Revenge.“I will hurt you for this. I don't know how yet, but give me time. A day will come when you think yourself safe and happy, and suddenly your joy will turn to ashes in your mouth, and you'll know the debt is paid.” George R.R. Martin.

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Coco Chanel. And now it’s paytime. Sortant de la voiture, ajustant mon sac sur l’épaule, détachant mes cheveux et rabattant ma capuche sur ma tête, je regarde le bâtiment Tsebe d’un œil mauvais. Ça ne me manque pas. Aujourd’hui je peux affirmer que cela ne me manque pas. Dans le fond, le fait qu’ils aient attaqué la maison Jeo, je ne vais pas mentir, je m’en fous. Mais, j’ai répondu présente pour la contre attaque, ça va de soi. J’accroche mon talkie walkie à la lanière de mon sac et je regarde les autres. Ils ont le plan de la bâtisse, je me suis fait plaisir à la décrire, et Loubies, lui, il a très bien su le mettre sur papier. Passant ma main dans mon dos, j’attrape une des bombes de couleur. « Faites juste attention à ne pas vous piquer dans le coin… » Je ris, mais, il est possible de retrouver des objets dangereux, vu la bande de junkies traînant ici, je me demande même si on peut en trouver à la limite de l’overdose ce soir ; ce ne serait pas une première pour moi. Faisant le tour, je me faufile par l’une des fenêtres du rez-de-chaussée. Elle n’a jamais été réparée, et ce n’est pas plus mal. Personne dans le hall, et j’entends de la musique, alors, je chuchote dans le talkie. « Evitez le salon, la fête n’est pas encore finie là bas. »

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Giorgio Armani.  L'adrénaline monte lentement. Le zippo s'ouvre et se ferme dans un mouvement répétitif et régulier. Les consignes sont claires, le plan a été défini minutieusement, et chacun gagne sa place. Une fois à mon poste, je pousse un soupire en priant pour que tout se déroule sans encombre : je n'ai pas pour ambition de finir coincé dans la baraque miteuse de drogués en puissance. Fort heureusement, grâce à Coco et Loubies, on ne se lance pas à l'aveugle, et chacun sait où se trouve quoi. Je n'ai pas besoin de grand chose pour m'amuser, pour prendre part aux festivités. Mon sac à dos contient deux bombes de couleurs que j'ai subtilisé dans le matos apporté, ainsi que quelques accroches et du papier glacé grand format. Je passe par la même fenêtre que la jeune femme histoire de pouvoir entrer sans problème, mais la quitte très tôt pour raser les murs du salon. Je sais que c'est risqué, j'entends la musique aussi, mais je sais me faire discret. D'autant plus que je parie qu'ils sont tous étalés en train de dormir, pour ceux qui sont pas plongés en comas éthylique. Bordel, dire qu'il n'y a pas si longtemps, je me serais damné pour une bonne cuite à la Tsebe.. Je m’écœure. Je profite de la musique pour rendre mes déplacements insonores, et gagne finalement la cuisine. Je sors le zippo de la belle nippone pour jouer avec d'un geste machinal, et prends connaissances des lieux du regard. Ceci fait, je porte le talkie walkie à mes lèvres pour chuchoter audiblement : « Giorgio en position. Je confirme, y'a du bordel dans le salon, faites gaffe. »

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Christian Dior La proposition de remettre le président des Tsebe ainsi que ses valets à leur place n'a pas du tout dérangé la jeune femme, contre toute attente. Après tout, c'était lui qui avait commencé alors. Passant la fenêtre du rez-de-chaussée après avoir ajusté son sac, la jeune femme prend une direction différente de la jeune femme et se retrouve -après être discrètement passée à côté du salon- dans une grande salle de bain. Elle murmure alors en portant le talkie walkie à ses lèvres ;


Areum - Dior en position... Tout le monde a survécu ?


Elle enlève son sac à dos et ferme la porte de la salle de bain à clés pour finalement regarder autour d'elle. Un soupir quitte ses lèvres et elle ouvre la porte pour se diriger avec discrétion dans la cuisine. Elle n'est pas surprise de voir Tao ici d'ailleurs. Posant son index au niveau de ses lèvres elle se met à chercher des épices, éventuellement du piment. Chose faite, elle retourne illico dans la salle de bain sans oublier de verrouiller la porte avant de s'y appuyer et reprendre doucement son souffle alors qu'elle réfléchit à la façon de procéder.

