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 You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3-

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ksos professionnel
Cho Su Nah
Cho Su Nah
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMer 6 Aoû - 4:20

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Assise sur lui, je le surplombe, le sourire aux lèvres. Je pourrais lui faire peur avec cette lueur presque agressive dans le regard. L’envie qui me tient les tripes. Et ce goût de ses lèvres qui me manque déjà. Je pourrais les connaitre par cœur que je les réclamerais encore et encore sans pouvoir m’en défaire. Elles sont si douces et si charnues. C’est presque moelleux quand je m’écrase contre sa bouche. J’ai envie de la dévorer et de lui mordre, juste pour les malmener un peu, les rougir sous mon baiser carnassier. Je ne cherchais pas à lui faire mal, juste à repousser ses limites. Qu’il me donne ce qu’il a jamais donné à quiconque. Juste … lui, mais entièrement. Sans crainte, sans peur. Je suis presque fière de voir que c’est moi qui le pousse à se dépasser comme ça. Que c’est pour me suivre qu’il est entré dans ce petit jeu de séduction tortueux. Il ne l’a jamais fait avant ? Pas même une fois ? Jouer avec une femme pour la séduire à ce point ? Et même si je ne suis pas une experte en la matière je suis contente de pouvoir expérimenter ça avec lui … C’était grisant de voir ce qu’il était prêt à faire pour moi … Et puis c’était craquant aussi … c’était mignon, à sa façon, même si tout de suite Ji Ho n’avait rien de mignon …

Le regard qu’il posait sur mon corps faillit me faire craquer plus d’une fois. Et je tentais de le graver dans mon esprit, pour me souvenir de cette lueur et de ce sentiment dans le creux de mon ventre. Celui d’être une femme belle, une femme puissante … Une femme … qu’on peut aimer à en crever. Cette pensée m’arracher une vague d’émotion et de sentiments pour le jeune homme. Pendant une seconde je stoppais notre jeu pour lui dire que je l’aimais. Pas de mot, pas de regard, juste un baiser dans lequel je me perdais. Ma langue jouait avec la sienne dans un balai délicieux et fougueux. Je reprenais notre jeu alors qu’il se cramponnait à mes fesses pour me faire bouger sur son membre réveillé. Je sentir sous moi était un vrai délice mais une vraie torture bien plus encore. Je voulais le sentir en moi et mon corps le suppliait …. Putain, il n’avait pas le droit de me faire ça, c’était moi qui devait le contrôle … d’ailleurs sa phrase me fit redoubler d’effort … « Putain Su Nah… T’es trop hot… Montres moi qui tu es si tu ne veux pas que je reprenne le contrôle. » Qui pourrait résister à une telle supplique … ?

Je me redressais sur mes genoux. Le regardant avec ce petit sourire provocateur. Je jouais avec son torse à le griffer doucement, juste pour lui indiquer où j’allais m’attaquer. Je descendis jusqu’à son bas ventre avant d’attraper sa chevelure pour l’obliger à venir embrasser mon ventre. Et alors que je l’occupais avec mon corps j’écartais juste un pan de ma culotte pour venir m’empaler juste sur le bout de son membre dressé vers moi. Cruel vous dites ? C’est vrai … Je faisais de petits va et vient s’en jamais vraiment le laisser venir totalement en moi. Je contrôlais tout, jusqu’à sa frustration. Il voulait que je lui montre qui j’étais … ? Je crois que j’étais une femme cruelle avide de sensations fortes … encore plus si c’est lui qui les vivait. Mais ne croyez pas que je ne me privais pas aussi. Je me frustrais peut-être encore plus. C’était dur de tenir, de ne pas aller chercher ce que je voulais, je manquais de sang-froid, encore plus en entendant les murmures rauques de Ji Ho. Et d’un coup d’un seul, aussi soudain que ça puisse l’être je m’empalais sur lui pour le laisser entrer en moi totalement. Ça m’arracha même une plainte parce que je n’étais pas vraiment prête. Je ne m’attendais pas à le sentir autant en moi. Crachant un souffle rauque je commençais à onduler du bassin sans attendre plus longtemps. Je recommençais mon petit jeu plusieurs fois. Je ne taquinais que le bout de son membre avant de m’empaler complètement sur lui ou alors par à-coups.

Et mon sourire fier trahissait ce que je ressentais à cet instant. J’ondulais du bassin en rejetant la tête en arrière. Lui offrant mon corps à sa guise. Je crois qu’à cet instant c’était mon plaisir que je cherchais. Etait-ce mal d’être égoïste dans ce genre de moment ? Je lui promettais de tout lui rendre au centuple après quelques secondes de pur plaisir que je venais chercher. Je ramenais brusquement ma tête à lui et embrassa ses lèvres. Je sentais déjà mon dos se couvrir d’une fine pellicule de sueur. Dieux que c’était bon. Mais il fallait que je m’occupe de lui, et c’est un désir ardent, un appétit exacerbé que je m’attaquais à son corps. Ses épaules, ses clavicules. Attrapant ses mains, j’y entremêlais mes doigts avant de m’y cramponner pour accélérer la cadence. Une douce odeur de chocolat envahissait mon appartement creusant d’avantage ma faim. Ne dis-t-on pas que le chocolat et aphrodisiaque. J’avais le souffle court, et le cœur fou. J’en avais même la tête qui tourne et je lâche un râle rauque en rejetant ma tête en arrière quand une vague de plaisir déferla en moi. Je ne pourrais pas lui avouer que j'en pouvais plus mais ma cadence se faisait saccadée et mes va et viens plus maladroit. Alors dans un murmure fébrile je lui dit "A toi ..." à toi de me donner du plaisir ....





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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMer 6 Aoû - 9:35

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Su Nah est une déesse insoupçonnée, après tout, je la connais depuis l’enfance et pourtant… Même si je l’ai vu grandir, évoluer, je n’aurais jamais soupçonné qu’elle pouvait avoir ce genre d’attitude au fond d’elle-même. C’est comme imaginer qu’une fille porte des dessous en coton pour soudainement voir son string ficelle qui dépasse de son pantalon taille basse… Sur le coup ça vous fait un choc mais ça ne vous interdit en aucun cas d’apprécier. C’est ce qu’il se passait avec Su Nah, je ne l’imaginais pas capable d’agir pour du sexe, de jouer au point de rendre fou un partenaire pour qu’il en oublie toute douceur, tout romantisme, le transformant en véritable bête afin d’assouvir ses envies et autres pulsions lubriques. D’une certaine manière, j’ai vu cette nuit comme un adieu à notre couple que nous n’avons jamais été capable d’enterré alors… Qu’est-ce que ce petit jeu sinon une sorte de manière d’exciter d’avantage son partenaire pour faire ressortir tout ce qu’il y a de meilleur en lui. On ne fait pas tout le temps l’amour, même quand on s’aime, il faut savoir pimenter son couple et… N’est-ce pas ce que nous faisons à cet instant ?

Je la regarde ainsi, me chevauchant après m’avoir poussé brutalement contre le fauteuil, jouant avec moi comme si j’étais un animal blessé, picorant mes lèvres alors que je sais déjà comment la rendre folle de mon corps. Après tout, si cette fois elle ne m’a pas repoussé c’est probablement parce qu’à force de tout garder en elle, elle ressent le besoin d’exploser. Son envie a pris possession d’elle et à cet instant, quand nos lèvres se rencontrent, je comprends que cette fois, nous touchons au but. Je la presse contre mon membre, la fait glisser contre celui-ci alors que je commence à sentir une certaine humidité naitre entre ses cuisses. Je veux la rendre folle et le baiser qu’elle m’offre semble être un cri d’alerte, une façon de me dire qu’elle m’aime mais qu’à cet instant bien précis, il n’y a que mon corps dont elle ne puisse se passer. Je décide donc de jouer davantage avec elle en lui annonçant que si elle ne reprend pas les reines, je serais dans l’obligation de dominer l’intégralité de nos ébats… je sais ce qu’elle veut, elle aime être celle qui commande, qui dirige et c’est cela en elle qui est excitant.

Elle se redresse alors sur ses genoux, comme pour me signifier que je n’avais encore rien vu. Elle joue avec moi puis se sert une nouvelle fois de mes cheveux pour m’envoyer contre son ventre plat. Je joue alors avec son nombril quand soudainement, je tente de jeter ma tête en arrière mais il me manque quelque chose, seul la partie supérieure de mon sexe et en elle et si elle commence à onduler, c’est simplement sur cette partie de mon anatomie et non le reste. C’est bon mais tellement frustrant. Je la fixe comme si je pouvais la tuer d’un seul regard. Elle est en train de me rendre fou et j’ai beau essayer de la pousser, sa façon de se tenir sur ses genoux lui permet de garder un contrôle total sur ce qu’elle fait. Pourtant, comme moi précédemment, elle semble se prendre à son propre jeu et, n’en pouvant plus s’empale sur mon sexe. Je pousse un râle de plaisir de me sentir à nouveau en elle-même si c’est totalement diffèrent. Cette fois, elle ne me laisse pas le plaisir de la découvrir, elle veut me sentir, jouir, prendre son pied, il n’y a plus de sentiments. Elle y va franchement avant de recommencer son petit jeu, me frustrant encore plus alors que sa façon de me glisser entièrement en elle m’électrise et m’empêche de bouger.

Elle ondule alors puisement, souriant de me voir si circonspect. Elle jette alors sa tête en arrière alors que je retourne jouer avec sa poitrine pinçant ses tétons, mettant de petites taps à ses seins pour ensuite les prendre en bouche. Elle décide quand je dois m’arrêter pour revenir m’embrasser. Elle dévie le long de mon buste mordillant ma peau avec envie puis elle prend alors mes mains dans les siennes, augmentant la cadence alors qu’elle semble totalement sous l’emprise d ce besoin d’en avoir toujours plus.. Elle ne cesse de gémir, jette sa tête en arrière et tente de continuer ce qu’elle fait mais avec beaucoup moins d’efficacité… Comme pour me signifier qu’elle a besoin de moi pour continuer, elle se contente de me dire que c’est à mon tour. Je lui souris alors et commence à bouger mon bassin lentement, très lentement. Je me relève un peu pour arriver au niveau de ses lèvres et murmure contre celle-ci…

« Dis-moi que je peux te faire…Tout ce dont j’ai envie… »

Cette phrase va l’exciter, je le sais, la mettre dans l’attente et pourtant, je suis toujours aussi lent, la gardant en moi alors que l’un de mes doigts glisse entre ses lèvres pour qu’elle y donne de l’attention. Je la fixe et la repousse, assez pour nous désunir alors que je la soulève, l’embrasse et la pousse à nouveau pour qu’elle se retrouve contre la table basse, sa poitrine contre le verre glacé tandis qu’elle me présente son fessier…

« Sorry ma belle mais je n’ai pas le temps d’attendre… »

Sa culotte me gêne et vu comment elle est, presque à quatre pattes, la lui enlever prendre un temps fou. Je pose mes mains de part et d’autres de la dentelle et tire violemment, la lui arrachant avant de me glisser brutalement entre ses cuisses, mes vas et viens sont sauvages, brutales, puissant alors que je l’écrase un peu plus contre la table. Je viens alors passer ma main dans ses cheveux, les rassemblant dans une pseudo queue de cheval et commence à tirer pour la forcer à tourner la tête. Je m’empare de ses lèvres, lui offre un baiser puissant et relâche tout avant de lui mettre quelques fessées… Cette fois, je la domine, je la prends comme un animal et vous savez quoi ? Parce que je sais que c’est Su Nah… J’adore ça… Je décide alors de jouer avec ses nerfs, avec sa fierté…

« Supplies-moi si tu en veux plus princesse… »

Elle ne le fera pas, je le sais, tout ce que je veux c’est voir ce dont elle est capable. Après tout, n’est-ce pas ce que je cherchais ? La rendre plus chaude que la braise ? Alors il nous faut passer par là…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMer 6 Aoû - 18:20

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


J’étais épuisée, mais j’avais cette envie de résister, d’être plus forte que la limite de mon corps. C’est le mental qui primait, et qu’importe si mon cœur me brûlait dans la poitrine, qu’importe si mon souffle séchait ma gorge et qu’importe si j’en avais la tête qui tournait. Le plaisir me donner des ailes, et qu’importe si je me les brûle, ça vaut largement le coup. Je lui demande de prendre la relève, je n’abandonne pas vraiment, je veux juste qu’il me fasse du bien … Il me demande l’autorisation de pouvoir me faire ce dont il a envie … Et je pousse un grognement de mécontentement. J’ai pas envie de lui dire, je n’ai pas envie de lui accorder le droit de me prendre. Je veux qu’il me prenne, aussi vulgairement que ça puisse paraitre. Putain on a beau aimer quelqu’un à la folie, avoir envie de lui faire l’amour, avec le sexe pur et dur  on ne cherche pas des papillons, des arcs en ciels et des gestes tendre ! On veut du plaisir, j’ai envie de le voir essayer, de le voir … me tester. Tester mes limites, découvrir mon corps, l’explorer et le faire sien en le marquant … ouais j’ai juste envie qu’il fasse ce dont il a envie, ce qui lui passe par la tête, je suis persuadée que ça sera parfait, vu l’état dans lequel je suis, il lui suffira d’un rien pour embraser mon désir. Et il sait si bien s’y prendre … j’ai presque du mal à croire qu’il ne fait que rentrer dans mon jeu en apprenant au fur et à mesure … Je ne fais rien de vraiment calculé, ni même de réfléchi. Je veux juste le rendre fou et c’est ce que je fais.

Et quand il resserre sa prise sur moi j’imagine tout un tas de trucs fou. Tout ce qu’il pourrait me faire et ce qu’il pourrait ne pas me faire juste pour me frustrer. Putain, ouais je l’imagine jouer avec mes nerfs, m’effleurer sans rien me donner. Son doigt taquine mes lèvres et je viens lui mordiller. Il a l’air d’adorer quand je fais ça alors je ne me prive pas de lui rendre la pareille. Puis sans me prévenir, il se retire et me repousse assez pour pouvoir me soulever. Il n’est pas patient, pas le temps de répondre qu’il cesse déjà le petit manège que je faisais sur lui. Je me retrouve debout. J’ai des courbatures dans les jambes et j’ai presque mal au genou. Mais c’est contre la table basse qu’il m’oblige à me mettre. Le froid du verre sur le bout de mes seins m’arrache un petit cri. Un frisson me parcours alors qu’un sourire éclaire mon visage. Le geste était rude et l’impact fort, mais prise dans mon désir je n’ai pas ressenti de douleur. Juste une profonde vague de plaisir qui a déferlé sur mon corps comme un brusque coup en plein ventre. Je pose mes paumes moites sur la table en verre et y laisse mon empreinte. Je me redresse juste assez pour me cambrer et recevoir Ji Ho en moi. Il entre en moi brusquement, sans que je ne m’y attende vraiment. C’est comme si à tout moment je m’attendais à retrouve le doux et prévenant Ji Ho sans que celui-ci ne daigne pointer le bout de son nez. J’ai en face de moi un homme qui crève de désir pour moi. Il frémit, il gémit et ses coups de bassin ce font fort et profond. Chacun de ses à-coups fait onduler ma poitrine qui frotte contre le verre froid de la table. Je vous assure que c’est la plus douce torture qu’il est pu me faire. Il m'arrache ma culotte, sans aucun euphémisme. j'entends le tissu qui se déchire et pendant une seconde je me dis que je l'aimais bien cette culotte mais bordel ... ca a eut le mérite de m'exciter comme pas possible. Et le coeur battant fou entre mes cuisses se réveille à m'en faire gémir d'impatience.

Puis il se saisit de mes cheveux en une queue de cheval qu’il tire en arrière. Son geste n’a rien de douloureux, j’accompagne le mouvement, m’obligeant à me cambre contre lui. Putain, jamais aucun homme n’a osé me faire l’amour comme ça. Et si on me l’avait décrit j’aurais crié au scandale, assurant que je n’étais pas une pute qu’on prend comme dans les films pornos. Mais ce soir je vois tout sous un autre angle. Comme si venant de nous ça n’avait rien de vulgaire. Parce qu’il me respecte et il ne me prend pas comme une vulgaire chienne de passage. Il prend juste en assurance et se perd dans ce sexe sauvage qui nous grise … Alors qu’il me tire les cheveux si l’envie l’en prend. Et la façon dont il m’embrasse me donne l’impression que la fin du monde pourrait arriver, qu’on ne s’en rendrait même pas compte. Ses coups de bassin et nos peaux qui claquent font vibrer la table et me font pousser des gémissements de plus en plus en fort. Ses fessés me font presque mal mais je les sens à peine. Comme une piqûre de moustique. C’est fugace, ça pique, ça brule aussi un peu mais ça me plaît et je n’aurais jamais cru être adepte de ce genre de choses … mais peut-être que c’est différent parce que c’est lui … Qu’est-ce dirait nos parents s’ils nous voyaient ? Nous qui paraissions si sage et si … innocent. Putain, Ji Ho m’offrait la meilleure partie de jambe en l’air de ma vie et je n’en avais plus rien à foutre des bonnes conduites.

