la fin ? Une part de moi me suppliait de ne pas faire ça … l’autre part, trop confuse pour s’affirmer encore vraiment, me laissais gérer ce trop pleins d’émotions comme je pouvais. Et ce soir je n’avais pas envie de trop réfléchir. J’étais bien dans ses bras, nu contre lui, sans pudeur, sans honte. Comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Comme si c’était le présent qu’on aurait pu avoir … Les mots de Ji Ho m’arrache une larme. Encore. Putain je déteste ça, j’ai l’impression de tout le temps pleurer avec lui. C’est débile. Mais je retiens ça depuis tellement longtemps, je pensais l’avoir effacé, oublié, mais je l’ai simplement enfoui au fond de moi en convaincant que tout ça ne valait pas le coup de crever à petit feu pour ça. Mais peut-être que si, peut-être que ça aurait valu le coup. Et si vous croyez que ce que me dis Ji Ho est courant vous vous trompé … entre nous, on a jamais vraiment eut d’élan d’affection comme ça. Oh, il m’arrivait souvent de lui dire que je tenais à lui ou à lui montrer via des gestes ou des regards, mais jamais on ne sait autant mis à nue… pas comme ça … et le sexe semble nous avoir été bénéfique. Faire l’amour avec lui c’est … c’est quelque chose d’unique et différent … je le revois jouir en moi, son visage, ses yeux clos et son expression de douleur et de plaisir mêlé. C’était beau … si beau que je me revois le fixer dans les méandres de ma propre jouissance et me dire que jamais je ne l’avais vu aussi beau …

« Su Nah… Je t'aime aussi… Je te dois la vie… Sans toi… Je serais resté à jamais dans cette chambre… Tu es mon ange gardien… Mon âme sœur et je t’aimerais toute ma vie… » Ses paroles résonnent dans ma tête et je me sens … je me sens fébrile, reconnaissante. J’ai presque peur de ne pas mériter ses mots … je me redresse alors que mes cheveux tombent en cascade d’un côté de mon visage « Alors tu ne me détestes pas pour ça Ji Ho … pour être … égoïste … pour te faire prendre des risques … ? Tu sais … » je crois qu’on pouvait s’accorder une pose confidence, celle qu’on n’aura plus l’occasion avant un moment « J’ai cru que tu m’avais quitté parce que j’étais allé trop loin avec toi … que je t’avais poussé à te surpassé et que tu avais pris peur pour toi … » Que tu m’en voulais pour mon grain de folie, celui qui te poussait à sortir de cette chambre dans laquelle tout le monde te confinaient … Je pose le plat de ma paume sur son torse et appuie mon menton dessus en relevant juste les yeux vers lui. Je déglutis difficilement en suivant du bout des doigts la courbe de ses lèvres. Il sourit … il a l’air heureux, heureux grâce à moi ? Je peux assurer que oui … Sans avoir peur de me tromper. Je dépose un baiser sur son torse, je ferme les yeux et y colle ma joue. Je suis bien là … j’aimerais ne jamais avoir à bouger. Je dessine des arabesques du bout du doigt sur sa peau et passe ma langue sur mes lèvres salées de sa sueur. Loin de trouver ca repoussant, je lui trouve un goût délicieux. Je souris contre sa peau, enfouissant mon sourire comme un secret. « Je te fais couler un bain ? Ce soir… C’est moi qui m’occupe de toi ! Laisses moi être un homme normal prenant soin de celle qu’il aime… juste pour cette nuit… » Je relève la tête à sa proposition et mon regard se met à briller. Son air triste m’arrache un pincement au cœur. Alors je me redresse et vint m’allonger sur lui pour capter toute son attention.

« Tu n’es pas un homme normal … tu es un homme fabuleux Im Ji Ho … un homme parfait … je ne changerai rien en toi … rien … » pas même ta maladie, mais si je l’enlevais ça serait pour te rendre la vie plus facile, et te rendre ce sourire que tu perds trop facilement. « Du premier jour de notre vie jusqu’au dernier … tu te souviens ? » c’est ce que j’avais toujours tendance à lui dire quand nous étions plus jeune, juste pour lui rappeler que quoique la vie puisse vouloir de nous, je serais là, à ses côtés. Je passe une main dans ses cheveux et lui souris tendrement avant de lui dire « Tu te souviens de mes 19 ans … ? » un sourire amusée étira mes lèvres en me souvenant de la soirée d’anniversaire qu’il m’avait préparé. Un diner, rien que tous les deux. Et un super cadeau … un bijou que je porte d’ailleurs toujours. J’avais voulu l’aider en faisant réchauffer les plats … mais je me suis attaqué à lui à coup de coussins pour le taquiner et on en a oublié notre repas qui a carbonisé la cuisse. La panique passé et après avoir constaté les dégâts j’ai eu le fou rire de ma vie … Je me revois assise sur le sol de cette cuisine incapable de me relever, à pleurer de rire … C’est fou à quel point mes souvenirs me reviennent ce soir. Et je me rends compte que peu importe à quel point je regarde derrière moi, Ji Ho est toujours là. Ma vie est la sienne. Ma vie n’est rien sans la sienne. D’aussi loin que je me souvienne il est là, avec moi. J’étais son ombre. Ou il était la mienne. Je viens capturer ses lèves pour un baiser doux et tendre. Un baiser qui voulait tout dire. Puis m’arrachant à son étreinte presque à regret je m’assois dans le lit en me rendant compte qu’il fait désormais nuit noir dehors. Je me tourne vers lui surprise et lui dit avec un visage enfantin « Oh ? Il est déjà aussi tard ? » Ouais … c’est dingue comme le temps passe vite quand on est occupée. Je rougi en me mordillant la lèvre inférieure et descend du lit sans chercher à cacher mon corps attrape une baguette qui trainait sur mon bureau pour attacher négligemment mes cheveux dans un chignon lâche. Découvrant ma nuque je poussais un soupir de satisfaction en sentant une fine brise d’air venir refroidir mon corps brûlant. Le corps de Ji Ho me manque déjà, ses bras surtout, son étreinte et sa douceur … j’ai envie de retourner contre lui et inconsciemment je l’invite à me rejoindre en jetant un regard presque timide par-dessus mon épaule dans sa direction.


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 17:58

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Les souvenirs ne cessent de me revenir… Et je lui dois la vérité… Si elle ne l’a pas maintenant, elle ne l’aura jamais. Nous avons fait l’amour comme si nos vies en dépendaient, je sais qu’il y aura une seconde fois… une dernière, pour refermer ce chapitre d’une nuit qui clos notre histoire d’amour pour lancer notre amitié, cette fois sans secret, sans pensées négatives, simplement le plaisir d’être ensemble sans rien se cacher. Ce soir, j’avais envie d’être le Ji Ho que j’aurais été sans ma maladie. Mais m’aurait-elle regardée ainsi à l’époque ? Se serait-elle intéressée à moi ou m’aurait-elle délaissée pour Rae Won ? Je ne sais pas si le temps, les études nous auraient séparé mais en tous les cas, ce soir, je suis cet homme et il n’y a pas d’autre chose que je ne veuille plus qu’elle.  Elle me dit qu’elle m’aime alors je lui réponds, je lui fais une sorte de déclaration, lui expliquant ce que je ressens vraiment pour elle. Je l’écoute… Elle pense que je la déteste de me faire prendre des risques, que c’est pour cela que je l’ai quitté. Maintenant que nous n’avons plus ce corps à corps, je lui dois une explication claire… Qu’elle ne croit pas que c’était juste sous le coup de l’excitation. Je prends sa main dans la mienne et la fixe…

« Peur pour moi… Non… Su Nah… A chaque fois que tu m’as poussé à me surpasser, tu m’as fait avancer… J’ai envie de voir le monde à tes côtés… Aller voir les montagnes… la mer… Ce genre de choses… Si je t’ai quitté… C’est que… J’avais peur pour toi… Tu n’as jamais su la vérité et je t’en prie pardonne-moi à l’avance de ces mots… En fait… La veille de t’annoncer notre rupture, je suis allée regarder les bagues de mariages parce que c’est cela que je voulais pour nous deux… j’ai fait une crise… Et j’ai fini à l’hôpital… je t’ai dit que j’étais chez mes parents mais j’ai mentit… la réalité c’est que j’ai compris que jamais je ne me sortirais de ma maladie… Et que… Tu n’avais pas à vivre ainsi pour moi… Tu as le droit à un avenir.. D’avoir des enfants… Tout ça je ne pourrais jamais te l’offrir… Alors j’ai préféré te donner la chance de rencontrer quelqu’un d’autre… J’ai fait ça parce que je t’aimais plus que tout… Je ne sais pas si c’est bien… mais c’est ce que je voulais pour toi… »

Je n’ai pas l’habitude de parler, mes phrases sont plutôt courtes mais cette fois, je veux qu’elle sache toute la vérité, que demain nous redevenions les meilleurs amis du monde et qu’elle ne doute pas instant qu’elle a toujours agis pour moi et que jamais je ne lui reprocherais quoi que ce soit. Je devais lui dire la vérité parce que l’imaginer penser que je la déteste me fend le cœur… pourtant, je reste allongé contre elle, je caresse ses épaules d’un doigt, le faisant glisser sur ses clavicules. Je me sens bien… J’aime sentir ses mains sur ma peau, la voir ainsi, écouter son cœur qui ce soir ne bat que pour moi… Et puis elle se lève alors que je lui propose un bain, elle s’allonge sur moi, me dit que je suis fabuleux, je souris… Je n’y crois pas un mot… mais je la crois elle… Elle ne voudra pas d’un autre « moi », je souris à nouveau alors qu’elle évoque notre promesse de ne jamais se quitter et hoche la tête positivement avant de la fixer lorsqu’elle me demande si je me souviens de ses 19ans.

« On a joué les pyromanes… Comment l’oublier ! Tu riais tellement, je ne t’ai jamais vu si heureuse… Parfois… Quand j’y repense… je regrette ce temps où l’on n’avait peur de rien… »

Mon ton est nostalgique et pourtant, je suis heureux, elle m’embrasse, me prouvant qu’elle désire prolonger cet instant, que cette nuit est la nôtre et je lui réponds de la même manière en caressant ses joues. Elle se relève et semble regretter qu’il soit déjà si tard. Elle se lève finalement attachant ses cheveux, me laissant à la vue de son corps si parfait alors qu’elle turne le visage en ma direction comme pour me demander de la suivre.

« Tu es sublime… Ton corps… Comme ça… La pénombre qui envahit la place.. Si j’étais doué en photo, j’immortaliserais cet instant… »

Je me lève lentement et la rejoint, je passe ma main sur son épaule et mes lèvres frôlent les siennes, lui offrant un baiser fiévreux alors que je lui prends la main pour l’emmener en direction de la salle de bain. Je fais alors couler l’eau, attendant d’avoir une température convenable et bloque le robinet pour que la baignoire puisse se remplir, Je lui tends la main comme à une princesse pour l’aider à y entrer avant de m’assoir sur le coin de la céramique pour attraper un gant de toilette et commencer à caresser son dos presque timidement… Je commence par ses épaules, dépose un baiser le long de sa nuque et descend lentement jusqu’à la chute de ses reins. Je suis délicat comme s’il s’agissait d’une pierre précieuse. Elle m’a souvent savonné le dos… pour ne pas que je me froisse un muscle et le lui faire à mon tour… C’est… Quelque chose dont j’ai toujours rêvé… Je murmure alors doucement.

«  J’aurais tant aimé trouver le courage de te faire ça avant… je ne pensais qu’à ma maladie… pas assez à ce genre de choses… On a vécu de jolie chose mais j’ai des regrets… En temps normal… je ne pourrais pas te le dire… mais savoir que tu as appris à faire l’amour avec un autre que moi… ça me rend triste… »


J’ai osé le dire, ce soir je parle, peut-être pour remplacer toutes ces années ou je ne disais que quelques mots. J’ai toujours été bavard avec elle mais pas autant que ce soir… pas pour lui dire ce que je ressens, je veux tout mettre à plat avant de la retrouver demain… Je ne veux plus rien lui cacher. Peut-être alors… Enfin… je pourrais la regarder à nouveau comme celle qui tient mon monde entre ses mains.

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 19:15

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

Sa révélation me fait mal au cœur, pourtant, ce soir, j’ai décidé de prendre les choses sans en faire trop. Ce soir, je vais accepter sa vérité et l’encaisser. Je déteste ce qu’il me dit. En temps normal je crois que je lui aurais hurlé dessus. Que je l’aurais insulté et sûrement, que je serais parti de chez lui en colère. On aurait plusieurs jours à se rabibocher et j’aurais finis par lui avouer ce qui m’avait mis autant en colère. J’aurais finis par lui dire que je l’ai aimé à en crever et qu’il n’avait pas le droit de choisir pour moi. Je lui aurais dit que je le déteste pour m’avoir fait, que je ne le méritais pas. Je lui aurais que je l’aimais et que ça me tuait de le voir s’être fait autant de mal pour moi … j’aurais été incapable de renoncer à lui comme il s’est forcé à renoncer à moi … Et il en a souffert, je le sais bien, tout comme j’en ai souffert … Je finirais par lui dire qu’il n’a été qu’un idiot avant de le prendre dans mes bras, en larme, le cœur lourd de regret. J’aurais sûrement continué de lui dire tout ce que j’avais sur le corps et j’aurais sûrement pleuré dans ses bras, secouant mon corps de hoquet et de spasmes. Il m’aurait pris contre lui et il m’aurait murmuré qu’il est désolé, qu’il voulait juste bien faire … qu’il ne voulait pas me faire de mal … Mais de toute façon, quand on aime quelqu’un … on finit toujours pas lui faire du mal, sans le vouloir, parce que les sentiments sont tellement fort qu’ils finissent par devenir douloureux. C’est … inévitable je crois. Mais c’est aussi la preuve que l’amour peut-être beau que fort. Que le sentiment est douloureux à la hauteur de leur puissance. Alors tu vois, tu vois comme je t’aime Im Ji Ho … Tu vois comme je tiens à toi, tu vois comme je ne pourrais pas vivre sans toi … Tu n’as pas voulu de mon amour, tu n’as pas pu me demander ça et tu t’es contenté de mon amitié, mais si tu savais combien c’est deux ne change rien pour moi. Je me donne tout autant à toi … et j’ai attendu plus de 5 ans avant de m’autoriser à rencontrer quelqu’un d’autre. Parce qu’avant ça, même si tu es tombé amoureux d’une autre, moi j’y arrivais. J’y arrivais pas à visualiser ma vie avec un autre que toi … Alors tu vois le résultat. J’ai passé deux ans de ma vie à me détruire pour un garçon qui n’en valait pas la peine. Mais je me suis bêtement dit que si je m’accrochais avec Young Ja ça pourrait peut-être fonctionné …. Comme j’aurais dû m’accrocher pour toi, pour te rassurer, te dire que moi … je ne voulais que toi. Mais j’ai rien fait de tout ça et aujourd’hui je regrette. Je me dis que j’aurais du, et je crois qu’il n’y a rien de pire que ça.

