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| Mais ta maison, c'est ma maison kwa | |
| ksos professionnel Ko Man Nai PRÉSIDENT TROP SWAGG POINT : 15 MERDES LAISSÉES : 671 ÂGE : 36 | Sujet: Mais ta maison, c'est ma maison kwa Mar 28 Jan - 21:16 | |
| La nuit était parfaite pour faire une petite visite à ma si généreuse amie, Song Ji Na. Trop de bonté en Ji Na, toujours aussi joyeuse à chacune de mes visites, comme si, j'étais la personne qu'elle attendait...Ouuuuu pas. Je pencherais plus pour la deuxième hypothèse, mais osef, que c'est drôle de squatter sa maison, naaannn pas squatter, mais vérifier si notre maison se porte bien et si la femme que, j'ai décidé de marier faisait son job de femme d'intérieur. Song Ji Na, était une formidable amie que j'avais rencontré alors que j'étais encore chez les Jeopardize, toujours fourré ensemble et ce foutre de la tête des tsebe, on faisait la paire, mais un jour, j'ai décidé de quitter Jeo pour devenir le président de Petalous, ce qui avait choqué beaucoup de gens, comment le si parfait Man Nai pouvait quitter Jeopardiza pour Pétalous ? Eh bah tout simplement parce que j'avais décidé de laisser la place à Jin Jong. Voilà comment j'ai quitté Jeo, sans pour autant perdre contact avec Ji Na, bien au contraire, j'étais resté plus proche d'elle que des autres, à tels points que mon père me mis au courant d'un contrat entre sa famille et la nôtre. Depuis ce jour, j'ai monté un dossier sur Ji Na et me plait à vider son frigo, une activité très plaisante. C'est après toutes ses réflexions que, j'avais choisi de rendre visite à Ji Na, elle en avait tellement l'habitude que, j'avais ma propre chambre, si ce n'est pas de l'amour ça, faut m'expliquer c'est quoi. Bref, sur le trajet afin de me rendre chez mon hôte du soir, je réfléchissais à la façon de faire une entrée fracassante, digne du parfait moi et oui, il fallait que je marque mon entrée, qu'elle ressente bien ma présence, qu'elle se sente moins seule dans sa maison. Sauf que je n’avais pas prévu que le trajet en voiture serait rapide, d’habitude il y avait de la circulation à cette heure-ci, marde, je n’avais pas de plan, tant pis, je trouverais sûrement une autre façon de marquer ma présence. Toquant à la porte, j’étais étonné de voir que c’était une employée de maison qui m’ouvrait. Ji Na était-elle de sortie ? Non, il passait le nouvel épisode de Game Of Thrones passait à la télévision, il ni avait aucune chance qu’elle quitte la maison, je demandais confirmation à l’employée, elle me répondit que Ji Na était bien dans le salon à regarder Game Of Thrones et qu’elle allait annoncer que j’étais arrivé. D’un bon, j’arrêtais l’employée dans son élan de dire que je venais d’arriver, j’avais une meilleure idée. On pouvait entendre le générique de la série, puis le blablatage des personnages, jetant un coup d'oeil, je remarquais que Ji Na était concentré devant son écran, mais vraiment concentré, tu pouvais toujours l'appeler qu'elle s'en foutait carrément. Elle avait la position idéale, j'avançais à petit pas vers elle, prenons grand soin de ne faire aucun bruit, les scènes qui passèrent dans la télé devenaient de plus en plus angoissantes, tu avais machin là, le bâtard des Stark qui venait de passer de l'autre côté du mur et les marcheurs blancs qui avançaient de plus en plus. La tension était palpable et d'un coup les marcheurs blancs attaquaient, le moment de faire mon entrer, avec le bruitage parfait de la série, je posais mes mains sur les épaules et cria de la voix la plus grave que, je pouvais atteindre : « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » À peine mon cris fini, j'explosais de rire, c'était assez méchant de ma part, mais je trouvais cela très drôle. La réaction de Ji Na, les employés qui s'étaient tous rués dans le salon pour voir ce qui se passait. La soirée allait être drôle.