Soudain Ji Ho, me demande de le supplier. La lueur animale dans mon cœur se voile et je grogne en ondulant du bassin sur le sien pour qu’il ne ralentisse pas sa cadence. Puis il finit par s’immobiliser complètement en moi. Il est là, je peux le sentir mais il ne bouge plus, il me maintient même du bassin pour m’empêcher de bouger. Je me redresse dans un râle, collant mon torse au sien dans un grognement. Je viens même me caresser avant qu’il ne s’empare de mon poignet pour m’en empêcher. Je peux à peine bouger, nul part, je suis prise dans son étau et la frustration me gagne. Je me mordille la lèvre pour lui cracher « Jamais ! » Jamais je ne le supplierais … J’aurais craqué depuis longtemps si nous avions été nous … mais là je me transforme en boule de luxure et de désir, ma fierté gonfle à mesure que je vois cet homme sexy perdre la tête pour moi alors non, je refuse de lui donner ce qu’il me demande … Pourtant, mon corps le réclame, mon intimité se serre par spasme autour de son membre gonflé en moi. Je lâche des râles en tentant d’onduler sans grande réussite je l’avoue. Et la frustration devient presque insupportable à gérer, je le veux bordel ! Je le veux alors pourquoi il me fait ça ?! J’ai presque envie de l’engueuler de me faire ça alors après m’être débattu un temps je finis par lâcher « Putain Ji Ho prends moi ! » ma supplique devrais lui suffire non ?! Je n’en dirais pas plus, j’ai craqué, j’ai finis par lui demander de me prendre … Jamais, jamais je ne me serais cru capable de parler de moi comme ça, comme si mes plus bas instinct se réveillait. Mais j’aime ce qu’il me fait, qu’il me domine, qu’il me frustre, qu’il me maltraite à sa façon … Je ne me suis jamais vu comme ça … Jamais. Je ne sais pas ce que m’a fait Ji Ho, ni jusqu’où on peut aller, mais bordel j’adore ça ! Attrapant ses lèvres en tournant mon visage vers lui, je lâche dans un souffle rauque « Donne m’en plus … »






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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMer 6 Aoû - 19:26

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



La table basse… Faut dire que pour le coup, j’y étais allé un peu fort… Mais c’était assez étrange, comme si je n’arrivais plus à garder le contrôle comme si mon corps prenait l’avantage sur mon cœur et que plus rien ne compte si ce n’est lui offrir une partie de jambe en l’air comme elle s’en souviendra toute sa vie. Je commençais peu à peu à comprendre une chose, si elle m’avait frustré en me repoussant par trois fois désormais, cette action avait engendré en elle de plus en plus d’envie, au point de véritablement céder en me demandant de la rejoindre, comme une bombe qui va exploser et qui désormais à besoin de moi pour faire exploser tout le voisinage. Elle a tenté de bloquer tout cela et sans le vouloir, alors qu’elle ne cessait de prendre l’avantage sur moi, elle vient de le perdre car elle a beau faire de son mieux en jouant quelque peu avec ma virilité, elle se fatigue bien plus rapidement que moi et surtout, si moi je parais presque fou par son attitude, elle m’y a habitué… Ce qui n’est pas vraiment son cas… Ainsi, après m’avoir chevauché brutalement, elle me cède les reines sans se douter que désormais… Elle sera mienne et je lui ferais vivre l’enfer pour la pousser à me montrer qui elle peut être si on la pousse à son maximum… Ce ne sera pas facile, elle aime son costume de dominante mais à moi… De me montrer persuasif…

Ainsi, je la soulève, la retirer de moi est un véritable supplice et bien évidemment, comme si je m’en rendais compte que maintenant, sa dentelle qui me plaisait tant est désormais un obstacle à mes yeux. J’ai besoin d’elle, de son corps, de me sentir en elle et, alors qu’elle est presque à quatre patte, mon instinct animal ressort et sans même prendre le temps de la réflexion, je la lui arrache, sentant son corps réagir à ce geste de manière presque incontrôlé tandis que je la pénètre brutalement. Avant cela, je lui avais demandé de me donner l’autorisation de lui faire ce que je voulais… Sa fierté l’a empêché de me répondre mais qui ne dis mot consent n’est-ce pas ? Et puis… Au vu de la façon dont elle a joué avec mes envies, je peux bien lui montrer que tout son travail a fait naitre en moi une furieuse envie de la posséder comme aucune autre avant elle. J’attrape alors ses cheveux, les tirant pour la forcer à regarder son bourreau, à me regarder. Son visage a changé, la lueur dans ses yeux n’est plus que perversion… Comme si ses pupilles me hurlaient de continuer ainsi. Je l’embrasse alors avec envie car même excité comme un animal, c’est finalement de ses lèvres dont je ne peux me passer. Je ne pensais pas faire l’amour à une femme ainsi et surtout pas Su Nah et étrangement, je ne me sens pas gênée… En fait… Je crois qu’on va au bout de nos envies, que le fait que l’on se connait depuis toujours nous laisse la facilité de nous révéler comme jamais nous n’avons osé… Du moins pour elle… Moi je me suis révélé sans le savoir… pourtant, cela ne calme pas mon envie et surtout mon besoin de lui rendre la pareille. Ne t’es-tu pas moquée de ce sexe bien trop dur par deux fois Su Nah ? Je t’ai pourtant prévenu… je me vengerais…

Oh non, ce n’est pas avec ces quelques fessées… Regardez bien… Alors que j’y vais brutalement, je lui demande de se soumettre… de supplier… Chose que cette Su Nah et encore moins celle que je connais, ne s’abaissera jamais à faire. Comme réponse, elle ondule davantage comme si elle pensait que comme tout à l’heure je la laisserais faire… J’ai bien compris la leçon Su Nah… T’es la meilleure prof qui soit alors… peu à peu, je m’arrête et reste en elle, la bloquant afin qu’elle ne puisse pas m’avoir par ses mouvements de bassin. Elle se redresse alors comme pour en chercher davantage et commence d’ailleurs à se caresser comme pour tenter de ne pas redescendre de son monde de plaisir. A nouveau, je bloque sa main pour qu’elle ne sente plus rien… Avec une haine que je ne lui connaissais pas mais qui me plait également beaucoup, elle semble presque me cracher au visage son « jamais ». J’esquisse un sourire… Car si son cerveau dit non, son corps tout entier me réclame… Elle gémit, tente de bouger par tous les moyens mais mon étreinte est trop forte… C’est là qu’elle pousse un juron pour m’ordonner de la prendre… Je savais bien que j’y arriverais… Elle m’embrasse, m’en demande plus… Alors je murmure lentement, presque sadiquement.

« C’est un ordre ça… Moi je veux que tu supplies… »

J’attends sa réponse et comme si de rien n’était… Je passe ma main doucement dans son cou et appuie dessus pour l’éloigner de mon visage comme si elle n’était plus rien qu’un jouet à ma merci. Je colle alors son visage contre le froid de la table, mes mains sur ses tempes pour l’empêcher de bouger. Elle est revenue dans sa position initiale, à quatre pattes contre la table mais cette fois, l’emplacement de son visage fait toute la différence. Je continue alors de la maintenant alors que je me déchaine entre ses cuisses comme pour lui faire sentir toute la frustration qu’elle m’a sadiquement offerte… De ma main libre, je viens caresser son intimité tandis que je continue d’onduler sauvagement contre elle. Je la stimule d’avantage… Son bouton de plaisir mérite également que je m’occupe de lui et c’est ce que je fais. Mon regard se retrouve dans le sien, comme pour admirer ce chef d’œuvre d’une Su Nah incapable de se soustraire de mes griffes, en réclamant toujours plus…

« Dis moi ce que tu ressent à être traité ainsi... »

Je murmure doucement et ralentit un instant pour accélérer à nouveau, voulant lui faire ressentir la peur… Que j’arrête tout à nouveau… Elle sait que j’en suis capable, je l’ai déjà fait une fois… Et de mémoire je dois encore me venger par deux fois pour que l’on soit quitte.

« Supplies bien… Sinon… je t’empêcherais de jouir… »

Ma domination sur elle est totale et le pire dans tout cela c’est que ses yeux me témoigne une sorte d’adoration comme si faire l’amour comme cela était son fantasme le plus secret, être dominé par un homme qui la respecte pourtant tellement mais qui, parce qu’il la désire plus que tout, se transforme en animal juste… Pour son plaisir à elle… Oui… Si je suis ainsi c’est parce que je suis raide dingue d’elle, de son corps mais aussi et surtout... de son cœur…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyJeu 7 Aoû - 2:18

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


JÇa me rend folle de le voir jouer avec moi comme ça. Je ne le reconnais plus. Jamais il n’a été comme ça. Lui c’était le petit garçon qui faisait semblant de perdre au jeu pour me laisser gagner. C’était l’adolescent qui ne finissait jamais sa glace pour me la laisser. C’était l’homme qui me tenait la porte et qui s’arrangeait toujours pour que j’ai la meilleure place au cinéma. Jamais il n’a essayé de me frustrer intentionnellement, jamais jusqu’à un tel point. S’il le fait d’ordinaire c’est pour ma taquiner, et il ne fait jamais durer ça très longtemps. Même qu’après, d’ordinaire il s’empresse de se faire pardonner, incapable de résister à ma petite moue triste. Je ne suis même pas sûre que mes mimiques le fassent craquer. Il veut que je le supplie. Et moi … moi je pourrais crever plutôt que de lui donner ce qu’il veut. Parce que ça me rend folle de l’entendre me donner des ordres, de le voir m’obliger à le supplier. Ouais je déteste ça, je déteste ça jusqu’au plus profond de mon être. Mais putain, je crois que je détesterais encore plus qu’il arrête de me dominer comme ça. Parce que tout est question de ça. De domination, de jeu, de pouvoir, de celui qui fera craquer l’autre en premier. Et c’était tellement bon de l’avoir aussi possessif avec moi. Ça m’excitait encore plus de savoir que j’étais la cause de cet état. Ouais je suis son tout, son monde, son univers. Il m’aime moi, il aime mon corps et putain je me sens surpuissante à cet instant. J’ai envie de bouffer tout ce qui est à ma portée. J’ai envie de crier au monde entier que ce mec m’appartient, que ce mec m’aime et qu’il n’est qu’à moi. Personne n’a le droit de le regarder, d’oser penser à lui et encore moins de le toucher. Des râles animales s’échappent de nos lèvres et nos souffles brûlant se cherchent.

« C’est un ordre ça… Moi je veux que tu supplies… » Oblige moi Ji Ho … Oblige moi alors … fait moi craquer, rends moi dingue, fait moi te détester. Fais-moi te détester autant que je t’aime … Sa main se perd dans mes cheveux et je ne résiste pas à sa pression quand il me plaque en avant. Ma joue s’écrase contre le verre de la table qui devient chaud. Tout mon corps est moite, je n’arrive même pas à me redresser sur cette table où je glisse. Et puis Ji Ho ne m’en laisse même pas la possibilité. Son corps est mon étau. Et sa force me transperce de part en part. J’ai l’impression d’étouffer bloquée ainsi. J’en perds le souffle. Ses coups de bassin son brusque, mes cuisses cognent contre la table à m’en faire mal. Je suis même sûre d’avoir des bleus demain, d’avoir la trace de nos ébats enflammé. Et dire que notre première fois a été maladroite, presque trop timide, sans vraiment beaucoup de plaisir, plus de peur et d’appréhension malgré une douceur infime. C’était beau aussi ce soir-là. C’était presque enfantin … Et regardez nous … des années plus tard, avec cette fureur au ventre. Avec cette passion qui nous coule dans les veines. Avec cette envie de l’autre qu’on ne supporte même plus. Les coups de bassin presque violent de Ji Ho me font pousser des cris de plaisir, des cris similaires à des plaintes. « Ji Ho ! » m’écriais-je comme si je l’engueulais alors qu’il glisse sa main sur mon intimité pour la caresser. Mon dieu, faites-moi mourir juste après ce moment. Le plus parfait qu’il soit. Après ça je devrais me contenter de frustration, de pâle copie de cette nuit pleine de fougue, de passion et d’amour. Je gémis de plus en plus fort, une part de moi était prête à lui demander d’arrêter mais une autre, bien plus importante, voulait le supplier de continuer. Est-ce que je devrais en avoir honte ? J’ai l’impression de me réduire à rien de moins qu’un trou sexy qu’il pourrait prendre quand bon lui semble. Et la vulgarité de mes pensées n’est que l’égale de ce que je ressens. J’ai envie qu’il me fasse crier, encore et encore. Il veut que je le supplie et moins je lui donnerais ce qu’il veut et plus il va me torturer, mais plus il va me torturer et plus je vais aimer ça … Alors on fait comment Ji Ho ? Je suis esclave de tes désirs et de tes idées … Pourtant je dois bien avouer que je suis prise entre deux feux. Soit je garde le peu de contrôle qu’il me reste ou je m’abandonne entièrement dans ses bras …

« J’aime ça … » grognais-je dans un râle de plaisir. « J’aime ça Ji Ho … te sentir en moi … te voir jouer avec moi … je suis à toi … » Puis ne supportant plus de sentir sa main dans mes cheveux un mélange de colère et de frustration me fit attraper son poignet pour me libérer de son étau avant de grogner férocement « Putain Ji Ho je te déteste ! » Je te déteste d’amour tu vois. Vouloir m’empêcher de jouir quel coup bas … Et je sais qu’il en serait capable … Notre jeu n’a plus de limite, finis les règles faire play … On sort nos cartes maitresses pour ce round-ci. M’appuyant sur mes avants bras pour me redresser je lui dis d’une voix rauque de désir « Continue bébé … j’ai jamais rien senti d’aussi bon … tu me fais perdre la tête Ji … Putain t’es le meilleur coup que j’ai pu avoir … » Mes bras me tenant à peine je bascule la tête la première sur la table pour y coller mon front. De la buée se forme sous mon souffle chaud, et moi qui pensais pouvoir me rafraichir, je dois m’avouer vaincus. La table est devenue aussi chaude que nous. Et pour rendre fou cet homme que j’aime, je souris à me reflet dans le verre et lui dit d’une voix lubrique « Je suis assez serrée pour toi bébé, hm ? » Jamais je ne serais cru capable de dire, pas en étant aussi sérieuse, pas pour rendre fou un homme comme lui ... J’expire un soupir entre mes lèvres et resserrant mon intimité autour de sa hampe gonflée qui fait des va et viens brusque. « Ji Ho viens plus fort … plus fort et plus profond … » Attrapant ses doigts qui taquinaient mon intimité je les portes à mes lèvres pour les lécher et les suçoter.

Est-ce qu’il ne va pas trouver ça … de trop ? Peut-être que pour lui les mots suffisaient amplement ? Mais je ne savais plus comment lui montrer que je voulais de lui sans avoir à céder à son chantage … Je voulais le rendre fou et ce n’était pas encore le moment de céder … « Putain bébé j’aime te sentir en moi … » il a le droit de savoir tout ce que je ressens pas vrai ...? j’en perdais la raison, les mots, les surnoms … tout se mélangeait. Mon instinct animal, mes souvenirs de nous en couple, nos souvenirs de nous amoureux, mes sentiments pour lui et tout ce qui pouvait faire de nous ce que nous étions à cet instant … « Je t’en supplie Ji Ho … fait moi jouir … fait moi jouir … » j’ai cédé … j’ai cédé, j’ai supplié, et si une part de moi me hurle d’être trop faible, je sais au fond de moi que je n’aurais pas pu le privée de ce plaisir-là. De m’entendre gémir de le supplier de me faire du bien … Il le méritait, il méritait de me voir perdre le peu de fierté qu’il me restait. Alors, priant pour un peu de clémence de sa part je vins ajouter « Laisse-moi voir ton visage quand tu prends ton pied avec moi Ji … » Je mordille ma lèvre inférieure, et vient ancrer mon regard au sien en regardant par-dessus mon épaule. Tu vois comme je te suis soumis babe … accorde moi ça et je supplierais autant que tu veux ….




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyJeu 7 Aoû - 11:48

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Si J’avais été voir Na Rae il y a quelques jours c’était exactement pour que ce genre de chose n’arrive pas. Cela faisait quelque temps que mon corps réagissait un peu trop concrètement aux massages que me prodiguais ma meilleure amie… Pourtant, alors que je pensais tout contrôler, il y avait eu ce petit incident et comme d’habitude, elle avait insisté pour en savoir plus, pour comprendre ma gène et puis, quand elle avait touché le problème des bouts des doigts, elle ne m’avait pas repoussée, bien au contraire… Elle était venue sur moi et nous avions fait l’amour tendrement. Pourtant, alors que je pensais que mon envie disparaitrait au moment de l’orgasme, elle a commencé à jouer avec moi, me forçant à caresser sa poitrine, m’allumant toujours un peu plus pour me repousser quand j’en perdais la raison. Ainsi, même dans les quelques rêves érotiques que j’avais fait et dont elle était l’héroïne, je ne m’étais jamais imaginer la prendre si violemment et surtout, qu’elle en redemanderait… Désormais, elle qui se voulait maitre du contrôle n’a plus aucun droit sur moi… C’est moi qui décide, qui la frustre en la poussant toujours plus loin… Elle ne veut pas supplier ? Alors on arrête là… Croyez-moi quand je vous dis que c’est un supplice d’être en elle sans pouvoir bouger mais sa demande de la prendre est la plus belle récompense que je puisse obtenir d’elle…

Pourtant, alors que mon excitation est décuplée par ses mots, je me fais plus tatillon et en réclame plus de sa part, jugeant qu’un ordre n’a rien à voir avec une supplication. Comme elle ne semble pas décidée à modifier ses paroles, je comprends qu’il est temps de lui montrer que si je n’ai pas envie d’arrêter, je peux la dominer davantage. C’est ainsi que je plaque sa joue contre la table tout en continuant des vas et viens puissants. A la voir ainsi, je n’ai plus de doutes, Su Nah a déjà connu ces moment où l’on ne cherche pas à se montrer notre amour mais bien à prendre son pied. C’est quelque chose d’assez nouveau pour moi car je suis proche de toutes celles avec qui je couche et si moi, je lui ai dit combien elles avaient été, je n’ai jamais eu de réponse la concernant et me dire que quelqu’un a pu la traiter comme je le fais me rend encore plus haineux, décuplant mon envie de faire d’elle ma chose. Mes coups de bassins sont un peu plus brusque, elle cri alors mon nom… Je crois que la prochaine fois qu’elle m’appellera ainsi et qu’on fera tout autre chose, je ne pourrais m’empêcher de penser à ce moment bien précis. Je souris alors, comprenant que je suis dans la bonne voie afin de lui faire perdre la tête… Je décide donc de la caresser en même temps, elle ne s’y attendait pas et gémit de plus bel. Portant, j’ai besoin de l’entendre à nouveau, comprendre que si habituellement elle est très silencieuse quand on fait l’amour, à cet instant, il me faut l’entendre pour continuer, comme pour me dire « Oui ça me plait alors sois encore plus sadique avec moi. » Du coup, je lui demande ce qu’elle ressent à être traité ainsi…

Sa réponse est sans équivoque… Elle aime ça… Elle se dit mienne… Ces paroles-là, je n’y ai jamais eu le droit et je ressens une certaine fierté qui me pousse à ralentir pour accélérer de nouveau comme pour jouer avec ses émotions aussi bien qu’avec ses sensations. Elle repousse alors mon poignet pour relever la tête et me dire combien elle me déteste. Etrange après m’avoir dit que je lui appartenais n’est-ce pas ? Mais pourtant, c’est exactement ce que je voulais entendre comme lorsqu’elle a joué avec moi dans la cuisine, pour me demander, dans l’entrebâillement de la porte si je la détestais. Sa réponse aura été la même que la mienne comme quoi, rien de pire que la frustration pour se donner encore plus envie… Je lui souris et lui met une petite fessée comme pour la punir d’avoir osé dire cela. Ses mots me grisent… Je viens de lui dire que je pourrais l’empêcher de jouir si elle ne suppliait pas et soudainement… Elle lâche ces mots… Ce dont je rêvais depuis toujours… Je suis son meilleur coup…Elle veut que je continue, elle n’a rien sentit d’aussi bon. Ces mots sont un puissant aphrodisiaque mais il me faut savourer ma victoire en la poussant à avouer. Accélérant violemment je murmure presque sadiquement.