Je me suis détachée de lui pour qu’il ne voie pas mon expression. Celle d’une jeune fille meurtrit à qui on piétine le cœur. Il ne supporterait pas … Une fois mes cheveux attaché, je finis par me tourner vers lui, presque l’air de rien. J’aime quand il m’admire. Qui n’aimerait pas ça ? Ji Ho n’est pas n’importe qui … Quand il s’approcher, j’admire son corps si finement dessiné et son torse qui me rend folle. Je le caresse d’ailleurs sans cesse. Je ne sais pas s’il est gêné de cette proximité. Mais je passe toujours mon temps à me blottir contre lui et caresser son torse que j’aime tant. Il m’embrasse tendrement. Et sa réflexion au sujet de la photo me fait sourire. Je le vois bien me photographier au réveil, faisant à manger, me brossant les dents. Juste ces petites choses de la vie de tous les jours qu’on aime se souvenir au final. Ce sont toujours les petites choses les plus insignifiantes qui font de notre quotidien un petit bonheur. Et j’ai presque honte qu’il puisse trouver mon corps à ce point à son goût. Je n’ai pas de sein et j’ai l’impression d’avoir le haut du corps d’une enfant … Seules mes fesses rebondie m’arrache un minimum de fierté. Surtout quand je les moule joliment dans un tailleur cintré. Enfin … ses lèvres caresses les miennes avec douceur, un geste qui nous parait familier, naturelle, comme si ce soir nous avions le droit de tout. Je crois que notre vie aurait ressemblé à ça. Se réveiller avec lui tous les matins, partagé son lit, son pot de brosse à dent, lui préparer à manger et le laisser me câliner. On aurait passé notre temps à rire et à se chamailler. Et si la maladie pointait le bout de son nez on aurait été deux à la repousser fermement. Je n’aurais pas eu peur, si ce n’est de le perdre, mais je l’aurais rendu immortel. Immortel avec moi. On aurait tout affronté ensemble et le matin, je l’aurais regardé partir en cours, fière de lui. il aurait été souriant, il aurait eut plus d’amis, j’ne suis sûre. Ji Ho est tellement merveilleux, qu’il ne laisse jamais personne indifférent, alors avec un sourire un peu plus prononcé …

Il m’entraine au bain alors que ses mots me pèsent sur le cœur. Je rentre dans la baignoire alors qu’il s’assoit sur le rebord. Je me recroqueville sur moi-même après qu’il m’ait sagement lavé. Son baiser dans la nuque m’a fait frissonner. Je ferme les yeux pour savourer cette caresse. Je le laisse descendre dans le creux de mes reins avant de poser ma joue sur mes genoux et de le regarder, coupable et partageant le même sentiment « Je sais … » c’est tout ce que j’arrivais à souffler. Un pauvre et minable je sais … je fixe devant moi, l’eau couler dans mon bain parfumé et brûlant. « Je déteste ça aussi. » L’idée d’avoir appris avec un autre ? Oui. Oui, ce soir je déteste cette idée … Et je déteste qu’une autre ait pu toucher son corps … que ce soit une ex ou une fille d’un soir. « Et … elles … » ne peuvent pas t’aimer comme je le fais. « Tu … » merde je ne sais même pas comment lui dire les choses. « Tu as connu beaucoup de filles … ? » Je ne devrais pas demander. Parce que la réponse va me faire mal, mais je ne sais pas, c’est une curiosité malsaine qui me pousse à lui demander. Je veux savoir, savoir à qui je dois me mesurer, à qui je dois me comparer … Je pose mon menton sur les genoux alors qu’il remonte le long de mon dos et je lui murmure la voix pleine de chagrin « J’aurais été assez forte Ji Ho tu sais … » pour vivre mon amour pour toi. Pour vivre en couple avec toi. Pour affronter ta maladie avec toi … J’aurais été assez forte, je le sais … Je prends de l’eau dans mes mains et m’asperge le visage pour noyer ma peine. Tant pis, c’est le passé. Je peux me contenter de me dire ça ? J’attrape des pastilles de couleur et les glisses dans l’eau pour colorer mon bain en vert. La mousse elle reste blanche et d’ordinaire ça m’amuse de jouer avec l’eau. Là, je crois que j’ai le cœur trop lourd. J’ai juste envie de me blottir contre lui comme chaque fois que je me sens mal … Je lève mon regard vers lui et lui murmure en attrapant sa main "Viens avec moi Ji ho" J'ai froid dans ce bain brûlant sans lui.


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 19:47

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



La vue de son corps nue… loin de moi, comme pour me permettre de mieux observer chacune de ses formes, me démontrant qu’elle est devenue une femme désormais. Depuis que je l’ai mise à nue, je n’avais pas eu assez le recul pour l’admirer ainsi, dans la pénombre de sa chambre… Je n’ai pas couché avec énormément de filles mais si Haneul et Su Ah ont plus de forme, c’est le corps de Su Nah que je trouve le plus parfait. Tout est parfaitement proportionné et son visage… Mon Dieu… Elle n’a pas besoin d’une surdose de maquillage, de jouer les bimbos pour être belle, c’est naturel et ça je le remarque encore plus ce soir… Peut-être parce qu’avant je m’y interdisais d’y pensait de peur d’une rechute. Oui… C’est surement ça… Et désormais, alors que je lui ai fait l’amour, je me dis que jamais probablement je n’aurais la chance de retomber sur une femme aussi parfaite à mes yeux. Le temps passera surement et si elle se trouve quelqu’un, j’essaierais d’en faire de même mais serais-je un jour capable d’oublier cette nuit ? Non… C’est impossible et impensable… Cette nuit est parfaite… Comme elle… Comme ce moment… Parfait…

Pourtant, je sais que je vais tout détruire, que je vais lui annoncer quelque chose de terrible… Et pourtant, je le fait quand même car je le lui dois. C’est quelque chose qu’elle mérite de savoir parce qu’elle a toujours été là pour moi. Je ne peux accepter qu’elle s’imagine responsable… Qu’elle pense que j’ai pu détester une action qu’elle aurait faite pour me faire plaisir. Son corps contre le mien, je la sens réagir à mon discours. Elle semble se refermer sur elle-même comme pour me demander de m’arrêter là… De lui cacher la vérité… Qu’il vaut mieux penser que c’était cela… pas quelque chose que l’on aurait pu éviter en parlant ensemble. Pourtant, elle ne dit rien, se levant et me jetant un regard comme pour me dire de la rejoindre. Avant cela, elle est restée face à moi, elle sait que je la regarde et je pense que c’est ce qu’elle veut… Que jamais je ne puisse l’oublier. N’en pouvant plus et en manque de ses lèvres, je la rejoins, l’embrasse, la touche, la caresse et pourtant, je l’emmène avec moi dans la salle de bain. Je fais couler l’eau et lui propose de s’y assoir, ce qu’elle fait sans un mot.

Ainsi, je commence, je prends le gant de toilette et joue dans son dos à faire des mouvements sphériques tout en ajoutant une petite touche personnelle… un baiser dans la nuque. Je la sens frissonner, j’aime quand elle fait cela, qu’elle me démontre que mon contact lui plait, qu’elle n’en attendait pas plus de moi… Je continue, évoque mes regrets, avoue sans le dire que sexuellement, elle a changé, elle a appris à se montrer, à s’exposer, à dominer même…C’est totalement différent de ce que l’on faisait…moins enfantin… Elle me regarde, recroquevillée sur elle-même… Me dit qu’elle sait, quelle déteste cela aussi. Alors je murmure doucement…

«  Tu… Enfin… Tu as du te dire que… Avec moi… C’était mauvais… »

Je complexe par rapport à ça, de ne pas lui avoir donné plus de plaisir, de n’avoir pas fait d’elle une femme alors que j’en ai eu l’occasion à de multiples reprises. Elle aussi semble vouloir durer quelque chose de gênant… Elle a du mal mais finalement elle me demande… Elle veut savoir si j’ai connu beaucoup de filles. Savoir le chiffre… Est-ce si important que cela, je dépose alors un baiser contre sa colonne vertébrale puis pose ma joue sur son dos.

« Su Ah… Et une autre… Seulement ça… Je n’ai pas cherché autre chose… Enfin… C’est avc toi que j’y ai toujours pris le plus de plaisir car même si j’ai aimé Su Ah… Ce n’était rien à côté de l’amour que j’ai éprouvé et que j’éprouve toujours pour toi… »


Je suis franc, elle doit en avoir l’habitude ce soir, pourtant, elle semble triste, sa voix semble se figer… Elle me dit qu’elle aurait été capable de le supporté. Pitié Su Nah ne me dit pas ça… je ne veux pas l’entendre… Tu ne me comprends pas maintenant parce que tu es seule mais tu me remercieras quand tu auras trouvé l’amour… Ne me dis pas que j’ai fait une erreur… Essayes simplement de me comprendre. Mon visage toujours dans son dos, je ferme doucement les yeux et lui répond calmement…

« C’est seulement ce soir que je l’ai compris… pardonnes moi… Je voulais simplement te rendre heureuse… c’était il y a tellement longtemps… je ne pouvais pas savoir…. »

J’avoue mon erreur… lui demande pardon, chose assez rare chez moi qui suis une véritable tête de mule quand j’ai décidé quelque chose. Pourtant, elle se nettoie le visage puis, à ma grande surprise, me regarde puis me prend ma main et me demande de la rejoindre. Je hoche la tête et frémis au contact de la chaleur, me plaçant derrière elle, lançant mes jambes en avant pour m’enrouler autour des siennes, cuisses contre cuisses. Je commence alors à prendre le gant et à caresser son cou puis passe par l’avant, ses épaules, ses clavicules, la base de son cou avant de me retrouver à lui savonner un sein. Comme perdu face à ce contact, je lâche le gant de toilettes qui tombent dans l’eau. Pourtant, ma main continue de lui masser la poitrine alors que mes lèvres jouent avec le lobe de son oreille.

« Tu peux me le redonner ? S’il te plait… »

Comme si j’avais peur de le prendre moi-même, de la toucher à nouveau… Je parle du gant de toilette bien évidemment, ma main toujours sur son sein. C’est à ce moment-là que je me rends compte de ce que je fais et enlève immédiatement ma main comme si je venais de faire une énorme bêtise et que je venais d’être pris la main dans le sac…

« Je suis désolé… j’aurais du te demander avant… »


Alors que l’on vient de faire l’amour ? Oui… parce qu’avec elle… Je serais toujours aussi prévoyant, je chercherais toujours à lui faire plaisir, à ne pas la décevoir… Parce qu’elle passera toujours avant moi… parce que je l’aime… tout simplement…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 22:39

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


« Tu… Enfin… Tu as du te dire que… Avec moi… C’était mauvais… » Mais quel idiot. Comment si je m’étais amusé à comparer. Ce n’était pas comparable. Et puis je trouvais ça malsain de se dire ça … Si l’idée de ne pas avoir été satisfaite par l’un des hommes avec qui j’ai été m’a effleuré l’esprit, ça ne changeait rien au fait que je ne comparais pas entre eux. Et puis, je crois qu’avec le temps j’avais finis par enterrer mon histoire avec Ji Ho, ne plus y penser pour ne plus souffrir. Et puis avec lui je n’avais aucun autre point de comparaison et je l’aimais tellement que pour tout dire le sexe me paraissait tellement géniale. Avec Young Ja c’était différent, j’ai osé un peu plus, mais je restais douce … Et avec Rae Won … Hum, avec Rae j’ai appris à me lâcher, à connaitre mon corps. Apprendre à connaitre l’autre … Savoir dire non, savoir dire oui, connaitre ses limites, apprendre à les dépasser. Je ne pensais pas avoir autant changé, mais en voyant le regarde Ji Ho je dû me rendre à l’évidence. Si je n’étais plus cette adolescente qu’il connaissait. Et si mon corps est devenu celui d’une femme, j’ai appris à m’en servir en conséquence. Et ce soir, je lui avais donné un plaisir qu’il n’avait jamais soupçonné en moi. Est-ce qu’il ne me connaissait pas capable d’une telle chose ou alors … s’était juste arrêté à la jeune fille que j’étais il y a des années. En y repensant ça faisait presque 7 ans que nous nous étions séparé. 7 ans … Ce chiffre me parait énorme dans un tel contexte et pourtant ce n’est qu’une goutte d’eau dans notre existence, et dans notre relation. 25 ans et toute une vie, ça en fait des années. Je ferme les yeux quand il pose sa joue sur mon dos. Je savoure sa chaleur et l’écoute, craintive d’entendre la réponse …
 
"Une autre … ?" répétais-je en murmurant plus pour moi que pour lui. Il y en a eu une autre ? Je le remercie pour sa sincérité mais mon cerveau ne peut s’empêcher de penser à tout un tas de filles avec qui je l’ai vu trainer. Et puis je l’imagine … être avec elle comme il est avec moi. Et ça … ça me tue. Il était proche de son ex et j’étais jalouse de ça, aujourd’hui je me rends compte que c’était toujours le cas. La frontière est mince entre amour et amitié, mais la jalousie elle se trouve partout. Une autre alors … j’ai un peu de mal à encaisser la nouvelle mais qu’est-ce que je peux dire moi avec Rae Won ? On ne s’aimait pas d’amour mais on s’aimait et ce n’était pas un ex c’était un … un je ne sais pas quoi d’accord. Mais savoir que Ji Ho avait pu avoir une autre fille et sans que je ne le remarque ça avait quelque chose de … blessant ? Je ne sais pas ce qui me touchait le plus. Qu’il est pu avoir une autre femme dans sa vie ou que je n’ai rien vu … Je retins un soupir entre mes lèvres et joua avec la mousse. Je soufflais dessus. Et je l’écoutais parler. Ce n’était rien à côté de l’amour que j’ai éprouvé et que j’éprouve toujours pour toi… ses mots me touchent. Et même si je sais que je peux y croire et qu’il est sincère, il y a toujours cette pointe de jalousie au fond de mon ventre, mais qui suis-je pour l’en blâmer ? Il bouge doucement pour remonter dans ma nuque et je pousse un soupir d’aise. Mes mots lui font mal. Je le sais. Et j’en suis désolée mais il fallait que je lui dise … Il fallait qu’il sache. Je ne veux pas qu’il regrette sa décision mais … il m’a fait mal en doutant de moi et j’ai souffert pendant près de 5 ans avec mes sentiments pour lui. J’aurais pu tout lui donner mais il ne m’a pas laissé de chance de lui montrer qu’à deux on pourrait être plus fort. Je soupire doucement. On a fait quoi tous les deux depuis toutes ces années ? Pourtant, quand je pense à un avenir je me vois avec des enfants et je culpabilise quand un sentiment de soulagement me titille le ventre en voyant que Ji Ho ne veut pas m’imposer cette crainte … Je sais qu’il refuserait d’en avoir parce que le risque qu’il transmette sa maladie est beaucoup trop forte … et il ne veut pas donner à son enfant la vie qu’il a eu … Même si elle était parsemé de joie, elle était majoritairement emplie de contrainte, de douleur, d’hôpital. Il ne le montre pas mais il souffre constamment. Son corps n’est plus le sien et il se sent à l’étroit avec cette crainte … atteindra-t-il les trente ans ?
 
Il monte dans le bain après mon invitation et commence à me masser avec le gant. Je pousse un soupir d’aise en penchant la tête sur le côté pour lui laisser libre accès à mon cou. Et il glisse sa ma poitrine. M’appuyant contre lui je ferme les yeux pour me détendre et oublier toutes ces petites choses qui me blessent. Je ne réagis pas tout de suite quand il passe le savon sur mon sein. Je pense même qu’il le fait exprès et ça me fait sourire alors sa réaction quand il s’en rend compte me faire rire. J’attrape son poignet et tire vers moi pour que son avant-bras me serre de coussin. Je le serre contre moi comme un doudou et vint déposer un baiser dans le creux de son coude. Je ris doucement en lui murmurant « Ce soir t’as le droit de tout faire Ji Ho … » Je tourne la tête vers lui pour coller ma tempe à sa joue et pousse un soupir d’aise. Je crois que je pourrais m’endormir comme ça. Je prie pour que West ne revienne pas à la maison à l’improviste. Je fais glisser de l’eau chaude sur le bras de Ji Ho pour le garder au chaud. Et je masse distraitement son genou que je sais endolorie depuis quelques temps déjà. Je ferme les yeux, ma respiration est calme et je finis par fermer l’eau avec mon pied. Je suis toujours blottit contre Ji Ho et je savoure cet instant. J’aimerais lui poser des questions sur cette fille mais je n’ose pas. Pas ce soir. Demain, en tant qu’ami, je pourrais. Ou peut-être pas … on verra. « Ji Ho … ? Tu me chantes une chanson ? » Parce que c’était quelque chose que nous faisions souvent. Il me chantonnait des chansons doucement, pour me bercer. Parfois, quand il y avait de l’orage, il m’appelait parce qu’il savait que je ne dormais pas et que j’avais peur. Il me tenait compagnie et puis il me parlait, de tout et de rien jusqu’à ce que je m’endorme. Et il chantait, doucement. Et ça avait le don de m’apaiser.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptySam 2 Aoû - 6:46

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Finalement… Elle n’a pas voulu répondre à ma question comme pour ne pas me détruire… Comme pour ne pas appuyer là où ça fait mal. A l’époque, même si nous avions un grain de folie, faire l’amour était vu comme quelque chose de doux, comme un moyen de se témoigner notre amour et pas forcément comme une façon de prendre du plaisir même si c’était le cas. Disons que cette notion passait au second plan… Ce soir, j’ai découvert une autre Su Nah et elle ne ressemble pas à celle que j’ai toujours connu, je ne sais pas, c’est comme si je me rendais compte qu’elle n’était pas avec tout le monde comme elle l’était avec moi. Elle devait surement avoir des ennemies, des amis, un sex friend peut être ? Désormais… je ne peux pas vraiment être sure de qui elle est vraiment mais croyez-moi, peu importe, je l’aimerais toujours et je resterais toujours à ses côtés… Mais finalement… N’est-ce pas elle qui semble la plus inquiète ? Elle n’a rien dit sur notre corps à corps, elle ne s’est pas ouverte autant que moi ni sur mon physique ni sur ce que nous venons de dire mais elle semble obsédée par une question… Combien de femme y a-t-il eu… Alors, je lui réponds, tout en posant ma joue contre la peau de son dos… Deux autres… Su Ah… Et cette fameuse autre… je l’entends murmurer… Elle semble chercher qui cela pourrait être mais je ne compte pas lui dire. Haneul est une sorte de bouée de sauvetage pour quand je me sens terriblement seul, un coin de Paradis que je m’autorise de temps à autre mais surtout… je la considère désormais comme une amie… Et je l’apprécie énormément pour sa gentillesse… Ainsi, je précise que parmi ces deux femmes, je n’en ai jamais aimé une plus que je ne l’aime elle. Su Nah semble jouer avec la mousse comme pour ne plus trop penser… mais à ces mots, elle semble se calmer petit à petit…

Je remonte vers sa nuque et elle pousse un soupir d’aise, comme pour se venger inconsciemment, elle murmure ces mots que je ne voulais pas entendre, qu’elle était prête à vivre ainsi pour moi. Je souffre mais au moins… Elle sait… Elle sait que je l’ai toujours aimé… Que j’ai fait une erreur mais que ça n’a jamais été de sa faute… J’essaie de me reprendre en continuant à savonner son corps et pourtant… Elle me demande de la rejoindre… Comme si les confidences suffisaient désormais, qu’il nous fallait désormais à repenser au couple que nous formons cette nuit seulement. Ainsi, elle me prend le bras et je m’assois derrière elle, reprend mes mouvements, passe mon visage sur le côté pour embrasser sa gorge qu’elle m’offre avant que mes mains ne viennent se poser sur ses seins. D’abord avec le gant de toilettes, ensuite sans… Elle ferme les yeux, et puis… Je me rends compte de ce que je fais… Je ne peux pas la toucher comme cela… Ce n’est pas respectueux, elle n’est pas une poupée offerte à moi… Elle mérite que je m’occupe d’elle… Que je lui fasse plaisir… Et pourtant, elle semble trouver mignonne ma réaction, comme si nous avions besoin d’une maladresse de ma part pour nous rapprocher à nouveau. Elle me tire et se sert de mon avant-bras comme coussin, embrassant mon coude, me disant que ce soir… Il n’y a pas de limites… Que  j’ai le droit de tout faire. Je remue la tête négativement de gauche à droite comme un enfant.