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Christian LouboutinÀ peine arrivé, mes yeux se rivent sur la carte du territoire Tsebe que j'ai dressée. Je crois que je la connais par cœur à force de la regarder mais je ne veux commettre aucune erreur, me trouver ici est déjà assez dangereux pour ma santé. Dieu sait quelle maladie il pourrait y avoir dans cette maison. Grimaçant, je m'avance, suivant les pas de mes acolytes afin d'entrer dans le domaine. Mon sac besace est lourd, mais je le porte pour la bonne cause. Mon talkie walkie retentit et je décide de le relier à l'écouteur de mon téléphone pour qu'il ne s'entende pas. Je doute que dans leurs états ils se rendent compte de quoi que ce soit, mais on est jamais trop prudent. Profitant de la lumière qui provient de je ne sais trop où, je repère la première croix sur mon plan, écoutant le message de mes compagnons. « Ici Loubies, je me dirige vers ma première cible à l'étage. Si qui que ce soit bouge, prévenez-moi. » Je coupe et commence à gravir les quelques marches le plus silencieusement possible mais ce n'est pas chose facile avec les enceintes miniatures qui se trimbalent dans mon sac. Enfin en haut, je souffle longuement pour calmer ma respiration et m'avance dans le couloir en prenant bien garde à ce qu'il n'y ait personne. La première enceinte va au fond du couloir, derrière la plante verte dont il ne se préoccupe visiblement pas, puisqu'elle est morte, ou en plastique, bref, rien de bien vivant. Je pose l'objet et pousse le bouton pour l'allumer. Dieu bénisse le wi-fi. « Loubies. Première cible verrouillée. » Je suis excité à la simple idée de jouer les espions fauteurs de trouble mais il ne faudrait pas trop que je traîne, une vingtaine d'enceintes attendent encore de trouver leurs places.

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Prada Je dois bien reconnaître ne pas être à mon aise, le vandalisme ce n'est vraiment pas mon genre. Ce qui l'est par contre, c'est la vengeance, et c'était précisément le but de notre visite en territoire tsebe. Je fermais la marche, mes doigts enserrant le talkie walkie pour me donner une consistance. Nous étions organisés, nous savions quoi faire, nous avions toutes les cartes en main, il ne nous restait plus qu'à gagner. En silence, je me dirigeai vers les chambres, allant jusqu'à contrôler ma respiration pour ne pas me faire prendre. Prada en position. Rien à signaler dans les couloirs des chambres. Tapie dans l'ombre du couloir, je sors tout le matos, bombes de couleurs, affiches, colle. Je laisse éclater ma fibre artistique sur leur mur, apposant à intervale réguliers des montages de leur président se faisant enfiler. Je continue mon avancée, j'entends des gémissements dans l'une ou l'autre chambre, parties de jambes en l'air entre dégénérés. J'ai un rictus de dégoût. J'ai suffisamment d'affiches pour retapisser tous les murs de Suwon, ce que je ferais avec plaisir si je le pouvais. Une porte s'ouvre soudain, je m'immobilise et je cache comme je peux. Le tsebe disparu dans la pénombre, je porte le talkie walkie à mes lèvres Prada. Y en a encore qui tiennent sur leurs jambes, soyez prudents. Je savais vraiment pas envie de finir leur tenir compagnie pour la fin de la fête, vraiment pas.

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Coco Chanel. «Je vais directement dans les quartiers de Donald. » J’informe alors toute la troupe. Sur mon chemin, je marche à pas de loup, attrapant au passage tout préservatif que je peux trouver, me servant de l’épingle à nourrice accrochée à ma manche pour les percer. Lors d’un moment de calme, avant d’arriver à destination,  je sors de mon sac une sorte de thermos. Mais il n’y a rien de froid ou de chaud dedans, le goulot me semblait simplement assez grand pour y passer les préservatifs. Deux, cinq, neuf… J’ai cessé de compter, je sais juste qu’ils vont s’imprégner de la sauce au tabasco contenue dans le récipient. Certains risquaient de souffrir. M’enfermant dans le bureau de Jaeduk, je regarde autour de moi. Ça sent la baise, la transpiration, et la bière. Laissant le thermos sur la commode, j’ouvre tous et chaque tiroir que je trouve, forçant ceux qui sont fermés à clés, vidant le contenu au milieu de la pièce. Des drogues, des magazines de cul, des photos de meufs à poil. Mais c’est merveilleux tout ça dites moi ; j’aurais dû fouiller ici beaucoup plus tôt. Je garde un sache d’herbe dans ma poche et attrape mon talkie. « Giorgio, j’ai de quoi faire un bon feu ici, tu m’aideras à le faire ? » De mon sac, je sors cette fois des magazines, des dvds, des photos, tout pour remplacer ce que je viens de retirer, à l’exception que tout, absolument tout était du matériel gay. Ensuite, j’enfile mes gants, et attrape une des bombes de peinture. Moi, je vois la vie en rose.

