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 Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing.

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ksos professionnel
Ko Man Nai
Ko Man Nai
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MessageSujet: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptyLun 7 Avr - 19:43


Entre le président pétalous et bluing ce n'était certainement pas une histoire d'amour, dieu que non, c'est comme si tu mélangeais du coca et du mentos, c'est explosif. Autant dire que, moins ils se voient et mieux ils se portent, mais ils aiment tellement s'envoyer chier que se priver de cela serait dommage. Sauf que l'espèce de choses de Kyu Bok était allée plus loin, il s'imagine quoi ? Que Man Nai n'allait pas savoir qu'il était le principal responsable de l'incendie chez les péteux ? Ils auraient pu en rester à leur nombreuse prise de bec de qui était le meilleur président, qui avait la meilleure fraternité, des trucs banals entre les fraternités d'une université quoi, mais non il avait décidé de mettre le feu chez les péteux et Man Nai n'allait pas en rester là, il avait prévu sa vengeance depuis l'incident qui à causer des dépenses inutiles à la fraternité, l'obligeant à trouver un moyen de récupérer l'argent perdu. Man Nai n'allait pas rester calme dans son coin et fulminer contre l'imbécile de bluing habiller comme un sac de patate et avec un nombre incalculable de tatouage tous aussi laid que lui, il venait de sortir de prison ou quoi ? Bref, tout était prévu pour rendre au centuple ce qu'il avait fait à la résidence, accompagné de celle qui était toujours partante pour un coup foireux. Les Bluing n'étaient chez eux pour la soirée, tout avait été minutieusement préparé pour que les lieux du délit soit entièrement vide de présence humaine.

« Heureusement qu’on a fait un tour chez le coiffeur, le masque de ninja passe mieux là, alors à partir de maintenant, tu es Raiponce et je suis Shang. »

Les deux protagonistes étaient arrivés devant la résidence des bluing. Tout avait été réfléchi pour mener la mission à bien, une préparation minutieuse dans les moindres détails à commencer par la chevelure de Jah Na, chevelure comparable à celle de Mérida en temps normal, mais en ce soir de vengeance c’était devenu Raiponce et ce n’était pas de l’humour, elle avait de très long cheveux.

« Bon Raiponce, toi va par le côté droit et moi j'irais vers la gauche histoire de s'assurer que personne n'est à l'intérieur, tiens, ce sont des oreillettes spéciales, soyons des ninjas à la pointe de la technologie et restons en contact, l'abîme pas, ses trucs coûtent vachement cher, on se rejoint au rez-de-chaussée, allez go. »

Man Nai parti de son côté, tout était calme, les bluing étaient certainement partie faire la fête chez les tséubés, comme on le dit si bien « qui se ressemble, s'assemble » et c'est deux fraternités ne faisaient pas exception à la règle, notre président afficha un sourire narquois, on ne s'en prenait pas à sa fraternité sans en subir les conséquences, Kyu Bok avait déclaré la guerre à Man Nai, pas de quartier, tout est permis. Man Nai entra par le jardin des bluings pour se rendre au rez-de-chaussée, ce débile profond ne s'était pas assuré que la baie vitrée menant à leur jardin était ouvert, franchement ce n'était pas chez les péteux que l'on trouve ce genre d'oublie. Bref, Man Nai entra dans l'entre désastreuse des bluing, les mains sur les hanches, il s'assura que son binôme était toujours de ce monde.

« Je suis à l’intérieur Raiponce, je me dirige vers le réfectoire, j’ouvre les robinets, à tout de suite. »

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MessageSujet: Re: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptyMar 8 Avr - 20:40