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| | ksos professionnel Song Ji Na MONEY, FAME POINT : 29 MERDES LAISSÉES : 184 | Sujet: Re: Mais ta maison, c'est ma maison kwa Mar 28 Jan - 21:54 | |
| Haaaan c’était la SOIREE qu’elle attendait le plus dans la semaine, plus qu’aller faire la fête, plus que d’aller au cinéma, c’était THE soirée. Ouais, ils passaient le dernier épisode de la saison de Games Of Throne, et elle n’avait aucune envie de rater cet épisode. Plutôt se couper la main, et l’offrir a un cactus aish. Enfin bref, elle avait arrangé tout son planning, et le soir même, c’est avec un air de gamine toute contente qu’elle s’était vautrée dans son canapé, devant la télé, avec des provisions pour tenir un siége. Bonbons, petits gateaux salés, du thé, du coca, elle avait sorti beaucoup de choses. Puis a l’heure convenue, elle s’était installée, avec son paquet de gateaux, et fixait la télé d’un air hyper concentré. Petit A°) elle regardait l’épisode en anglais, et petit 2) Pourquoi Jon Snow, hein pourquoi ? Pourquoi cette rouquine ? Enfin bref, c’était un autre débat qui n’était pas le point ce soir là. Elle était dans sa petite bulle, et ce qui se passait autour lui importait vraiment peu. Si bien qu’elle n’entendit pas la porte sonner. Ni celui ou celle qui s’était faufilé dans le salon, derrière elle, pas plus que les mains se poser sur ses épaules. Ce n’est que lorsqu’elle entendit un
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH »
retentissant dans ses oreilles, et qu’elle fit un bond de frayeur, en criant de toutes ses forces, qu’elle reprit contact avec la réalité. Et sans préavis, elle balança le contenu de son verre d’eau sur la tête du cinglé qui venait de lui faire la peur de sa vie. Elle sentait son cœur battre a deux cent a l’heure. Elle jeta un regard a la télé, l’épisode était encore au milieu, mais elle avait loupé le fil maintenant. Elle soupira, avant de se retourner furieuse, et de voir les employés accourir dans le salon, inquiets, avant de soupirer, et de jeter un regard furieux au cinglé, qui n’était autre que Man Nai, qui était rigolait de sa propre connerie. Et c’était censé être un génie hein ? Mon cactus que ce n’était pas vrai aish …
« YAH. T’essaie de me tuer ou quoi ? Imagines j’aurais été cardiaque sombre idiot, tu m’aurais tuée. Puis comment t’es entré, sérieux ? Va falloir que imprimer que c’est chez moi ici.»
Et en l’ignorant, elle fit signe aux employés de sortir, et de circuler, y’avait rien a voir.
« Qu’est ce qui t’amènes cette fois ci ? Tu as essayé de me tuer, tu m’as bouffé la fin de mon épisode…. Franchement, pour un génie hein… Tu m’excuseras mais ca fait vraiment teubé. »
Elle lissa son pyjama, enfin son tee shirt trop grand et son pantalon de pyjama d’un air fatigué. S’il se pointait, ca signifierait qu’elle n’était pas au bout de ses peines. Quand il débarquait, c’était a) pour vider son frigo, b) pour l’énerver, c) pour être sure qu’elle ne dormirait pas, parce que voir le petit b. Ouais, c’était son casse pied personnel, et le pire dans tout ça, elle pouvait pas le foutre dehors à la minute, parce qu’il savait pertinemment que son père ne le tolérerait pas, et qu’en prime, il pouvait dire toute sorte de choses sur elle qu’elle n’aimerait pas savoir publiques. Enfin bref, elle n’avait jamais eu de conflits avec lui, ils s’entendaient même plutôt bien, jusqu'à ce que cette sombre histoire de contrat ressorte. Mais bizarrement, elle s’en moquait un peu, une fois ses études finies, elle prendrait la poudre d’escampette, loin, très loin et surtout SEULE. La lune était la meilleure option mais la Suisse lui plaisait bien tiens. Enfin bref, elle s’étira, avant de dire
« J’te préviens, tu vas pas camper ici 15 ans, je suis pas d’humeur. »
Et je vais surtout re-regarder l’épisode que tu m’as gaché sale traître. Okay, même un gosse de cinq ans l’aurait compris, mais elle s’en foutait. Nan mais allô quoi, fallait pas pousser !