« Non… Ce soir j’ai le droit de faire tout ce que tu as envie ! C’est juste que… Je ne sais pas si tu aimes mes mains sur ton corps… Sache juste que…. Quand tu fais du zèle sur mon torse alors que ton massage est censé être terminé, moi ça me plait beaucoup ! »

Je rit à cette phrase, j’ai passé ma vie à me faire masser par des internes, des kinés, des professeurs, des infirmières et autre et je sais comment mes articulations doivent être massés, je sais ce qui est nécessaire, comment cela débute et comment cela se termine et je n’ai donc jamais douté du fait que mes muscles lui plaisaient. Pour être sincère, je n’avais pas forcément besoin de toutes cette rééducation… je voulais simplement lui plaire… Avoir un corps d’homme et plus d’enfant… Bref… Changer… mais cela, encore une fois, c’est quelque chose que je garde pour moi… Elle fait alors glisser de l’eau chaude sur moi, je frémis, mon corps n’étant pas encore habitué à une telle chaleur, massant donc mon genoux, je décide de lui masser les épaules tout en restant collé contre elle. Un moment de silence ou nous apprécions chacun ce que l’autre nous donne quand soudainement, elle me demande une chanson… A l’époque… Durant notre relation, j’aimais chanter… Mais depuis-quand n’ai-je pas essayer ? Depuis quand n’ai-je pas fait cela ? Peut-être… Sept ans ? Moins ? Je ne sais pas… J’ai toujours chanté pour Su Nah… Jamais pour personne d’autre, à mes yeux ce n’est pire que me mettre à nue et immédiatement, je cherche quelque chose… Nos berceuses de l’enfance ? Ceux de nos 17 ans ? Un morceau connu de K-pop ? Non… Une chanson pour enfant… Les Trois Ours… Ce que je lui chantais étant enfant quand je me glissais sous son lit pour apparaitre et la lui chanter parce que sa mère ne voulait plus le faire…. Alors je chante doucement… Posant mes mains sur ses épaules, nous remuons ensemble à gauche et puis à droite comme deux enfants alors que je continue prenant parfois différents accents asiatiques pour modifier les paroles. Et puis, une fois que c’est terminé, je retire la baguette qu’elle a posée négligemment dans les cheveux, révélant sa chevelure flamboyante et commence à les lui tresser tout en continuant ma chanson. Une fois terminé, je dépose un nouveau baiser sur sa nuque et… prend de la mousse que je me colle sur les joues et sur le menton avant de lui faire signer de tourner la tête.

« Oh Oh oh Je suis le père noël ! As-tu été bien sage cette année Su Nah ? Non ? Alors vient donc embrasser ce corruptible papa noël que je suis ! »

Je viens chercher ses lèvres et lui met de la mousse partout sur le visage en faisant cela. J’éclate de rire comme un enfant… Merci Su Nah… J’avais besoin de ça… De cette proximité…. De retomber en enfance… Et pourtant… J’ose à peine te toucher, comme si j’attendais ton autorisation… Comme si j’attendais que tu me dises que tu aimes cela… Le contact de ta peau sur la mienne me rend dingue mais… Qu’en est-il de toi ? Aujourd’hui… C’est comme si c’était toi qui avait ma maladie et que j’avais peur de te casser, de t’abimer… De ne pas te respecter… Pourquoi tu ne me parles pas…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptySam 2 Aoû - 16:47

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


« Non… Ce soir j’ai le droit de faire tout ce que tu as envie ! C’est juste que… Je ne sais pas si tu aimes mes mains sur ton corps… Sache juste que…. Quand tu fais du zèle sur mon torse alors que ton massage est censé être terminé, moi ça me plait beaucoup ! » Je rigole doucement en gardant mes yeux fermés. Mon corps se secoue doucement faisant bouger l’eau. Le bras de Ji Ho que je garde contre moi est chaud. Je suis plutôt fière qu’il ait remarqué ces petits gestes que je fais. Ce n’est pas comme si c’était quelque chose d’important, c’est même le plus souvent fait inconsciemment, juste parce que j’aime le câliner, mais c’est comme si remarquer ce genre de tout petits détails donnaient plus d’importance à notre relation. Je souris en coin quand il fit la remarque et resserra mon étreinte autour de lui en lui murmurant d’une voix ensommeillé « C’est bien le but petit cœur. » Ouais, c’est le but de faire quelque chose qui te plaît et que tu aimes. Ça me paraissait tellement … évident maintenant. Pour moi l’amitié c’était ça, c’était donné à l’autre sans compter, c’était lui faire plaisir, passer après lui et le rendre heureux. Parce qu’un vrai ami, quoique vous puissiez faire et quoiqu’il puisse vouloir … s’il vous aime vraiment, il vous le rendra au centuple. Mais ce qui est le plus formidable chez un véritable ami, c’est qu’il n’attend rien en retour. J’attends rien en retour Ji Ho, si ce n’est juste que tu continues de m’aimer comme tu le fais. Je n’ai pas besoin d’un million de cadeau ou des choses extravagantes. Si tu me souris alors ça va, si tu me regardes avec ces mêmes yeux alors ça va … Si tu tiens à moi comme je tiens à toi alors ça ira … Je n’ai besoin de rien d’autres. Et si ce soir tu veux m’aimer en faisant toutes ces choses pour moi alors je te laisserais faire, je vais même aimer cette façon que tu as de vouloir de me rendre heureuse. J’ai juste besoin que tu sois là Ji Ho. Il me berce et il me chante cette chanson que j’aime … Ma mère a cessé d’en être une après la mort de mon petit frère et c’est Ji Ho qui prenait soin de moi quand j’avais peur. Mon père aussi venait me bercer mais il n’avait pas cette même sensibilité que mon ami. Mon père est un héros. C’est le plus fort de tous les papas, mais il n’a pas su protéger sa fille comme il le fallait, pas comme Ji Ho le faisait. Je dormais souvent chez lui et il me chantait toujours cette chanson pour m’endormir. Blottit contre lui à l’âge où les filles c’est dégoûtant, il me chantait des chansons pour bébé juste pour que je dorme en étant plus sereine.

Il défait ma baguette et libère mes cheveux, je secoue doucement ma tête pour l’y aider. Puis je bouge un peu mes jambes pour éviter d’avoir une crampe et pousse un soupir d’aise en sentant la fatigue me gagner. Ces derniers jours j’ai passé tellement de temps à bosser au boulot que j’en ai perdu le fil. Je ne sais plus si je dors assez, ni quel jour nous sommes. Je suis souvent seule à l’atelier et si Hyo Jin est là, on ne se parlait pas beaucoup ou alors il m’aidait en me montrant comment manipuler un objet. Je donnais vraiment le meilleur de moi-même dans ce job, et je savais que Ji Ho comprenait pourquoi. Il savait que je faisais ça pour rendre ma mère fière, elle qui adorait les bijoux, elle qui adorait cette bijouterie, elle qui ne me regardait plus … Alors je voulais faire quelques choses qu’elle puisse un jour aimer. Mais ça ne fonctionnait pas vraiment pour l’instant … Pas vraiment. Mon cœur se serra un peu en pensant à elle et je vins déposer un nouveau baiser sur le bras de Ji Ho comme pour m’assurer de sa présence. Puis, comme s’il sentait que quelque chose tournait encore dans ma tête il me tourna vers lui. Je le regarde une seconde interdite avant d’éclater de rire. Merde, qu’est-ce qu’il … ? Il s’est mis de la mousse sur le visage en guise de barbe et après m’avoir parlé comme étant le père noël il vient capture mes lèvres dans un baiser doux. Je pousse un cri quand il commence à me mettre de la mousse partout. « Ha ! Nan, arrête ! Au secours ! » J’éclate de rire et mes cries sont vites remplacé par des gloussements alors que je tente de fuir son étreinte. Je fais mine de le repousser en me penchant en arrière mais ça ne l’empêche pas de m’en mettre plein partout. Je l’arrose en riant avant de prendre une moue boudeuse. « Moi, me faire attaquer avec autant de fourberie, quelle honte ! » Je tente de garder mon sérieux avant de mettre de la mousse sur le bout de son nez.

« A mon tour ! » lançais-je en me tournant vers lui sans mettre de l’eau partout. Je m’assis sur mes talons et me mis face à lui avant de lui laver le visage. Mes cheveux ondulaient légèrement à cause de l’eau, et de fine gouttes tombaient dans l’eau. Je rinçais son visage plein de mousse et recula pour qu’il s’installer correctement « Allez allonge toi et discute pas ! Je veux te faire des coiffures ! » Je me glissais sur lui et m’assis sur son bas ventre en veillant à ne pas lui faire mal. Mouillant ses cheveux en recueillant de l’eau dans mes paumes, j’attrapais ensuite la bouteille de shampoing pour en mettre sur sa tête. « Heureusement que tu as les cheveux court ! » riais-je en voyant le nombre d’aller-retour que je faisais entre l’eau et sa tête. Je massais ensuite en lui intimant de fermer les yeux ; je vins même lui voler un baiser et lui sourit en croisant son regard. Puis je m’amusais à lui faire des piques sur la tête et une crête aussi, parce que c’était marrant. J’éclatais de rire en le regardant. « Mon dieu ! Ça te fait un style d’enfer ! » Je levais mon pouce, le visage radieux et la tête enfin libéré de toutes ces contrariétés. Puis être nue devant lui ne me dérangeais pas tant que ça. Pas ce soir en tout cas … et juste parce que je sais qu’il en besoin je vins m’allonger sur lui pour lui murmurer « Tu n’as rien a envié aux autres, petit cœur … t’as été parfait … » c’est vrai, t’as été parfait Ji Ho … et tu devrais le voir dans mon regard.




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptySam 2 Aoû - 17:28

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


« Franchement Ji Ho, tu crois que j’aurais ma chance avec Su Nah toi qui la connait bien ? » Je fais « non » de la tête, nous sommes au Collège et j’ai 15 ans… Un garçon de ma classe à qui je n’ai jamais parlé me pose cette question et je réponds bien évidemment « non ». J’ai toujours été comme ça, même à cet âge ou les garçons pensent à coucher comme dans un porno, je n’ai jamais rejoint ces gens. Moi, ça a toujours été Su Nah, même à cette époque. On s’était promis que l’on se marierait et dans ma tête tout était claire. J’avais vu une jolie église donnant sur la mer près de Busan et c’était exactement là que je vous l’emmener, j’avais déjà choisi les alliances, trouvé un fleuriste pour le bouquet de fleur et je rêvais devant les robes, cherchant laquelle irait le mieux à ma bien aimée. Pourtant, à cet âge du premier baiser, je n’avais rien tenté avec elle, tout simplement parce que je me fichais des autres, de leurs expériences, je voulais avancer à notre rythme et ne pas faire quelque chose parce que c’est la mode… Je ne sais pas pourquoi je repense à cette scène, peut-être tout simplement parce que ce soir, je suis comme à l’époque, j’ai envie d’y croire, d’y rêver, de faire comme si je n’étais pas malade comme durant le Collège ou je pensais guérir un jour grâce aux progrès de la médecine… C’est plus tard que j’ai compris qu’on n’y pouvait rien… Que c’était ainsi et que je n’avais plus qu’à attendre le jour où mon corps lâcherait… Pitié… Dieu, Bouddha ou n’importe qui… Si je dois mourir jeune, que ce soit cette nuit… Dans les bras de la femme que j’aime…

J’aime l’entendre m’appeler « petit cœur », tout à l’heure j’en riais mais au fond de moi, entendre ces petits surnoms me réchauffe le cœur comme jamais. Et puis… Savoir qu’elle fait exprès de passer plus de temps, ses mains sur ma peau… ça me fait vraiment plaisir alors je souris bêtement tel un bienheureux. Je la masse, la lave et voilà qu’elle me demande une chanson. Cela fait longtemps et me rappelle tout un tas de moments complices, cette mère indigne qu’elle voudra toujours impressionner et qui ne la regarde même pas… Entre sa mère et mes parents qui voulaient m’enfermer… On a été une sorte de famille à trois, avec son père. Il me considérait comme son fils mais cela fait longtemps que je ne suis pas passé le voir, pas depuis la dernière fois où il m’a demandé de faire d’abord un garçon et ensuite une fille pour que l’un protège l’autre. Sa plaisanterie est amusante mais pas dans mon état… S’il savait que lui faire des enfants est simplement mon plus grand rêve…

Je chante, danse avec elle dans ce bain, elle semble bien, je continue et puis lui enlève sa baguette pour lui natter les cheveux un instant avant de trouver quelque chose de stupide à faire. Jouant les pères noël, je l’embrasse, couvrant son visage de mousse alors qu’elle rit à pleine dent. Elle crie alors comme une enfant, appelle au secours alors que je ris avec elle. Elle me repousse alors amicalement tandis que j’essaye de lui en mettre un peu plus sur le visage… la bataille d’eau commence alors, inondant déjà une partie de la salle de bain. Elle me traite de fourbe puis tente une nouvelle attaque, je murmure alors dans un éclat de rire.

« Les Fourberies de Ji Ho ! Même Molière n’est pas à mon niveau ! »

Elle dit que c’est à son tour… Se tournant vers moi, son corps est couvert de mousse, ça lui va bien, c’est même mignon tout plein, on dirait un ange tombé de son nuage… Tandis que je la regarde, j’en oublie qu’elle compte bien prendre sa revanche et me retrouve le visage trempé, la mousse disparaissant peu alors qu’elle m’ordonne de m’allonger sans discuter, dans une autre situation, elle m’aurait surement attaché au lit avec des menottes. Cette vision me faisant rire, je ne trouve rien de mieux que de murmure, en gloussant comme une poule….

« Oh Oui Maitresse ! »

J’éclate de rire, cela faisait tellement longtemps… D’autant qu’elle veut me faire des coiffures… Tout cela me rappelle quand on avait acheté de la teinture verte dans un drugstore et que j’étais sorti de chez elle avec une coloration permanente en mode « crotte d’Alien » sur la tête. J’esquisse un sourire alors qu’elle s’assoit sur mon bas ventre. Elle commence à shampouiner puis, presque déçue, me rappelle que j’ai les cheveux courts ce qui finalement ne laisse pas tant de choix que cela… Je ferme les yeux, sent qu’elle en profite pour me voler un baiser et sourit alors qu’elle se moque de moi. J’ouvre les yeux. Des piques ? Rhoooo !

« Maiiiiiiis !!! Je voulais une crête comme les Punks ! »

Je lui souris alors qu’elle se calme, comme pour me montrer qu’elle a envie de passer désormais un moment plus calme avec moi… Elle s’allonge alors, sa poitrine écrasant mon torse, me fixant doucement pour me dire ces mots… Ceux dont je révais… Que c’était parfait… Que je n’ai rien à envié aux autres. Une larme coule le long de ma joue. Je la fixe… Elle vient de la remarquer.

« Euh… C’est le shampoing ! »

Non… Je ne veux pas que tu saches que c’est la plus belle chose que tu pouvais me dire, me rendre l’égal des autres, de ceux que tu as aimé, ou bien de ceux avec qui tu as couché juste par envie, faire de moi un homme… Ne plus juste être Ji Ho, le gentil malade qui essaye de vivre mais bien Ji Ho… L’homme qui est prêt à aimer la femme de sa vie. Ainsi, je viens l’embrasser, ma main dérive dans son dos pour la coller un peu plus à moi. Je pose alors mon front contre le sien et murmure doucement…

« En fait… J’ai jamais pris autant de plaisir que ce soir… C’était tellement magique… T’es la meilleure Su Nah et… Interdiction de dire que tes seins ne te conviennent pas ! Ils sont trop mignons ! On dirait des petites pommes ! Fais attention, tu sais combien j’aime les fruits et puis le docteur il a dit que c’était bon pour la santé ! »

Je fais mine d’ouvrir la bouche, mes lèvres proche des siennes et fait semblant de croquer, la regardant avec douceur et caressant sa chevelure, je murmure timidement.

« Je t’aime ».