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Giorgio Armani.  « Evidemment ma belle, je suis ton homme. » J'aime jouer avec le feu, tous le savent, c'est même sans doute pour ça que Coco a accepté de me confier son zippo. Ma voix s'évanouit en un murmure avant que quelqu'un ne m'entende, à supposer que les cadavres savent tendre l'oreille. Je m'adosse à l'entrebâillement de la pièce, la détaille du regard en pinçant les lèvres. Putain, la merde, c'est quand j'me dis que cette pièce, je la connais par cœur. Je l'ai dis, j'ai fais un nombre incalculable de soirées ici. Au final, ça peut toujours servir. Je sais, par exemple, où sont entreposés les space cakes, où s'entassent certains sachets de drogues en tout genre. Je cesse de jouer avec le collier de la princesse et me mets au travail en commençant par sortir tout ce qui pourra me servir. Je tire de mon sac les sachets de poudre blanche, la colle et une petite boîte qui me vaut une grimace de dégoût certaine. « Giorgio. Etant donné que je suis le seul en bas, je vous préviens si y'a du mouvement, restez sur vos gardes. Je me mets au travail. » J'ouvre l'un des placards, en sors quelques douces friandises. A l'aide d'un couteau attrapé à la volée, je creuse un trou dans chacun d'eux, prenant soin de ne pas abîmer la partie retirée. J'ai tiré mes manches pour couvrir mes mains, et vide une partie de la petite boîte dans le puit creusé. « aaaarsh.. » C'est dégoûtant. Par la suite, je referme les space cakes en  remettant la partie enlevée à sa place. J'espère qu'ils n'auront rien contre un surplus de vitamines, il parait que les asticots, vivants qui plus est, c'en est riche.

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Christian Dior Attachant sa veste autour de sa taille pour se retrouver en débardeur, elle sort d'une des poches de son sac à dos un rouleau de peinture et un des trois tube de glue extra forte. Elle en applique sur un des murs en traçant de longues diagonales et l'étale à l'aide du rouleau avant de coller les grandes affiches roses les unes à côté des autres. Poussant sa bêtise un peu plus loin, la jeune femme finit son premier tube dans la baignoire sans oublier d'étaler la glue avec son rouleau avant d'appliquer une grande affiche cette fois. Un faible sourire amusé se dessine sur ses lèvres quand elle pense à la tête que fera Jae Duk en voyant cette grande affiche dans la baignoire. Elle ouvre son deuxième tube de glue pour en appliquer autour de la lunette des toilettes. Hésitant un instant à mettre une affiche elle finit par en appliquer d'avantage avant d'étaler de sorte à ce que ça ne se voit pas trop. A tous les coups, ça allait mettre un moment avant de sécher alors.

S'écartant pour voir son chef d'oeuvre soit, tous les murs de la salle de bain couverts d'affiches rose, elle se rapproche du miroir après avoir prit dans son sac un des rouge à lèvres qu'elle n'utilise plus. Sans la moindre hésitation elle écrit alors "Jae Duk, à notre amour secret que tu ne voulais pas assumer, ton beau et tendre". Un rire à peine inaudible s'échappe de ses lèvres alors qu'elle dessine un coeur à côté du message. Puis, se penchant pour attraper sa bombe de couleur rose bonbon, elle en applique sur la lunette des toilettes avant de tracer un grand coeur sur le mur couvert d'affiches. La posant sur le bord du lavabo, elle plonge la main dans son sac à nouveau pour prendre le bocal de piment et une seringue. Elle se mord la lèvre inférieure, cherchant du regard le dentifrice. Mais est-ce qu'ils se brossaient au moins les dents ici hn ? Trouvant finalement celui-ci, elle injecte lentement le contenu dans le tube avant d'en faire de même pour les gels douche et les bains de bouche. Ça avait quelque chose d'artistique au fond, toutes ces affiches et ce rose hn. Reprenant le talkie walkie elle demande ;


Areum - Ici Dior, où est-ce que vous en êtes les gars ? J'ai presque fini.