« Et avant ça ? Raconte-moi ton ancien meilleur coup… A moins que tu ne veuille… Que j’arrête ? »

Qu’elle me dise ce qu’elle a fait avec un autre, c’est ce que je veux car moi, le handicapé, je lui donne plus que ces types valides… Je veux savoir ce qu’elle a pu faire car maintenant, comme elle auparavant, c’est à moi de se servir de son plaisir pour poser mes petites questions. Elle a voulu savoir combien de filles ont touché à mon corps ? Je veux connaitre son meilleur coup dans les détails… C’est équitable… Pourtant, face à la force de mes coups de bassins, son visage retombe sur la table son front remplaçant sa joue… D’une voix respirant la luxure, elle me demande si elle est assez serrée pour moi. Bon Dieu Su Nah… Comment pourrais-je coucher avec une autre avec tout ça ?

« T’es parfaite… Et tellement humide… ça me rend fou… »

Je n’aurais jamais dit ça normalement mais là… Son excitation est visible de partout… Je veux qu’elle se rende compte que je l’ai remarqué mais surtout… Que ça m’excite énormément. Quand je la sent se resserrer, je jette mon visage en arrière et l’écoute gémir tout en réclamant que j’y aille plus fort… plus profondément comme si elle attendait de moi plus de brusquerie, me faisant comprendre qu’elle aime qu’on la pousse à obéir… Elle attrape mes doigts et se met à les sucer, me démontrant une fois encore que je suis loin d’avoir tout vu la concernant… J’en veux plus… Toujours plus… Et elle ne s’arrête plus, m’appelle bébé, avoues aimer me sentir en elle… A cet instant, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde et à l’aide de mes mains, poussent son fessier contre ma virilité afin qu’elle me sente davantage, qu’elle découvre que depuis tout ce temps… je n’étais pas encore à fond… C’est à ce moment-là qu’elle me supplie de la faire jouir. J’esquisse un sourire…Elle a totalement capitulé… C’est… grisant…

« C’est d’accord… Mais pas maintenant… Je veux pousser ton plaisir…encore plus loin… »

N’ai-je pas la plus belle parole que je pouvais lui offrir ? Lui expliquer que pour elle je voulais le meilleur ? Que jouir ainsi serait indigne de son corps ? C’est une sorte de déclaration d’amour du monstre Ji Ho à sa chose. Elle réclame alors de voir mon visage… C’est vrai que son regard me manque afin de constater que j’ai réussi mon pari… J’avais dit qu’un jour je retrouverais en elle la lueur qu’elle avait provoqué en moi dans la salle de bain… Elle avait répondu en se moquant… A croire qu’elle m’a sous-estimé. Je la fixe et esquisse un sourire… Je me retire d’elle d’un seul coup et la plaque non pas sur le sofa mais carrément sur le sol… Sur la fraicheur du carrelage que son dos vient recouvrir. Face à moi, je la fixe longuement avant de glisser ma main entre ses cuisses, jouant avec son intimité…

« Tu me veux Babe ? Je veux lire la frustration dans ton regard… »

Je continue à jouer puis retire ma main pour me mettre à genoux face à elle. Je soulève alors ses jambes pour les poser sur mes épaules, utilisant mes mains pour bloquer ses cuisses et la pénètre à nouveau, la fixant droit dans les yeux… Cette fois, elle m’a en entier et j’alterne puissance et rapidité… Elle est tel un pantin que je manipule à la guise mais au final Su Nah… Je fais tout ça pour toi… Je veux que tu ne puisse jamais oublier le plaisir que je t’ai donné… Que ce soit notre petite histoire… Que désormais tu me regarde comme un homme, je veux que désormais quand je franchirais ta porte, tu ressentes en toi cette envie de faire l’amour… Je veux que tu sois comme moi… Que tu partages ce fardeau avec moi.. Comme cela… Nous pourrons nous aider mutuellement… je suis tellement fou de toi si tu savais… Na Rae pourrait te le dire… Après tout… Qui ose dire à une fille qui vous colle les mains sur sa poitrine que votre meilleure amie est divinement belle ? Il n’y a que moi… Parce que je t’aime et que je ne veux plus jamais te perdre…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyJeu 7 Aoû - 16:05

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Avant ça ? Avant ça je n’existais pas. Rien n’existait. Et encore moins quelqu’un capable de me faire autant de bien. Mon cerveau n’arrive plus à réfléchir, mon esprit confus se perd dans les méandres du plaisir. Et je suis incapable de répondre tout de suite à demande. Avant … avant lui ? Je n’en sais rien, je suis presque gênée de devoir lui avouer avoir couché avec d’autres hommes, avoir aimés ça … Le sexe avec Young Ja c’était bon. Il me prenait dans ses bras et je me sentais minuscule mais dieu que j’adorais ça … son torse si finement dessiner que je pouvais sentir onduler sous mes doigts. Je craquais littéralement pour sa force et la sensation qu’il me procurait quand j’étais dans ses bras. C’est peut-être pour ça que j’ai toujours aimé les hommes grands et musclés. Puis il y a eu Rae Won … Le sexe avec lui va au-delà du plaisir … c’est comme un second souffle. Si je perds pied, si je sens mon cœur lâcher, si je me sens seule ou que j’ai peur … j’accours à lui et il m’offre la sécurité d’une nuit. Il me fait l’amour sans se soucier des conséquences. On se faisait du bien tous les deux, on se soutenait à notre façon, on s’aimait quand le monde entier ne nous suffisait plus. C’était une relation dont j’étais totalement accroc je l’avoue … et si c’était cette vérité que voulait entendre Ji Ho … je prendrais le risque de lui dire. Mais j’avais peur de blesser son cœur, du lui faire de la peine en lui avouant que j’avais trouvé, dans les bras d’un autre, un plaisir ardent qui me mettait à genoux …

« Non t’arrête pas ! » lâchais-je sur un ton pressant et presque paniqué. Il n’a pas le droit de s’arrêter, putain ce mec est cruel, ses menaces marches si bien sur moi, surtout quand je le sens ralentir avec son bassin … c’est une torture, une frustration trop difficile à gérer. J’y arrive plus, j’ai plus envie qu’il joue avec moi et j’ai envie qu’il ne s’arrête jamais. Il rend tout paradoxal dans mon esprit. Je dois lutter contre deux extrêmes. Alors je ne sais pas, ça sort d’un coup, d’une voix dur, comme si je voulais lui faire du mal, comme il m’en fait avec ses coups de bassins brusques « Putain il était tellement doué … à me faire grimper au 7ème en un rien de temps … aucun mec ne lui arrivait à la cheville … » et c’est vrai, du peu que j’ai connu c’est lui le plus doué, celui dont je tairais le nom … Il n’est pas obligé de savoir et je crois que s’il me forçait à lui dire le nom maintenant ça gâcherait tout … peut-être qu’après, quand on se sera plus calme, je penserais à lui dire … Mais là je voulais juste qu’il crève de jalousie pour me faire encore plus de bien … c’était vraiment paradoxal comme situation, pas vrai ? J’essayais de le perdre dans son propre piège juste pour que son bassin ne s’arrête pour qu’il continue de me faire mal en me faisant du bien. Je ne sais pas pourquoi j’ai autant besoin de ça … pourquoi ça me plait autant qu’il soit comme ça avec moi … Je crois que c’est surtout de le voir … sûr de lui … Sûr de ce qu’il veut, sûr de me vouloir moi … Ouais je crois que c’est ce qui me touche le plus à cet instant … C’est le voir si … accroc à moi … c’est le voir m’aimer, c’est le voir me donner ce que je veux sans concession, et pour une fois … affronter la vie, sa maladie rien que pour moi … Parce que je sais que là, il ne m’abandonnera pas une nouvelle fois … et c’est ça … c’est ça que je veux quand je le vois me dominer.

Domine moi Ji HO, fait moi mal, autant que tu veux, donne-moi du plaisir, sans jamais t’arrêter et … ne disparait plus … Alors pour reprenant mon souffle je finis par cracher, plaintive « Sauf toi … » Aucun homme ne lui arrivait à la cheville … sauf toi Ji Ho. C’est tellement bon … tellement plus fort, tellement plus … puissant ? Peut-être parce que l’homme que je laisse me dominer et amoureux de moi à en crever ? Parce que l’homme qui me prend à cet instant est un homme que j’aime sincèrement … ? Et peut-être que l’interdit de notre relation nous rend davantage accroc ? J’en sais rien mais faut que je lui dise … « Tu me fais découvrir quelque chose de si … fort. » Je lâche le dernier mot en grimaçant sous le coup de bassin qu’il a délibérément fait plus fort, j’en suis persuadée. J’ai le corps secoué de hoquets, et j’ai le souffle tellement court que ça me brûle dans la poitrine. Mes seins s’écrasent sur la table à tel point que j’ai l’impression de n’avoir que deux hématome géant. Chaque frôlement décuple les sensations et mes plaintes se mêlent à mes gémissements de plaisir. Putain, les voisins vont me tuer je crois … Jamais je n’ai crié aussi fort, jamais je n’ai fait autant de… bruit pour exprimer mon plaisir. Et quand il me dit, la voix pleine de tension, qu’il aime me sentir aussi humide, je souris. Je souris parce qu’il succombe lui aussi et que son contrôle tient à si peu de choses. Il me taquine encore, me provoque et finit par me plaquer au sol.

L’impact est dur et froid. Ça m’arrache un cri. Mais il commence à en avoir l’habitude … il me taquine encore et je ne suis pas sûre de pouvoir tenir d’avantage de temps ; mais je me retiens, pour lui, pour le voir me regarder comme ça encore un peu plus longtemps … « Tu me veux Babe ? Je veux lire la frustration dans ton regard… » Bien sûr que je te veux … Tu ne le vois pas ?! Il glisse mes jambes sur ses épaules et me pénètre à nouveau. Je crispe mes doigts sur le sol comme si ça pouvait me retenir. Je lâche un long soupir en me cambrant pour le sentir en moi. Je ne sais pas s’il a changé quoique ce soit à ces coups de bassins mais la position me donne encore plus de plaisir comme s’il venait taquiner le point le plus sensible de mon anatomie. Putain Ji Ho, tu sais aller là où il faut … Je me tords sous ses assauts et caresse ma poitrine en pressant mes paumes brûlantes contre. « Vas-y bébé … prends moi » susurrais-je en plantant mon regard brûlant dans le sien. Le voir me surplomber, les cheveux mouillés, le corps humide … c’est la vision la plus érotique qu’il m’est était donné de voir … Je souris, pendant une seconde, tendrement me rendant compte de ce que je peux ressentir pour Ji Ho … Je l’aime et ça … personne ne pourrait en douter. Glissant mes pieds sur son torse je passe mes deux mains dans mes cheveux tant je perds l’esprit. J’ondule du bassin, le soulève, assez pour qu’il perde pied. Puis sans prévenir je le repousse. Je donne un coup contre son torse, plus fort que je le voulais … Je m’en veux pendant une seconde et comme si je ne pouvais rester loin de lui plus d’une seconde je me redresse et me cramponne à ses épaules. Je m’assois sur lui en le retenant dans mes bras dans une étreinte, étrangement tendrement après la folie qui nous prenait. Mais je veux me faire pardonner, mon coup de folie … et si je lui avais fait mal hein … ? Peut-être que ma fougue était de trop …mais s’il savait combien il me rend folle … je n’arrive même plus à me contrôler …

« Tu veux bien faire quelque chose pour moi bébé ? » murmurais-je contre ses lèvres en lui volant une multitude de baisers comme pour l’empêcher de me repousser … Caressant sa joue et reprenant mon souffle, je nous accorde juste un instant de répit, juste un avant de plonger mon regard dans le sien et caresser sa lèvre du bout du pouce … « Je t’aime … idiot. » j’avais comme un besoin de lui dire, de lui dire que je l’aime alors qu’il me fait l’amour … Pourquoi maintenant, je n'en sais rien, c'était juste ... un besoin. Et le idiot … le idiot c’est pour toutes ces fois où nous avons manqué notre chance. Mais ce n’est pas un reproche, j’ai même un sourire doux sur les lèvres en prononçant ces mots … Je l’embrasse doucement alors que je sens son cœur qui bat vite contre le mien. Je l’embrasse parce que j’en ai envie, je l’embrasse parce que je ne veux pas qu’il ne réponde … pas tout de suite ... Pas maintenant … « Allonge-toi … » soufflais-je. Et j’appuie sur son torse pour le faire plier à mes exigences … Je te supplierais plus tard Ji Ho pour l’instant laisse-moi juste t’offrir du plaisir à l’état pur. Je me relève, debout, le surplombant j’esquisse un sourire taquin derrière mes cheveux qui tombe en cascade et sans rien dire je lui tourne le dos. Je sais que je suis celle qui a réclamé son visage, et il est celui qui veut croiser mon regard quand il me met dans une douce transe. Mais j’ai envie … de faire ça avec lui … pour le rendre un peu plus fou. Je m’accroupis à la hauteur de son bassin et m’empale sur lui d’abord doucement … Puis je soulève mes fesses pour commencer des va et viens danses … Je lui offre ainsi une vue imprenable sur mon bassin qui ondule et qui bouge dans un rythme frénétique … je me laisse tomber à genoux et m’empale sur lui jusqu’à la garde en rejetant la tête en arrière … Mes soupirs se font plus rauques et mes gémissements plus fort … promis après je resterais sage Ji Ho … mais pour l’instant … laisse-moi t’offrir ca …




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyJeu 7 Aoû - 18:00

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Il y a quelque chose que je me dit depuis tout à l’heure… Après ça… Elle et moi… Pourra-t-on se passer l’un de l’autre ou nous arrivera-t-il de sombrer à nouveau en ne pouvant nous empêcher de repenser à cette expérience mais surtout… Celle-ci ne va-t-elle pas briser le plus gros tabou que nous avions l’un envers l’autre ? Parler de sexe… Cela ne nous a jamais arrivés, c’est un sujet que l’on se refuse depuis toujours… Comme pour ne pas se blesser en disant à l’autre que c’est dans d’autres bras que nous avons trouvé un plaisir plus important parce qu’à l’époque nous n’étions que des débutants. Désormais, puisque ce soir, dans cette violence, nous vivons tous deux la meilleure expérience de notre vie, parler des autres ne deviendra-t-il pas amusant ? Comme pour se dire ce qu’on a vécu… Ou on l’a fait tout en sachant que rien ne vaudra ces instants qui n’appartiennent qu’à nous… C’est pour cela que je prolonge une discussion entamé dans la baignoire… Je veux savoir ce qu’elle considérait avant ce soir comme son meilleur coup mais… Vous connaissez Su Nah, obtenir la réponse que vous souhaitez, n’ai jamais chose facile. Sans mauvais jeu de mot, elle a besoin de la carotte pour avancer et quand je la menace, elle semble supplier de ne pas m’arrêter, comme si sincèrement… j’étais capable de mettre ma menace à exécution avec l’excitation qui me gagnait de plus en plus. Je peux ralentir et c’est ce que je fais… Elle commence alors en jurant, comme si s’en souvenir l’excitait davantage, elle m’explique alors que ce type savait l’emmener au septième ciel comme personne, qu’aucun autre type ne lui arrivait à la cheville. J’ai envie de l’étrangler pour qu’elle lâche un nom, mais en même temps, entendre ma Su Nah évoquer pour la première fois sa sexualité m’excite comme un dingue, à croire qu’elle commence à me plonger dans le même état qui est le sien pour se rebeller. Je murmure doucement, même si mes yeux semblent la haïr alors que ma voix semble la désirer et l’aimer comme le fou que je suis.

« Racontes moi… Je veux savoir comment il t’a prise… Combien il t’excitait… Plus de tabou entre nous… A moins que tu ne veuilles vraiment que je ralentisse encore… Moi qui gardais tellement de forces pour plus tard… »

Comme pour lui montrer mais surtout pour évacuer ma rage d’avoir été relégué à la place de second voir plus bas encore durant ces sept années, je m’active davantage, mes coups de bassins sont plus profonds comme pour la faire crier, comme pour lui rappeler que je peux lui offrir d’autres moments comme celui-ci pour ne plus être que le premier mais prendre l’intégralité des places du podium. Oui, je veux être son alpha et son oméga, je ne veux plus qu’elle voit le sexe comme imaginable avec d’autres hommes, que ses amants créés en elle l’ennui… Que ce soit mon visage qui apparaisse quand elle sentira l’orgasme venir…  Su Nah… on n’est pas un couple, on est tellement plus… Laisses moi empoisonner tes rêves… Que tu te réveilles en pleine nuit avec pour seule envie que de te retrouver dans mes bras… Oui… A travers ma bestialité, c’est ça que je veux pour toi Su Nah et tant pis si c’est égoïste… Pour une fois.. Je veux penser à moi car de toute façon.. . Tout ce que je viens d’évoquer… existe déjà en moi te concernant… C’est là qu’elle lâche ses deux mots comme pour continuer cette phrase qu’elle n’a pas terminé… Personne ne lui arrivait à la cheville… Sauf moi… Ses mots m’électrisent… Si elle voulait reprendre le pouvoir, elle pourrait agir maintenant mais… Je crois bien qu’elle est domptée… Elle avoue vivre quelque chose qu’elle ne connaissait pas… Que ça puisse être si fort…

«  C’est toi… Ton corps… Ton regard… Tes mots… Je veux que tu m’appartiennes… Et si je suis ainsi c’est parce que je veux te donner tout ce que j’ai… Alors maintenant… Fais ce que je te dis… Et prend ton pied ! »

J’ai failli sombrer dans la douceur mais ma dernière phrase prouve que je suis un dominateur… Du moins, que j’ai réussi à le rester parce que là, j’ai failli céder… D’autant que l’entendre me demander si elle est assez serré me plonge un peu plus dans cet état de transe… A force d’en avoir fait un tabou pendant sept ans, l’entendre parler ainsi de sexe transforme Su Nah non plus en déesse de la luxure mais carrément en créatrice… Je lui dis qu’elle est parfaite mais ça, elle le sait, elle sourit comme pour me faire savoir que me plaire est ce qu’elle cherche. Pourtant ces instants où l’on se complimente ne durent pas… Contre cette table elle est mon pantin et je ne fais plus attention à rien… juste à ses gémissements qui font trembler les murs… Elle supplie, en réclame davantage pour finalement me demander de lui faire l’amour les yeux dans les yeux.

Pour seule réponse, elle se retrouve contre le sol avec ma main entre ses cuisses remplaçant mon sexe, je la frustre et le lui dit clairement, elle tente de se retenir et quand je décide qu’elle s’est bien battu contre elle-même, je soulève ses jambes, les posant sur mes épaules avant de la pénétrer à nouveau. Elle lâche un nouveau soupir, se cambre et… C’est à ce moment que je perds le fil… En l’entendant de nouveau m’appeler bébé, me demandant de la prendre alors qu’elle se caresse les seins. Elle doit sentir que malgré la puissance de mes coups de bassin, je ne tiens presque plus ses jambes lui laissant certaine liberté qu’elle n’avait pas depuis qu’elle a fini contre la table.