Je ferme les yeux un instant, caressant ses joues… Je lui ferais à manger tout à l’heure, pour l’instant j’ai juste envie de rester comme ça, avec elle… Au moins quelques minutes… Jusqu’à ce que l’eau refroidisse…
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyDim 3 Aoû - 2:36

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".

J’adore entendre son rire. Ou plutôt devrais-je dire ses éclats de rire. Il sourit peu, beaucoup plus quand il est avec moi, mais il sourit juste assez pour que je n’oublie jamais la lueur dans son regard. Mais ses éclats de rire … il en fait si peu souvent. J’ai parfois l’impression d’oublier le son de rire. Pourtant, quand Ji Ho rigole c’est tout son visage qui s’éclaire, ses yeux brillent à m’en faire craquer et son sourire est … son sourire ferait fondre n’importe quel cœur. Surtout le mien. Je le préfère comme ça, je le préfère insouciant et sûr de lui, enfin … un peu plus que d’habitude disons. Il pourrait être tellement plus que ce qu’il s’impose d’être. Comme son appartement. Il me rend triste. Presque trop propre, trop bien rangé, trop … vide de vie. Je me souviens d’avoir fait développer une quantité de photos de nous deux suffisantes pour les accrocher sur tout un pan de mur de chez lui. J’avais fait pendant son absence, j’ai les clés de chez lui, comme il a les clés de chez moi, en cas d’urgence. On ne l’utilise pas vraiment, et Ji Ho s’entête à toujours vouloir toquer avant d’entrer chez moi. Mais je le comprends, en vivant avec des colocataires, ce n’est pas évident pour lui de se faire à ma nouvelle vie. Enfin, ce n’est pas le sujet, j’avais débarqué chez lui pendant une journée de cours et j’avais placardé sur tout un coin du salon nos photos. D’enfance, d’adolescence, et même de maintenant. C’était notre vie qui défilaient en photo sur ce mur j’avais laissé un post-it sur le mur pour attirer son attention et lui dire « surtout tu ne touches pas à ces photos ! Tu les laisses ou sinon je viendrais les remettre. » Ca avait le mérite d’être clair. Et ma menace était à prendre avec le sourire et il le savait. Tout comme il savait que j’étais toujours réticente à l’idée d’aller dans son appartement, et surtout d’approcher la chambre médicalisée qu’il a installé à l’intérieure. J’en ai passé quelques nuits à dormir avec lui dedans quand ses crises étaient les plus fortes. Mais je détestais ça. Ça sonnait toujours comme la fin et c’était quelque chose que je ne supportais pas. Je le regardais faire l’idiot et se plaindre et moi je trouvais ça drôle.

C’est généralement les filles qui s’inquiètent de savoir si elles ont pu donner du plaisir à leur homme, si elles ont été bien ou trop passive, mais pour ce soir c’était Ji Ho qui s’inquiétait … Je l’avais vu à son regard, à ses murmures qui se voulaient innocent. Mais je le sais, je le vois à son regard, il voudrait que tout soit parfait ce soir. Je le vois verser une larme. Rien qu’une qu’il n’a pu retenir. Ce soir on atteint notre limite pas vrai Ji Ho ? Ce soir tout ce qu’on peut se dire nous touche plus qu’on ne pourrait le supporter. Que ce soit en bien ou mal. On encaisse, comme si on avait oublié ce que ça faisait. Je souris à sa remarque et essuie sa larme du bout de l’index d’un geste négligé. Ne soit pas triste Ji Ho, même si son sourire me prouvait qu’il ne l’était pas. Je lui souris tendrement en posant ma joue sur le plat de mes mains que j’avais mis sur son torse. Je continuais de lever la tête vers lui en souriant. Je suis fière de moi. Fière de voir que je lui ai donné du plaisir et même plus … qu’il a été le premier à qui je connais autant de plaisir … je dois avouer qu’avec le recul j’avais rarement ressenti une telle intensité. L’esprit confus avait décuplé mes sens. Je suis touchée parce sa remarque et celle qui suit me fait éclater de rire. J’enfouis mon visage contre son torse et mange un peu de mousse au passage. Je tousse, exagère juste pour le faire rire et enfoui mon visage dans le creux de mes mains. « Dis pas ça ! » je rougi, vraiment je veux dire. Il sait combien je complexe sur mes seins et il sait aussi que son compliment compte beaucoup pour moi. Je relève le visage vers lui alors qu’il me caresse les cheveux avec douceur. Il me murmure Je t’aime et mon cœur rate un battement. Je pousse avec mes pieds le rebord de la baignoire pour me hisser jusqu’à ses lèvres que j’embrasse et lui murmure en caressant sa joue « Je sais petit cœur … » je le sais parce que moi aussi. Je dépose un baiser sur son nez et caresse ses lèvres avec les miennes avant de lui sourire amusée. Je ferme les yeux contre lui un instant pour savourer sa présence et la chaleur de l’eau. J’agite doucement mes pieds en l’air et le bruit de l’eau est le seul qui nous dérange. De temps en temps de dépose des baisers là où mes lèvres ont accès. Son torse, sa clavicule, son cou.

Je suis tellement détendue à cet instant que je ne vois pas le temps passer. Je ne sais pas quelle heure il est mais je m’en fiche bien. Je laisse le temps glisser sur nous comme si il ne nous atteindrait pas. Je me redresse doucement et me tourne pour m’allonger sur le dos. Oui, j’ai conscience d’écraser Ji Ho, mais ce soir je suis une princesse, il me l’a dit. Et puis je veille à ne pas lui faire mal, je m’en assure même dans un murmure tranquille « Je ne te fais pas mal ? » après qu’il m’est rassuré je souris et garde cette position. Il y a tellement de mousse sur mes jambes qu’elles disparaissent dessous. Je souris en coin. J’attrape les mains de Ji Ho pour les regarder. Elles sont tellement immenses par rapport aux miennes. Je m’amuse même à faire la taille et ses doigts me dépassent d’une bonne phalange. Il faut dire que j’ai spécialement de petites mains pourtant je ne suis pas beaucoup plus petite que lui. Puis baissant mon regard sur mes mains je pose sa paume dessus en affichant une moue. « Regarde, mon sein disparait complètement. » je presse la main de Ji Ho et retint un soupire « Tu vois, même si tu voudrais me tripoter tu ne pourrais pas ! » me plaignis-je pour le coup plutôt sincèrement. Le jeune homme retira sa main alors que je tournais mon visage vers lui avec un regard malicieux. « Hé … t’as le droit de toucher hein … à moins que … » je pris mon expression la plus triste possible et murmura la voix chevrotante « A moins que tu ne trouves pas ça agréable de masser dans le vent ? » Oui, je joue avec lui. Oui, je le taquine mais parce que c’est trop marrant de voir son visage tout gêné. Il est craquant … J’ai l’impression d’être sa noona … J’attrape sa main et la replace sur mon sein, non pas que j’ai envie de me faire peloter mais ça m’amuse de voir que « Ta main peut le prendre entièrement dans sa main. J’ai vraiment de petites pommes. » Je ris amusée de ma remarque et place mon autre main sur mon sein libre et compare. « Et dire que j’avais pensé à me faire de la chirurgie pendant un moment … mais ça me ferait trop bizarre d’avoir des seins en plastique. T’imagine ?! Su Nah avec des gros seins … » Je secouais la tête comme si c’était la chose la plus improbable qui soit. Et surtout, comme si c’était la chose la plus choquante qui soit. Moi avec des gros seins, ça me ferait bizarre.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyDim 3 Aoû - 7:37

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Les photos… Je me souviens de la tête que j’avais faites lorsque j’étais revenue de mes cours et que j’avais trouvé tout un pan de mon mur recouvert de mon visage, du sien, de nous bébés, de nous enfants, puis adolescents, amoureux, en couple, amis, proches, avec cette complicité dans le regard que personne ne peut nous enlever et que je n’ai jamais vu ailleurs. Je me souviens de ma réaction, j’ai trouvé ça jolie, comme si par le passé j’avais eu peur d’accrocher une photo de Su Nah, qu’elle pense que c’est mal, que cela ne se fait pas, je ne sais pas vraiment pourquoi mais je ne l’avais jamais fait. Ainsi, dès le lendemain, j’avais fait la même chose dans sa chambre, prenant tout de même moins de place mais pour qu’elle est un coin qui ne serait consacré qu’à nous, comme une petite chapelle en l’honneur de notre amitié. Su Nah, c’est ça, c’est la fille qui ose, qui me traite comme un type normal, qui me fait découvrir et comprendre le monde autour de moi. Il est vrai que depuis trois ans, nous nous ne voyons plus autant qu’avant, mais c’est mieux ainsi. Cela lui permet de vivre, de rencontrer d’autres personnes, d’acquérir de nouvelles expériences. J’aimerais qu’elle soit toujours à mon chevet mais je savais qu’un jour ou l’autre cela changerait. J’en ai tout de même bien profité pendant 22 ans, alors je peux la prêter à d’autres… je lui dois bien ça…

Elle tape là où ça fait mal, ou plutôt, me dis ce que je rêvais d’entendre de sa bouche car oui, je suis inquiet, non pas de ce soir particulièrement mais du passé. Avec le recul, je me dis que je n’ai jamais su lui faire l’amour comme un homme avant ce soir, que c’était des jeux d’enfant, que s’envoyer en l’air elle l’a appris avec d’autres que moi qui savent alterner douceur et intensité pour que chacun de leurs corps à corps soit unique. Ainsi, une larme coule le long de ma joue, une larme de joie que j’excuse en disant que c’est à cause du shampoing mais Su Nah le sait, elle sait que je suis heureux, qu’elle me rend heureux, alors, je lui dis ce qu’elle rêvait d’entendre, j’ai envie de lui faire plaisir et pourtant, il n’y a aucun mensonge, il n’y a que franchise : Oui, je n’ai jamais pris autant de plaisir avec une autre…. Et non… Son corps est bien parfait à mes yeux, elle n’a pas de complexe avec. Cela dit, j’utilise mon humour, celui qu’elle apprécie parce que si je continue je vais pleuré comme une madeleine alors autant faire passer mes messages avec le sourire. Elle rit, pourtant je sais que mes mots précédents l’ont fait réfléchir et joue de la mousse, se collant un peu plus à moi, contre son torse que j’ai eu tant de mal à muscler car je devais toujours faire attention au moindre choc. Je pensais que prendre de la musculature la ferait revenir à moi, d’une certaine manière, cela a fonctionné… je sais que je physiquement, je suis son type d’homme, elle n’est pas du genre à aimer les crevettes… Et puis quand je sens ses doigts parcourir mon torse, je me dis que j’ai raison… Que ça en valait la peine !

Elle me dit de ne pas « dire ça », elle est rouge comme une tomate comme si elle ne s’imaginait que sa petite poitrine puisse être une qualité plutôt qu’un défaut. Les magasines ont fait des bimbos des Déesses superficielles née d’un matérialisme de plus en plus présent qui nous pousse à n’être jamais satisfait de ce que nous possédons, d’être un autre. Je rentre également dans cette catégorie et j’échangerais toute ma sois disante beauté contre un peu plus de temps… Dix ans… Tu crois que c’est possible ? C’est à partir de 30 ans que les os commencent à se fragiliser… Comment pourrais-je faire quand mon sang n’est même pas capable de coaguler tout seul… Je lui dis que je l’aime » je ne sais pas combien de temps je pourrais continuer de le lui dire alors j’en profite, elle me répond doucement qu’elle le sait, m’appelant petit cœur une nouvelle fois. Sa réponse, elle me l’offre sous la forme de ce baiser. Su Nah est une femme tactile plus que bavarde et je comprends le message, on reste ainsi quelques temps, j’aime sentir ses lèvres sur ma peau, le clapotis de l’eau quand elle remue les jambes… Et pourtant, cela ne semble pas lui convenir. Mademoiselle veut changer de position et s’allonger sur moi, son dos contre mon torse. Elle fait tout de même très attention et une fois en place, me demande si je ne lui fait pas mal. Je remue la tête négativement tout en lui souriant. Elle prend alors mes mains, jouent avec, compare leur taille avec les siennes comme lorsque l’on était enfant… Elle continue avant de poser l’une d’entre elle sur son sein, me disant qu’ainsi on ne les voyait plus. Je manque de basculer en arrière face à ce contact que je n’attendais pas… Le pire étant qu’elle presse ma main dessus comme pour me pousser à le prendre entièrement dans la paume de ma main. Elle déclara que même si j’avais envie de la peloter, je ne pourrais pas. Relâchant la pression, je retire immédiatement ma main, voulant lui répondre mais elle prend la parole avant moi tout en me fixant. Je peux toucher ? Là je ne sais pas quoi dire… Elle me sort alors sa mine triste m’avouant penser que si je ne le fait pas c’est parce que ce n’est pas agréable de n’avoir rien sous la paume de ma main.

«  T’es folle ? J’adore les toucher ! Tout à l’heure avec mes mains pleines de savon… C’était trop sensuel ! J'ai cru que je touchais du velours ! »

Euh… Est-ce que je viens d’avouer que j’ai aimé lui masser la poitrine et que tout à l’heure n’était pas un accident, une main qui dévie mais bien un geste recherché et voulu ? Je rougis à mon tour alors qu’elle reprend ma main, la posant à nouveau sur l’un de ses seins. Elle me dit de regarder, jugeant qu’elle avait de petites pommes avant de prendre mon autre main pour la poser sur son second sein et comparer du regard l’effet que ça donnait. Etrangement, je me sens moins mal à l’aise comme un garçon dont la grande sœur l’a autorisé à faire une bêtise. Elle évoque avoir pensé à la chirurgie mais que ça lui ferait bizarre, me demandant si je l’imaginais avec des gros seins, je souris et murmure langoureusement.

«  Non… Ils sont parfaits comme ça mais puisque tu en doutes…Laisse-moi te donner un souvenir que tu n’oublieras pas de sitôt quand tu oseras critiquer ta poitrine. »


Cette fois Su Nah… Tu vas voir ! Etant donné que j’ai mes mains sur ses seins, je commence alors à les masser lentement, faisant des cercles avec mes poignets, ma paume contre son téton, les recouvrant de toute la longueur de ma main. En même temps, mon visage se niche dans son cou, je mordille sa peau, y dépose quelques baisers puis remonte vers son oreille lui susurrant…

«  Si fermes… »

Je presse un peu plus sa poitrine, relâchant pour mieux la reprendre en main alors que je m’attaque au lobe de son oreille.

«  Cette peau si douce »

Je pousse alors un soupir de plaisir contre le creu de son oreille.

« Une forme… parfaite… »

Je prends alors son téton entre le pouce et l’index, pince légèrement alors que je la lèche derrière l’oreille. Ma voix est suave, envoutante, traçant le tour de son mamelon avec mon doigt.

«  Si tu n’étais pas assise ainsi crois-moi que… mes lèvres te prouveraient combien ta poitrine me rend dingue. »

Mon visage repasse près du sien et je frôle ses lèvres, refusant de l’embrasser pour mieux la laisser dans l’expectative. Je me surprends alors d’avoir osé aire ça… Je ne sais pas si c’est bien mais je veux qu’à chaque fois qu’elle regarde ses seins, elle se souvienne qu’elle n’a pas besoin d’être une autre, que dans ce bain, un homme a essayé de lui prouver le contraire… Bon… J’avais jamais fait ça à une autre quel et c’est la première fois que je joue un peu les séducteurs alors… Je ne sais pas vraiment si ça a fonctionné en fait… Moi… Tout ce que je voulais… C’était la décomplexer… Elle va me prendre pour un pervers, c’est certain…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyDim 3 Aoû - 15:49

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Je suis cruelle vous pensez ? Je le savais que ma moue faussement triste allait le faire craquer et qu’elle allait lui faire dire ce qu’il pensait vraiment, juste pour me rassurer. Et j’adorais voir cette lueur pressé dans son regard, celle qu’il voulait pour à tout prix me rendre mon sourire. Ses mots étaient presque impatients et je pouvais sentir son envie grandissante de me faire plaisir. Et c’était souvent comme ça et c’était ça que je trouvais craquant chez lui. Son regard s’écarquillait un peu et sa bouche s’ouvrait comme s’il manquait d’air, il cherchait ses mots et il finissait toujours par me dire presque horrifiée que je me trompais. Je vous jure, il était adorable quand il faisait ça et je dois avouer que j’en jouais parfois, juste pour qu’il me dise que je me trompais et que j’étais très bien, ou que j’avais bien agis, ou que j’avais fait ce qu’il fallait … Avec Ji Ho j’avais l’impression d’être une princesse. En fait non je crois vraiment que j’en étais une. Il était toujours attentionné et aux petits soins pour moi. Il était toujours d’accord avec moi, tout comme j’étais d’accord avec lui, même quand nous avions tort. C’était comme si notre amitié nous poussait à être toujours du même point de vu que l’autre, surtout face à l’autre. Je n’abusais jamais de sa gentillesse, et je lui rendais bien, mais j’adorais sentir que je pouvais être aussi importante pour quelqu’un. Vous savez, avoir ce sentiment que le matin, en vous réveillant, quelqu’un pense à vous. Que vous pouvez lui manquer, qu’elle sourit en repensant à vos blagues ou au moment que vous avez passé ensemble. Et moi j’aime savoir que Ji Ho pense à moi, qu’il sera là si ça ne va pas et que si ça va, il sera là aussi. Il est comme un frère, un ami, un confident, une part de moi et je crois que j’ai fini par me convaincre qu’avec le temps, je ne pourrais jamais le perdre. Il est immortel dans mon cœur et dans ma tête. Je devrais peut-être avoir peur, me dire qu’un jour il pourrait me laisser ? Est-ce qu’il y arriverait ? Est-ce qu’il en serait capable ? La mort va frapper trop tôt. Je le sens jusqu’au plus profond de mes tripes. Alors est-ce qu’il pourrait me privait de sa présence ? Parce qu’il ne pourrait pas être avec moi comme on pourrait l’être … j’ai peur parfois, que nos sentiments nous éloigne au lieu de nous rapprocher. Mais je ne peux pas vivre avec cette crainte constamment, alors j’ai finis par me dire que je devais lui faire confiance. Je te ferais confiance Ji Ho … je te ferais confiance à tel point que je te croirais incapable de m’abandonner, comme je serais incapable de le faire.