Les drames apparus à notre fraternité valaient bien une petite vengeance. Et forcément, Mannai avait tapé d’un poing ferme sur la table pour déclarer la guerre à ces petits pouilleux de bleus. Bon, ok, c’est une vision des choses très hitlerienne, limite. Mais. Mais rien. Dans ma tête, c’est comme ça que ça se passe ; et ça finira mal pour messieurs et mesdames les pseudo-artistes. Des artistes ? Pouah ! Des ratés, oui. Ces mecs-là vivent pas sur la même planète que nous, ô divins intellectuels. A NOUS LE POUVOIR BORDEL DE MERDE ! Quoiqu’il en soit, le cher homme qui sert de président aux péteux m’a accordé une énième fois sa confiance en me mêlant à son plan de dégénéré. FORCEMENT, je pouvais pas refuser ! J’ai moi-même besoin de me venger pour ce que ces petits pédés nous ont fait. Sérieux, ils ont cru qu’ils pouvaient cramer notre frat et s’en tirer comme ça ? Bah putain, ils sont vraiment loin en-dessous de nous ceux-là.

Mannai sait parfaitement que quand il s’agit de faire des coups foireux, je réponds toujours présente, et surtout à ses côtés. Mais même si on avait tout préparé à l’avance, une chose clochait : mes cheveux. Déjà, les fringues qu’on avait prévu pour notre petite virée ne passaient pas spécialement bien. Et deuzio, si on devait se faire voir par qui que ce soit, on me reconnaîtrait bien trop vite. J’aurai certes aucune honte à dire que j’étais dans le coup, mais pas besoin de se faire remarquer dès le début ! Alors, un passage chez le coiffeur était à prévoir, lui aussi : et de Mérida je passais d’office à Raiponce, comme Monsieur Ko me le disait si bien. Bref. Les bleus n’étaient pas là, notre plan se voyait dorénavant lancé ! Et rien qu’à l’idée de péter toute leur baraque, j’en étais déjà excitée comme une puce… sans vraiment le montrer. Juste prête comme un soldat. Ou peut-être même comme un légionnaire. A voir. « Affirmatif, chef ! Ma vie est toute tracée avec ces cheveux, plus aucun obstacle ne se trouve sur ma route dorénavant ! » disais-je en souriant sous mon masque de vieux ninja rouillé du trou fion.

J’attrape l’oreillette qu’il me file en hochant la tête, l’enfonçant minutieusement dans mon oreille. « J’ai une tête à casser ce genre de choses, peut-être ? Pouah, tu me déçois, Shang. » Sans attendre une quelconque réponse de sa part, je suis partie me faufiler entre les buissons et sous les branches du grand arbre sur la droite de la maison, en faisant le moins de bruit possible. Ma tête se levait de temps à autres pour observer à travers des fenêtres et m’observer que personne n’était là ; et à croire ce que j’avais vu jusqu’à arriver à l’arrière de la baraque, effectivement, aucun de ces petits pouilleux n’était là. Tant mieux ! Ils auront une bonne surprise en revenant les uns après les autres ! Je m’étais dit, en passant dans toute cette verdure, que pour rendre cette tenue plus colorée, deux-trois branches par-ci par-là ne feraient pas de mal ; alors, en deux deux, j’arrachais des branches et en passais dans mes cheveux. Aussi classe que les bleus ! « Je te rejoins, je passe au toilette pour ouvrir le robinet ! » Plus rapide que la lumière, et pour rattraper le temps que j’avais perdu pour la jolie déco qui arborait dorénavant mes cheveux, je passais par la porte à droite de la maison et, comme dit, me dirigeais directement au toilette, pour au final me planter dans le salon et observer toute la merde qui y régnait. « Je t’attends dans le salon. » Ceci dit, je me mis à regarder autour de moi pour observer ce qui pourrait bien être embarqué ou saccagé…
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Ko Man Nai
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MessageSujet: Re: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptyVen 11 Avr - 3:29