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Christian Louboutin  Je crois que j'ai été trop ambitieux à mettre une croix à chaque centimètre de ma carte, mais après tout, la vengeance est quelque chose qui mérite de souffrir un peu. La seconde enceinte à peine posée, j'entends le parquet craquer. Oh merde. Je me colle contre le mur, comme si je pouvais disparaître. Fort heureusement pour moi, une porte s'ouvre puis se referme avant même que je n'ai pu voir la personne en question. Je soupire, soulagé et reprend mon talkie, murmurant à l'intérieur. « Loubies, faites attention, y a du mouvement. » Je suis au dernier étage, je suppose donc que pour arriver jusqu'ici il ou elle fut susceptible de croiser les autres et il serait dommage de se faire attraper maintenant que je prend à peine goût au risque. Je saute la seconde croix, je n'aurais jamais assez pour les trois niveaux si je suis mon plan initial.

Ma tâche est plutôt rapide a effectuer, même si je dois prendre bien soin de dissimuler chaque enceinte afin qu'ils ne trouvent pas directement d'où viendra le son. Perséphone m'a suffisamment bien décrit les lieux pour que je saches exactement quoi faire. J'ai l'impression que si tout continue à aller ainsi, je pourrais rapidement aller aider l'un de mes partenaires. Et merde, la porte que j'ai dessiné sur le plan n'est pas au bon endroit, me suis-je également trompé de pièce ? J'appréhende soudain quand à ouvrir la seule porte de l'étage qui ne conduise pas à une chambre ou je ne sais trop quel endroit où serait susceptible de ce trouver l'un des verts. Je ferme les yeux, soufflant longuement, puis ouvre la porte le plus doucement possible. Heureusement pour moi, c'est bien une pièce vide que je trouve, pouvant ainsi dissimuler la dernière enceinte de cet étage. « Ici Loubies, le second étage est miné, je descend au premier, la voie est-elle libre ? » Je n'ai aucune idée de ce qu'il se passe en dessous mais plus on s'approche du salon et plus il y a de risques. Dior a déjà fait une grande part de sa tâche, il faut que je continue la mienne.

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Prada L'adrénaline me procure des sensations que je n'avais jamais vraiment éprouvé. Si c'était agréable ? Disons que je commençais à m'y faire, et à y prendre goût. Un peu comme la cigarette, c'était la première bouffée qui était la plus compliquée, celle qui donnait le plus de mal. Je mettais tout mon coeur dans les tags que j'effectuais, y prenant un malin plaisir. Je n'avais jamais porté Jae Duk dans mon coeur, pour ne pas dire que je le détestais, et saccager son QG, tout en salissant son nom, en traînant son image dans la boue, je devais avouer que c'était carrément jouissif. J'observais mon oeuvre, affichant un sourire satisfait. Je passe dans le couloir suivant, encore vierge de notre passage. Plus pour longtemps. Prada. Fais gaffe Loubies, ils sont pas tous morts ici, mais a priori il ne devrait pas y avoir de soucis. Nous ne pouvions pas être trop prudents.

Les autres avaient presque fini, et il en était pareil pour moi. C'était tout de même surprenant que personne n'avait encore rien remarqué, mais tant mieux. Quand la surprise est collective, c'est toujours plus agréable. Prada. Les couloirs des chambres sont quasi terminées. Quelque chose d'autre tant que je suis au premier ? Histoire de ne pas redescendre inutilement, surtout si je pouvais aider. Je regardai autour de moi, me rapprochant des escalier pour m'assurer que personne ne montait. Juste en face, je collai une affiche de Jae Duk, histoire qu'elle fut la première chose que l'on voit en montant. Quelques coeurs et obscénités plus tard, c'en était terminé.