« Te voir te caresser la poitrine… C’est…orgasmique… »


Elle fait ça tellement bien, ses paumes contre son téton… Je la dévore des yeux, m’imagine la regarder faire cela par l’embrasure de la porte… Me rêvant à la surprendre un jour en train de se faire du bien seul dans ce grand lit… Je cherche alors à la posséder de nouveau… C’est trop tard, ses jambes commencent déjà à glisser de mes épaules. Elle soulève son bassin, ses mains dans ses cheveux, je jette ma tête en arrière sous l’avalanche de plaisir que son corps mais surtout son regard, m’offre. Elle me repousse alors violemment, nous détachant… Elle se redresse brutalement et accompagne ma chute contre le froid du carrelage qui me fait frissonner. Elle vient alors s’assoir sur moi, faisant mine d’ignorer mon sexe alors que je sens l’humidité de ses cuisses se répandre sur ma peau. Elle me prend dans ses bras, m’embrasse, je ne peux la repousser, je suis trop perdu dans mes envies et à  cet instant, je serais prêt à la supplier de me prendre en elle. Contre mes lèvres, je frémis en l’entendant m’appeler de nouveau bébé. Incapable de retrouver ma domination, je murmure quand elle me demande si je peux faire quelque chose pour elle…

« Tout ce que tu veux… »

Ce n’est pas l’enfant Ji Ho qui parle, c’est la bête qui vient de trouver un animal plus puissant que lui et qui n’a d’autre choix que de calmer ses ardeurs s’il ne veut pas finir dévorer. Elle me fixe… caresse ma lèvre de son pouce…me dit qu’elle m’aime et que je suis un idiot. J’ai envie de lui répondre mais comme moi avant elle, Su Nah s’arrange pour m’en empêcher, me faisant comprendre que le jeu à changer de main et que je pourrais parler quand elle le décidera… Son baiser est une sorte de « tais-toi et embrasse-moi »… C’est tout à fait ça… Et pourtant, nos langues jouent l’une contre l’autre avant qu’elle ne m’ordonne de m’allonger, pressant mon torse pour m’y forcer. Elle se lève alors… A trop chercher à la frustrer voilà qu’elle se barre ! Du moins, elle me tourne le dos alors que je me rends compte qu’elle a un postérieur de dingue et que la prochaine fois que je la vois avec un jean moulant, il faudra que je n’en perde pas une miette. Elle s’accroupit alors d’un seul coup, commençant à nouveau à s’empaler sur mon membre avec beaucoup moins d’intensité comme pour repousser le plus loin possible l’orgasme. Le pire, c’est que je ne peux rien faire, mon corps ne répond plus, il a besoin d’accepter son retour, d’accepter le fait qu’elle est enfin là… Que je suis à nouveau en elle… Pourtant, je pousse un cri… le premier quand elle vient me prendre en elle jusqu’à la garde avant de commencer à se déchainer comme si sa vie en dépendait le long de mon membre. Elle jette à son tour sa tête en arrière, comme prise dans une transe plus violente que précédemment… Elle gémit comme une folle, toujours plus fort, se donnant du plaisir par elle-même alors que je regarde son fessier bouger avec tant de dextérité…

« Putain… T’arrête pas… Continues…oui…comme ça… »

Elle me rend fou avant qu’une gène n’apparaisse en moi… On a déjà expérimenté cette position d’une manière bien plus douce quand mes muscles ne pouvaient rien supporter il y a sept ans… A l’époque, je la laissais prendre son plaisir sans bouger, lui murmurant des « je t’aime.. » a la différence qu’elle était dans l’autre sens. Comme si ce souvenir pourtant mignon comme tout me donnait à nouveau une force, j’arrive à me relever doucement. Elle ne se rend pas compte que je suis désormais presque assis et non plus allongé. Je colle alors d’un coup mon corse contre son dos et la laisse continuer à s’amuser alors que je viens prendre ses seins en mains, les pressant avec force.

«  On doit pouvoir te faire crier bien plus fort que ça… Désolé bébé… Mais il va falloir partager ton pouvoir… »

Je passe ma langue dans son cou, sur sa nuque puis vient lui mordiller le lobe de l’oreille, gémissant contre celle-ci, murmurant lentement…

« Je t’aime… Soumise de mon cœur… »

J’esquisse un sourire et la bloque alors pour qu’elle ne puisse plus bouger… C’est à mon tour de la repousser pour qu’elle se retrouve à quatre pates sans ma virilité en elle. Je me lève alors, la regardant de haut dans cette position et lui prend le bras pour qu’elle se relève également. De là, je presse ses épaules et avance avec elle jusqu’à la plaquer contre le mur. Je prends alors ses jambes et lui fait signe de les glisser autour de moi. Elle s’enroule alors autour de mon bassin. Désormais je la porte et la plaque un peu plus contre le mur avant de la pénétrer à nouveau brutalement, y allant avec vitesse et précipitation, la maintenant contre le mur… Nos visages se rapprochent, nos front se collent l’un à l’autre alors que mon regard se reflète dans le sien.

«  T’as perdu ta langue ? Je veux t’entendre… Parles moi bébé… C’est le pire des aphrodisiaques qui soient… T’entendre parler de sexe… »

Ce n’est pas un conseil, c’est un ordre… Après tout, cette position ou tous mes muscles sont en action pour la garder en hauteur, elle m’est impossible en théorie, elle est dangereuse. Si l’une de mes articulations lâche… C’est direct à l’hôpital… jamais personne n’y aura le droit… Il n’y a qu’elle… Parce que prendre ce risque c’est la plus belle preuve d’amour que je peux lui donner : risquer ma vie pour lui en donner plus… Risque tout parce que ça m’excite. Risquer tout parce que si je dois mourir, me savoir en elle sera la plus belle chose qui me soit arrivé sur cette terre.

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyVen 8 Aoû - 3:20

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


On arrive jamais à se comprendre au bon moment. On arrive jamais à être en accord tous les deux. Il y a toujours ce décalage qui nous tue. Celui où quand l’un veut partir l’autre ne sait pas le retenir. Et quand l’autre veut revenir, l’autre … n’est pas prêt. On n’a jamais réussis à se mettre d’accord. Tu sais je repense à tout ce qu’on a traversé tous les deux et nous sommes si liés depuis tellement d’années que c’est presque dur de trouver un souvenir où tu n’es pas là. Je repense à toutes ces fois où on s’est tourné autour, toute nos premières fois, tous nos moments ensemble, si bons et si … innocent. On était fou, accroc à la vie, accroc aux sensations qu’on pouvait se fait découvrir. Tu te souviens de cette course de caddy. Putain, quand j’y pense t’aurais pu mourir à chaque fois. Et pourtant … t’es là, dans bras et tellement oui … tellement vivant et putain si tu savais comment ça me fait perdre la tête ça. J’aime te voir comme ça, j’aime te voir tout me donner comme tu le fais … tu me donnes tout pas vrai, tout … Je n’arrive pas à m’y faire, à y croire. C’est tellement bon, presque dérangeant … Je le sais, je ne mérite pas ça, je ne mérite pas ton amour, je ne mérite pas que tu te donnes à moi ainsi … et pourtant. Entre nous il y a des hauts et des bas, j’en ai le vertige, ça me fait perdre la tête et je ne sais plus comment m’accrocher. J’ai envie de sombrer là où tu m’emmènes. Je pourrais te donner tout ce que tu veux Ji Ho … demande moi de partir au bout du monde je le ferais … Demande moi de te suivre, j’irais là où tu voudras. Parce que nous c’est ça, depuis le début, jusqu’à la fin. En grandissant nos chemins se sont éloignés, juste un peu, juste assez pour qu’on en souffre mais qu’on continue de s’aimer …

J’ai jamais cru qu’on pourrait se séparer autant, qu’une personne pourrait mettre autant de distance entre nous. Mais tu sais, chaque fois que tu étais loin de moi, ou que j’étais loin de toi, tu me manquais. Tu me manquais terriblement. J’étais mal sans toi, mal sans ta chaleur, sans ton rire, sans ton sourire, sans ton regard, j’étais mal sans ton humour, sans tes taquineries. C’est un fait, même amoureuse d’un autre il y a toujours cette place dans mon cœur que tu prends. Et je ne sais pas si je serais capable de m’en défaire un jour. Je t’aime trop pour ça je crois Ji Ho. Mais peut-être que Young Ja était peut-être pas le bon ? Après tout … si j’ai décidé de tourner la page sur toi c’est parce que je te voyais heureux sans moi. Heureux dans les bras d’une autre … Mais j’ai vraiment aimé Young Ja tu sais. J’ai vraiment aimé cet homme comme tu as sûrement du aimer ton ex. Mais c’était tellement différent avec lui … Je n’aurais jamais pu lui donner une part de moi, je ne l’aimais pas au point de crever pour lui, je ne l’aimais pas au point de tout foutre en l’air pour lui … Pour toi je crois que j’étais capable de tout … vraiment de tout … Et j’ai voulu te le dire, j’ai voulu aller te trouver pour te le dire. Te le dire que je t’aime à en crever Ji Ho mais je n’ai pas réussis à descendre de ma voiture. Je suis restée devant chez moi, le cœur lourd, la peur au ventre et j’ai attendu. J’ai attendu comme si le destin allait m’apporter une réponse. Et finalement je t’ai vu sortir de chez toi, en croisant une voisine surement et tu lui as tenu la porte. Si tu voyais son regard JI Ho … ça crevait les yeux qu’elle craquait pour toi.

Mais tu n’as rien vu. Comme jamais. Le nez plongé dans ton téléphone tu m’envoyais un sms pour savoir si j’avais bien dormi. C’est con. Ça aurait pu être ça mon signe. Tu pensais à moi quand d’autres femmes te regardaient amoureusement. Mais je n’ai pas pu. Je n’ai pas pu descendre de ma voiture et te dire que je te voulais. Parce que j’ai eu peur, peur que tu finisses par me repousser à nouveau. Je ne pourrais pas le supporter à nouveau. Alors j’ai démarré et je me suis partie. Juste comme ça. Je ne t’ai pas parlé de la journée et j’ai prétexté avoir oublié mon téléphone à la maison en partant bosser.


Ca me dégoute presque cette façon qu'il avait de tant vouloir savoir comment on m'avait sauté. Il voulait quoi ?! Avoir l'image d'un autre me prenant sauvagement pendant qu'il me saute ?! C'est ça que tu veux ji ho ?! "Tu veux savoir quoi ?!" lâchais-je énervée contre lui et en étant pourtant esclave de ce que je ressentais " Qu'il ma prise contre le bar de sa cuisine ?! Qu'il était bon ... terriblement bon et et que ses coups de bassins ... Han ! " un gémissement brusquement s'échappe de mes lèvres. "Il m'a fait jouir Ji Ho ... Il m'a fait crié son nom .... " C'est méchant vous croyez de lui dire tout ca hein ?! C'est méchant de craquer et de lui cracher ça parce qu'il m'a prise au tripes ?! Putain il devrait pas penser à ça ... pas alors que je lui dit qu'il est tellement meilleur que cet instant là ... Aujourd’hui regarde-moi … Je te dis que je t’aime, et je te fais l’amour en me laissant me dominer avec plaisir … « Putain… T’arrête pas… Continues…oui…comme ça… » T’entendre gémir sous moi fait gonfler mon cœur d’une fierté non feinte. J’aime voir que je te fais autant d’effet et je te l’avouerais sûrement jamais mais c’est ta voix qui me donne autant de plaisir. C’est vrai, c’est ta main sur mon corps, c’est tes gémissement fébriles et tes suppliques. J’ondule pour toi Ji Ho, rien que pour toi. Et quand tu te redresses en attrapant ma poitrine entre tes mains je lâche un gémissement de plaisir. Mes mouvements se font plus saccadés et plus difficile à faire. J’ai mal au cœur mais je continue alors qu’il se saisie de mon corps comme d’un jouet. C’est mal, pourtant je suis celle qui a lancé l’idée la première, mais je craque quand il m’appelle bébé. J’ai l’impression d’être … sa petite femme. Son amoureuse, son bébé … C’est possessif, c’est comme si il voulait … que le monde entier sache que je n’étais qu’à lui. Et j’aime le croire … au moins ce soir. Et s’il veut partager le pouvoir … je lui rends. J’arrive plus à me battre. Je capitule. Je crois qu’il vient de me découvrir une nouvelle zone érogène. C’est vrai, jamais je n’ai autant pris plaisir à sentir quelqu’un m’embrasser la nuque et me mordiller le lobe. D’ordinaire je déteste ça. Mais ce soir … J’aime tout ce qu’il me fait. Tout.

« Je t’aime… Soumise de mon cœur… » Je ne sais pas ce qui me plait le plus … son je t’aime ou le soumise … Les deux me rendent dingues … Parce que je n’ai honte de rien, j’assume, je sais, je suis soumise à ses désirs et j’ai beau fanfaronner, faire celle qui veut contrôler. Je ne contrôle rien, pas même mon propre désir qu’il me vole. Putain je deviens dingue … il me repousse et je me retrouve à quatre patte. Je n’ai même pas la force de me relever. J’ai le souffle court et je ne vais plus tenir très longtemps … Pour dire vrai j’ai faillis jouir plus d’une fois mais je repousse mes limites du mieux que je peux … changer de positions m’aide à tenir mais je le confesse … la prochaine sera la bonne. Il m’attrape par le bras et me plaque contre le mur. Merde, je kiff quand il se comporte avec moi comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon. J’ai plus la force de bouger mais quand je le vois m’intimer d’enrouler mes jambes autour de son bassin, j’ai une seconde d’hésitation … Parce que dans notre folie j’ai un éclaire de lucidité … je n’ai pas envie de le blesser … vraiment je veux dire … Mais il ne me laisse pas le choix, comme s’il voulait que je le laisse aller jusque-là … alors je lui donne ce qu’il veut et je me hisse sur lui pour m’accrocher à ses épaules. Il me plaque contre le mur et ses coups de bassin reprennent alors qu’il s’enfonce en moi avec une facilité déconcertante. Oh oui je suis humide bébé … rien que pour toi. Ses coups de bassins sont si bons. J’adore cette position, elle est brusque et maladroite mais les coups qu’il m’assène me font quitter la terre ferme. Je frissonne.

Et quand il m’incite à lui parler de sexe je souris en coin … il aime donc tant que ça que je lui dise ces petits mots crues,  hn ? « Pourquoi … Pourquoi tu veux que je te parle de sexe bébé, hn ? Ça t’excite de savoir que t’es le mec le mieux membré avec qui j’ai couché, hn ? » Même si avec toi je fais l’amour Ji Ho, mais devoir faire cette distinction maintenant ne me semble pas utile. « Ça t’excite de voir que je mouille avec toi bébé … » je viens capturer ses lèvres en les mordillant. Je ne suis pas sûre de ce que je dis, j’affiche un air fier et sûr  de moi pourtant j’ai l’impression de ne pas dire les choses qu’il faut … « Oh putain Ji Ho … » lâchais-je dans un râle « Pourquoi t’as attendu tellement de temps avant de venir me faire l’amour, hn ? Je t’ai attendu putain … je t’ai attendu et je rêvais de toi … de ton corps et de … putain ! » Couinais-je en sentant son membre entrer en moi plus loin encore qu’il n’est pu le faire jusqu’à maintenant … « Fait moi crier bébé … comme aucun autre n’a pu me faire crier … » Je capture ses lèvres dans un baiser sauvage et avide. « J’ai envie de jouir … » gémissais-je dans une plainte … Je le préviens, je le préviens que je suis en train de craquer. Et pendant un quart de seconde je pense à ces trainées qu’il s’est fait, et le plaisir qu’il a pu leur donner alors dans un éclat de jalousie possessif je lui tire les cheveux en arrière pour lever son visage vers moi et lui crache, autoritairement « Dis-moi que je ne suis pas comme ces chiennes que t’a sauté. » C’est comme si je n’étais pas capable de me défaire totalement de mon envie de pouvoir … mais dans le fond, Ji Ho, c’est juste que je suis une femme fragile qui a envie d’être rassurée … alors ouais, dis-moi que je ne suis pas comme les autres …





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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyVen 8 Aoû - 9:00

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Ma vie est un éternel recommencement, quand je prends l’autoroute du bonheur, je tourne toujours au mauvais croisement et termine sur la terre battu. Il y a d’abord eu Su Nah que j’ai quitté pour son bonheur et qui finalement… sept ans après, m’aime toujours tandis qu’elle est devenue au fur et à mesure un fantasme vivant… Et puis Su Ah à qui j’ai préféré mentir pour ne pas qu’elle ait pitié de moi et qui pensait du coup que je la trompais… Je comprends sa réaction… Même si je déteste avoir vécu pareille rupture tant je l’aimais… Dans ces deux cas, j’aurais pu éviter une telle sortie de route, je pourrais être heureux et en couple avec l’une des deux et au lieu de cela… La solitude me pèse et je suis incapable de tourner la page. Je pensais que faire l’amour à Su Nah calmerait ma lubie mais pourtant, je sais qu’après ce que l’on est en train de vivre à présent… J’aurais besoin de recommencer mais elle aussi… J’ai réveillé une Su Nah lubrique, perverse, adepte d’un sexe brutal, dominatoire et je sais qu’ présent, lorsque l’un de nous n’en pourra plus… nous verserons à nouveau dans cette bestialité si jouissive. A cause des relations sexuelles que nous avons eues il y a sept ans, j’imaginais qu’elle était restée sage mais je ne peux m’empêcher de me dire que lorsqu’un homme l’a prise ainsi, elle s’est dit qu’avec moi, elle n’avait en réalité jamais connu le véritable plaisir. Et si je veux en savoir plus sur cette ancienne meilleure fois, c’est pour m’assurer de quelque chose… Avec Young Ja elle a dû vivre des moments doux et intense mais celui qu’elle retient… C’est un coup… Un moment violent, car oui Su Nah n’est pas la petite princesse que j’imaginais, c’est le sexe hard qui la fait vibrer réellement… Je m’en rends compte et soudainement… je veux être celui qui m’occupera d’elle et de sa sexualité jusqu’à ce qu’elle se trouve quelqu’un de bien. Ressortir ensemble n’est pas possible, elle s’y opposera de tout son cœur… Nous avons laissé passer notre chance mais on peut faire semblant n’est-ce pas ? Croire que c’est possible… Que le « nous » peut réapparaître… Je suis le maître de ton cœur… Mais comprends-moi Su Nah… ça ne me suffit plus… J’ai cédé aujourd’hui comme j’en rêvais depuis si longtemps… Je veux posséder tes sentiments, ton plaisir et tes envies… Alors par pitié…Ne me rejette pas lorsque le soleil se sera levé…