Opération piscine géante chez les bluings était en marche et Man Nai ne pouvait pas trouver mieux que Jah Na, son binôme pour les coups les plus foireux au sein de la si prestigieuse université de Suwon. Tout était prévu, la classe à l’état pur, digne des péteux quoi, costume de ninja, matériel d’espion et surtout un plan infaillible. On aurait beau dire des péteux qu’ils sont ennuyants et geek, il n’empêche qu’un péteux pouvait monter des plans dans les moindres détails, un péteux réfléchi avant d’agir, il n’avance pas comme un imbécile heureux, inutile de préciser qui était l’imbécile heureux dans le cas présent, c’était aussi évident que : ad/ab = ae/ac et  ad/ab = de/bc. Oui aussi simple que la formule de Thalès, mais au cas où il y aurait encore des Incultes, l’imbécile heureux n’est autre que Nam Kyu Bok. Ceci étant dit, il ni avait plus de temps à perdre dans les futilités, il était temps de passer à l’attaque et c’est ce que Shang et Raiponce fissent, chacun d’entre eux partie de son côté et comme prévu personne n’était présent, ils étaient tous allés chez les tsébés ou étaient allés forniquer quelque part dans Suwon. La résidence des bleues était à la merci des péteux, rien que d’imaginer à quoi aller ressembler la résidence était euphorique, trop de joie dans le cœur du président, mais avant de crier victoire, il fallait passer à l’acte.

Une fois à l’intérieur, Man Nai alias Shang à l'heure actuelle s’assura que Raiponce était encore dans ce monde, elle était bien vivante et se diriger vers les toilettes, il trouva son initiative beau et s’attela au sien, ouvrir les robinets du réfectoire, saccageant leur réfectoire d’artiste incompris du monde d’après certain. Sa mission dans le réfectoire fini, il rejoignit Raiponce au salon.

« Euuuhh, tu voulais t’assurer que le réseau passe ? »

Lorsqu’ils s’étaient quitté à l’extérieur de la résidence, Jah Na avait un costume normal et pas des feuilles un peu partout et des antennes sur la tête. Elle voulait faire quoi là. S’assurer de passer incognito comme à l’armée. Mais il n’avait pas de temps à perdre, il fallait profiter de la non-présence d’un bleu pour saccager au maximum leur résidence.

« Maintenant que nous sommes sur le territoire de l’ennemi, procédons de façon intelligente, on fait notre job, je m’occupe de la chambre du sac de patates qui leur sert de président et toi, tu uummhhhh. Tu as quelqu’un ici de détestable. Et si tu vois un rocking-chair, TU L’ ÉPARGNE, longue histoire, ne cherche pas à comprendre. »

Man Nai insista sur le « TU L’ÉPARGNE. » pourquoi épargner le rocking chair ? Tout simplement parce qu’il appartient à Syuhei, le garçon avec qui Man Nai avait créé un lien assez fort pour épargner ses affaires durant sa vendetta et en l’occurrence le rocking-chair, Man Nai connaissait l’amour que le Nippon avait pour sa chaise et même s’il trouvait cela assez étrange, il savait que cela brisera le cœur de Syu.

« Et une bible aussi, touche pas, ton séjour en enfer sera plus tôt que tu ne le pense, le propriétaire s’en assurera. Alors la Bible et le rocking-chair, on y touche pas, mais fait toi plaisir pour le reste. »

Oui la Bible de Jegal était aussi à épargner, parce qu’il on avait besoin pour exorciser sa sœur des démons qui l’habite.

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MessageSujet: Re: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptySam 12 Avr - 11:20

Trop de sérieux tue le sérieux ; et forcément, moi, le sérieux me déplaît un peu – beaucoup. Alors j’ai fait ma mini-crise – enfin, pas vraiment une crise mais on va appeler ça comme ça hein – en me foutant des branches un peu partout avant d’assurer à mon acolyte que je me dirigeais vers les chiottes… J’avais dit que je me contenterais d’ouvrir le robinet. Sauf que bon, mon imagination m’a rattrapée ; et c’est une fois sortie, debout au milieu du salon à observer le prochain objet à victimiser, qu’une idée traversa mon esprit. Boucher les toilettes ? Oh, oui ! Et je suis même quasiment certaine que dans leur jardin j’arriverai à trouver de bonnes petites merdes à foutre dedans… Allez. Des insectes, des animaux qui chient partout, je suis sûre qu’il y en a ! Alors, easy la miff. Et à priori, ça devrait pas me prendre trop de temps… Un petit rire sadique traversa l’entre de mes lèvres alors que Shang me sortait déjà de mes pensées. Le réseau ? Bah oui pardi. « On n’est jamais trop sûr de rien, tu sais ; alors mieux vaut s’assurer de tout coco, et aussi de rien d’ailleurs. » S’il croyait que la mission avec moi resterait sérieuse jusqu’au bout, il me déçoit ; il devrait savoir, à force de faire nos coups foireux ensemble, que la situation dérape toujours.