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Coco Chanel. Je me fige. Quelqu’un tente d’ouvrir la porte. Mais, bien entendu, fermée à clé, on ne peut accéder à l’intérieur. Seulement, je prie pour que ce ne soit pas Jaeduk, auquel cas, il se rendra compte que quelque chose ne tourne pas rond. Ça persiste. Je me dirige à la fenêtre, il vaut mieux fuir si jamais quelqu’un rentre. Une jambe hors de la pièce, la poignée cesse de bouger. J’entends quelqu’un râler, puis partir. « Coco. J’ai failli avoir une crise… » Je souffle, et regarde autour de moi. J’ai remplacé le contenu de la pièce, les murs sont roses. Sur le mur le plus vide, j’accroche une des affiches qu’ils m’ont donnée. C’est presque fini. J’ai bientôt fini. Je m’assure que la magnifique image de Jaeduk se faisant enfiler tient en place, et je ne perds pas la main avec la colle. Je badigeonne les murs avec, les meubles aussi, toute surface susceptible d’être couverte, l’est. De mon sac, je sors un bloc de feuilles, toutes imprimées d’images. Je voulais garder ces photos pour moi, mais, pour le bien de cette mission, et afin de couvrir le Roi de honte, je peux bien faire ça. Peu à peu, la colle tient les images, il y a moi dessus, et Man Nai. Elles datent ces images, de l’été dernier, mais j’ai bien fait de les garder. On s’embrasse, on est dans un lit, et il est évident qu’on n’a pas joué au scrabble même si on y voit pas nos corps. Tiens Jaeduk, je veux bien me mettre en évidence tant qu’il s’agit de montrer que je ne suis pas à toi. « Coco. J’ai fini, je lance le film de boules sur sa télé, et c’bon. Vous venez ? » J’allume le lecteur DVD et y introduis le disque, le film s’affichant ensuite. Rassemblant mes affaires dans mon sac, je suis plutôt satisfaite du résultat. Il ne reste plus que l’extérieur de la bâtisse à faire.

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Giorgio Armani.  Apparemment, les verts sont toujours actifs. C'est étonnant, de mes souvenirs, c'est l'heure creuse. Enfin, bref. Les asticots dans les space cakes, j'attrape les sachets blancs pour intervertir ceux-ci avec la coke -que je garde, évidemment. Plâtre en place. Pour la suite, rien de bien compliqué ni même de très long ; je ne suis pas un as de l'imagination. A l'aide des deux bombes de couleurs, je peins la pièce de jaune et de rouge, m'amusant parfois à dessiner quelques phallus et autres choses toutes aussi immatures. Sur les surfaces encore intègres, je badigeonne la colle et y appose quelques une de nos charmantes affiches taille XXL. J'agrémente le tout en disposant çà et là quelques sextoys pour gays et magazines du même bord. « Giorgio. J'ai fini aussi, je monte. » Sur les conseils du groupe, je fais attention et me la joue James Bond. Je longe les couloirs, me baisse parfois lorsque les portes s'ouvrent, mais par chance elles se referment aussitôt. ça pue. ça pue la baise, la transpi, le vomi et autres choses si douces.. Finalement, je m'étonne d'arriver avant les autres au bureau de Jaeduk, et toque à la porte. Lorsque Persy déverrouille celle-ci, j'affiche un sourire fier. « Hey ma belle.. On se connait, non ? » Que voulez-vous, il faut bien passer le temps. Enfin le temps, c'est pas non plus comme si nous en avions à la pelle, et lorsque les autres arrivent, je reprends mon sérieux. « Alors, tu voulais faire quoi ? » Je sors le zippo de sous mon haut pour jouer avec, sous entendant par la gestuelle de quoi je parlais. Ne devait-on pas faire un joyeux petit feu ?

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Christian Dior Satisfaite du résultat, la jeune femme passe un court instant à contempler son chef d'oeuvre. Sérieusement, la jeune femme y voit vraiment quelque chose d'artistique en plus d'une bonne leçon pour le président des verts. Rapidement, elle range ses affaires et vide son deuxième tube de glue extra forte sur le sol de la salle de bain au passage. Puis en silence, elle quitte la pièce en vérifiant que personne ne traîne dans les environs avant de poser les yeux sur son plan.

Areum - Dior, j'arrive dans le bureau de Jae Duk elle dit en marchant silencieusement dans les couloirs pour finalement monter les escaliers par deux.

Finalement arrivée à destination, elle tape doucement à la porte avant d'entrer et s'appuyer sur celle-ci. Elle affiche un faible sourire en relevant la tête et murmure amusée ;

Areum - Il va jamais s'en remettre... Elle balaie le contenu de la pièce en hochant la tête tout en rajoutant Définitivement, on a fait du bon boulot... Mais on peut faire mieux pas vrai ? La vengeance chez les Jeo c'est quand l'autre n'arrive pas à se relever ou difficilement.