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| | ksos professionnel Ko Man Nai PRÉSIDENT TROP SWAGG POINT : 15 MERDES LAISSÉES : 671 ÂGE : 36 | Sujet: Re: Mais ta maison, c'est ma maison kwa Mer 12 Fév - 12:00 | |
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J'adorais vraiment passer du temps avec Ji Na, la faire, raconter qu'elle est une femme à marier, lui dire que sa maison est aussi la mienne, car oui je passais autant de temps dans cette maison que, dans l'appartement des enfants Ko, c'est quand même bien beau l'amour que j'ai pour Ji Na. Trop de générosité en moi, faudrait ériger une statue en mon honneur. Je venais de donner à Ji Na une sorte d'arrêt cardiaque, heureusement qu'elle n'est pas une mamie, je n'aurais pas donné cher de sa peau et je ne voulais surtout pas avoir sa mort sur la conscience, un être si parfait ne peut pas se permettre ce genre de tâche pour mon entrée au paradis des gens intelligent, oui oui je voulais être au même endroit qu'Ampère, Agache, Archimède et tout ce qu'il y avait de mieux dans l'industrie scientifique et littéraire. J'estimais que je méritais au moins ça, après ce que je dois supporter H24 sur terre. « Dieu tout puissant soyez généreux avec moi pour ma vie après la mort, je souffre déjà assez sur terre, s'il vous plait, mettez-moi au même endroit que les plus grands génies que cette terre a connu, séparer moi de mes sœurs, je vous en serais éternellement reconnaissant. » Magnifique prière quand même, mais bon passons, ce soir était le soir où je passais du temps avec Ji Na la femme à marier dans un futur proche et ce n'est pas de l'ironie, non pas du tout, aux dernières nouvelles il y avait un contrat entre le père de Ji Na et le mien qui stipulait que nous avions un avenir grandiose ensemble ce que, je n'hésite pas à lui faire rappeler aussi souvent que je le pouvais. « YAH. T’essaie de me tuer ou quoi ? Imagines j’aurais été cardiaque sombre idiot, tu m’aurais tuée. Puis comment t’es entré, sérieux ? Va falloir que imprimer que c’est chez moi ici.» Dieu que non, je n’aimerais certainement pas mettre fin à ses jours, ma vie serait tellement monotone, même si j’adorais emmerder les tsebe, Ji Na était une activité bien fascinante à expérimenter. « C’est la gouvernante qui m’a ouvert, tu sais, les gens que tu paies pour vivre dans de beau draps de soie et sans faire le moindre effort. » Sourire sarcastique aux lèvres, je regardais Ji Na faire signe aux employés de circuler que, tout était parfaitement normal, sans faire trop attention à ce qu'elle racontait et surtout son râlement qu'on pouvait entendre à l'autre bout de la maison, je me dirigeais vers la cuisine. Tout ce chemin à faire entre l'appartement et la maison m'avait donné faim. « J’te préviens, tu vas pas camper ici 15 ans, je suis pas d’humeur. » Comme je le disais, on pouvait l'entendre à l'autre bout de la maison ou plus exactement dans la cuisine, vu que c'était l'endroit où je me trouvais actuellement. Ouvrant le frigo, je sortie du jambon de dinde, le pot de cornichons, la salade et la mayonnaise. Une fois tout cela posée sur la table de travail de la cuisine, j'attrapais le sachet de pain complet afin de faire un sandwich et... Le paquet de chips qui, n'attendais que moi. Il ne me restait que les ustensiles et faire deux voir trois sandwich et un quatrième pour Ji Na, je n’étais tout de même pas égoïste à se point. « Bah là, je squatte la cuisine, si tu veux me rejoindre, veux-tu beaucoup de mayonnaise dans ton club sandwich ? » Lui répondis-je cinq minutes plus tard et en pleine concentration de l’étalement de la mayonnaise sur le pain complet.