Quoiqu’il en soit, je suis consciente qu’on a pas de temps à perdre et qu’il faut s’assurer du bon déroulement de notre escapade… et aussi de ne pas se faire chopper. Ce serait con, vraiment. Enfin, y a deux alternatives à se faire chopper : soit on les entend arriver et on a le temps de déguerpir en se faisant entrevoir en vitesse, soit on se fait prendre sur le fait et coincer par la même occasion. Dans le dernier cas, on aura qu’à leur faire une démonstration de Kung-Fu et je ferai de mes cheveux un serpent s’enroulant autour de leur gorge pour les étrangler… Ok, j’exagère. « Un rocking-chair ? Dommage, je me serais bien éclatée à le démembrer… Tu me demandes une chose bien difficile là. Mais pas de souci, je vais m’occuper du petit con qui me sert de… rien. » dis-je en soupirant avant de l’entendre parler d’une Bible. Quoi encore ? Aussi à pas toucher ? « Ok ok, c’est bon. Go ! » J’ai pas attendu plus de deux secondes pour me jeter dans les escaliers et monter 3 marches à la fois ; j’ai beau être petite, je suis agile – et merci le sport h24. Aucune idée de s’il m’a suivie ou non, mais ça m’importe peu ; ce qui m’importe, là, c’est d’exploser la chambre d’Inho. Oh qu’il va prendre cher…

Pas certaine d’être arrivée dans sa chambre, j’ai malgré tout maté ce qu’il y avait à briser… Et forcément, j’ai vu cette guitare sur un socle. Oh, quelle beauté ! Le propriétaire avait l’air d’en prendre drôlement soin et la suite me ferait presque mal au cœur… Tant pis pour lui, il avait qu’à venir chez nous, et pas chez ces petits pouilleux de bleus. J’ai choppé la guitare, fait délicatement glissé mes doigts sur les cordes et joué vaguement une petite mélodie au pif… franchement, j’ai rien d’une artiste et je pourrais limite leur envier leur talent. Je l’ai posée contre un mur pour faire un tour dans la chambre, ouvrant les armoires et en sortant tous les fringues que j’ai gentiment disposés devant la porte pour pouvoir les embarquer en repartant. Oh, tiens donc… quelle belle télé ! Une télé, une guitare ? Je crois que j’ai toujours rêvé de pouvoir faire ça. Alors, j’ai attrapé la guitare, caressé le bois lisse du bout de mes doigts avant de chopper le manche dans ma main pour au final éclater le bas de la guitare contre l’écran… Cependant, pas assez pétée à mon goût. Alors j’ai reposé la guitare sur le lit et poussée la télé pour la faire tomber au sol. Un sourire machiavélique sous mon masque, je me suis mise à chantonner l’une des chansons les plus joyeuses qui me venait en tête en sautais sur ladite télé. Et la pauvre, qu’elle prenait chère !

Une fois mon excitation sur cette pauvre chose terminée, j’ai saisi la guitare dans mes mains, posée contre un mur et mis un coup de pied entre le manche et le « corps » pour la briser en deux. Mais là non plus c’en était pas assez… alors j’ai pris ledit « corps » de la guitare et je l’ai balancé par la porte ouverte, le faisant s’éclater contre le mur du couloir qui me faisait face… Et je l’ai laissée traînée là, choppant le matelas du lit pour le balancer dans les escaliers et le faire inonder avec le salon une fois que l’eau aura atteint l’endroit. Je me demandais si j’en avais vraiment fini avec la chambre… Mais la réponse fut vite trouvée puisque je me mis à la recherche d’un objet coupant pour au final marquer sur la porte « amour ou haine ? » et, juste dessous, un « BISOUS » accompagné d’un cœur, l’un des plus beaux que j’ai fait jusqu’à présent. Oh, que c’était beau. « Première chambre faite… peut-être que je reviendrai, c’est pas suffisamment joyeux à mon goût. Mais le temps, on verra selon le temps. » dis-je dans le mini-micro qui accompagnait l’oreillette à l’intention de mon fidèle coéquipier. « J’espère que tu t’amuses, moi je bouge à la prochaine ! »
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MessageSujet: Re: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptyMar 29 Avr - 7:00