Se décollant du mur pour observer de plus près ce balcon, elle claque des doigts face à l'idée qui lui vient à l'esprit ;

Areum - Si on refait la tapisserie, autant que les gens à l'extérieur en profitent hn. Il vous reste de grandes affiches ?

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Christian Louboutin  J'entends du mouvement en descendant au premier étage alors j'accélère le pas. Je suis ici pour me venger au nom des Jeopardize mais également pour raisons plus personnelles et je ne me laisserais pas attraper, quitte à devoir sauter d'une fenêtre. Enfin... Si ce dernier point peut m'être évité ce sera avec plaisir, déjà que je vais devoir prendre un bain de désinfectant pour être venu ici. Mon sac se vide petit à petit, je pose les enceintes les unes après les autres, vérifiant à chaque fois à deux reprises que je les aient bien allumés. Après plusieurs mini-crises cardiaques et ce, au moindre petit bruit de l'étage, je descend les derniers escaliers pour me rendre au rez-de-chaussée et c'est pile à ce moment là, que mon talkie walkie fait des siennes. Le bureau ? Je suis trop loin du bureau et j'entends des pas non loin de moi, ce serait trop risqué. J'attends un instant avant de répondre, bien qu'ils aient visiblement une petite conversation dans mon oreille. Je n'écoute pas, ou plutôt je suis incapable de comprendre ce qu'ils disent tant mon cœur bat à mes tempes. Je n'entends plus de bruit mais je n'ai pas entendu de porte non plus et, caché derrière ce rideau, je suis bien trop repérable à mon goût. Enfin, une porte se ferme et j'ose sortir de ma cachette, prenant le temps de répondre avant de m'enfuir. « Loubies, vous avez faillit me faire tuer ! Enfin bon, je descend, je suis trop loin du bureau et il me reste le rez-de-chaussée à miner. Rejoignez-moi dans le jardin pour le bouquet final. »

L'objet une fois rangé dans ma poche, je presse le pas. Ils sont en avance sur moi et je ne veux pas être la brebis galeuse de ce troupeau. Encore trop de monde se trouve au salon, je vais devoir la jouer fine, si l'on m'aperçois je suis mort, tous le monde sait que je ne met pas les pieds dans cet endroit et en plus, tous le monde sait que Jae Duk se ferait un plaisir à me torture si je me trouvais dans sa propre demeure. Je suis mon plan, dispersant les dernières enceintes qu'il me reste et, finissant mon travail, je passe par la cuisine et ne peut m'empêcher de rire discrètement en voyant le travail de Tao Jun. Enfin, la dernière enceinte est posée. Il m'en reste deux, mais dans l'autre sac que j'ai laissé à la voiture. Je sors par la porte de derrière et fais le tour de la bâtisse en passant par le jardin, je cours en faisant attention où je pose les pieds, tout de même et c'est essoufflé et appuyé sur le capot que j'envoie un nouveau message à mes comparses. « Loubies... Je suis mort... Enfin bref.. Je prend le sac pour la dernière partie... On se rejoint devant ? » J'ai chaud seigneur, pourquoi ai-je fais ma combinaison dans un tissu si épais ? Posant le sac vide, je prend celui contenant des vibromasseurs et autres jouets de luxure, ainsi que les deux dernières enceintes que je m'empresse d'aller déposer dans les buissons sur leur devant de portes. Ensuite, je prend deux minutes pour souffler, attendant le reste de la troupe. Jouer les espions, ça fatigue.