Elle accepte enfin de me raconter mais seulement parce que je la menace. Elle me demande brutalement ce que je veux savoir et semble alors décidée à se venger de la forcer à répondre, son ton est hautain quand elle avoue qu’il la prit contre le bar de la cuisine… Que e type est bon… Qu’il a été terriblement bon… Elle semble vouloir décrire mais s’arrête en gémissant… est-ce mes coups de bassin ou le souvenir des sensations que tu ressentais quand il te sautait ? Elle ajoute qu’il l’a fait jouir, qu’il l’a fait crier son nom. J’accélère alors brutalement tout en cherchant ses lèvres et murmure… Avec une puissante excitation dans la voix…

« Tu as déjà crié le mien plus d’une fois… Mais si je voulais savoir c’est pour être certain de ce que je vois… Ce n’est pas la douceur qui te fait vibrer… Tu sais Su Nah… On pourra remettre ça quand tu le voudras… Tu n’auras qu’à me demander mais si jamais c’est la seule fois que tu t’offres à moi ainsi sache juste que… Si j’ai craqué c’est parce que je vois ton visage quand je couche avec une autre… »

C’est qu’il se passe dernièrement, je pensais que cela changerait avec Na Rae mais non… Et désormais, ce que je veux lui dire c’est que si je voyais son visage alors qu’auparavant nous avions fait l’amour comme des débutants comment pourrais-je désormais faire ? Ainsi, je pense un peu trop alors que je la prends au sol, elle ne tarde pas à le remarquer alors qu’elle se caresse sous mes yeux devenant un véritable objet de luxure et reprend le pouvoir en venant s’empaler sur moi, se refusant à me montrer son regard, m’offrant la vue de son bassin se déchainant contre mon membre. Je me redresse alors, nous offrant un statut quo alors que mes mains s’écrasent sur sa poitrine comme lorsque tout a commencé, dans sa baignoire ou elle a voulu que je caresse ses seins, ce qui a déclenché ce qui se passe ici dans cette salle à manger. Elle était surprise que je réussisse à l’exciter, à cet instant, j’aurais dû comprendre que c’est ainsi qu’elle aime faire l’amour… Elle m’a dit que ce soir dans son lit j’avais été parfait… Je pense qu’elle me signifiait que comparé à d‘habitude c’était bien mais que j’ignore qu’elle a besoin de plus… Alors je l’appelle « bébé » car maintenant je suis digne de lui faire l’amour et reprend peu à peu le contrôle lui murmurant que je l’aime… Qu’elle était ma soumise. Elle en frémit, je choisis ce moment bien précis pour la repousser et me lever alors qu’elle semble incapable de bouger, toujours à quatre pattes sur le plancher, son regard appelant à recommencer ce que l’on avait fait contre la table mais ne t’en fais pas Su Nah… Je suis quelqu’un qui ne manque pas d’idées…

Je l’emmène avec moi, la relève et la plaque contre le mur, lui demandant d’enrouler ses jambes autour de moi… Elle hésite, je la regarde sévèrement… Qu’elle fasse ce que je lui dise… C’est moi qui décide ce que je veux faire de mon corps, pas elle ! Et si pour elle je veux prendre ce risque alors qu’elle me saute dans les bras et qu’elle en hurle à réveiller les voisins sur un rayon d’un kilomètre. Elle me grimpe littéralement dessus, s’accrochant à mes épaules… Putain qu’est-ce que c’est bon de la pénétrer, c’est véritablement le moment que je préfère… Et puis… C’est si facile… Je veux qu’elle me parle, je veux entendre cette voix si pure perdre le contrôle et tandis que son dos ne cesse de s’écraser contre le mur, elle se fait sauvage dans ses paroles…le mot « sexe » entre ses lèvres pourrait me faire jouir à lui seul. Et là… C’est presque plus que je ne peux l’accepter dans le sens ou à chaque fois que je l’entends, je me fais encore plus brusque… Savoir que je suis le mieux membré de mes partenaires est jouissif… Je ne réponds rien, me contentant de la fixer dans les yeux alors que je lui fais l’amour encore et encore… Ses « bébés » s’enchainent… Alors qu’elle me demande si ça m’excite de la voir mouiller pour moi…

« T’as pas idée… Je t’ai jamais vu ainsi et cette Su Nah me rend dingue… Elle….Elle m’excite… Bordel… T’as pas fini de mouiller amour… »

Un autre surnom qu’elle ne connaissait pas… Bébé ne me suffit plus… Comme pour ses paroles, il faut aller crescendo. Elle m’embrasse alors de tout son saoul, jure à nouveau me demandant pourquoi j’ai attendu si longtemps pour lui faire l’amour, qu’elle voulait cela depuis longtemps, qu’elle rêvait de moi, de mon corps. Comment aurais-je put m’en douter ? Peut-être par sa tenue vestimentaire de ces derniers temps où elle enchainait décolletés, minijupes, push up, soutient gorges apparents… Voulait-elle que je la regarde, que je la désire ? Alors…

« T’as jamais perdu ton short en coton n’est-ce pas ? C’est ça que tu voulais dire quand tu m’as dit avoir choisi ce décolleté pour moi… Putain Su Nah… Tu hantes mes rêves depuis des années… Je me réveille en sueur et je te vois t’éloigner… Alors… On remettra ça… Ton corps est à moi… Tes gémissements m’appartiennent et tes mots font partie de moi… Continues bébé… parles encore putain t’es une sirène qui m’envoute au son de sa voix… »

Je ne pensais pas pouvoir lui faire plus de bien que je ne le lui faisais déjà, mais mon corps est surprenant, comme si, les économies de mouvement que j’avais fait depuis près de 20 ans s’étaient accumulés et me permettait de donner plus que tous ses amants réunis. Le mur tremble, j’espère qu’il est porteur sinon on va se retrouver chez le voisin. Elle me demande de la faire crier comme aucun autre… J’esquisse un sourire alors qu’elle m’embrasse à en perdre la raison, Elle me dit vouloir jouir… J’y vais alors plus brutalement, à chaque fois jusqu’à la garde.

« Je te l’interdit… Ce mur… Ce n’est pas ici que tu vas jouir… Mais dis-moi bébé… Raconte-moi tes rêves… Quand tu penses à moi… Excites moi encore… Fais-moi crever d’envie… »

Et puis comme-ci la Su Nah dominatrice ressortait d’outre-tombe, elle m’attrape par les cheveux et tire, son regard est glacial, haineux, jaloux alors que mon sexe glisse toujours en elle plus lentement mais toujours avec la même intensité… Elle me demande ou plutôt m’ordonne de lui dire que je ne suis pas comme les chiennes que j’ai sautées… Hm… Cette parole est plus surprenante mais encore plus excitante que les autres, l’entendre être vulgaire et jalouse me donne envie de la violer sur place alors je la fixe, ralentissant mes mouvements de bassins, me reculant, risquant de me retirer pour m’enfoncer d’un coup en elle avant de recommencer encore et encore…

« Déjà, t’es pas une chienne et je te saute pas… Je te fais l’amour… Tu veux tout savoir ? Il a peu, une fille était en sous-vêtement sur moi, posant ma main sur ses seins… Je lisais le désir dans son regard et pourtant… Je lui parlais de toi… De cette obsession que j’avais pour toi… Lui disant combien tu es belle… Alors tu voulais savoir la différence entre toi et les autres ? T’es mon fantasme vivant, ton corps m’obsède, bordel… Ton regard… il n’y a que toi… Je couche avec d’autres pour t’oublier mais ça ne marche jamais… Je rêve que ce soit toi… Que toi… Je pensais que te faire l’amour me ferait passer l’envie… Mais c’est pire maintenant... Comment vais-je faire si demain tu me repousses ? Tu es ma vie… »

En parlant de sexe je lui faisais la plus belle des déclarations d’amour, pourtant je ne voulais pas parler de demain mais je suis obsédé par elle… Il nous faudra recommencer… Je veux la prendre à nouveau, connaitre sur le bout des doigts son corps, savoir qu’elle visage elle fait juste avant de jouir… L’entendre me parler avec autant de vulgarité… Oui… Je me suis pris moi-même dans le plus odieux des pièges. Pourtant, je m’enfonce une dernière fois et pose mes mains sur ses fesses pour la maintenir et la retire du mur, la portant avec moi jusque dans la cuisine. D’un geste, j’éteins le four et me dirige vers le plan de travail. D’un geste brutal, j’envoie tout valser sur le sol à l’aide de mon bras et l’installe à l’endroit même où je lui ai léché les seins plein de chocolat tout à l’heure, exactement dans la même position. Une main sur un sein, l’autre sur sa hanche, je la pénètre à nouveau tout en la fixant avec envie… Elle me surplombe de sa hauteur, une vision plus hot que jamais…

« C’est ici que tu vas jouir my love… A moins que tu ne préfères finir sur le bar… Dis-moi… Je veux assouvir ton plus grand fantasme… »

Oui… J’évoque ce qu’elle à fait avec l’autre, intérieurement je veux remplacer son visage par le mien. Je lui ai tout dit… Combien elle m’obsède, j’ai évoqué une femme… Je lui aie dit la vérité. Su Nah… Tu me dis que j’ai trop attendu pour te faire l’amour mais si tu savais ce qu’il en est pour moi… Ce type était bon tu m’as dit ? Te rends-tu compte que pendant qu’il te prenait violemment et que tu hurlais son nom, moi j’attendais ton sms en pensant à toi ? Me disant que peut être qu’un jour… C’est toi qui viendrais à moi…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyVen 8 Aoû - 17:11

[quote="Cho Su Nah"]
Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


Remettre ça ? Encore … Si mon esprit m’assurait que c’était une mauvaise idée, que cette nuit devait être unique, que c’était une occasion pour nous de se dire au revoir, je ne pouvais m’empêcher de frémir à l’idée d’avoir à nouveau du sexe sauvage avec lui … Sans qu’on ne le planifie, sans qu’on ne s’y attende. Et c’est ça qui me rendait folle et qui me grisait. Alors ouais, je crois que je crèverais pour qu’on remette ça …. Je sais déjà que je vais le fuir demain et peut-être même le jour d’après … Parce qu’il va me falloir un temps avant de pouvoir à nouveau le regarder dans les yeux sans ressentir tout ce qu’il me fait là … merde je le découvre sous un nouveau jour et ce Ji Ho la plait … C’est le Ji Ho que j’ai toujours cherché à faire sortir ! C’est celui qui prends des risques, qui se fout du reste et qui pour son plaisir et pour m’en donner. C’est celui qui assume, qui assure et qui ne rêve que de devenir un putain d’homme dont je serais accroc. Et je le suis Ji Ho, je suis accroc à toi, je l’ai toujours été.  Et tu vois, c’est cet homme-là que j’aurais voulu avoir le jour où tu m’as laissé, c’est cet homme sûr de lui qui est prêt à tout pour me rendre dingue, pour me mettre à genoux devant lui … et quand il réussit à me faire capituler, il ne lâche rien, il continue, jusqu’à m’achever, parce que de me voir aussi soumis le met en transe … Pourrait-il jouer avec une autre ? Pourrait-il se forcer à atteindre une telle limite au paroxysme de son désir pour le plaisir ? Je le détesterais s’il osait le faire … vraiment.

Sache juste que… Si j’ai craqué c’est parce que je vois ton visage quand je couche avec une autre… Ça me fait mal … Putain Ji Ho ça me fait tellement mal de t’entendre me dire ça. J’ai l’impression qu’on a tout foiré tous les deux, j’ai l’impression qu’on est passé à côté de quelque chose. Enfin ce n’est pas qu’une impression. C’est le cas. On a raté Ji Ho. On a raté le coche et je n’ai pas envie d’y penser maintenant. J’ai pas envie que tu me dises que tu ne m’as jamais oublié, pas maintenant, pas quand moi j’ai tout fait pour ne plus penser à toi … Pas alors que je t’imaginais dans les bras d’une autre alors que je crevais d’amour pour toi … C’est toi qui est parti, c’est toi qui m’a laissé ! Alors tu n’as pas le droit de dire ça pendant que tu me fais l’amour … Putain ça me fait mal, à m’en couper le souffle ! j’ai envie de détester encore plus fort à cet instant, et ce qui pouvait être beau dans un autre contexte m’arrache le cœur à cet instant … mais je veux oublier, je veux pas y penser, je veux juste qu’on soit tous les deux … mais j’ai cette boule au ventre, cette culpabilité qui m’oppresse. Je ne pense pas à toi quand on me fait l’amour, je ne pense plus à toi depuis longtemps, parce que ça faisait trop mal Ji Ho. Ça faisait trop mal de combler mon amour pour toi dans les bras d’un autre. Alors j’ai finis par ne plus penser à toi, à aimer cet homme, sincèrement et finir par le perdre lui aussi … Mais quand je couche avec un autre … un que tu finirais par détester, je ne peux pas penser à toi. Parce que ça serait faiblir, ça serait tout gâche, ça serait foutre en l’air tout ce que j’ai réussis à faire en t’oubliant … Mais ce soir … ce soir je me rends compte que je me trompais depuis toutes ces années>. Je ne t’ai pas oublié Ji Ho et je crois que ça fait encore plus mal.

Tu me veux fougueuse et forte ? A cet instant je suis vulnérable et blessée. Je t’aime pour ce que tu fais, je t’aime pour ce que tu prouves, mais je te déteste pour ce que tu nous a fait. Ce soir plus que jamais. Je suis avide de toi Ji Ho et pas seulement de ton corps et de tes coups de bassin maitrisés, mais aussi de ton cœur, de ton amour, de tes regards … Putain le sexe avec toi c’est bon, mais te voir amoureux … c’est un combo magique Ji Ho. Alors je te laisse faire de moi ce que tu veux. T’as pas fini de mouiller amour… Comment une phrase aussi sexy peut-elle être aussi … douce ? Un surnom, un simple surnom et tout change. T’as jamais perdu ton short en coton n’est-ce pas ? J'en sais rien, je l'ai peut être perdu inconsciemment, parce que je savais que si je le mettais pas, j'irais en culotte. j'avais tellement pleins d'autres alternative qui s'offrait à moi. J'ai des leggings, des jogging en coton qui ne lui feront pas mal. Je pouvais enfiler même une jupe ou que sais-je ... Au lieu de ça je suis restée en culotte, avec lui, pensant que ça ne changerait rien; Mais j'ai joué avec le feu, je m'en rends compte à présent, j'ai joué avec ses nerfs parce que je refusais de croire que je n'étais qu'une vulgaire fille ... Je voulais que pour une fois, il me voit comme une femme ... Mais si j'avais su ... si j'avais su tout ce qu'il est de me dire. Je l’écoute m’avouer ça … m’avouer qu’il ne pense qu’à moi, qu’il rêve de moi, que je l’excite, que je le rends fou. Je l’écoute et c’est toute mon âme qui réagit. J’ai chaud dans ses bras, j’ai mal aussi, et j’étouffe mais je crois que je ne quitterais cette prison pour rien au monde. Je suis trop bien là où je suis … il m’aime et me veut depuis tellement de temps … je lui en veux de m’avoir fait croire le contraire, de m’avoir fait croire que je n’étais plus qu’une amie pour lui … Je retins un gémissement rauque alors qu’il me taraude de son bassin. t’es pas une chienne et je te saute pas… Je te fais l’amour… Je le sais bébé … je le sais mais l’entendre rend notre partie de jambe en l’air plus belle, meilleure aussi … et la suite de ses mots … Je ne bouge plus, je l’écoute, je le regarde, je ne gémis plus, je ne soupire plus … accrochée à ses épaules, resserrant mes jambes autour de son corps, je l’écoute, le souffle court.

Mon regard se perd dans le sien et l’émotion me gagne. Putain Ji Ho je ne sais pas comment gérer ça. Je ne sais pas comment gérer mon désir, mon envie de sexe et tous les sentiments que tu fais exploser dans mon cœur …. Alors je le fixe … je le fixe tendrement et perdue. Perdue parce que je n’arrive plus à réfléchir. Je ne sais pas comment on fera demain Ji Ho … mais ce soir … je ne te repousserais pas. Jamais. Et l’entendre m’assurer de sa voix fébrile que ne pourras plus me passer l’un de l’autre … ça me plait. Il me décolle du mur et moi je m’attaque à ses lèvres. Il peut m’emmener où il voudra … je le suivrais. Il tient tellement à ce que je lui raconte mon rêve de lui … mais j’en sais … je ne sais pas si j’en serais capable … ce n’est jamais des images concrètes c’est juste des … sensations, des envies … son torse … et son corps tout entier qui me donne faim. Il vire tout dans la cuisine. Le gâteau à cramé je crois. Mais c’est le cadet de mes soucis. Ji Ho est vraiment trop viril et j’adore me blottir contre son torse … Je m’en fou de l’endroit où il me prend, ni s’il veut copier mon meilleur coup ou que sais-je … Caressant sa joue le souffle court je lui murmure « Peu m’importe bébé … je veux juste que tu me fasses jouir … j’ai oublié tout le reste … mes fantasmes me paraissent tellement fades face à ce que tu me fais vivres. » et c’est vrai … j’ai toujours aimé les choses classiques même celles qui pimente ma vie sexuel. Mais là … là ça dépasse tout ce que j’avais imaginé. « Fais-moi découvrir comment jouir bébé … » parce qu’on en est là … On découvre de nouvelles choses … je glisse jusqu’à son oreille et lui murmure « Dans mes rêves c’est d’imaginer ton corps qui me rendait folle … ton torse qui écrase ma poitrine … tes doigts qui frôlent ma peau, une simple caresse … et sentir des dents mordiller mon cou pour en laisser une trace … » j’en frissonne à cette idée … Et sentant que j’étais sur le point de craquer je lâche dans un gémissement « Ji Ho … je tiens plus … » avant de resserrer mon étau autour de lui ….