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| | ksos professionnel Song Ji Na MONEY, FAME POINT : 29 MERDES LAISSÉES : 184 | Sujet: Re: Mais ta maison, c'est ma maison kwa Sam 15 Fév - 1:30 | |
| Yoooo. Il se foutait vraiment d’elle. Ce fût une impression qui se confirma lorsqu’il répondit a sa première question. La gouvernante. Elle se jura qu’elle allait lui remettre les pendules a l’heure celle là. C’était plus possible. Entre Tao Jun et lui, ca faisait beaucoup à gérer. Surtout quand l’un des deux était Ko Man Nai. Oui, celui qui aimait faire de sa petite vie... Un sac de nœuds qu’elle n’arrivait pas a demêler. Entre ses blagues pas drôles, ses reflexions, et sa manie de lui vider son frigo… Alors quand il lui répondit qu’elle devait s’adresser a sa gouvernante, qu’elle payait pour dormir dans de beaux draps de soie sans se fatiguer, elle serra les poings. Avant de se mettre a souffler, pour ne pas se mettre a crier sur tout ce qui bougeait. Non, elle n’allait pas crier. Pas ce soir. Même si elle n’avait pas eu sa dose de Jon Snow. Et qu’un abruti lui avait saccagé sa soirée. Elle commença a marmonner qu’il était chiant à toujours faire ça. Et qu’elle ne payait personne, on le lui payait, et qu’elle était totalement apte a vivre seule… Ou comment aurait elle fait lorsqu’elle vivait aux Etats Unis hein ? C’était pas sa colocataire qui allait lui faire son ménage… Ni son lit. Et après lui avoir dit qu’il n’allait aps rester là 15 ans, elle réalisé qu’il avait disparu. Et a tous les coups, il était encore à son frigo. Y’avait un aimant dessus ou bien ? C’était aussi la planque a Taojun. Et il lui demandait si elle voulait beaucoup de mayonnaise dans son sandwich. En disant qu’il était dans sa cuisine. Elle soupira, avant de se diriger lentement vers la cuisine. Elle savait déjà quel spectacle l’attendait, un Mannai en train de tartiner de la mayonnaise comme certains tartineraient du nutella sur du pain complet, avec tout un tas de provisions sorties du frigo, et censées se coller dans le dit sandwich. Et ca ne rata pas. Lorsqu’elle entra dans la cuisine, ce qu’elle avait imaginé était là, sur le plan de travail. Avec un paquet de chips en prime. Et elle annonça directement. « Perso, je n’ai pas faim… Mais te gênes pas hein… Je vois que t’as déjà pris tes aises dans MA cuisine. » Elle avait largement insisté sur le MA cuisine, car elle aimait lui rappeler que c’était chez elle. Et sachant que se prendre la tête était peine perdue, vu qu’il était trop occupé a faire son repas. Puis elle s’installa sur une des chaises hautes, après avoir prit une bouteille d’eau. Et tout en le regardant faire ces sandwichs, elle ne put réprimer sa refléxion. « Tu vas devenir énorme Mannai. Genre Bibendum d’ici quelques années si tu continues comme ça. » C’est a se demander ou il mettait tout ça, genre il mangeait comme 4, et il restait toujours mince. Elle mangeait un tiers de ce qu’il avalait, mais elle prenait 15 kilos. C’était une vérité qu’elle n’aimait pas reconnaître mais passons. Il allait devenir énorme. Et elle ne put réprimer le frisson d’horreur en se disant qu’elle risquait d’épouser un bibendum. Ouais, parce qu’elle le voyait bien en mode énorme, le cul en arrière, la tête dans le frigo pour le lui vider. Enfin…bref, elle but son eau en silence, le fixant vider le pot de mayonnaise dans son sandwich, en essayant de faire disparaître cette image de son esprit. Arke arke arke. Puis en essayant de changer le sujet, et de penser a quelque chose de moins écœurant, elle demanda « Et qu’est ce qui t’amène ? Tes sœurs ont encore frappé ? »
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| | ksos professionnel Ko Man Nai PRÉSIDENT TROP SWAGG POINT : 15 MERDES LAISSÉES : 671 ÂGE : 36 | Sujet: Re: Mais ta maison, c'est ma maison kwa Sam 22 Mar - 3:34 | |