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Prada Tandis que je m'assurais ne rien avoir laissé au hasard, des bruits se firent entendre dans les escaliers. Décidément, était-ce l'heure où les zombies se relèvent ? À moins qu'on soit dans la période où ils ont besoin de leur dose. Je me jette sur le côté, pas chaude pour me faire prendre alors que j'ai terminé, ce serait trop con. Soudain, les pas s'arrêtent, avant de faire demi-tour. Seigneur, il fallait que je sorte d'ici le plus rapidement possible avant que l'intrus - ou plutôt, l'habitant - ne se repointe. Je longeai les murs, sur la pointe des pieds, jetai un rapide coup d'oeil dans l'escalier m'assurant de ne pas être trop à découvert, avant de me lancer. Être discrète et rapide n'était pas ce qu'il y avait de plus évident mais je ne m'en sortais pas trop mal. Je ne connaissais pas assez le bâtiment que pour prendre un chemin différent de celui que j'avais fait plus tôt, et je repassai du coup par la même fenêtre. C'était sans doute pas le plus simple, mais heureusement pour moi, je n'étais pas encore rouillée. Prada. J'ai terminé, je suis à l'extérieur, je vais un peu décorer la façade en vous attendant. Après tout, il me restait encore du matos, et il n'y avait définitivement pas de raison pour que les passants ne profitent pas du spectacle. Je me posai donc devant la façade, tout en évitant d'être trop voyante. Je commençai par un énorme phallus sur la porte d'entrée, avec en prime un "Jae Duk je t'aime". Des affiches de part et d'autre, je m'appliquais néanmoins à ce que tout ce que j'écrivais soit visible depuis la route. Je débordai également sur les autres murs, jusqu'à ce que mes bombes de couleur soient vides Prada. Cette fraté n'a jamais été aussi belle ! Le rose, c'était définitivement plus joli que le vert.

Une fois mon travail terminé, je retournai à la voiture pour poser mes affaires, avant de retourner devant comme Shûji l'avait demandé. Il ne nous restait plus à présent qu'à attendre l'apothéose, le bouquet final, le fruit de notre travail acharné. Que ça serve de leçon à l'avenir : on ne touche pas aux jéos sans en payer les frais. Et Dieu sait qu'ils allaient en avoir pour récupérer tout ce bordel...

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Coco Chanel. C’est presque, perturbant. Les gars en train de râler comme des bêtes sur l’écran. Je n’avais même pas envie d’y poser les yeux, j’avais vraiment acheté le plus crade de la boutique. Je comprends maintenant pourquoi la vendeuse m’avait regardé aussi étrangement en me tendant le DVD. Allant à la porte pour l’ouvrir, le bruit de la levrette plaquée résonne dans mes oreilles, et j’accueille Tao dans la pièce avec une grimace de dégoût sur le visage, m’assurant d’être toujours de dos à l’écran. Je ne peux pas vraiment répondre, je pose juste mon front contre l’épaule de Giorgio alors que ma capuche tombe, dévoilant mes cheveux blonds. Sortons vite, parce que le film passerait en boucle jusque la fin des temps ; j’ai scellé le lecteur DVD à la colle. « Tout ce qui est à brûler c’est ce qui est par terre là… et je ne veux plus y toucher, j’ai eu ma dose de surprises dans ce foutoir… » Trop de photos qui n’ont pas plu à mon égo en somme…  Je vais ouvrir les fenêtres et la porte menant au balcon, montrant à Areum les deux affiches qu’il me reste. « L’effet affiches au vent… et feu peut être très artistique, digne des bluings je dirais même… » J’aide Tao à sortir tout ce qui était à bruler, en glissant discrètement un autre sachet de dope dans ma poche. Sait-on jamais, ça peut servir… Je regarde encore une fois la structure, puis, en bas, je peux voir Shûji et Soo Ah finir leur œuvre d’art. « Dior, tu penses qu’en t’appuyant sur la barre tu peux accrocher les affiches plus haut ? Ne t’en fais pas, je tiendrai tes jambes. » Je hoche la tête. L’air frais fait du bien, l’odeur nauséabonde de l’intérieur semble s’atténuer. Je soupire. Finissons vite, je commence à avoir la nausée d’être ici. Ça joue trop sur mes nerfs.