Chacun était parti de son côté de la résidence et aux bouquant que faisait Jah Na dans son côté de la résidence, il était clair que notre président a bien fait de lui parler du rocking-chair. Rien qu’au son elle venait de briser une guitare en deux et de façon très violente et avait démoli une télé. Man Nai ne savait absolument pas ce que le propriétaire de la guitare lui avait fait, mais une chose était sûre et certaine. Cela devait être assez vache pour que miss betty boobs lui explose sa guitare et sa télé. Si Man Nai avait un cœur il aurait éprouvé de la compassion vis-à-vis de la personne, mais Man Nai n’avait pas de cœur et il trouvait les histoires d’amour d’un ridicule hallucinant. Donc bon, il s’en foutait royalement et dans l’immédiat, il avait d’autres priorités. Comme trouver la chambre de leur hideux de président et lui apporter de l’aide pour refaire son dressing.

« OH MON SIGMUND FREUD. Cela ne peut-être que la chambre de ce sac de patate, rien que la vue, j’en aie mal à la rétine. »

Convaincu que cela était la chambre du sac de patates, le jeune et beau président péteux se dirigeaient vers le placard. Bingo, il avait trouvé la bonne chambre et du premier coup. On est péteux ou on ne l’est pas. Bref, sans s’attarder plus sur la laideur de la chambre et sur le désordre qui y règne, Man Nai attrapait les vêtements du Bokal et les jeta à terre. Ceci étant fait, il sortit l’huile de vidange de son sac à dos. Sourire en coin, Man Nai renversa de façon généreuse l’huile sur chaque vêtement, chaque caleçon de Nam Kyu Bok. Les deux présidents n’étaient pas en très bons termes et ce n’était un secret pour personne. Sauf qu’ils tentaient de ne pas extérioriser contre la confrérie entière, mais seulement entre eux. Enfin c’est ce que Man Nai pensait avant de voir le désastre de sa pelouse petalous et après une enquête minutieuse, il a été révélé qu’ils étaient deux et dans les deux nous avions le président des bluings. Plus con tu meurs. Bref, il avait fait de leur relation une histoire de confrérie.

« Une bonne chose de faite, maintenant les matelas. »

Huile de vidange vider, Man Nai le lança par la fenêtre. Il ne craignait pas d’avoir la totalité des bluings contre lui. À part deux ou trois membres des bluings qu’il appréciait réellement, le reste des membres il s’en fichait royalement.


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MessageSujet: Re: Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. Quand Shang et Raiponce réclament vengeance, ils font une piscine géante chez les bluing. EmptyMar 3 Juin - 20:30

N’importe qui d’autre se sentirait un tant soit peu crevé ; mais quand on s’amuse autant et qu’on peut d’une façon ou d’une autre se venger d’un quelconque ex, on en a strictement rien à foutre. Alors, fatiguée ou pas, transpirante ou pas, je me dirige vers la deuxième chambre, le menton haut, un air fier sur mon visage, un sourire sadique aux coins des lèvres. J’aime plutôt ça, à tel point que, qui sait, je pourrais m’en faire une passion, m’amuser à faire ça chaque semaine, et peut-être même me faire payer par des meufs qui ont la haine. C’est plutôt pas mal, mais… à voir. C’est drôle un temps, mais à force, le délire s’use et la flamme s’éteint. Qu’est-ce qu’il reste après ? Que dalle. Je crois que c’est vite vu pour le coup. Les poings sur les hanches, je me tourne pour observer la chambre dans laquelle je viens de me planter. Et, histoire de bien réfléchir et de trouver une magnifique idée en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « teub », je me suis mise à me gratter le minou d’un air des plus naturels. Ca pose problème, peut-être ?