Quand il passe sa main sur mes seins ça me chatouille plus qu’autre chose et j’éclate de rire en me tortillant contre lui. Je l’aurais bien repoussé, pas parce qu’il me dérange mais parce que je ne veux pas le déranger en le forçant à me tripoter. J’avais l’air de quoi franchement ? Je souris à la fois gênée et fière quand il me dit « C’était trop sensuel ! J'ai cru que je touchais du velours ! » Et puis ça avait quelque chose d’excitant. Il prit une voix sérieuse, plus sérieuse que je ne lui connaissais et il s’empara plus fermement de mes seins pour les masser doucement. Et lentement de me laisser aller dans ses bras pour savourer sa caresse. Elle était douce. Comme un massage agréable, ça n’avait rien de sexuel pour le coup et j’appréciais qu’il prenne soin de moi comme ça. C’était étrange comme sensation mais ça m’arrachait un sourire alors que je levais mes deux bras pour enrouler mes mains autour de sa nuque. Ca gonflait un peu ma poitrine en faisant ça mais ce n’était pas le but premier. Je collais ma tempe à sa joue en fermant les yeux. La scène pouvait sûrement paraitre étrange vu de l’extérieure mais pour ma part je trouvais ça délicieusement enivrant. A chaque adjectif qualificatif qu’il me murmurait je sentais une petite chaleur naitre dans le creux de mon ventre. Ses gestes se faisaient plus sûre, plus taquin. Et je glissais doucement vers une douce excitation. Je fermais les yeux et me surpris à retenir mon souffle quand je le sentis s’attaquer au bout de mes seins. Il soupir dans le creux de mon cou, il presse mes seins, il s’attaque même au lobe de mon oreille … Putain, il est entrain de m’allumer là où je rêve … ? Il m’excite et je me rends compte que ça fait une éternité que je n’ai pas jouée à ce petit jeu de séduction. Et c’est diablement bon …

J’en peux plus. Tout dans son attitude me fait craquer. Le ton de sa voix, ses mains habiles, ses soupirs, ses murmures, sa langue qui se perd dans le creux de mon cou … Je laisse échapper un soupir de plaisir alors qu’un petit cœur bat entre mes cuisses. Putain, il a réussis à faire naitre du désir en moi rien qu’un me faisant une déclaration d’amour à ma poitrine. J’en frissonne. Ses doigts taquines me bout de mes seins et leur contour et je n’aurais jamais crus ça possible. Je les sens durcir sous sa poigne et moi je deviens folle. Je finis par attraper sa main pour la soulever « A-arrête » balbutiais-je fébrile. « Putain Ji Ho je rêve où t’es entrain de m’exciter … » lâchais-je aussi surprise que lui. Mon ton n’avait rien d’accusateur, j’étais juste … agréablement étonnée. J’ai envie de lui. Je suis excitée et je me retrouve sans trop savoir quoi faire de ça. Je sais que je peux être joueuse. Quand c’est avec la bonne personne je peux devenir coquine et taquine. Puis doucement je repose sa main sur mes seins et lui murmure la voix rauque « Continue … » c'était presque un ordre que je lui intimais parce que même si c’est une véritable torture c’est aussi un plaisir presque malsain que j’adore quand il me l’inflige. J’attrape une de ses mains et vint mordiller un de ses doigts que je glisse dans ma bouche pour jouer avec. Il parait que les hommes adorent ça, Ji Ho ne sera peut-être pas l’exception. Je repousse sa main brusquement parce que le plaisir que je ressens monte trop vite en moi et que ça commence à ne plus me suffire. Je me relève en tentant de ne pas glisser dans ma précipitation. Il faut que je me venge. Gentiment bien sûr. J’ai de la mousse qui me coule partout sur le corps. Et je suis debout devant lui, je lui tourne le dos et ouvre l’eau en me saisissant du pommeau de douche. Je l’entends qui bouge alors je me tourne vers lui et je prends une voix faussement autoritaire en plaquant mon pied sur son torse « Toi, tu ne bouges pas. » J’esquisse un sourire en plissant des yeux. « T’as voulu goûter au fruit défendu Ji Ho … ? » susurrais-je de façon aguicheuse. Je levais le pommeau de douche à ma hauteur et fit couler l’eau sur mon corps. Ma main en suivait les courbes de façon sensuelle. Je passais une main sur mes mains et glissa jusque sur mon ventre en encrant un regard aguicheur à Ji Ho.

Tout dans mon attitude est un appel à la luxure. Et lui, lui il n’a pas droit d’y toucher. Il doit se contenter de me regarder, de gérer sa frustration et de me laisser m’amuser avec lui. Ce qu’il a fait pour moi en jouant avec mes seins est un joli cadeau, et moi, je le remercie en jouant avec ses nerfs. Je suis cruelle c’est vrai … mais il sait aussi qu’il y aura droit … plus tard. Je tourne, juste assez pour qu’il puisse voir tout mon corps, la cambrure de mes reins, le profil de mes seins et mes cuisses fines que je caresse coquinement. Puis comme si de rien n’était je glissais hors du bain avant de me tourner vers lui et de me pencher pour lui voler un baiser chaste. « J’ai finis. » Je lui offris un sourire innocent avant de me détourner de lui en lui jetant un regard lubrique. J’attrapais une serviette au vol et lui cacha la vue de mon corps en m’enroulant dedans. Je ne sais pas s’il va me détester mais moi … j’ai trouvé ça totalement grisant … c’est toujours plaisant de taquiner son désir et sa libido, et puis … je crois que je pourrais me perdre dans le regard de Ji Ho quand je le mets dans un état de transe …


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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyLun 4 Aoû - 4:18

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Je ne me reconnais plus mais est-ce un mal ? Jamais je n’aurais osé ainsi tenter de l’allumer, ou plutôt, de la séduire. Mais… le fait qu’elle m’y autorise, qu’elle pose mes mains sur ses seins par deux fois avant de me dire qu’elle n’en est pas satisfaite, que si je la touche pas c’est que je n’aime pas, il me fallait forcement réagir. C’était peut-être un peu trop… Je ne dis pas le contraire mais bon sang, qu’est-ce que c’était bon de sentir ainsi sa peau frémir contre mes doigts, de sentir son cœur s’accélérer, sans le vouloir, j’ai toujours vu Su Nah comme une fille chaste, pas le genre à monter peu à peu dans l’envie, qui ne faisait l’amour que par les sentiments. A la voir ainsi, se tortille sous les caresses de mes doigts, je commençais réellement à me dire qu’elle n’avait absolument rien contre le sexe… Après tout… J’imagine le changement quand, après avoir été avec moi, elle est tombée sur un type qui a dû lui expliquer que faire ça dans une voiture ou contre une porte, n’avait rien de dégradant. Moi ? Non… Je suis resté sage… J’ai eu quelques corps à corps endiablés mais jamais de violence, de domination ou bien de lieux un peu atypique… Au final, est-ce un bien ou un mal ? Je ne saurais le dire… Pourtant, c’est avec Su Nah que j’aurais aimé expérimenté ce genre de choses… Je me vois mal le lui demander. Oh, elle est du genre à dire « oui » si elle pense que ça peut me rendre heureux mais pour ce cas bien précis… Je ne pense vraiment pas.

Ainsi, étant donné qu’elle a osée dire du mal de sa poitrine avançant même l’idée saugrenue de la refaire, je décide de faire le show et commence à masser sa poitrine, si au début, cela la fait sourire, elle ne tarde pas à enrouler ses bras autour de mon cou, collant sa nuque contre mon visage. Si au départ, elle semble me sous-estimer, voyant cela comme un jeu supplémentaire, son corps semble subitement la ramener à cette étrange réalité que c’est bien son meilleur ami qui fait monter peu à peu l’intensité de ce moment. Je me fais plus proche, plus sensuel, ma voix, mes gestes… les caresses de ma langue sur sa peau, elle lâche alors un soupir de plaisir, la Su Nah que je vois à cet instant est très différente de celle avec qui j’ai fait l’amour, c’est à ce moment-là que je comprends quelque chose qui pourtant n’a rien de bien compliqué : Su Nah aime le sexe et au vue de sa façon de me laisser faire sans paraitre choquée, elle semble habitué à ce qu’on cherche à la rendre folle. Cela me rendrait presque triste si son attitude n’était pas en train de m’électriser, comme si je découvrais une nouvelle merveille que je ne soupçonnais même pas en elle. A ma grande surprise, ses tétons commençant à se durcir, signe d’une envie, d’un besoin… De quelque chose qui à la base était fait pour la rassurer et qui dérape de la plus sensuelle des façons.

Elle retire alors ma main, comme pour me signifier que c’est aller assez loin comme ça, c’est d’ailleurs ce qu’elle me dit, d’arrêter, elle semble fébrile mais trouve tout de même la force de me poser une question qui semble plus une réflexion faites à elle-même que quelque chose auquel je doive répondre.  Elle parait surprise et me demande si elle est en train de rêver ou si c’est bien moi qui suis en train de l’exciter ainsi ? Euh… C’est presque insultant, comme si je n’en étais pas capable… Pourtant… C’est tellement plaisant de savoir que sans même jouer avec son sexe, j’ai réussi à créer pareille chose en elle. Pourtant, elle reprend ma main, la posant sur son sein et m’ordonne de continuer. Woaw ! Cette Su Nah là, il ne faut pas la contrarier et pourtant, bien qu’elle soit totalement différente de ma douce meilleure amie, j’ai diablement envie de la connaitre. A cette idée, l’excitation monte en moi, allongée sur moi comme elle est, elle doit sentir mon sexe se durcir mais j’essaye de ne pas paraitre gênée et reprend mes caresses, murmurant sensuellement tout en mordillant puis léchant le lobe de son oreille.

« Alors ? Tu vois ce que tes seins peuvent provoquer chez moi ? Dis-moi qu’ils sont parfaits et que tu en es fière…. »

C’est tout de même le but de la manœuvre… Pourtant, elle reprend de nouveau l’une de mes mains mais pas pour me l’enlever cette fois…oh que non… elle commence, joueuse à mordiller l’un de mes doigts avant de le glisser entre ses lèvres, comme pour me montrer ce qu’elle pourrait faire ailleurs. Dans un film, pas pornographique, je vous rassure, j’ai lu que c’était un signe de soumission mais je ne sais pas comment l’interpréter… La seule chose que je puis dire c’est qu’elle me rend complétement fou, me plongeant dans une sorte de transe ou je ne désire plus qu’elle…. Que je ne vois plus qu’elle… Elle était mon monde, à cet instant elle devient mon univers… C’est ce moment-là, ou mes yeux se ferme lentement et ou mes doigts caresse son téton dressé qu’elle me repousse une nouvelle fois, se levant d’un coup… Je la fixe, un peu perdu et encore transit de ces émotions, elle est debout face à moi, le corps couvert de mousse, cachant tout ce qu’il faut y compris sa poitrine que j’avais pourtant en vue panoramique il y a peu. Je décide alors d’en faire de même pour lui demander ce qui ne va pas mais je sens alors son pied s’aplatir sur mon torse, m’empêchant de bouger. C’est d’ailleurs l’ordre suivant qu’elle me donne, ne pas bouger, me demandant si j’ai voulut gouter au fruit défendu… Je ne vois pas du tout de quoi elle parle et me rend compte qu’il doit falloir un sacré entrainement pour repousser un homme qui créé à ce point une excitation en elle…

« J-je… Je voulais jute te faire plaisir en fait… »


Et oui, parlez à Ji Ho avec des mots qu’il ne comprend pas et il redevient cet enfant ne connaissant pas grand-chose qui, il y a peu osait à peine la toucher. Je lève alors les yeux et elle commence à utiliser la pomme de douche pour se laver, enlever cette mousse mais pas que… Ses mains parcourent son corps sensuellement comme pour aider l’eau de la manière la plus érotique possible alors que peu à peu son corps se met un peu plus à nu qu’il ne l’était déjà. Je ne peux bouger et pourtant mon excitation se fait chaque secondes plus forte comme si j’étais peu à peu envouté par la déesse de la luxure… Lorsqu’elle se tourne, mon corps se fait brulant, semblant presque réchauffer l’eau qui risque rapidement de se mettre à bouiller comme dans un jacuzzi si elle continue ainsi. Elle continue, enlève les dernières traces de mousse coquinement avant de se lever et de quitter la baignoire m’offrant un baiser presque banal alors qu’elle m’annonce qu’elle a terminé… Je m’enfonce un peu plus dans l’eau qui désormais recouvre mon visage jusqu’à ma bouche qui fait des bulles comme pour cacher ma frustration. Son dernier regard est pire que pervers… Et pourtant elle s’enroule dans la serviette se cachant à moi. Je la fixe toujours avec la même envie avant de relever la tête et de pousser un soupir.

« C’est pas du jeu… T’arrives à me repousser et moi… Je suis raide dingue de toi… Ce n’est pas juste ! »


Oui… Le manque d’expériences criant se voit désormais alors, la mine déconfite, je me relève et prend la pomme de douche pour me rincer. Mon sexe me fait presque mal tant il est dur… Je tapote alors un peu dessus et murmure, agacé.

« Mais tu vas rétrécir toi ??? »


Oui elle me voit faire ça… je dois avoir l’air vraiment ridicule alors finalement, je sors de l’eau sans même lui accorder un regard. Sans qu’elle ne le sache, je me planque derrière la porte et lorsqu’elle sort, je hurle un « bouuuuuh » alors que mes mains se posent sur ses épaules. Je souris doucement.

« Je suis vengé ! Mais… j’aurais ma seconde revanche… Un jour j’arriverais à ce que ton regard ressemble au mien lorsque tu me verras nue ! »

Je lui souris et lui prend la main, lui faisant comprendre que je ne suis pas fâchée et accroche ma serviette autour de ma taille.

« Ne vas pas prendre froid ma jolie princesse et et vas t’habiller pendant que je fais à manger ! »

Je dépose un baiser sur sa joue et file ainsi vers la cuisine, mettant de l’eau partout. Je cherche alors de la farine, une tablette de chocolat noir, du beurre et tout le reste et commence à faire ma pâte afin de lui concocter un sublime gâteau au chocolat !

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyLun 4 Aoû - 16:25

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Je crois que j’ai toujours été comme ça au fond de moi. Un peu joueuse, un peu taquine. Ça me vient naturellement et je trouve ça même carrément grisant. Attiser le désir est la partie la plus amusante que l’on peut avoir avec le sexe. Et je pense que si je suis restée aussi sage avec Ji Ho quand je sortais avec lui, c’est seulement parce que j’étais encore jeune, un peu timide de mon corps, sans trop savoir quoi faire avec. Ce n’est pas tant que j’ai appris à être  joueuse avec un homme en particulier, mais disons que lorsque j’ai trouvé celui avec qui j’étais à l’aise, je me suis un peu plus lâchée. Et puis le sexe m’est apparu comme un jeu. Un jeu spéciale que je ne jouais pas avec tout le monde, seulement celui qui le méritait vraiment. Et à partir de là j’ai juste laissé mes envies et mon audace parler. Ce que je faisais actuellement avec Ji Ho n’avait rien d’une mauvaise scène de film copié collé, ou même d’une quelconque pâle copie d’une de mes expériences. Non j’agissais sur un coup tête, innovant, sans trop savoir si ça pouvait lui plaire. J’étais joueuse, et je ne pensais pas choquer mon ami, surtout au vu de l’excitation qui commençait doucement  à le gagner. Et puis je l’avoue j’avais un faible pour son regard, celui qu’il posait sur moi avec l’envie de me bouffer. J’étais fière de moi, comme une enfant fière de sa blague, j’étais même plutôt suffisante dans la moue que j’affichais. Comme si j’étais certaine de pouvoir lui faire de l’effet bien que ce ne soit pas le cas. J’étais sûrement un peu présomptueuse mais je crois que ce soir je pourrais dire que je connaissais assez l’homme devant moi pour savoir ce qui lui plaisait ... Et j’avais envie de le rendre fou, de lui montrer la femme que j’étais aujourd’hui et non plus la gamine qu’il connaissait … On avait grandi ensemble, côte à côte et pourtant ce soir, j’avais l’impression de le découvrir, comme si je le voyais pour la première fois. Et c’est étrange comme sensation, je n’arrivais pas à savoir si j’aimais ça ou si je détestais. C’est vrai, c’était frustrant dans un sens de se rendre compte qu’une personne qu’on aimait pouvait nous offrir une nouvelle facette, mais dans un autre côté c’était grisant de voir qu’on pouvait toujours découvrir quelque chose. Comme si rien n’était fixé. Et puis … ça prouvait qu’on évoluait encore ensemble.