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyVen 8 Aoû - 18:37

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Je me revois, quelques dizaines d’années en arrière, serrant ma petite Su Nah dans mes bras en lui disant que quand on sera grand, on se mariera ensemble et puis… Je me revois en jeune adulte, la serrant nue contre moi, lui promettant que je l’aimerais toujours, je revois à nouveau cette scène hier ou on a longuement parlé en se disant que notre amitié serait plus fort que tout avant qu’elle ne me fasse son légendaire sourire rassurant. Du coup… voir Su nah à cette instant, raconter de quelle manière un type dont j’ignore le nom l’a prise contre un bar en la faisant jouir jusqu’à en hurler son prénom, ça vous montre combien je ne m’attendais pas à ça. Beaucoup de gens probablement seraient déçu de voir qu’elle n’est pas celle que je pensais être après plus de vingt ans d’amitié et pourtant ? Et bien… Comment vous dire cela… J’adore… Je ne l’imaginais pas comme cela et c’est justement tout l’intérêt découvrir encore de nouvelles choses après toutes ces années c’est….grisant. Comme si peu importe le temps, on arrivera toujours à se surprendre mutuellement. Je ne trouve pas cela sale ou déplacé, Su Nah avait des secrets pour moi sur sa vie, sur ses amours, sur ce qu’elle fait de son corps parce que pour nous, évoquer ce sujet c’était comme rouvrir une vieille cicatrice, c’était trop douloureux pour oser mais maintenant… Qu’est-ce qui nous empêcherait d’en parler ? D’être finalement encore plus proche qu’avant ? Comme si notre amitié en sortait grandis. Je serais toujours là pour toi, je sécherais tes larmes, je te prendrais dans mes bras et t’encouragerais, tout cela c’est moi, c’est toi… C’est nous. Ne t’en fais pas ma douce princesse… Ce qu’on fait actuellement ne changera rien… On est ami pour la vie… Tu te souviens ? C’est gravé sur ma bague… Celle qui porte ton nom et la date ou un ange est venue au monde… Mon ange…

Je crois que j’ai été trop loin, qu’elle n’était pas prête à entendre tout cela… Lui dire que je vois son visage au travers de celui de mes conquêtes… ce n’était ni le bon moment ni le bon endroit… J’avais pensé à cet instant que je n’aurais plus besoin de Na Rae, que désormais, je pourrais tout dire à Su Nah… Lui parler de ce que j’ai vécu, de ce que je ressens, de comment je vois ma vie mais en réalité… Su Nah n’a pas besoin qu’on lui rappelle que j’ai tout gâché, c’est une cicatrice… Celles-ci bien trop profonde pour être renfermé un jour. Je ne sais pas pourquoi j’ai été si loin, tout était si parfait… Et pourtant, mes mots sortent et rien… Elle ne répond pas… je prends cela comme la fin de cette conversation surtout au vue de sa façon de bouger contre moi, comme si l’envie était toujours présente en elle. A moins qu’elle se soit lassée de ma domination ? C’est pour cela qu’elle refuse de me dire si oui ou non on remettre ça. Je décide alors après un instant mémorable et intense contre la table en verre, de reprendre au sol puis… Après qu’elle m’ait fait son show, de continuer contre le mur. L’appeler « amour » j’en ai rêvé dans mes rêves les plus fous… Et c’est ainsi, alors que pour la première fois, je semble lui donner réellement du plaisir et dans une phrase à la tournure perverse que je l’utilise. Je sais que ça lui a plu… je le lis dans ses yeux… Il n’y a que ça… Un besoin que je la mette en valeur… Et pourtant, c’est ce que j’ai toujours voulu faire avec la peur de ne jamais faire assez… Ou bien… D’en faire trop… Au final, j’ai toujours tu mes sentiments… Et à cet instant, je comprends que j’ai eu tort… Je lui souris doucement et reprend mes vas et viens puissants.

Pourtant, une nouvelle fois, alors que j’essaye de l’exciter avec mes mots, chose très rare chez moi, quand elle me dit qu’elle a rêvé de moi, je commence alors à analyser sa réaction, sa façon de s’habiller depuis peu, je lui pose des questions, veut tout savoir, je lui raconte alors être dans la même situation qu’elle… Que je la vois dans mes rêves et que le réveil est frustrant quand je découvre qu’elle n’est pas là… Je la veux mienne et le lui dit… A mes yeux, c’est une déclaration d’amour… Aux siens… Ce n’est… probablement pas grand-chose. Su Nah est désormais muette comme une tombe et si ce n’est ses gémissements, elle ne répond ni à ma question, ni à ces mots qui lui confèrent tant de pouvoir sur moi. Elle se contente de me prendre les cheveux, de lui dire qu’elle n’est pas comme les autres chiennes avec qui je couche… Alors, à nouveau, je lui offre un long monologue… Lui témoignant mon respect, son importance… Le besoin d’être avec elle mais ma jolie se tirade se termine elle aussi dans un silence pesant… Ma peau qui juste que là était brulante semble se rafraichir, mon teint blanchit… Et Si... Et si je gâchais tout une nouvelle fois… Et si je venais de perdre cette première place que je pensais acquise… Je savais que j’aurais dû me taire… Elle m’aime silencieux et je l’aime bavarde… Elle me regarde, son air lubrique semble disparaitre pour être remplacé par une peur froide… Alors… Juste avant de la décoller du mur, je la pénètre plus profondément encore, restant là… forçant le plus possible et la fixe…

« Su Nah… Parles moi… »


Et puis, comme ce rôle qui me prend au trippe, je la contemple et ma peur disparait… Comme si soudainement, je reprenais confiance en moi. Su Nah m’a toujours dit de rebondir, de me relever quand je trébuche, que je dois aller de l’avant. J’ai déjà abandonné une fois en mettant fin à notre relation, je ne compte pas recommencer… L’homme qu’elle a fait ressurgir fera tout pour la posséder et si ça doit être la dernière fois… Alors je veux qu’elle ne puisse jamais l’oublier. Ainsi, je la fixe et une lueur lubrique nait à nouveau dans mon regard et si tout alors mes mots étaient teints de tristesse, ils redeviennent presque pervers alors que je commence lentement, très lentement à me retirer ce qui ne lui échappe pas.

« A croire qu’il faut toujours que tu joues au plus malin… Je t’ai posé une question… Plusieurs d’ailleurs… Tu avais peur que je m’arrête ? C’est fait… Alors maintenant voyons si tu as envie de te sentir à nouveau vide de moi… Après tout… Ta main fera très bien le travail final n’est-ce pas ? »

J’ai presque retiré la moitié et ne m’arrête pas là… Je continue avec cette lenteur qui ressemble à de la torture.

« Ce short ? C’était fait exprès ? Ne t’ai-je pas demandé de m’exciter davantage ? Alors obéis… A moins que… Tu ne penses que je n’en vaut pas la peine ? »

La brute est plus que jamais de retour… Son dominateur est plus puissant que jamais, encore plus sadique… Elle disait aimer cela tout à l’heure voyons si je suis capable de la récupérer, voyons si après m’être ramassé en trébuchant, je peux me relever et la plonger dans un état encore plus jouissif que le précèdent… Car oui Su Nah, j’abattrais des montagnes pour toi et simplement penser que je te donne moins de plaisir… ça me tue… Elle se tait… Son regard a changé… C’est comme-ci elle me disait « tu parles beaucoup mais pour agir il n’y a jamais personne ». Alors je continue jusqu’à m’extraire complétement, elle semble alors surprise mais commence à jouer de ses doigts. Je lui tourne alors le dos et commence alors à m’enfuit… Enfin… Elle réagit… Elle me dit ces mots dont j’avais besoin… Alors il ne me faut qu’un geste un seul pour lui signifier de me sauter dessus et à nouveau, je la prend contre le mur, y va deux ou trois violemment et la porte alors jusqu’à la cuisine… j’ai gagné… Su Nah me testais… Elle voulait voir si j’avais vraiment changé… Je crois que c’est ça… Et finalement, j’ai réeussi sans le vouloir à la frustrer pour la troisième fois. Maintenant nous sommes quittes.

Ainsi, je l’emmène là où tout a dérapé, là où elle a cédé une première fois, sur ce plan de travail que je balaye d’un revers de main pour lui faire sa place. Je l’assois et reprend mes coups de bassins. Désormais, Su Nah est bien plus bavarde, elle a compris que j’en avais besoin, que tout ne serait pas parfait sans cela… Sans ces mots qui graveraient à jamais mon cœur. Je lui demande alors ce qu’elle veut, elle me caresse la joue et me dit que ça n’a pas d’importance… Son « bébé » est de retour… Il brule mon cœur et c’est cela que je recherchais. Elle me demande de la faire jouir… Evoque ses fantasmes, me disant qu’ils ne sont plus rien à côté de ce que je lui offre. Je la prends au mot et mon bassin caresse le sien, ondule, comme une danse ou désormais je connais parfaitement les pas. Elle est heureuse ici ? Alors pas besoin du bar ou que sais-je encore… On va boucler la boucle ici… Ainsi, je ne lâche pas son regard alors qu’elle me demande à lui apprendre ce qu’est la véritable jouissance. Je ne réponds rien, à mon tour d’être muet bien que mon regard la dévore comme pour lui signifier qu’elle aura ce qu’elle veut parce que c’est ce que je veux également. Elle reprend à nouveau la parole comme si elle sentait que j’étais capable de m’arrêter une fois encore, cette fois, sans que je le lui demande elle évoque la teneur de ses rêves… Elle me parle de mon corps… de cette sensation de mon torse écrasant sa poitrine, de mes doigts sur sa peau, mes dents qui la marquent… Rien de précis mais je connais ça… Les miens y ressemblent trais pour trais alors j’esquisse un sourire.

« Ce corps qui te plait tant… Je l’ai sculpté pour toi… Pour que tes mains ne s’arrêtent plus quand ton massage est terminé… Il t’appartient bébé… »

Il y a moins de violence dans mes propos, une certaine douceur doublé d’une fierté d’en etre arrivé là quand on voyait le gringalet que j’étais à mes 18 ans… Pourtant, elle gémit à nouveau, me dit qu’elle ne tient plus. Je le sais et pourtant… Pour la dernière fois… Peut-être l’ultime si tu me rejette… laisse-moi te dominer une toute dernière fois.

« Encore un peu… Patience… Ne veux-tu pas que l’on jouisse ensemble ? Ton refus de tout à l’heure m’a retardé… Alors… Si tu veux jouir… Trouve le moyen de m’exciter tellement fort que je ne pourrais plus me retenir… C’est ton gage mon amour… mais c’est aussi… ma propre punition… De ne plus compter que sur toi pour jouir… Et pas dans ses coups de bassins que je t’offre… »

Cela passera sans doute par des gestes, par des regards, par des mots mais cette fois…je sais qu’elle ne me décevra pas… Plus elle aura envie de jouir plus elle se montrera comme je l’aime tant.. Soumise… Bavarde… Obéissante… Divine… Su Nah… Tu peux me détester mais je veux ce final éclatant… jouir ensemble est ma raison de vivre pour qu’au moins une fois nous soyons sur la même longueur d’onde, pour qu’une seule et unique fois… Nous soyons ensemble dans un monde qui ne réclame que nous… Dans ce monde ou notre amour est possible, réel… même si cela ne dois durer qu’une poignée de seconde…

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyDim 10 Aoû - 13:56

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


« Su Nah… Parles moi… » Ca me fait mal au cœur de l’entendre me supplier comme ça. je devrais lui parler, lui dire ce que je pense vraiment et tous ces non dit qui flottent autour de nous mais j’en suis incapable. Je n’y arrive pas. Pas pendant qu’on fait l’amour, pourtant c’est qu’il réclame tellement. J’essaye, je fais des efforts, je tente, à demi mot, de lui dire, de lui donner ce plaisir mais je bloque. Je bloque parce que j’ai refoulé tellement de sentiments et d’années à rester sagement à ses côtés que s’il me demande d’ouvrir la bouche maintenant, je risquerais de toute déballer. Douloureusement. Je retins un soupir de frustration et l’écoute me défier, taper là où ça fait mal. Il me fait mal au cœur, au ventre, tout mon être le réclame et pas seulement pour le sexe. Pour un tout. Pour son étreinte, pour sa tendre, pour sa … pour sa façon qu’il a de toujours me donner l’impression que je suis une reine dans son monde. Je le sens se retirer et tout mon corps est au supplice. Qu’est-ce qu’il fait putain ?! J’ai pas envie qu’il mette ses menaces à exécutions, je pensais qu’il pourrait passer outre, que je lui donnais déjà assez … Je lui donnais ce que je pouvais … Mais ça ne semblait jamais suffire, et je comprenais ce qu’il voulait. Dans les nimbes de notre folie ce qu’il réclamait le plus c’était que je me donne tout entière. Pas seulement mon corps, pas seulement mes gestes, mais moi tout entière, mes mots, mes pensées, ce que je lui cache depuis tellement d’année … Ce n’est pas des mots pervers qu’il veut vraiment, c’est savoir l’effet que je lui fais, comment je perds la tête, comment je perds le souffle quand il est là, si près de moi …

Ce short ? C’était fait exprès ? Ne t’ai-je pas demandé de m’exciter davantage ? Alors obéis… A moins que… Tu ne penses que je n’en vaux pas la peine ? Mon regard est presque dégouté quand il me dit ça. Alors c’est ce qu’il pense ?! Il pense qu’il ne vaut pas la peine que je lui dise tout ça … Que si je garde tout pour moi ce n’est pas parce qu’il n’est qu’un putain de bon coup, bien foutue, qui me fait découvrir une autre facette du sexe, c’est parce que c’est lui, c’est Ji Ho ! Merde j’ai grandis avec toi Ji Ho tu ne me connais pas assez ?! J’ai l’impression qu’on s’aveugle tous les deux et qu’on ne veut plus voir l’évidence. Il se retire complètement et je suis aussi surprise que frustrée. Privée de lui, insatisfaite, j’ai envie qu’il revienne mais j’ai pas envie d’aller le chercher, alors je fais mine de me caresser, mais il se barre. Aussi simplement que ça. Et je déteste ça. Je déteste le voir me tourner le dos. S’il savait lui ce que ça me tue … « Reste là abruti ! » lui lançais-je malgré moi, la voix tremblante de colère. Je t’en veux autant que je te veux. Tu vois à quoi on en est réduit Ji Ho ? « Ouais ! Ce short j‘ai fais exprès de le perdre ! » Ah bon ? J’en sais rien, je crois qu’inconsciemment je l’ai foutu je ne sais où pour ne pas avoir à le mettre, me donnant une excuse minable pour être à moitié nue devant lui. Mais c’est comme si tout devenait une évidence. « Ce t-shirt de pétasse qui n’est pas du tout mon style je l’ai acheté pour toi, parce que j’ai été assez conne pour me dire que tu me remarquerais peut-être un peu plus. Comme si après 7 ans j’avais encore le droit de te faire ça ! » Comme si j’avais encore le droit de chercher ton regard, de chercher à te faire de l’effet. Tu as tiré un trait sur notre histoire deux fois. La première fois en rompant avec moi, la deuxième en tombant amoureux d’une autre. Tu sais j’ai toujours cru qu’on ne pourrait pas aimer à nouveau. Que si on n’était pas ensemble on l’accepterait mais qu’on ne pourrait jamais aller ailleurs … Mais tu l’as fait. M’achevant un peu plus.

Je fais un pas vers lui, j’ai toujours cette boule au ventre. Et j’ai l’impression que cette partie de jambe en l’air se transforme en vidage de sac. On vide tout. Moi surtout. Je lui dis tout, incapable de retenir désormais mes mots. « Parce que j’ai toujours tout fait pour ne pas être un poids pour toi, mais au final, regarde moi … Je n’arrive même plus à te masser sans chercher à être une femme sexy à tes yeux. Parce que j’ai envie que tu me vois autrement que comme la gamine que j’ai toujours été à tes yeux … Parce que je rêve de toi, de ton corps, je t’imagine m’emprisonner dans ses bras en me faisant l’amour. Ouais j’imagine que c’est torride, que tu prends ton pied avec moi et que tu regrettes au fond de toi de m’avoir quitté. » Dis pas ça Su Nah … t’as toujours gardé tes pensées pour toi, pourquoi maintenant ? Tu vas tout gâcher, il va partir et ça sera la fin. Je serre mes petits poings, furieuse contre lui, contre moi, avide de lui et de son regard que je veux croiser. Alors je reprends d’une voix plus douce « Parce que … Parce que tu me rends dingue Ji Ho. Ton corps, tes lèvres … putain tes lèvres si tu savais le nombre de fois que je m’imagine les embrasser … Et … Je passe mon temps a te reluquer, sérieusement tu le remarques pas ?! Et ton torse … je crois que je pourrais lui vouer un culte. Quand je le caresse sans pouvoir y résister … j’ai envie de le dévorer à chaque fois et … je suis foutue maintenant Ji Ho … J’ai l’impression que dès que je vais voir du chocolat, j’vais avoir envie de te l’étaler sur le corps. » c’est mal … parce que je vais devoir me retenir, parce que je sais pas ce que ca va donner tout ça putain … Mais voilà, il voulait savoir, alors il sait maintenant. Et j’ose même lui dire avec une once de honte dans la voix « Et chaque fois que je … chaque je me fais du bien c’est à toi que je pense au moment fatidique … tu sais … C’est ton image qui apparait d’un coup, quand j’atteins l’orgasme je donnerais tout ce que j’ai pour que ce soit vrai … pour que tu sois là … Et finalement j’avais raison … ce soir c’est … c’est … magique ? » Magique parce qu’il y a des sentiments.

Je m’approche de lui, si près que je peux sentir mon souffle sur sa peau, et lui avoue dans un murmure, sans oser le regarder « Si je suis allée ailleurs … c’était parce que je ne pouvais plus t’avoir … » Young Ja c’était ma façon à moi de tourner la page, si t’étais heureux dans les bras d’une autre, peut-être que je pourrais l’être aussi … Mais comme il peut le voir, l’oublier n’a pas été la chose la plus facile que j’ai pu faire. Ni même que j’ai réussis à faire. Et je pense que mes mots lui on plu, je pense aussi qu’il a finalement craqué devant ma franchise … Je lui ai tout donné … tout ce qu’il réclamait … et c’est pour ça qu’arrivée à la cuisine il redevient cet homme avide comme j’aime … Son corps qui m’appartient … le plus beau des cadeaux. Je viens l’embrasser, lui mordiller cette peau dont j’aime le goût. Et sa dernière phrase me grise et surtout, elle me donne des ailes. ma propre punition… De ne plus compter que sur toi pour jouir… Et pas dans ses coups de bassins que je t’offre… Parce que moi je vois plus loin. Moi je ne vois pas que cet instant entre nous mais je vois tout ces fois où il voudra allez coucher avec d’autres filles … j’ai envie d’avoir ce pouvoir sur lui, d’avoir le pouvoir de l’empêcher de jouir, de l’empêcher de prendre son pied parce que ces filles auront le plus gros défaut du monde … elles ne seront pas moi. Alors quand il me demande de l’aider à venir en même temps que moi, je souris fièrement et avec plein d’arrogance pour lui dire « Fait moi venir bébé … hein … fait moi venir en même temps que toi … je t’en supplie … je tiens plus, montre moi à quel point t’as envie de moi hein … vas y plus fort Ji … t’es le seul qui sache me faire autant de bien … autant de … » ma voix se coupe par un gémissement presque douloureux tant le plaisir est fort. J’enroule mes bras autour de son cou et enfouit mon visage dans le creux de son cou alors qu’il m’assène de coup de bassins que j’ai du mal à contenir. « T’es le meilleur Im Ji Ho » lâchais-je dans un souffle rauque avant de capturer ses lèvres au vu de l’orgasme qui pointe le bout de son nez … je me retiens pour toi … tu vois comme je te veux ?