La fenêtre me gêne. Sa gueule est moche. Elle a des tâches, tellement qu’on dirait des verrues mal traitées. C’est dégueulasse ; ils sont tellement sales que ça les bleus ? Merde alors, je les voyais pas crades à ce point ! Je sais pas, ça doit faire trois ans au moins que les fenêtres ont pas été lavées. Et cette chaise de bureau digne d’une pseudo-fashionista, elle me pète les rétines avec ses couleurs flashy. C’est la chaise de Barbie ou on vit dans le monde des Bisounours ? Pathétique. Me frottant les mains, j’attrape les accoudoirs et la balance en direction de la fenêtre, comme si c’était normal. Le boucan est horrible, je serais prête à parier que le voisinage va péter un plomb ou appeler les flics. Tant pis, le temps que ces gras du bide débarquent, on se sera déjà barrés depuis belle lurette… A moins qu’ils ne soient déjà dans le quartier, en ronde, à mater ce qui peut se passer. Pourtant, c’est pas comme si on était chez les Teubés. Des trous de fesses. Bref, la vitre n’a qu’une légère impacte, c’est assez chelou comme truc ; ils les ont renforcées ou ? Enfin, quand je dis légère, c’est pas si léger que ça non plus… Mais toujours pas suffisant à mon goût. A croire que je suis exigeante ; mais au fond, je suis une meuf, alors ça va de soi.

Une nouvelle fois, je me suis ruée sur l’armoire et en ai sorti tous les fringues qui y traînaient, même les plus laides culottes que j’ai pu trouver. C’est vide, ça traîne désormais dans le couloir, comme ceux de la chambre précédente. J’embarquerai tout plus tard, en partant, je le balancerai dans les ronces pour leur casser les couilles comme une véritable nana. Les mecs auront qu’à aller se piquer le cul pour récupérer leurs vieilles fringues démodées ; leur Desigual à deux balles. Et si ça rime, c’est pas une coïncidence, croyez-moi. J’ai quand même pris soin de balancer couette et oreillers par la fenêtre, histoire de les faire courir dès leur retour. Et qui sait, peut-être qu’il pleuvra et que le tout moisira. C’est con mais c’est tellement bon ! Si j’étais une petite pouilleuse, je m’amuserais encore à piquer leurs bijoux et tout le bordel dans le genre qui a une valeur plus ou moins grande ; mais j’ai la flemme. De toute façon, faudrait que je cache ce bordel quelque part, et dans un déguisement de ninja, merci l’inventeur, y a pas de poches. Bisous à toi trou du cul.

La commode me fait de l’œil, je suis sûre qu’il y a des trucs intéressants à l’intérieur. Mais à vrai dire, j’en ai pas grand-chose à branler, j’ai juste envie d’arracher les tiroirs et de les balancer un peu partout dans la chambre, pour au final démonter ladite commode. Et le matelas, n’en parlons pas. Le truc tranchant que j’ai trouvé tout à l’heure me donne tellement d’idées, pas forcément originales, mais suffisantes pour notre mission. Alors, après avoir attaqué le meuble, j’ai planté le truc dans le matelas et ai tiré un grand coup dessus pour y faire une large entaille. Comme si j’avais rien d’autre à foutre, je me suis amusée à balancer deux ressorts dans le coin de la chambre et ai pété les lattes du lit. Génial ! La tapisserie est tellement criarde – comme la chaise tout à l’heure – que j’ai décidé d’y faire une entaille pour en déchirer un bon gros morceau. Et une fois tout ça réalisé, j’ai choppé un ressort, suis sortie de la pièce et, après avoir fermé la porte, ai soigneusement accroché ledit objet à la poignée. Bonne rentrée les bleus ! « Deuxième chambre terminée ; t’en es où ? T’avances ? » dis-je d’une voix mielleuse dans le micro, une nouvelle fois.
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