Passant la serviette sur mon corps pour me sécher je me mordillais la lèvre pour ne pas rire devant son expression. On dirait un enfant à qui on piquait le jouet. Je le trouvais craquant et ce contraste fit craquer mon petit cœur. Le voir bouder dans le bain me fit rire. Je me dirigeais vers le miroir et passa un doigt sur mes paupières puis sur mes joues pour tirer ma peau. Est-ce que quelque chose avait changé chez moi ? Je n’avais pas l’impression, si ce n’est peut-être ce sourire sur mes lèvres. Et bizarrement depuis qu’il était là je n’avais pas pensé une seule fois à Young Ja ; et je dois l’avouer ça fait un bien fou. « C’est pas du jeu… T’arrives à me repousser et moi… Je suis raide dingue de toi… Ce n’est pas juste ! » Je me tourne vers lui en riant. Je croise les bras et prends une grosse voix enfantine pour répondre à sa détresse « Moh oui ce n’est pas du jeu … » j’attrape une brosse pour me démêlée les cheveux alors qu’il se redresse lui aussi et je l’avoue, je zieute dans sa direction. Il a un corps si finement dessiné et le v sous son bas ventre me fait baver quelques instants avant que je ne le vois se taper sur son membre pour le faire redescendre, comme s’il parlait à un animal de compagnie. J’éclate de rire sans m’en cacher. « Im Ji Ho … vous êtes l’homme le plus fou que je connaisse et je vous aime pour ça. » Non vraiment, des fois j’avais l’impression que cet homme était habité, il n’est pas tout seul dans sa tête et certaines de ces actions me font rire. C’est le genre de situation cocasse et amusante qui réchauffe un peu plus mon cœur et qui rende ma vie un peu plus belle. Je n’ai pas besoin de grands choses, voyez ? Juste d’un peu d’amour et de rire. Je reprends ce que j’étais en train de faire et passe la brosse dans mes cheveux mouillés. Je suis concentrée à ce que je fais et je les sèche la tête en avant avec mon sèche-cheveux. Ils sont tellement fin que ça va vite, puis il n’était pas si mouillé que ça. Surtout sur les pointes et … Bref.

Je sors de la salle de bain en me demandant où est passé Ji Ho quand je l’entends me crier bouh. Je sursaute en sentant mon cœur rater un battement. « Hé ! Ça te fait rire ? » Faut croire que oui. Et je le rejoins rapidement dans ses gamineries. Et dire qu’il y a à peine quelques minutes j’aurais pu avoir envie de lui faire l’amour. Enfin… j’en avais vraiment envie et … bref, je le regardais avec mes yeux malicieux « Je suis vengé ! Mais… j’aurais ma seconde revanche… Un jour j’arriverais à ce que ton regard ressemble au mien lorsque tu me verras nue ! » Je rigole en lui tirant la joue avant de lui lancer d’un air taquin « J’ai hâte de te voir essayer petit cœur » comme s’il n’en était pas capable. Pourtant s’il savait … Rien que ses caresses dans le bain m’ont électrisé et rien que d’y penser j’avais déjà chaud. Je frissonne en le regardant partir. Qu’il est canon putain. Son dos me rend folle … Puis mon regard tombe sur les traces d’eau qu’il fou partout. Je secoue la tête en riant doucement. Tant pis, ce soir je n’ai pas envie de râler. Je me retourne dans ma chambre pour enfile une culotte et un simple débardeur. Je me suis séchée rapidement comme d'habitude, et mon débarque me colle à la peau. je tire dessus pour le décoller légèrement et l'agite pour me sécher. Je n’ai pas vraiment de pyjama alors je mets ça le plus souvent. Puis au moins ça a le mérite de me mettre à l’aise. Je reviens dans la cuisine alors que Ji Ho farfouille un peu partout pour trouver de quoi faire un gâteau. Et je l’aide en lui sortant de la farine mais vu son regard je crois que je ferais mieux de m’assoir sur le bar et d’attendre sagement qu’il fasse sa préparation. Je grimpe donc sur le bar et croise les jambes en le regardant faire. J'ai un peu froid alors je frotte mes bras pour me réchauffer. La cuisine est l'endroit le plus froid de la maison, quand on ira dans le salon ça ira beaucoup mieux. Je baisse mon regard vers mon décolleter affiche un sourire amusé en voyant mes formes mouler par le haut. Un petit plus presque innocent qui pourrait faire craquer Ji Ho. « Putain, si West sait que tu fais à manger dans notre cuisine à moitié à poil il va tout vouloir désinfecter » plaisantais-je en riant. « Tu prépares un gâteau au chocolat ? » demandais-je l’air gourmand en me léchant déjà la lèvre du bas pleine d’appétit.



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyLun 4 Aoû - 17:15

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Je ne sais pas comment elle fait… Il y a peu, j’avais mes mains sur ses seins, créant en elle une excitation que la pointe durcit de ses seins m’avoua bien avant ses mots. Et pourtant, alors qu’elle m’a demandé de continuer, comme si elle allait me laisser faire ou bien me signifier que j’avais gagné la partie, elle s’est relevé et a quitté le bain non sans m’offrir un petit spectacle juste avant. Désormais, elle se coiffe les cheveux l’air de rien… Ce qui semble être un jeu pour elle me perturbe quelque peu… Et si elle m’a repoussé pour ne pas céder une seconde fois ? Et si elle regrettait ce qui s’est passé dans son lit ? Pourtant, quand elle a parlé d’excitation, n’est-ce pas une sorte de surprise agréable du moins dans le regard qu’elle avait ? J’en ai pourtant bien l’impression… A moins qu’elle ne cherche à me faire craquer… Cette Su Nah est différente et pourtant, je la désire comme un fou, comme si soudainement, j’avais envie de voir la Su Nah lubrique, celle qui s’offre à ses amants, qui les rendent fou pour les voir plus sauvages ensuite… A cet instant, j’aimerais être quelqu’un d’autre, pas Ji Ho mais un homme qui lui plait, qu’elle ne connait pas bien, et dont elle a envie… malheureusement… je ne le sais que trop bien, cette Su Nah là ne se montrera jamais telle qu’elle est… Pas face à moi et pourtant… J’aimerais tant la connaitre pour mieux la comprendre…

Je commence à me plaindre, à lui dire que ce n’est pas du jeu de ne pas lui donner l’effet qu’elle m’offre et elle se moque… Ce n’est pas cool Su Nah !!! Je me lève alors, terminant de bouder dans mon coin et rinçant la mousse quand je m’aperçois que ma virilité est toujours d’attaque… Mais pourquoi contrairement à mes bras ou mes jambes, je ne peux pas contrôler ce truc… Genre vas-y augmente, non redescend… En plus, je vois son regard dans le reflet du miroir… De toute façon… Elle l’a déjà vu avant alors… Pourtant, faisant comme-ci elle n’était pas là, je commence à me plaindre, frappant doucement mon sexe lui demandant de m’obéir. Su Nah à côté éclate de rire et me traite de fou et m’avoue qu’elle m’aime pour ça. J’esquisse un sourire, elle arrive à se moquer tout en me complimentant ? Au moins ça me redonne le sourire c’est déjà ça. Pourtant, je ne dis rien et disparait de la salle de bain, me cachant derrière la porte, l’attendant de pied ferme. Quand elle sort, je crie pour la surprendre… Elle sursaute carrément, me demandant si je trouve ça amusant.

«  T’aurais vu ta tête tu rigolerais aussi ! »

Je lui annonce alors que ceci n’est que la première partie de mon plan de vengeance et qu’un jour ou plutôt ce soir… Je compte bien essayer de la rendre aussi fou de moi que je l’étais tout à l’heure et que je suis toujours… Elle me tire alors les joues se moquant une nouvelle fois, me disant vouloir me voir essayer tout en m’appelant de nouveau « petit cœur ». D’habitude j’aime bien ses surnoms mais pas là… On dirait un adulte qui me lancerait : « mais oui gamin, c’est ça ! ».  Je lui fais tout de même un bisou sur la joue et lui dit de s’habiller tandis que je pars, serviette autour de la taille, encore tout trempé en direction de la cuisine. Alors pour faire un gâteau… Qu’est-ce qu’il me faut… Ah oui…. Ça… et ça… et puis ça… Je commence alors à faire ma pâte, la malaxant quand Su Nah fait son entrée… Mais… C’est quoi ces jambes ? Eh ! Ce n’est pas du jeu ! C’est quoi cette tenue ? Un débardeur… Blanc qui plus est et…. Eh !!!! Collant ? Sa peau n’est pas entièrement sèche… Et… Ce décolleté ? On voit presque tout… D’autant que… Non… Il ne faut pas que j’y pense… Ainsi, je fais alors mine de n’avoir rien vu et attrape le fouet,  remuant  tout en la regardant s’assoir sur le bar… Cela n’a pas durer longtemps mais j’ai tout vu et ça… C’est grave… parce que la dentelle, noire qui pus est… c’est mon pécher mignon que j’ai découvert avec Haneul… Je remue la tête pour faire comme si je n’avais rien vu avant de mettre le chocolat dans une casserole avec du beurre dedans… Il ne faut pas longtemps pour qu’il se mette à fondre et avec une cuillère en bois, j’en récolte un tout peu que je viens récupérer avec mon doigt, le portant à e mes lèvres… C’est là qu’une idée me vient à l’esprit… je n’ai jamais fait ça et si ça se trouve elle va se moquer de moi… N’est-ce pas le moment pour rechercher en elle ce regard que j’avais pour elle tout à l’heure ? J’en reprends alors un peu délicatement et commence à suçoter mon doigt tout en la regardant droit dans les yeux. Je le glisse alors lentement entre mes lèvres puis le ressort sensuellement totalement propre.

« Impeccable, il est assez sucré ! »


Je commence alors à verser le chocolat sur la pâte, en renversant négligemment un peu à côté sur le rebord. M’en apercevant je fais mine de nettoyer, m’en mettant partout sur les mains avant de m’essuyer… Sur mon torse… franchement ? On dirait des marques d’indien puis je la fixe, ses tétons pointent… Est-ce le froid ? Ouais… probablement… Vu que j’ai légèrement la chaire de foule. Pourtant, je décide alors de perdre ma voix de Ji Ho pour reprendre celle qui l’électrisait tout à l’heure alors que je caresse mon torse délicatement et sensuellement pour porter à nouveau du chocolat sur mes lèvres….

« Tu te souviens quand je t’ai dit que dans une autre position mes lèvres te prouveraient bien des choses ? »

Je sors ma langue pour en faire le tour de mon doigt, faisant comme-ci il s’agissait de l’extrémité de sa poitrine tout en ne la lâchant pas du regard… Je lui offre ce qu’elle aime tant voir, cette envie que je ressens et qui fait briller mes pupilles. Une fois cela terminé, je reprends un peu de chocolat sur mon torse et m’approche d’elle, tendant mon doigt pour lui faire gouter. Quand elle ouvre la bouche, je dévie et m’écrase sur sa joue que je viens lécher d’une traite avant de me reculer et de lui tourner finalement le dos l’air de rien pour aller rincer un saladier…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyLun 4 Aoû - 20:20

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Ji Ho ne cuisinait jamais de plats lui-même. Enfin disons qu’il évite les couteaux et autres choses qui pourraient le blesser. Il peut se faire des nouilles et ce genre de plat pas trop dur à faire, mais pour le reste c’est soit moi qui m’en charge soit il achète du tout préparer. Et j’étais toujours un peu … agacée à l’idée qu’il ne puisse pas se faire à manger. Enfin, je ne sais pas, c’était sûrement la peur et quelques mauvais accident qui l’empêchait de retourner dans sa cuisine, mais chaque fois, de voir qu’il ne pouvait pas faire de choses aussi simples de la vie quotidienne m’énervait. Pour lui, pas à cause de lui. Je veux dire, je ne lui en veux pas, il fait déjà bien ce qu’il peut le reste du temps pour combattre sa maladie, je ne me vois pas aller le trouver et l’incendier parce qu’il refuse de faire la cuisine. Je peux tellement comprendre que se retrouver à l’hôpital parce que le couteau nous a échappé des mains ça n’a rien d’enchantant. Mais ça me frustre pour lui, ça m’énerve parce que je voudrais que ces détails du quotidien ne lui rappelle pas combien il peut être handicapant d’avoir sa maladie. Et je crois que c’est pire que tout. Physiquement on ne voyait rien, ce qui dans un sens pouvait être un plus, ça évitait de le stigmatiser. Mais c’était aussi un fardeau parce qu’il devait constamment faire attention, aux gens, à ce qui l’entoure. Veiller à ce que personne ne le brusque et veiller à ne pas être lui-même maladroit. C’était devoir se concentrer toute la journée à l’en épuiser. Le soir il était crevé en rentrant et quand il devait réviser c’était pire. Alors je tentais de l’aider du mieux que je pouvais mais si je pensais qu’avec le temps cette frustration disparaitrait s’en est rien. En réalité je suis toujours furieuse contre le monde entier parce que ça arrive à Ji Ho. Ça aurait pu être n’importe qui d’autre, même moi s’il le fallait. Mais je n’arrivais pas à me séparer de ce sentiment de colère. J’étais … ouais déçue. Enfin bref. De toute façon qu’il me fasse un gâteau ou un plat j’allais le manger avec autant d’amour. Et puis je suis sure que son gâteau allait être délicieux.

J’attrapais mon téléphone sur le bar pas loin de moi et alluma l’écran juste pour vérifier que je n’avais pas de messages, mais en sachant que Ji Ho était là, j’allais certaines n’avoir aucune notification. Quoique je viens de voir que Jin Hyun et Su Ah ont commenté la photo que j’avais posté sur Instagram. Je souris en coin en me disant que je répondrais plus tard. Je crois que ma plus grosse erreur de la soirée a été de détourner le regard de Ji Ho un quart de seconde. Quand je relève mon regard vers lui après avoir déposé mon téléphone verrouillé à côté de moi. Il fait fondre le chocolat et la douce odeur qui emplie ma cuisine me fait frémir de faim. Mais c’est de le voir suçoter son doigt presque trop innocemment qui me rend dingue. Je plisse les yeux, pas certaine d’être sûre de ce qu’il fait. « Impeccable, il est assez sucré ! » Hein ? Je lève mon regard pour croiser le sien et dégluti, je n’ai pas entendu ce qu’il a dit ; mon esprit était bien trop occupé à regarder ses lèvres lécher sensuellement son doigt. Merde. Il fait quoi ? Où est-ce qu’il a appris à faire ça ? Et puis je m’en fou finalement … ouais ce qui compte c’est qu’il le fait là, devant moi, à moitié nu dans ma cuisine. Et soudain West n’a plus aucune importance, ni même le fait que Ji Ho soit aussi … aussi attirant … Son torse si bien dessiné devant … ses lèvres pleines, que je connais par cœur. Il s’essuie négligemment sur son torse et moi ça me donne envie de le bouffer. C’est dur, putain c’est dur de résister et de se dire que je ne dois pas craquer. Pas parce que c’est mal mais parce que je me pensais plus forte que ça. Je n’ai pas spécialement l’habitude de jouer à ce petit jeu-là, mais si je craque maintenant je vais tout gâcher. Je retins ma respiration en le voyant approcher, hypnotisée par ses lèvres je le fixe.