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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyDim 10 Aoû - 15:30

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Ces premiers mots, cette supplique, cette demande à ce qu’elle me parle, elle semble ne pas s’en apercevoir, comme si il était hors de question de trop en dire. Moi, elle sait tout, de l’envie, du désir et de tout le reste, du fait qu’elle est la femme que je désire le plus au monde et que je n’en pouvais plus… Ce massage m’a fait passer à l’acte. On a fait l’amour une première fois, tu as jouis parce que c’était moi…Parce que tu me voulais plus qu’aucun autre homme, tu as cru comme moi que ça te suffirais mais en réalité, ton corps réclamait autre chose… La vérité c’est que dans cette douceur, tu recherchais ton amant, celui qui t’as pris contre le bar, tu n’osais pas me le dire de peur que je ne te reconnaisse plus surement…Mais non… Désormais je connais ta vraie nature, tu aimes quand c’est intense, violent, sauvage, que l’homme te fasse vivre l’enfer alors j’imagine qu’obtenir tout cela, associé au fait que ce soit moi… ça ne peut être qu’orgasmique… Mais tu sais Su Nah, c’est ma première fois comme ça… Je vais apprendre, je t’en donnerais plus encore… Je te ferais mienne… Tant que tu n’es pas amoureuse, je considérerais qu’il a une chance, tant que tes sentiments ne vont pas vers un autre, je t’appartiens et tu es mienne… Quand tu l’auras trouvé alors je te rendrais ta liberté… Tu seras sienne mais… Je resterais toujours tiens… C’est ainsi…

Ces mots doux, elle les a refusés parce que ce n’est pas le Ji Ho apeuré qu’elle veut, c’est cette bête qui ne cesse de la faire mouiller et face à son silence, celle-ci revient… Plus sadique que jamais allant jusqu’à lui poser un ultimatum. Des réponses contre du sexe… Elle semble alors différente, comme si elle se croyait intouchable, qu’au vue de la dureté de ma virilité, que j’en serais incapable et malgré que je me retire lentement, elle sait au fond d’elle que je n’oserais pas aller plus loin. Dommage Su Nah mais ne me sous-estime pas en pensant que le petit Ji Ho est encore là… Il est loin... Très loin.  Je me retire donc et la regarde se caresser. Putain Su Nah tu n’imagines pas combien tu m’excites…Je me rêve en stripteaseur, te faisant un lap dance alors que tu te donnes du plaisir en me regardant… Tu l’as déjà fait dis-moi ? Quand on est ensemble dans ce grand lit et que je dors ? Je n’oserais jamais te poser la question alors… Je ne saurais jamais la réponse mais tant pis… je te tourne le dos… Je m’en vais alors que mon corps me hurle de revenir immédiatement ici… Mais ne l’oublie jamais, à cet instant, c’est toi qui craque ! Pas moi… Même si… à deux pas près je te sautais dessus n’en pouvant plus…

Ses mots sont violents… Abrutit ? Une seconde fois… Elle me somme de revenir mais je fais mine que je ne suis pas intéressé avant sa première confession. Elle a fait exprès de le perdre… je me retourne alors, du moins, simplement la tête et la fixe en attendant la suite qui ne tarde pas. Tee-shirt de petasse ? C’est un peu exagéré… Donc elle l’a porté pour moi ? Pour que je la remarque… Elle semble s’en vouloir d’avoir agis ainsi et je souris. J’ai envie de la prendre dans mes bras mais ce n’est pas le moment. Je me retourne complétement… Non, je joue au muet moi aussi et écoute la suite. Elle fait alors un pas vers moi… Elle semble presque triste, avoue avoir fait de son mieux pour ne pas me retenir… Su Nah… Si seulement tu m’avais retenue… Si Seulement… Et pourtant, elle me surprend. Alors elle pensait que je ne la regardais pas ? Qu’à travers ses massages elle se veut sexy de peur que je la prenne à nouveau pour une enfant… Elle m’avoue rêver de moi, de mon corps, de faire l’amour avec moi… Elle voulait que ce soit torride… Que je la prenne comme une femme et pas comme ma petite Su Nah… Que je prenne mon pied… Que je regrette. Ah si seulement tu savais Su Nah… Je n’ai pas besoin de te faire l’amour pour te regretter, je vis avec ce sentiment depuis toujours. Je la fixe et lui avoue quelque chose…

« T’es super précautionneuse avec moi… Ton short en Jean n’avait aucune chance de me griffer… Je voulais voir ton sous-vêtement, voir le genre de dessous que tu portais… J’avais tellement louché dans ton décolleté qu’avant même que je t’enlève ton haut, j’aurais pu le dessiner les yeux fermés… Mais allons plus loin… Avant-hier… dentelle rouge… Il y a trois jours je crois que c’était noir… avec des froufrous… Tu as cru qu’il t’a fallu un haut comme ça pour que je te regarde ? »

Je ne réponds pas sur le fait qu’elle m’ait dit vouloir que je regrette de l’avoir largué… Tout ça, on en parlera plus tard si elle le veut vraiment. Pourtant, je la vois serrer ses petits poings comme si elle pensait que ces quelques confessions allaient me pousser à reprendre. Je la fixe et lui sourit… Tu es en train de tout déballer alors continues… Tu en as besoin Su Nah, besoin de le dire comme j’ai besoin de l’entendre, après tout sera tellement plus simple tu verras… Elle cherche une explication, me dit aimer mon corps, mes lèvres, rêvant de m’embrasser, elle me demande alors comment n’ai-je pas put remarquer qu’elle ne cessait de me reluquer à longueur de temps. Elle évoque ensuite mon torse musclé… De ses mains quand elle me masse, de son envie de gouter ma peau, de ce chocolat… Je la fixe et avance d’un pas, prenant sa main et la posant sur mon torse en particulier sur mes pectoraux la guidant dans un petit massage sensuel tandis que je lui réponds.

«  Tu te souviens quand tu m’as annoncé ta formation de masseuse ? C’est à ce moment-là que j’ai commencé la musculation et si j’ai mis du temps avant de dire que tu pouvais t’en occuper c’est que je n’étais pas satisfait du résultat… je voulais que tu me désire… Que tu me vois comme un homme, pas comme le gringalet enfantin que j’étais… Mon torse a joué le même rôle que ton haut… Ah ! Comptes sur moi pour te faire des gâteaux au chocolat à chaque fois que je viendrais te voir… Et… Torse nue… Sinon ce n’est pas drôle. »

Mon corps te plait ? Alors regardes le, il est là pour ça… Rien que pour toi… Mais c’est quelque chose de plus intime qu’elle veut m’avouer… Quelque chose dont je me suis toujours dit ces sept dernières années, qu’elle n’était pas le genre de femme à faire… Su Nah n’avait pas besoin de se donner du plaisir… Après tout… Elle était ma princesse et les princesses ne font même pas caca alors se toucher… Et là, elle m’avoue le faire, qu’elle pense à moi quand vient l’orgasme, elle me rêve près d’elle, lui faisant l’amour brutalement, elle me dit qu’elle avait raison d’en rêver tant nos instants sont magiques. Su Nah… Je ne t’avais pas demandé de me parler de cela et tu l’as fait… Tu sais que je suis curieux non ? Et bien… Voilà le résultat…

«  Tu le fais souvent mon amour ? Est-ce que ma princesse serait coquine à ce point ? »

Pourtant, je me dis que là, avec tout ce qu’elle a dit… Elle mérite… C’est pourtant elle qui s’avance pour m’avouer qu’elle est sorti avec un autre juste parce que j’étais inaccessible… Je la comprends… Moi j’ai fait pareil… Vouloir être amoureux au point de l’oublier mais cela n’a jamais marché pour une seule et bonne raison. Je ne voulais pas que Su Ah connaisse mon secret, je ne voulais pas d’une seconde Su Nah… Il n’y en avait qu’une qui avait le droit de savoir… Mais tout ça… Je ne le lui dirais pas, pas maintenant. Cette fois, en guise de réponse, je l’embrasse avec une envie folle et furieuse, la faisant reculer afin de la prendre à nouveau contre le mur, faisant quelques vas et viens comme pour lui donner l’air qui lui manquait avant de l’emmener avec moi à la cuisine pour l’installer sur le plan de travail.

Ses paumes à la base pausées en arrière comme tout à l’heure, je la pénètre à nouveau avec plus de force, plus de contact, cette fois c’est elle qui m’embrasse comme si désormais elle se sentait légère de tous ces secrets qui la hantaient… Nous avons chacun fait notre confession même si c’était en plein dans les plaisirs charnelles, c’est important qu’on l’ait enfin fait après sept années de frustrations communes… Elle me raconte alors son rêve, du moins, quelques bribes, me demande de lui apprendre à jouir, qu’elle ne peut plus se retenir mais… C’est un tout autre dessein que j’ai pour elle… Ensemble il faut que ce soit ensemble et à force de jouer les muettes… Il faut bien l’avouer… L’orgasme est un peu plus lointain. Alors, je le lui dis, lui explique, lui parle de punition pour elle comme pour moi, elle me sourit et murmure quelques mots, réclamant de la faire jouir avec moi, elle y ajoute des supplications, elle veut que je lui montre combien j’ai envie d’elle, que j’y aille plus fort, me disant être le seul homme à savoir lui faire tant de bien… Je la fixe alors et me fait plus violent, chaque aller en elle est puissant, jusqu’à la garde voir même un peu plus… Je suis une bête qui n’en peut plus mais… Et si c’était la dernière fois pour elle et moi ? Il me faut une dernière chose… Quelque chose qui a failli me faire jouir tout à l’heure pour que ce soit complet…

« Parles moi de sexe bébé…  De nous ... »

Elle qui n’ait pas bavarde… A-t-elle peur que je me retire ? Sincèrement je ne sais pas si j’en suis capable… A cet instant, je retiens tout… C’est elle qui domine mais je veux plus que tout au monde qu’elle m’obéisse une dernière fois… Parce que désormais je veux vivre comme une fierté le fait que je vois ton visage dans celui de mes maitresses… Plus comme une honte de te désirer alors que j’ai toujours pensé que toi aussi… Tu me regardais comme un enfant…

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Cho Su Nah
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyLun 11 Aoû - 2:47

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


C’est presque surprenant ce qu’il me dit. Je veux dire, si j’étais tellement avide de son attention, pourquoi je n’ai pas su remarquer qu’il me la donnait ? C’est comme économiser des années pour s’acheter la robe de ses rêves, et finalement se rendre compte qu’elle ne coutait pas si cher. Y a comme un goût amer qui s’infiltre dans ma bouche. Parce que j’ai l’impression d’avoir raté quelque chose. D’avoir continuer de courir, à bout de souffle, en souffrant, malgré le fait que j’ai dépassé depuis longtemps la ligne d’arrivée. Je me sens à la fois surprise et déroutée. Je ne m’y attendais pas vraiment, et peut-être que dans le fond je ne voulais pas le voir. Parce que c’était trop effrayant. Et puis je m’étais enfin décidé à tourner la page sur Young Ja, j’avais peur de m’aveugler. Je ne cherchais qu’à être jolie ? Où je ne cherchais qu’à être … tu sais, comme si … enfin je n’en sais trop rien. Je sais juste que ce soir ça me fait du bien. Et tant pis pour demain, je n’ai pas envie d’y penser. Pas tout de suite. J’ai envie de profiter avant ça et de me dire que je pourrais être ce que je veux ce soir. Et ce soir j’ai envie d’être celle qu’aime Ji Ho … Pour le reste … On avisera plus tard. C’est plus que physique ce besoin que j’ai de lui, c’est plus que sentimental. J’ai besoin de lui pour vivre, pour respirer. J’ai besoin de lui pour avoir le sentiment d’exister et d’être une vraie femme, une femme qu’on peut aimer … J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à l’attendre et j’ai presque faillit lui tourner le dos. Mais il est arrivé à temps … Pile au moment où je me noyais. Il m’a tiré à lui et il m’a juste dit qu’il était là … je ne sais pas pour combien de temps ni de quel façon, mais pour la première fois en 7 ans, je sens ce trou dans ma poitrine se reboucher. Et je me sens complète. Enfin.

Parce que je sais que mon meilleur ami n’a plus aucunes craintes me concernant. Il me veut juste pour lui, ce soir et d’autres après. Je souris à sa remarque. Je n’avais jamais fait le lien entre mes massages et la musculation. Je l’avais toujours apprécié, qu’il soit gringalet ou non. Mais je dois avouer que maintenant son torse me rend folle … j’apprécie ses courbes joliment dessinés. Et il avait passé tellement d’heure à la salle. Il faut dire qu’il ne pouvait pas pousser à fond comme les autres, il fallait toujours qu’il fasse attention. Mais aujourd’hui, le résultat était là … Il était beau. Mais je persiste à dire que même sans ça, j’étais tombée sous son charme. Je le voyais déjà débarquer chez moi avec du chocolat, parce qu’on savait très bien ce que ça voudrait dire tous les deux. Je l’imaginais très bien débarquer à pas d’heure avec sa plaquette et le faire cuire pour l’envie soudaine de sexe qu’il voudrait. Est-ce que je pourrais un jour m’habituer à cette image ? Je n’en sais rien, mais si le plaisir était le même que ce soir je serais presque pressée rien qu’à cette idée. « Tu le fais souvent mon amour ? Est-ce que ma princesse serait coquine à ce point ? » Je rougis à cette phrase. Je détourne le regard avec un petit sourire timide. Assez paradoxal quand on voit la femme que je peux être. Mais il me fait perdre la tête. Il me pousse à dire des choses que je ne veux d’ordinaire pas dire, alors il ne peut pas complètement me changer. Et ce sont des sujets qui me gênent. Ils ne sont pas tabous mais j’ai juste envie de me cacher six pieds sous terres quand il les mentionne. Je secoue la tête amusée et le laisse reprendre les hostilités.

Je crois que je ne verrais plus jamais mon plan de travail comme avant. Je ne pourrais m’empêcher de penser à ce qui se passe là, à cet instant. C’est tellement … interdit que ça en devient … presque jouissif. Je m’accroche à ses épaules et enfouit mon visage dans le creux de son cou. Je ne tiens plus, alors s’il veut me punir qu’il le fasse mais je ne pourrais plus me retenir. Mon souffle chaud balayant sa peau, je me redresse et vient lui murmurer à l’oreille comme la supplique qu’il veut que je lui donne « De nous … ? » C’est vrai que je suis surprise d’une telle demande mais dans le fond, pas tant que ça, je commence à le cerner … Et ce qui l’excite vraiment, ce n’est pas vraiment des mots sales, mais surtout m’entendre lui dire qu’il n’y a que lui, qu’il me rend dingue et que je suis accroc … Parce qu’il veut savoir qu’il est le seul qui m’a possédé comme ça. Parce qu’il veut, tout comme moi, garder cette place de numéro. Comme si rien d’autre n’avais d’importance. Rester le seul et l’unique … Sur tout les tableaux. Je souris en déposant un baiser doux sur sa joue et lui murmure entre deux gémissements « Nous deux … c’est que le début Ji Ho … si parfait … on aura d’autres nuits … rien qu’à nous … encore et encore. » Je finis par plonger mon regard dans le sien et un fin sourire sur les lèvres je lui montrais que je pensais ce que je disais. S’il le voulait, ce soir j’étais prête à lui accorder ce qu’il désirait. Ca brûlait en moi d’un feu ardent et quand il me fit jouir, ça éclata en moi comme un feu d’artifice. J’avais tellement forcé pour me retenir que ca en devenait douloureux. Mon plaisir fus presque trop court mais tellement intense que je poussais un cri aigue.

Je crois que là, les voisins sont au courant de ce qui se passe dans l’appartement. Pendant un quart de secondes j’espérais que les voisins ne pensent pas que c’était moi et West … Quoique je préférais même qu’ils pensent que ce soit West et une conquête à lui si vous voulez mon avis … Tremblante, le corps couvert de sueur, je me laissais retomber sur les épaules de Ji Ho. Le souffle court. Je colle ma joue à la sienne et lui murmure « Merci … » avant de glisser mes doigts dans sa nuque pour m’y accrocher. Je tremblais entre ses bras. Pas de froid, mais d’avoir tant donné. Ça doit être pareil pour lui, mais il tient encore debout. je ne sais pas où trouve la force. Je reste enlacée à lui plusieurs minutes. Profitant de notre proximité pour le câliner. Ça me manquait beaucoup cette douceur entre nous … je déposais de fin baisers sur sa joue et dans le creux de son cou. J’appuyais mon doigt sur ses lèvres pour l’empêcher de parler. Si lui aimait parler, moi j’adorais le silence. Alors pour le coup, il m’avait arraché ces mots pendant que nous faisions l’amour, alors je m’accordais le droit de savourer notre plaisir comme bon me semblait … je retirais doucement mon doigt sans lui donner pour autant le droit de parler. Je vins déposer un baiser sur ses lèvres et jugeant avoir assez profité de lui, je lui dis un petit rire en baissant mon regard vers le four « Je crois que ton gâteau à un peu cramé non ? »





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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyLun 11 Aoû - 10:01

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



Su Nah s’est souvent plainte devant moi de ne pas faire fantasmer les hommes, de ne pas avoir beaucoup de succès en boite de nuit soit parce qu’elle ne s’habillait pas comme la dernière des prostitués, soit parce qu’elle n’avait pas envie de jouer les allumeuses… Pourtant, je pense qu’elle commence à comprendre qu’elle ne me rend pas indifférent, ce short perdu, cette culotte en soie rose… Ce pushup… ce débardeur… Ce soir elle avait sorti le grand jeu pour que je la regarde, ne se doutant pas spécialement que depuis quelques jours, j’essayais de trouver tous les moyens possibles et inimaginables pour ne pas penser à elle… à son corps, à ces sensations vieilles de sept ans… Vous vous doutez donc qu’en plus de ses mains, parcourant mon torse, je n’avais pas pu résister… Je lui avais dit alors de me repousser mais c’est à ce moment qu’elle est venue sur moi… A califourchon comme pour me montrer sa domination sur moi, sur le fait que c’est moi qui en avait eu l’idée mais que c’est elle qui saisit l’occasion. A ce moment-là, elle pense surement que j’ai agis ainsi parce que mon célibat me pèse et moi, je me dis qu’elle a besoin d’oublier son ex… La vérité est tellement différente, pourquoi n’avons-nous jamais eu une conversation sur ce sujet ? Sur ce que l’on ressentait l’un pour l’autre, pourquoi avais-je besoin de me muscler et elle, jouer les filles sexy pour qu’enfin on se retrouve, plus proche que jamais sans tous nos petit secrets.