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Si j'avais une conscience, je me sentirais coupable de squatter la maison de Ji Na à chacune de mes visites qui se finissaient souvent par une nuit dans un des lits de la maison, mais hélas je n'en ai pas ou peut être que j'en ai, mais il est bien enfouie quelque part en moi, je devrais commencer à méditer sur ce sujet. Sauf que dans l'immédiat, j'étais bien trop concentré à faire mon sandwich et par politesse un quatrième pour mon hôte du soir. La mayonnaise bien étaler sur le pain, je coupais le jambon en deux, les cornichons couper en longueur et la salade devait être nettoyé. Tout était enfin prêt à être installé dans le sandwich et la tâche n'était pas de tout repos, car il fallait réfléchir à la position de chaque ingrédient qui en fera un sandwich parfait. Il me fallut dix bonnes minutes pour trouver l'harmonie parfaite, jambon de dinde, salade, jambon de dinde, salade et enfin cornichon, le sandwich parfait, Ko Man Nai, génie à l'état pur, aucun doute. J’étais trop fière de mon œuvre, la perfection à l’état pur, évidemment lorsqu’on est aussi parfait que moi, il y va de soi que, tout devait être parfait dans les moindres détails. Avec le sourire le plus beau du monde, je levais enfin la tête dans sa direction. « T’en ai sûr ? Tu rates le sandwich le plus parfait au monde, mais bon je ne vais pas non plus te forcer. » Il ne manquait plus que la boisson pour faire un repas complet et aussi un dessert, je me dirigeais donc vers le frigo, nous avions un large choix de boisson, entre le jus d'orange le coca et un pack de six bières Leffe, j'optais pour la bière, au même moment Ji Na fît part d'une remarque bien étrange. Arquant un sourcil, je refermais le frigo et déposa le pack sur la table de travail. Elle venait d'aborder un sujet sensible, je m'approchais d'elle avec un sourire narquois et de la façon la plus naturelle au monde je relevais mon pull avec fierté. « Non mais t’as vue ce six pack, regarde, tu peux me dire à quel moment est-ce qu’il pourrait ressembler à Bidendum ? Vas y touche Ji Na, touche je te dis et voie à quel point il est ferme et bien entretenue. » Attrapant sa main, l’obligeant à se rapprocher un peu plus de mon six pack ferme et bien entretenu, je posais directement sa main sur ce qui faisait d’un Ko un véritable dieu grec. « Tu vois, tu n’as aucun soucie à te faire, je serais un bon et beau mari, tu vas voir toute les femmes seront jalouse, mais pour le moment, nous nous contenterons d’une relation amicale, en tant que futur couple, nous devons apprendre à nous connaître, Song Ji Na, partageons le sandwich de l’amitié afin de sceller notre lien. » Okay là, je me foutais un peu de sa tête, je savais qu'elle n'appréciait pas vraiment que je lui fasse rappeler qu'un contrat de mariage était juste au-dessus de nos têtes, une sorte d'épée de Damoclès et en plus je faisais cela avec humour, mais au fond, j'étais encore à chercher une solution pour mettre un terme à ce contrat, fiancé par intérêt commun, arke je détestais cela, j'étais bien à vagabonder un peu partout. La vie d'enfant issue de famille aisée était vraiment horrible, j'envie parfois les pauvres d'être libre de tout mouvement et d'épouser la personne de leur choix. Histoire de changer de sujet Ji Na demanda ce qui m’amena chez elle et si mes sœurs on encore frappée. « Est-ce que te rendre visite par simple envie serait si surprenant ? Et non pour l’instant mes chères sœurs sont sages, donc quelque part dans la ville à faire je ne sais quoi avec je ne sais qui, être sage chez les Ko est très différent de sa véritable signification. » Léger soupir, je pris place sur une chaise de la cuisine afin d’apprécier le premier sandwich, décapsulant deux bière, une pour Ji Na et une pour parfait moi.
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