« Tu te souviens quand je t’ai dit que dans une autre position mes lèvres te prouveraient bien des choses ? » Ouais d’ailleurs en parlant de lèvres, voir les siennes approcher me rend folle. Il sait jouer, il sait très bien jouer … Il apprend vite putain … Tout mon corps est en éveil. Il récupère un peu de chocolat sur son torse et tend son doigt vers moi que je suis prête à gouter. J’ai faim, faim de lui surtout, mon appétit est grandissant et moi je perds pied. Je m’apprête à recueillir son doigt entre mes lèvres mais il change d’avis et me l’écrase sur la joue. Joue qu’il vient ensuite lécher avec son air malicieux. Bon sang. Il me rend dingue ! J’ai envie de le bouffer toute entière. Les lèvres entr’ouverte le souffle court je le fixe s’éloigner à présent en ricanant. Sérieusement ? je me sens presque frustrée … Mais je lâche un rire en passant une main nerveusement dans mes cheveux. Putain il m’a bien eut … Je souris amusée finalement et je saute du bar en m’avançant vers lui et l’entoure de mes bras en me collant à son dos. « Tu vas où comme ça babe … ? J’ai faim ! » murmurais-je dans un souffle contre son dos que je viens picorer de baiser. Je me tourne face à lui et lève mon petit regard lubrique vers lui avant de venir lécher le chocolat qu’il a laissé sur sa peau. Mes lèvres glissent sur son torse avec envie et je frissonne en griffant doucement ses hanches … J’ai vraiment faim de lui bon sang … Et s’il voulait que je reste sage, il se trompe …



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyLun 4 Aoû - 20:21

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Oui je sais… Je n’ai pas vraiment l’habitude de me mettre en avant pour rendre fou une femme mais que voulez-vous… Cette Su Nah me perturbe… cette façon dont elle a gémit quand j’avais mes mains sur ses seins, son « encore » et puis ce regard alors qu’elle se rinçait : pervers, lubrique, prenant un certain plaisir à me repousser pour mieux me rendre accroc... Ce regard que je lui ai lancé, aucune autre n’a eu le droit au même…C’est de l’envie pure et dure, un besoin, un désir impétueux et implacable qu’elle a rayé de sa liste comme lorsque l’on se décide de changer de pantalon après en avoir essayé un qui ne vous convient pas tout à fait. J’ai beau la regarder, il ne lui a fallu qu’un instant pour redevenir ma Noona et se moquer gentiment de moi tout en m’affublant de mignons surnoms. Je ne sais pas comment elle fait, peut être que je ne lui plais que lorsque je suis moi-même… Qu’elle ne peut oublier qui je suis pour se laisser aller… Oui… Et pourtant… Si elle savait combien j’ai envie de voir qui elle est vraiment ? En femme libre et ouverte ? Ne cachant pas ses désirs les plus enfouis… Elle semble douter que je puisse la plonger dans le même état et cela me vexe… C’est de là qu’est née cette idée dans la cuisine… Mais… Est-ce que ça va vraiment faire monter la température ou va-t-elle de nouveau se moquer de moi et du fait que j’essaye d’être un homme pour elle ?

Pourtant, c’est uniquement lorsqu’elle déboule dans la cuisine, que je me dis au fond de moi que ce n’est pas possible, qu’elle n’a pas le droit de me faire ça… Pas le corps encore mouillée dans son teeshirt blanc ou encore de la dentelle… Ses longues jambes totalement nue alors que sa poitrine est mise en avant plus que jamais par son décolleté mais surtout... Par l’absence de soutien-gorge… Elle est divine et elle me rend dingue, encore plus que quand elle était nue tout à l’heure… Comme quoi… La tenue peut être un puissant aphrodisiaque parfois. J’essaye alors de me contenir et me décide à cuisiner, cela me fera du bien. C’est exactement ce dont j’ai besoin, me concentrer sur autre chose qui n’a ni seins, ni jambes ni… Ces merveilleuses fesses galbées… Ola… Il faut que j’arrête… Je décide alors de faire fondre le chocolat tandis qu’elle joue avec son téléphone. Très rapidement, la douce odeur du caco fondu fait qu’elle s’intéresse de nouveau à moi et j’en profite alors que je lèche mon doigt sensuellement pour faire disparaitre tout gout sucré.

Je lis quelque chose dans ses yeux… Serait-ce un juste retour des choses. Elle semble surprise quand je prends la parole mais ne semble même pas avoir écouté ce que je pouvais bien dire… Je fais mine de n’avoir rien vu et reprend ma préparation, m’essuyant les mains sur mon torse plutôt que sur la serviette. Au moins ça évité à Su Nah de devoir la mettre dans la machine. Pourtant, je remarque que ce qui se trouve sur mon torse semble l’hypnotiser tant ses yeux semblent concentrés la dessus. Je m’approche alors et joue avec mon doigt, lui rappelant ce que je lui avais dit tout à l’heure sur l’envie de déposer mes lèvres sur sa poitrine… Je me contente de le suçoter puis d’en tracer les contours… j’imagine qu’elle imagine très bien ce que je pourrais faire et surtout…ou. Je récolte de nouveau du chocolat et le dirige vers ses lèvres, elle a ouvert la bouche bien rapidement mais c’est sa joue que je vise en vérité, surtout quand je viens récupérer le cacao avec ma langue… Pour disparaitre l’instant d’après et faire comme elle, comme si de rien n’était en allant laver un saladier.

Je ne la vois plus mais je l’entends rire… Encore une moquerie ? Oh… J’essayais de bien faire moi… j’ai jamais joué à ce genre de jeu ni avec Haneul, ni avec Su Ah… J’apprends en me basant sur la façon dont elle a agis tout à l’heure… Je l’entends alors sauter à pied joint et quitter le bar pour venir se coller à moi, me demandant ou je vais comme ça… Babe ? Ça sonne super bien ! J’adore… Et en plus elle a faim ? Mais parle-t-elle vraiment de mon gâteau ? Elle dépose un baiser dans mon cou puis me retourne pour me fixer avec ce regard que j’ai découvert il y a peu et que j’aime tant… Elle ne me demande pas mon autorisation et rapidement, ses lèvres se retrouvent sur mon torse, elle lèche le cacao sur ma peau, griffe mes hanches alors je comprends tout en frissonnant… Je suis dans un autre monde et le contact de sa langue contre ma peau m’électrise à nouveau… Tout à l’heure elle m’a repoussé mais je ne suis pas revenue à la charge comme elle le fait à cet instant, c’est pour cela qu’elle est redevenue normale ? Dans ce jeu il semble n’y avoir qu’une règle, pousser l’autre à se dépasser, à en vouloir toujours plus sous peine de revenir à la case départ. Ainsi, prenant mon courage à deux mains, je passe ma main dans son dos pour lui enlever son débardeur en l’aidant à lever les mains en hauteur. Sans réfléchir, je la soulève pour qu’elle s’assoie sur le plan de travail et tend ma main au loin pour récupérer un peu de chocolat qui heureusement a commencé à refroidir bien qu’il soit toujours liquide.

« Alors Princesse… Prête à passer de la fiction à la réalité ? »

D’une main devenue experte, j’étale le chocolat sur sa poitrine, insistant bien sur ses courbes, fais mine de pincer ses tétons sans le vouloir alors que mon nez caresse sa gorge. Je m’abaisse lentement, dessinant un chemin invisible le long de son buste pour me retrouver au niveau de sa poitrine, léchant d’abord tout doucement puis contournant son mamelon pour en faire le tour. Dans l’action, ma serviette s’est détachée et git au sol… Soudainement, je prends son sein en bouche et aspire comme pour ne pas en perdre une miette… Je lève un peu les yeux pour croiser son regard… Oui… Le mien est lubrique… Comme elle… A croire qu’elle a toujours été la meilleure prof pour moi et dans toutes les disciplines…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMar 5 Aoû - 2:16

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Je ne me moque pas Ji Ho. Loin de là. Je passe juste ma frustration, un rire m’échappe mais c’est plus pour tenter de rester sur la terre ferme. Je devrais rester sur mon perchoir, parce qu’il est ne fait que jouer. Il veut m’attirer à lui, se venger peut-être bien de mon jeu taquin et ce que je peux dire c’est qu’il s’en sort parfaitement bien. Cette soirée s’annonce particulièrement intéressante. Je ne pensais pas qu’on en arriverait à un tel jeu tous les deux … C’est vrai d’habitude on est … sage ? Ouais d’habitude on est sage, mais là j’ai l’impression d’être une ado qu’on laisse libre de découvrir le sexe. Et j’ai envie de lui rendre la monnaie de sa pièce. Et puis c’est bien connu, « Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque. » Et ce soir, Ji Ho avait décidément l’intention de me brusquer. Et je n’étais pas celle qui irait lui reprocher. Oh nan, j’avais envie qu’il me frustre, j’avais envie qu’il joue avec moi, qu’il m’attire et qu’il me repousse. Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, j’étais prête à assouvir le moindre de ses désirs. Ce soit on n’était plus Su Nah et Ji Ho, on n’était pas ami depuis la naissance, ni ex, ni meilleur ami. Non, ce soir nous étions deux adultes, avides l’un de l’autre. On était deux êtres qui se découvraient et qui se plaisaient. Pour ce soir Ji Ho ne saurait pas que la cicatrice que j’ai sur la hanche est dû à une chute de vélo, il ne saurait pas non plus que j’ai des grains beauté sur l’intérieure de la cuisse et il ne saurait pas non plus que j’adore passer des serviettes d’eau froide sur ma nuque pour me rafraîchir. Ce soir, nous ne sommes que deux inconnus qui ne connaissons pas le passé de l’autre. Je ne connais rien de toi beau apollon, alors laisse-moi te découvrir, et quoi de mieux que le sexe pour ça ? Il ne faut pas être prude, ni trop coincé. Ce qu’on fait ce n’est pas sale. Je trouve ça même beau moi. Ce n’est pas vulgaire non plus. C’est … enivrant et grisant. C’est fou tout ce qu’on peut ressentir avec un simple regard, avec du désir. On devient quelqu’un d’autre. Quelqu’un qu’on ne peut devenir qu’en privée. Parce que dehors il y a cette retenue, cette pudeur qui nous enchaine, mais dans l’intimité d’un logis, dans l’intimité d’un couple, dans l’intimité d’un petit appartement, il peut s’en passer des choses … et je crois que ce soir je me donne entièrement à Ji Ho.

Pas seulement parce que c’est mon meilleur ami, mais surtout parce qu’il l’est … Je veux dire, demain va venir trop vite, alors on a droit à cette nuit. On a le droit de la vivre tous les deux et j’emmerde le reste du monde. J’emmerde ceux qui pensent que c’est mal, que ce n’est pas moral. C’est mieux ainsi, se laisser une dernière chance de se dire les choses. Et on s’est déjà ouvert nos cœurs, maintenant il ne me reste plus qu’à lui parler le langage du corps. On peut apprendre à deux. Et je crains, dans le futur, de trop me souvenir de cette façon qu’il avait de se saisir de mon corps, possessif et jouissif. Ouais, je me souviendrais parfaitement de ce langage sans y avoir droit. Mais qu’importe, je prends le risque ! Mes lèvres parcours son corps et y dévore le chocolat que j’y trouve, mais ce n’est pas de cette faim que je veux. Moi, si je retire ce chocolat c’est simplement pour avoir le goût de sa peau. Celle sucrée et légèrement acide qui me rend dingue. Et je crois que Ji Ho s’est fait prendre à son propre piège. Il me retire mon débardeur sans que je n’émette aucune résistance. Il me soulève et me pose sur le plan de travail comme si j’étais aussi légère qu’une plume. Je sens ses muscles se tendre sous mes doigts et je frémis en le sentant se coller à moi. Il a perdu sa serviette, s’en rend-t-il compte ? Pas que la vue me gêne, bien au contraire. Je me penche légèrement en arrière, appuyant mes paumes derrière moi. Parce que je le sais, je le sais ce qu’il veut faire, et c’est comme ça que je lui laisse accès à ce qu’il désire, presque autant que moi. « Alors Princesse… Prête à passer de la fiction à la réalité ? » Un sourire arrogant étire mes lèvres alors que je ma libido monter en flèche. Putain, ce mec me rend dingue et j’ai vraiment envie de lui, oui encore. Il étale le chocolat sur ma poitrine et je renverse la tête en arrière. Merde, mais qu’est-ce qu’on fou putain ? Si on s’arrête deux secondes, un arrêt sur image et qu’on nous observe, j’ai l’air de quoi penchée en arrière en laissant Ji Ho me bouffer la poitrine comme il le fait. Ma main accrochée à sa nuque sans savoir si c’est parce que j’ai envie qu’il approfondisse, si c’est parce que je refuse de le laisser partir ou si c’est simplement pour m’empêcher de sombrer.

Sur mon visage se lit le plaisir de la luxure et sur le visage de Ji Ho se lit l’envie, celle exacerbée par les pensées et la frustration. Je retins un soupir de plaisir en me pressant d’avantage contre lui. On peut reprendre là où en était, finis l’arrête sur image, maintenant je rattrape mon retard. J’ai envie de lui et ça peut se sentir par tous les pores de ma peau. Je m’accroche à son cou en soupirant contre ses lèvres que j’attire à moi en glissant ma main dans sa nuque. Puis je le laisse à nouveau jouer avec mes seins, parce que j’en ai encore envie, parce qu’il m’a rendu folle en y goutant la première fois. Je frémis et alors qu’un seul éclair de lucidité me traverse je le repousse en poussant un grognement presque animal. Je suis essoufflée pourtant je n’ai rien fais. J’ai le cœur qui bat vite et j’ai le bas ventre en feu. Je dégluti difficilement et je l’empêche d’approcher en plaquant mon pied sur son torse. Ji Ho, je joue au même jeu que toi. « Putain … Ji Ho tu me rends folle … » un simple murmure qui s’échappe de mes lèvres alors que je rabats mes cheveux en arrière. Je souris amusée et surtout satisfaite … très satisfaite. Je glisse du plan de travail avant d’aller me coller à lui et de lui murmurer « J’ai faim … » et prenant mon peu de courage à deux mains pour le repousser, je passer à côté de lui en lui donnant une claque sur les fesses « Il est où mon gâteau ? Je suis une princesse ce soir pas vrai ? » Je marchais à reculons pour regarder Ji Ho et passa mon index sur le bout de mon sein pour récupérer le peu de chocolat qui y restait avant de le porter à mes lèvres. Tu as voulu jouer chéri ? On a joué, et le jeu ne fait que commencer. Je ramasse mon débardeur avant de l’enfiler sans prendre la peine de nettoyer les traces de notre délit sur mon corps. Je me tourne à nouveau vers lui et lui lance en quittant la cuisine « C’est vrai qu’il ne semble pas vouloir … » quel terme il a employé déjà ? Ah oui ! « Rétrécir ! » J’éclatais de rire, mais ce n’était pas moqueur, c’était plutôt de la fierté. Fière de voir que je pouvais lui faire cet effet ... Moi. Je lui fis un petit clin d’œil, avec un léger sourire timide et disparut dans le couloir ; histoire de mettre le plus de distance possible entre lui et moi pour ne pas que je craque. Parce que bon sang, qu’est-ce que c’était bon, j’en ai les jambes qui tremble encore. Puis, pensant à une question, je repassais la tête par l’encadrement de la porte et lui demanda « Tu me détestes ? » Je crois que pour le coup, j’aimerais qu’il me dise oui, au moins, ça prouverait que notre petit jeu fonctionne à merveille … Et ce qu’il y a encore de plus beau à voir dans le regard de Ji Ho après cette lueur lubrique, c’est ce regard noir et vibrant hanté par la frustration et le désir … Je vais lui montrer quelque chose qu’il ne doit pas connaitre et moi … Moi je vais repousser le plus loin possible mes limites pour que ce petit jeu nous rende fou et accroc l’un à l’autre. Oui, ce soir va être une bonne soirée …




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMar 5 Aoû - 7:56

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



C’est un jeu cruel auquel nous nous livrons et je dois avouer que j’ai un gros désavantage comparé à elle, outre l’expérience, je ne maitrise pas totalement les règles du jeu. Je n’en ai qu’une partie et cela ne me permet jamais de remporter la moindre bataille. Oui, j’arrive à avancer mes troupes et quand il faut donner l’assaut final, elle invoque une sorte de monstre, de colosse qui réduit à néant les chances de victoire de mon armée. Oui, je parle ainsi parce que c’est cela qui me parle. C’est cela que j’étudie en cours et j’ai plus de référence politico historique que sexuelles. Il y a d’abord eu la bataille du lac de mousse, ou j’avais pris d’assaut les deux collines surplombant la région avant que la pluie ne vienne me faire perdre mon avancé et que mes soldats se retrouvent noyés dans l’eau brulante du lieu. Et puis, cette seconde opération, cette attaque de nuit, sans que personne ne s’y attende, alors que les soldats Su Naniens attendaient qu’on leur prépare à manger. Sentant la douce odeur du cacao, ils se sont précipités dans mon piège et à cet instant, je n’ai plus qu’à les cueillir en les couvrant de nourriture pour mieux la récupérer ensuite… Mais qu’est-ce que je raconte…

Elle m’avait appelée « Babe »… et j’avais adoré cela, tout comme le fait qu’elle ne me retourne pour venir lécher le chocolat sur ma peau, Su Nah était bien différente de d’habitude et je crois que je n’y était pas pour rien… A vrais dire, j’avais tout donné et ce n’avait pas été simple et pourtant… C’est elle qui m’avait rejoint mais… A croire que je ne retiens pas les leçons du passé, son action ressemble au « encore » qu’elle a poussé tout à l’heure, me rendre encore plus dingue d’elle pour me repousser ensuite car oui, c’est exactement ce que j’aurais dû faire, la frustrer, la repousser à mon tour comme si elle ne me faisait aucun effet mais… Contrairement à elle, je suis très faible et dès lors qu’elle me montre de l’attention je réagis au quart de tour. Oui, c’est bien moi qui vient de la soulever sans même penser un instant qu’une entorse est vite arrivé, je lui ai enlevé son débardeur sans la moindre résistance, à cet instant j’aurais dû me méfier mais non… J’étais obsédé par elle, par sa poitrine, par ce qu’elle venait de me faire, par son regard… Je ne me rends pas compte que j’en perds ma serviette alors que je me colle à elle pour sentir son parfum, je tente de l’allumer un peu plus évoquant à nouveau ce que j’avais fait avec mes doigts et le chocolat, lui annonçant clairement ce que je compte faire.