C’est étrange mais dans nos éclats de rire passé, il y avait quelque chose d’anormal, le fait que je la désire par exemple sans oser le lui dire, le fait qu’elle me reluque secrètement, le fait qu’on s’aime et que l’on ne se le dit pas comme si notre ancienne relation n’était qu’un passé dont on ne voulait jamais rouvrir la boite de Pandore. Aujourd’hui, elle avoue tout, de ses rêves coquins à ses orgasmes solitaires. Elle avoue avoir cherché à être une femme sexy rien que pour moi, qu’à la vue de mon corps, d’étranges pulsions l’habite. Je me pose des questions, a-t-elle développé ce gout pour le sexe violent pour justement ne plus jamais repenser à nous ? A ce que l’on faisait tous les deux ? Il y a sept ans ? De peur de voir mon visage sur celui d’un autre et de replonger ? Je ne sais pas mais je l’écoute, j’ai beau jouer les dominateurs, ses mots me font de l’effet, ils me rendent heureux comme je ne l’ai pas été depuis des années, heureux de voir que je n’étais pas seul à penser ainsi, à la désirer sans pouvoir la toucher… A tenter de l’oublier dans les bras d’une autre… Si seulement je lui en avais parlé avant… Avant Su Ah, avant Young Ja… Peut-être que nous serions plus heureux à cet instant ? Peut-être que nos vies seraient différentes, que nous habiterions sous le même toit… Je ne sais pas… Et bien que je le veuille, je ne peux pas revenir en arrière…

Ces révélations nous font replonger et c’est dans la cuisine, là où tout la tension est monté en flèche que je l’amène, sur ce plan de travail ou elle a cédé pour finalement me repousser… Je l’y assois et la pénètre à nouveau… C’est peut-être la dernière fois, il n’y a que moi qui ai parlé de recommencer. Jusque-là je n’ai eu le droit à son silence comme seule réponse et tandis qu’elle fait monter la chaleur de ses paroles, réclamant de jouir, je lui demande un final… Une jouissance commune… C’est à cet instant qu’elle se déchaine un peu plus le long de mon membre, réclamant que je l’emmène au septième ciel avec elle, que je lui montre combien j’ai envie d’elle, que j’y aille plus fort encore, m’avouant être le seul à savoir comment lui faire autant de bien. Ses mots me poussent à plus de brusquerie parce que je sais que c’est ce qu’elle veut, que c’est ce qu’elle attend de moi… Je sens le plaisir venir, ses mots, ses gestes… tout… Mais une dernière chose… Oui… Je veux l’entendre nous parler de nous… de sexe… Comme si ces deux composants étaient à présent figer dans la pierre. Son visage dans mon cou, elle gémit sans le vouloir contre mon oreille. Su Nah… Tu sais qu’à l’époque tu étais vraiment discrète quand on faisait l’amour… A croire que je ne suis pas le seul à avoir changé. Elle sourit délicatement et déposer un baiser sur ma joue…

J’aime l’entendre dire « nous deux » ponctué d’un gémissement, comme lorsqu’elle évoquait cet inconnu et son bar… Elle continue, m’annonçant que ce n’est que le début, que c’est parfait et surtout, qu’il y aura d’autres nuits, juste elle et moi, encore et encore… En me fixant ainsi dans les yeux, elle me montre que ce n’est pas qu’une parole liée à l’excitation mais bien un besoin de sa part. Oui… Nous referons l’amour encore et encore, j’apprendrais à être plus sauvage encore rien que pour elle, pour son plaisir… A l’idée de recommencer ce qui semble déjà terminé, je sens mon plaisir s’installer dans mon bas ventre. J’accélère, jette mes dernière force dans la bataille,, je me déchaine avant de jouir en elle au même moment que l’orgasme ne vienne la prendre. Elle pousse un puissant cri aigue alors que je lâche un violent râle de plaisir. Je bouge alors en elle quelque peu pour prolonger cet instant fugace mais tellement extraordinaire…

Elle se laisse retomber sur moi, son corps en sueur, sa joue contre la mienne, me remerciant. J’esquisse un sourire, mon corps est en feu mais pour elle, je tiens, je reste debout alors qu’elle me prend dans ses bras, elle embrasse alors ma joue moi qui suis trop concentré à rester simplement debout. Son doigt sur mes lèvres, elle ne veut aucune parole comme pour prolonger cet état de bonheur qui nous assomme à cet instant bien précis. Elle retire son doigt mais me fait comprendre que je ne dois pas dire un mot car la dominante c’est elle et se sera toujours elle sauf dans les moments comme celui-là ou j’arrive à la soumettre face au plaisir. Elle m’embrasse alors avec envie et me sourit, me disant que mon gâteau doit avoir cramé. J’esquisse doucement un sourire.

« J’ai éteint le four quand je t’ai emmené ici. Tu ne t’en ai pas aperçu ? Il doit être juste parfait ! »

Je passe ma main dans son dos pour la coller un peu plus à moi puis après un petit instant, la repose doucement au sol avant de déposer un baiser sur chacun de ses seins. Je me dirige alors vers le four et l’ouvre. Une légère fumée en ressort… Alors que je prends un torchon pour le sortir et le poser sur un dessous de plat. J’attrape un couteau et en coupe deux pars avant de lui en tendre une.

« Il est tout chaud ! Pas autant que ton corps… mais tout chaud quand même ! »

Je lui souris timidement en croquant dedans. Hmmm ! Je ne me savais pas si doué en pâtisserie… Mais… Vu comme nous avons sué… je crois qu’une autre douche s’impose mais cette fois promis, on la prendra chacun notre tour. Je rigole à cette pensée et m’assoit à côté d’elle, déposant un bisou sur sa joue.

« Une douche et… Un bon film ? »

Oh oui ! Un truc avec des robes de princesse, comme si l'on n'était tous deux dans un conte de fée... Enfin... Un conte de fée pour adultes...

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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMar 12 Aoû - 15:51

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".


J’ai du mal à reprendre mon souffle, j’ai la tête qui tourne et je sais qu’à l’instant où il va me lâcher je vais vaciller. Parce qu’il m’a tout donné et que je n’étais pas prête à tant recevoir. Ses mots m’ont donné le vertige et ses coups de bassins on finit de m’achever. Je retins un soupir entre mes lèvres quand je le sens s’écarter doucement. C’est presque imperceptible, mais j’ai froid. Moi qui étais en feu il y a quelques instants, je me retrouve presque frigorifiée. J’ai des crampes dans les jambes que j’ai du mal à tendre. Je regarde le four. Il l’a éteint quand on est rentré ? Je suis surprise, je ne l’ai pas vu faire. je le crois, et j’ai même la preuve qu’il dit la vérité mais je crois que j’étais trop aveuglée par la fougue qui nous habitait pour avoir conscience du monde extérieure. Et puis entre nous ; le gâteau je l’avais largement oublié. J’avais quelque chose de plus appétissant sous la main. A cette pensée je souris et je secoue la tête pour répondre à Ji Ho. Non, je n’ai pas fait attention. J’ai l’air un peu stone, un peu ailleurs, comme si un gros coup de barre me sciait en deux. Il me rapproche de lui pour faire glisser du plan de travail. Je m’accroche à lui et le sol me parait tout à coup tellement plus dur qu’à l’accoutumer. Je me sens fatiguée, et molle. Je crois que c’est le mot juste.

Je prends appuie sur le plan de travail et le regarde faire. il sort le gâteau du four et mon regard se perd sur la fumée quelques secondes. J’ai l’impression que mon cerveau est dans le même état, et si vous me demandiez de vous dire ce qu’il s’est passé ou ce qu’on a pu se dire j’en serais tout bonnement incapable. Je retiens un souris en le voyant découpé le gâteau. Il vient de me faire l’amour sauvagement et il découpe cette part de gâteau comme si de rien n’était, avec un sourire doux sur les lèvres. Presque innocent. Il a l’air d’un gamin tout fier de lui. Est-ce qu’il vient de me faire l’amour ou parce que son gâteau est plutôt bien réussis ? Il est craquant. J’ai froid, je zieute en direction du couloir pour voir si mon t-shirt trainerait dans le coin. Plus ou moins. Je m’approche de lui et glisse ma main dans son dos. Dans ses mimiques et dans ses paroles je retrouve le Ji Ho innocent et doux que j’ai toujours connu. Et dans un sens ça me rassure qu’il soit toujours là. Je m’en serais voulu que tout soit différent entre nous. Je lui souris doucement en croquant un bout de gâteau du bout des lèvres. Je n’ai pas très faim. Mais soif, si. Je finis par m’asseoir, le frigo est trop loin, j’ai la flemme de bouger ma carcasse jusqu’à là bas. Ji Ho dépose un baiser sur ma joue, il sent le chocolat. Je souris, amusée. Je grignote son gâteau et lui dit « Il est super bon ton gâteau Ji ! » Et je le pense. Puis je me relève et me traine jusqu’au frigo où je bois la moitié de la bouteille de jus d’orange. Dieux que c’est bon. Je referme la bouteille et la lance à Ji Ho.

Lui qui a fait le plus d’effort, doit avoir soif. Je lui souris en passant une main sur mon front moite. Je suis bien silencieuse. Mais ce n’est pas que je suis contrariée par quoique ce soit, c’est juste que je suis … dans mon monde. Et je suis bien. Je continue de sourire doucement. Je m’approche de Ji Ho et me glisse dans son dos pour enrouler mes bras autour de son cou. je caresse ses cheveux et lui murmure « Repose toi bête féroce, j’ai envie de m’occuper de toi un petit peu. » Et pas une question de maladie ou quoi, non juste que j’ai envie de le remercier. Il sait comme je peux être, je déteste ne pas pouvoir rendre ce qu’on me donne. Je veux juste … ouais qu’il reste là, deux secondes avant que je ne puisse me blottir dans ses bras. Je lui ramène son t-shirt et son boxer en les posant sur la chaise à côté de lui. Je ne veux pas qu’il attrape froid. « Je finirais le gâteau tout à l’heure » je dépose un baiser sur sa tempe et me détourne pour aller prendre une douche. Je repense à tout ce qu’il vient de se passer. De la façon dont on couché ensemble. Je ne me suis pas reconnue, vraiment pas. et si c’était grisant pendant qu’on faisait l’amour, ça avait quelque chose de troublant. Je baissais mon regard vers mes cuisses pour y voir apparaitre des traces rouges que la table à laissé. Et sur mes poignets des bleus apparent. On peut voir la forme de ses mains. Je ne pensais pas que c’était à ce point.

J’ai un peu honte, mais la culpabilité s’envole bien vite au souvenir du plaisir que j’ai ressenti. Tant pis si ce n’est pas moi, personne si ce n’est lui, ne m’a vue dans cet état … ça sera notre secret. Un sourire étire mes lèvres alors que je coupe l’eau chaude après y être restée de longues minutes. Je sens la framboise maintenant, comme d’habitude. J’enfile un débardeur et un gros pull que Ji Ho a oublié chez moi il y a longtemps et qu’il n’a jamais réclamé. Son parfum a été remplacé par le mien mais j’aime toujours autant le porter. J’enfile un short en coton, que j’ai miraculeusement retrouvé accroché à la porte. Comme si mon esprit avait refusé de le voir là. Je sors pied nu de la salle de bain en me séchant les cheveux. Quand j’aperçois Ji Ho j’ai qu’une envie, c’est de me blottir contre lui. J’enroule mes bras autour de se taille et enfoui mon visage dans le creux de son cou en y respirant son parfum. Je tiens vraiment beaucoup à Ji Ho. Depuis qu’on est né on est ensemble. Je ferais quoi moi le jour où il sera plus là ? A cette pensée je relève mon visage vers lui et dégage une mèche de cheveux de son front. J’ai envie qu’il prenne un cachet. Mais si je lui dis … je sais qu’il m’envoyer chier ou que je vais le vexer. Il le fera, il le prendra ce foutu cachet, mais il y aura quelque chose de gâché. Et puis … il y a tellement de choses dont j’ai envie de parler avec lui. sans que ce soit un jeu … Je veux juste des réponses. « Tu veux prendre une douche ? » finissais-je par demander, alors que je me rendais compte que ça faisait un moment que je le fixais songeuse. « Tu veux prendre une douche ? » finissais-je par demander, alors que je me rendais compte que ça faisait un moment que je le fixais songeuse. Puis j'ouvrais la bouche pour jaouter quelque chose mais me ravisa bien vite, non décidément, je ne voulais pas gâcher notre soirée. Mais pour masquer mon hésitation je lui demandais " Tu as rangé la cuisine ou je le fais petit coeur ?"





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Im Ji Ho
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MessageSujet: Re: You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- You know what words work on me - 18! etmotcrufaitesgaffeleschats <3- - Page 3 EmptyMar 12 Aoû - 16:16

Su Nah &  Ji Ho ❥ " La seule vraie tristesse est dans l’absence de désir.".



J’ai encore du mal à me dire que je viens de faire l’amour à Su Nah, sept ans après la dernière fois. Normalement, toute personne normalement constitué est capable d’oublier son ex petite amie après un an voir en quelques mois mais nous… C’est tellement différent, c’est comme si durant toutes ces années, notre couple reprenait forme à chacune de nos rencontre. Notre proximité avait créé quelque chose comme cela, quelque chose qui vous donne l’impression de n’être jamais seul… Un couple sans les mots et sans le sexe… Un couple qui ne pouvait plus résister parce qu’elle et moi avons évolué, parce que elle et moi en voulons plus, parce que elle et moi, on n’est pas comme ça… On n’est plus des enfants… Alors on se cherche, on n’ose pas et puis finalement on essaye, on veut se faire plus beau que l’on est, on cherche à ce que l’autre nous remarque alors que c’est déjà le cas, on cherche à être différent des autres, à ne pas inquiéter l’autre, à ne pas casser ce lien qui nous unit depuis si longtemps… Tu te souviens Su Nah qu’on devait se marier ensemble ? Je ne peux ni t’offrir la robe, ni les bijoux mais je peux te promettre un amour éternel pour le meilleur et pour le pire… Alors faisons comme si tout était normal, reprenons notre ancienne vie pour replonger dans la luxure quand l’un d’entre nous perdra pied…

Alors maintenant que nos corps n’en peuvent plus, que tu restes affalé sur moi, que je sens ton corps brulant contre le mien… Il va nous falloir faire comme si de rien n’était. Pourtant quand elle me fait remarquer que le gâteau doit avoir brulé depuis le temps, je lui fais ma mimique ultime en mode « ah oui ? » alors que j’ouvre le fur et qu’à sa plus grande surprise, aucune fumée noire n’en sort. Et oui, quand je l’ai emmené dans la cuisine, tout en la portant, j’ai eu assez de lucidité pour penser à éteindre le four ainsi, quand je sors le gâteau, il est parfait. Bon, un tout petit brulé en dessous mais sinon ça va. Je commence alors à le découper, et lui en tend alors une part qu’elle dévore sous mes yeux tandis que je dépose un baiser sur sa joue. Elle me dit apprécier mes talents en pâtisserie, j’esquisse un sourire et lui répond avec douceur, chose que je n’avais pas fait depuis quelques temps.

« Ben oui, il est fait avec amour ! »

Elle se dirige alors vers le réfrigérateur, en sort une brique de ce qui semble être du jus d’orange et le boit d’une traite avant de me l’envoyer pour que j’en profite également. Silencieuse alors que je termine la boisson que je balance dans la poubelle, elle s’approche alors de moi et me prend dans ses bras. Et dire que je pensais que lorsque le plaisir te quitterait, tu me rejetterais… Alors on fait comme si rien ne s’était passé. Comme d’habitude ? Elle me dit de me reposer, m’appelant « bête féroce » puis me disant qu’elle a envie de s’occuper de moi… Ok… Est-ce en rapport avec ma maladie ? me pense-t-elle trop faible pour continuer à agir normalement ? Je ne sais pas, Su Nah est le genre de fille a toujours s’inquiéter même quand il ne faut pas. Elle me ramène mon boxer et mon tee-shirt qu’elle pose sur la chaise. C’est mignon mais… Je ne vais pas remettre des vêtements que je portais avant… Tout ça…

Quand elle me dit finir le gâteau plus tard, je lui souris timidement alors qu’elle embrasse ma tempe pour se diriger vers la salle de bain pour aller prendre sa douche. J’entends l’eau couler et pourtant, je reste assis là sur ma chaise à repenser à ce qu’il vient de se passer. Pendant quelques minutes, je ramasse tout ce qui a ravagé le sol, tout ce que j’ai envoyé bouler juste pour la prendre sur ce plan de travail. Son regard… Il est tellement beau… Elle revient alors vêtue d’un pull très différent de tout ce que j’ai pu la voir porter depuis le début de la soirée, elle sent… La framboise… Comme toujours… Depuis combien de temps n’a-t-elle pas changé de gel douche ? Un an et demi je pense ? Avant c’était la mûre… Tiens donc son short en coton… Comme un retard, une façon de me dire que c’est finit les bêtises… Qu’elle a son short protecteur… Je la fixe et lui sourit alors qu’elle me demande si je veux prendre une douche alors qu’elle me fixe droit dans les yeux pour finir par me demander si j’ai besoin qu’elle fasse le ménage dans la cuisine. Je la fixe et lui sourit.

« Non je m’en suis occupé. Aurais-tu oublié que la princesse n’a pas à faire les tâches ménagères ? »

Je dépose un baiser sur la commissure de ses lèvres et me dirige vers la salle de bain avant de revenir vers elle. Sans oser la regarder, j’ai envie de lui poser une question mais je n’ose pas… Hmm… Je dois me forcer… Et pourtant, je murmure doucement avant de fermer la porte de la salle de bain comme pour ne pas vouloir entendre sa réponse.

« Tu le pensais vraiment ce que tu as dit à la fin ? »

Qu’il y aurait d’autres nuits… Que ce n’est que le début… Ainsi, je passe l’eau brûlante sous mon corps que j’accroche à l’attache alors que tel un sage sous une cascade je reçois le jet sur mon crâne… J’attrape alors son gel douche. Moi aussi j’ai envie de sortir la framboise et me lave avant de sortir, une serviette attaché autour de mon corps, de la même façon que la dernière fois. Cette fois, je me dirige vers sa chambre et attrape un tee-shirt qu’elle doit surement porter pour dormir et qui pourtant m’appartient avant de remettre un boxer et un jean. Je marche alors vers le salon et revient, déposant un baiser sur son crâne et m’approche de sa dvd thèque. Et choisit La Belle Au Bois Dormant de Disney. Je l’insère alors dans son lecteur et vient m’installer sur le canapé ou elle m’attendait et murmure tout en passant mes mains autour de sa nuque.

« Tu penses que c’est grave si je ressent de l’envie quand je te regarde ? J’ai essayé de le faire disparaître… Mais je ne sais pas… Il n’y a que toi… »

Je me sens un peu gêné de dire ces mots que j’ai prononcé sans soucis quand je lui faisais l’amour. Le film démarre… Je regarde les robes et sourit avant de lui dire doucement.

« Tu serais trop belle dans ce genre de robe… »

Oui… J’aimerais tellement être ton prince charmant Su Nah même si au final… je ne suis pas mieux que quasimodo… j’ai ma bosse d’une certaine manière… Mais tu m’aimerais quand même hein Su Nah ?

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