A ces mots, son regard devient à nouveau lubrique, celui que j’aime tant depuis peu… Elle m’offre un sourire que je ne connais pas mais qui reflète sa supériorité sur moi… J’étale le chocolat sur ses seins alors qu’elle jette sa tête en arrière. Je commence à lécher, sa main vient se poser sur ma nuque comme pour m’empêcher de partir. Nos regards se croisent Su Nah semble être aux anges et la voir ainsi, si sûre d’elle, assumant son envie d’un sexe sans tabou, d’ailleurs elle plaque un peu plus mon visage contre elle comme pour me dire d’y aller plus intensément… Elle me relève, soupire contre mes lèvres mais rien…aucun baiser, juste le besoin de me montrer qu’elles sont toujours présentes mais je ne faiblirais pas et me contente de retourner contre ses seins quand elle abaisse à nouveau mon visage. Je la sens frémir et continue, de me doutant pas de son plan diabolique… Elle me repousse alors d’un coup… Comme pour me faire saliver, j’ai commis la même erreur que la dernière fois en perdant la raison au contact de son corps. Une nouvelle fois, son pied vient se poser sur mon torse, m’empêchant d’avancer avant qu’elle ne se mette à jurer que je la rendais folle. C’est la première fois qu’elle parle comme ça et étrangement, ses mots m’excitent d’avantage. Elle en profite alors pour se lever afin de se coller contre moi, elle me dit avoir faim comme lorsqu’elle m’a appelé « Babe » tout en claquant ma fesse mais cette fois, en me repoussant à nouveau elle me signale que c’est de nourriture cette fois… En me demandant ou se trouve son gâteau, qu’elle est une princesse ce soir, me demandant de dire oui ou non…

« Su Nah… Non ! »

Normalement j’aurais dû lui dire qu’elle était une princesse, que oui son gâteau arrivait mais là… A cet instant, je ne suis plus son meilleur ami, je lui crie ma frustration alors qu’elle marche à reculons me fixant tout en récupérant un peu de chocolat sur sa poitrine pour le porter à ses lèvres. Cette scène est diabolique et pourtant comme pour me signaler un peu plus notre retour au point de départ, comme tout à l’heure avec la serviette, elle remet son débardeur qui, avec ma salive et le chocolat oscille entre transparences et marques brune, la rendant plus sexy que jamais alors qu’elle se dirige vers la sortie, n’oubliant en aucun cas de faire une remarque sur mon excitation, reprenant mes mots sur le fait que ma virilité ne rétrécie toujours pas… J’enrage intérieurement alors qu’elle éclate de rire. Un clin d’œil, un dernier sourire et la voilà qui disparait dans le couloir. Je fais alors comme si de rien n’était et vers le chocolat sur ma pate que j’ai mis avant cela dans un moule à gâteau. Espérons que terminer mon gâteau me permettra de baisser ma frustration mais c’est pire encore quand elle passe sa tête dans l’entrebâillement de la porte pour me demander si je la déteste. Je réponds immédiatement, du tac au tac…

« Oh que oui… »

Je fais alors mine de me désintéresser totalement d’elle pour terminer ce que je faisais et ouvrir le four pour y glisser mon gâteau que je mets une demie heure… Vous pensez que je n’ai pas retenue la leçon de second jeu ? Si j’ai perdu c’est parce qu’elle n’a pas eu peur de venir à moi quand je l’ai repoussé en lui tournant le dos après l’avoir allumé… Mon rôle est donc de revenir et c’est à cet instant que mes idées, totalement absorbée par l’envie, semblent n’en former plus qu’une seule. J’attrape la serviette et la noue à nouveau autour de ma taille. Je sors alors de la cuisine, l’ignorant totalement puis, lorsque je l’ai dépassé, je me jette sur elle la plaquant contre le mur, mes mains sur ses épaules, son dos contre le papier peint alors que sa poitrine bouge, se calquant sur ses battements cardiaques. Elle est dans l’expectative et pour l’instant, je ne fais que la regardant avant de me coller un peu plus à elle, mon regard est sauvage… Il n’y a pas de haine ou autre, juste une profonde envie alors que je jette mon visage dans son cou, ma main caresse sa joue alors que je remonte mon genoux entre ses cuisses, faisant de légère rotation, de la gauche vers la droite, je murmure doucement alors que je ramène mes lèvres contre les siennes et murmure…

« Tu m’as toujours dit de ne jamais abandonner n’est-ce pas ? Je te veux… Et je t’aurais mais d’abord… La princesse doit voir que l’on s’occupe d’elle… »

Je viens l’embrasser presque sauvagement, y mettant toute ma volonté, mon envie ainsi que ma frustration, je lui mords presque les lèvres tout en faisant attention à ne pas lui faire mal. Mon corps se colle un peu plus contre elle, mon torse écrasant sa poitrine tandis que mon genou continue de la stimuler lentement… Très lentement… Elle m’a repoussé ? Comme je l’ai repoussé ? Et bien tu vois Su Nah… J’apprends vite… Il faut toujours aller plus loin… Et surtout… ne pas te laisser la possibilité de t’échapper… Tu avais raison Su Nah, ce jeu est véritablement grisant…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMar 5 Aoû - 17:38

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Son Oh que oui me fait éclater de rire. Et me voilà qui repart dans le couloir, fière de moi. J’ai bien envie de me rafraichir les idées. Faut dire qu’avoir un homme aussi bien foutu à moitié nu dans sa cuisine ça à quelque chose de plaisant. Et c’est difficile de garder son calme. Enfin, j’ai beaucoup de mal perso, surtout quand je sais à quel point ça peut être bon de s’envoyer en l’air avec lui. Mon bas ventre s’en souvient encore. Et à cette pensée je lâche un soupir de plaisir que j’étouffe bien vite en me mordillant la lèvre inférieure. Je m’évente en tentant de penser à autre chose. Il faut que je résiste après tout, j’ai commencé le jeu, il faut que je m’y tienne. Mais je sens que ma conviction flanche. J’ai envie de lui et je sais, plus que quiconque, je viens de basculer. C’est foutu, je deviens esclave de mon désir et je sais que pour m’en débarrasser il faudra que je l’assouvisse. Maintenant ? Plus tard ? J’ai son envie de lui à fleur de peau. Et je n’arriverais pas à l’oublier comme ça. Je fais mine, devant lui, pour le rendre un peu plus fou, pour lui faire croire qu’il est le seul à tomber dans les affres du plaisir, mais en réalité je ne suis pas mieux que lui. Je suis même peut-être pire. Parce que là, tout de suite, j’ai envie de retourner dans cette cuisine et de lui sauter dessus. Ce n’est pas l’amour que j’ai envie de lui faire … c’est du sexe avide de sensation forte. C’est comme un feu qui brûle dans tout mon corps ; c’est dingue comme le désir peut changer une personne. Quand on a envie de sexe c’est comme si on ne retenait que nos instincts primitif. Des genres de bêtes qui ne sont plus fait que pour une chose … y a plus vrai de moral, juste un respect tacite qui fait frémir nos sens. On se sent tellement plus fort dans ce genre de situation, comme si rien ne pouvait nous arriver … comme si on pouvait toucher les étoiles rien qu’en tendant la main. Ouais, on est plus fort que tout. Et quand je me dis ça, je me dis que ce soir on sera plus fort que sa maladie.

Je ne m’attendais pas à ce qu’il me rejoigne aussi vite dans le couloir. J’avais à peine eut le temps d’aller dans la salle de bain pour récupérer une serviette que le voilà déjà qui me plaquait contre le mur. Je dois avouer que j’étais surprise. Je l’avais pourtant venu venir mais il semblait m’ignorer et moi ça m’a fait rire. Ça faisait partie de notre jeu de cache-cache, un je ne sais quoi de je t’aime moi non plus. C’est grisant, surtout avec la surprise en plus. Quand je le sens m’attraper par les épaules, j’ai un quart de seconde où je ne comprends pas ce qui se passe. Mon cœur lâche dans mon estomac avant de relever mon regard presque orage vers Ji Ho. Je ne l’ai jamais vu aussi brusque, aussi sûr de lui, aussi entreprenant, aussi … sauvage. Je pousse un grognement quand il me mord la lèvre inférieure. Putain si j’étais censé le repousser, j’en étais tout bonnement incapable. Pas maintenant. Pas là. Il vient de faire tomber mes derrières barrières, celles que ma volonté tentait d’ériger pour résister à ce petit jeu. Mais je lâche l’affaire, je le laisse mener la danse parce que dans le fond ça me plaît. Et puis il ne me laisse pas le choix. Je suis plaquée entre lui et le mur. Sa cuisse contre mon intimité la réchauffe d’une douce chaleur. Et si mon excitation commençait à naitre dans le creux de mon ventre, je peux assurer que maintenant elle est belle et bien là. Je lâche des soupirs contre sa peau et contre ses lèvres. Il me torture, il me brusque mais loin de me déplaire ça m’étourdit. Je m’accroche à lui alors, je me serre contre lui et le presse un peu plus fort, comme s’il était toujours trop loin. « Putain … » C’est toujours comme ça quand je perds pied. Une fille qui jure ce n’est jamais trop original ni très classe … mais putain qu’est-ce que ça fait du bien ! « Où t’as appris à être comme ça ? » lâchais-je dans un gémissement de plaisir.

Je glisse ma cuisse sur sa hanche et la bloque sur ses fesses pour le coller d’avantage à moi. Ma main s’agrippe à son épaule que je griffe sans même m’en rendre compte. Je ne veux pas lui faire mal et puis ce n’est pas vraiment jusqu’au sang. Mais je serais incapable de vous le dire vu la transe dans laquelle Ji Ho vient de me plonger. Il est avide de mon corps et je le sens aussi excité que moi. D’ailleurs j’attrape sa serviette pour la jeter au sol. Ça m’encombre ! Je manque de souffle, j’ai envie de reprendre mes esprits mais il ne m’en laisse pas le temps, et le désir si exacerbée que je ressens en devient presque douloureux ; j’en peux plus d’attendre ! Faut qu’il me fasse du bien … Maintenant ! Ma mère se perd dans ses cheveux noir jais et sans me contrôler je tire doucement dessus en arrière. Assez fort pour l’obliger à retirer sa tête. Mon visage si près du sien je le regard avec un mélange de colère et de désir oppressant. J’ai envie de lui lancer une réplique bien cinglante pour lui montrer que ce n’est pas qui domine et qui me contrôle, mais rien ne me vient, j’ai l’esprit perdu dans un épais brouillard opaque. Il n’y a que cette lueur que je distingue à peine ; celle du plaisir qu’il va me donner. Et j’accours vers elle presque désespérée. Je tire un peu plus en arrière pour qu’il se décolle de moi et le repousse de mes deux mains. J’ai l’air à la fois contente et en colère. Un subtil mélange qui électrise les sens. Je le bouscule en passant à côté de lui, tout dans mon attitude appel au sexe. Je retire mon t-shirt que je vais tomber au sol. Je l’ignore, je m’éloigne de lui avant de me retourner et de l’attirer à moi d’un geste de l’index. Quand il arrive enfin je l’entraine avec moi dans le salon où je le pousse sur le fauteuil. Je m’assois à califourchon sur lui avant de venir picorer ses lèvres. Maintenant c’est moi qui contrôle, s’il savait combien j’aime ça. Je ne parle pas, les mots me semblent si futiles à cet instant. Il comprend avec mes regards, mes gestes ...



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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 2 EmptyMar 5 Aoû - 18:35

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Perdre ? Gagner ? Au final… N’est-ce pas le final qui importe ? Par deux fois, Su Nah m’a frustré, me démontrant que j’avais encore des choses à apprendre… Qu’elle pourrait me repousser encore et encore et moi ? Qu’ai-je fait ? J’ai abandonné à chaque fois, pensant que c’était ce qu’elle voulait mais non… A la voir revenir à chaque fois, elle semble en avoir envie tout autant que moi mais elle semble capable de se contrôler alors que je suis complétement raide dingue d’elle. Pourtant cette fois, pas question d’avoir son aval… Après tout, dans les deux premiers cas c’est elle qui m’a poussé à agir, d’abord en posant mes mains sur ses seins et ensuite, en venant lécher mon torse couvert de chocolat. Dans ces deux cas, je n’ai fait que réagir, la laissant reprendre le contrôle et se moquer de moi ensuite. Je ne suis pas genre d’homme à faire trois fois la même erreur. Ainsi, je fais mine que rien ne me touche, ni ses remarques, ni sa tenue… ni le fait qu’on voit clairement sa poitrine… Rien, je fais mon gâteau et puis c’est tout ! Je le mets au four… Et basta… Du coup, je quitte la cuisine sans même lui offrir un regard passant devant elle en direction de la salle de bain comme si j’allais aller me laver les mains. Quand enfin, elle ne me regarde plus, je me jette sur elle en quelque pas et la plaque contre le mur… A voir sa réaction elle ne s’y attendait vraiment pas.

Je la bloque et joue avec ses lèvres, mon genoux devenant une stimulateur supplémentaire, mes deux mains sur ses épaules, elle grogne après m’avoir offert un regard orageux comme pour me demander ce que je faisais et surtout sans son autorisation. Quand on voit que je n’osais pas la toucher dans le bain alors que l’on venait de faire l’amour, il y a de quoi être surpris… Elle soupire à nouveau contre mes lèvres, quand je rechigne à l’embrasser pour recommencer quand elle s’y attend le moins. Elle s’accroche, me sert un peu plus contre elle comme si elle recherchait un rapprochement supplémentaire et finit par jurer. Si elle savait comme j’aime la voir ainsi, même si ce genre de mot n’est pas dans son vocabulaire habituel… Elle gémit, me demande ou j’ai appris à être comme ça… En guise de répond j’attrape ses poignets d’une main pour passer ses bras au-dessus d’elle et remonte un peu mon genoux pour l’exciter davantage…

« Tu oses me demander ? Tu ne t’en es pas rendu compte ? Tu m’as tout appris dès l’instant où tu m’as rejeté une première fois pour revenir à nouveau… Alors maintenant… Oublie la douceur… J’ai envie de toi et mon corps tout entier compte bien te le prouver… »

Oublier la douceur ? Oui… Parce qu’à cet instant elle n’est plus ma meilleure amie et je ne suis pas Ji Ho l’enfant malade, nous sommes deux adultes qui ne peuvent se retenir, qui ont un besoin de sexe… Pour qui le corps de l’autre n’est plus qu’un moyen de calmer cette folle envie… Ainsi, sa cuisse glisse sur ma hanche pour ne plus que je la quitte… Son cœur semble battre la chamade et à l’idée que j’en sois responsable, j’en suis presque étonné… Elle attrape alors ma serviette pour me mettre à nue en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Sa main caresse mes cheveux, elle semble vouloir prendre des initiatives et soudain… Elle tire, m’obligeant à jeter ma tête en arrière, me fixant de ce regard lubrique comme pour me dire « mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi… » Elle tire alors un peu plus et utilise cette technique pour me repousser brutalement, de la même manière que je l’ai plaqué contre ce mur. Elle est violente et je manque presque de me fracasser contre le mur d’en face. Je ne saurais dire si elle est contente ou en colère, son visage semble refléter ces deux sentiments.

«  Putain ! Pas encore… »

Je peste alors qu’elle passe à côté de moi sans même un regard pourtant, Sa démarche est subversive au possible et je parais presque choqué quand je la vois retirer son débardeur pour le laisser tomber au sol tandis qu’elle continue de m’ignorer avant de se retourner pour me faire signe de l’index de la rejoindre… Je viens… ou plutôt j’accours comme si c’était l’ultime course de ma vie… Quand on sait que le sport m’est interdit, vous pouvez imaginer la différence entre ce Ji Ho et celui que je suis habituellement. Quand j’arrive à son niveau, elle ne dit rien et me pousse sur le fauteuil négligemment. Elle me rejoint alors en venant se glisser à califourchon sur moi, jouant avec mes lèvres. Je suis surpris mais j’adore la voir en dominante… Elle est méga sexy ainsi…. Du coup, je décide la pousser à plus, à la rendre plus brulante que la braise. Posant mes deux mains sur ses fesses, je la stimule, oblige mon sexe à glisser entre ses cuisses, contre la dentelle de son sous-vêtement. Je la fais aller et venir le long de mon membre tandis que je viens récupérer ses lèvres avec une certaine violence comme si je ne pouvais pas vire sans elles, je murmure alors…

« Putain Su Nah… T’es trop hot… Montres moi qui tu es si tu ne veux pas que je reprenne le contrôle. »

Oui… J’ai parfaitement compris que dans le couloir, ne pas avoir le choix et le reste la perturbait. Alors je la pousse à plus, je la veux comme aucun de ses amants de l’a eu. Ils lui ont peut-être tout appris mais ils ne sont pas moi… Ils ne l’on jamais aimé autant que je l’aime alors… Je lui met une petite fessée, comme celle qu’elle m’a mise tout à l’heure… Rien de bien méchant puis presse le plus possible son fessier contre moi pour qu’elle me sente davantage et surtout, qu’elle maudisse cette culotte qui l’empêche de me recevoir… Mes lèvres quittent les siennes et jouent dans son cou…  Je mordille sa peau… Tout est fait pour la rendre folle… Et mon attitude est clairement différente de tout à l’heure… Oui je la veux… Mais elle n’est pas encore à la température adéquate…

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