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Giorgio Armani.  Heureusement que le plan a été prévu à l'avance. Heureusement que chacun sait ce qu'il a à faire, ou bien je n'aurais pas donné cher de notre peau. Chaque porte qui s'ouvre est susceptible de mettre fin à notre intervention, et d'ouvrir les hostilités -quoique déjà engagées- avant la fin de notre oeuvre. Et quel gâchis ce serait, de ne pas terminer un tel tableau. Je passe mes doigts sous la capuche de Perséphone pour remettre en place quelques unes de ses mèches batailleuses. Je dois avouer que même si rien n'en paraît, le son -grandement exagéré- de deux corps claquant et les râles inhumains des bestiaux me débectent. Putain, elle a tapé fort, la Coco. T'en fais pas, on va se dépêcher. J'ai envie de me barrer le plus tôt possible vois-tu. Je ne comprends pas comment on peut s'exposer comme ça. Perséphone, Man Nai.. Aish, j'aime pas le violet, ça date pas d'hier. Peut-être parce qu'on est un peu pareils et qu'on joue dans le même terrain. Je les laisse faire leurs affaires tandis que je garde le silence, préférant constater les dégâts avec un sourire narquois. Tout serait tellement parfait si le silence n'était pas entrecoupés de gémissements gras. Bien vite, à deux, on arrive à débarrasser la salle pour sortir ce qui nous intéresse sur le balcon. Si vous avez besoin d'aide, je peux porter aussi l'une de vous, ça ira plus vite. Et ce sera peut-être plus stable. J'hausse les épaules et m'accroupis devant le tas pour fouiller et noter un peu quels genre d'objets sont présents. Aish... Tu m'étonnes que sa crasse lui colle au cul, il s'en cache même pas. Est-ce que Jaeduk a au moins un semblant d'amour propre ? La partie touche à son terme. Grâce au zippo, la petite flamme se transforme en feu d'une ampleur conséquente, et je recule vivement, grimaçant au souvenir de la fraté péteuse. J'espère ne pas finir à poils aujourd'hui..

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Christian Dior Ah il était fini, FI-NI avec tout ça. Areum affiche un sourire amusé quand elle pense à la tête qu'il fera en entrant dans son bureau. Avec un peu de chance, peut être même qu'il pleurerait mais elle n'en demandait pas autant. Provoquez les Jeo et assumez en les conséquences après, car il y a toujours un retour de flamme, peu importe le temps que cela prend. Quand ils se retrouvent dans le balcon, la jeune femme regarde la barre dont Perséphone parle et se mord légèrement la lèvre inférieure.

Areum - Ouaip... Coco, tu sais que sans mes jambes, ma présence dans le cursus de danse est inutile hn. Elle marque une pause en  laissant lourdement son sac tomber après avoir prit son dernier tube de glue. Et quand Tao Jun propose son aide et ajoute rapidement d'un hochement de tête On va faire ça, ne le prend pas mal honey mais  le pire ce serait de mourir ici elle monte sur une chaise en premier temps et quand le jeune homme la soulève, elle attrape les deux affiches pour les coller sur le toit.

Areum demande à Tao de la faire redescendre pour se décaler. Elle en profite pour se munir de sa bombe de couleur rose bonbon et remonte pour écrire en grandes lettres mais surtout en gras "Imma gay president, son". La main gauche agrippée au bord, elle dessine des coeurs en se disant qu'elle aurait eu sa place chez les bluings pour son côté artistique et barge. Mais ce n'est pas sérieux hn. Demandant à nouveau à Tao de la faire descendre elle demande alors distraitement ;


Areum - On a rien oublié ? elle remet son sac bien plus léger que tout à l'heure sur son dos avant de lever les yeux vers le toit avec un sourire satisfait. Son attention se porte sur la pelouse et elle pointe le toit de l'index avant de rajouter On devrait prendre des photo souvenir... Genre.. Sérieusement.


Sur ces paroles, elle se dirige d'un pas prudent vers la porte pour y passer sa tête et lorsqu'elle s'aperçoit que la voie est libre, elle leur fait signe de venir. Au bout de cinq minutes, ils se retrouvent dehors et il fait bon respirer l'air extérieur, sérieusement.

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Christian Louboutin  Je devrais bouger, je les entends s'agiter sur le balcon au-dessus de ma tête et j'admets avoir tout de même un peu peur que l'un d'entre eux me tombe dessus, ou que n'importe quoi me touche dessus. Je reprends donc mon itinéraire, plongeant ma main droite dans mon sac pour attraper les premiers, que j'allume et jette au sol. C'est un peu répugnant de voir tout ces objets se tortiller, mais rien qu'à imaginer la tête des Tsebes devant leurs futures décorations de jardin me fait oublier ce sentiment. J'aime être riche, pouvoir dépenser une fortune pour des bêtises. Enfin, j'admets qu'une note à quatre chiffres dans un sex shop, c'est assez étrange, la vendeuse n'avait d'ailleurs sans doute jamais vu ça au vu de sa tête. J'en ris encore.

Je pense en avoir dispersé un peu partout, je ne vois pas grand chose sur l'arrière de la bâtisse mais de toute façon, il est plus que temps de nous échapper. Je reviens alors devant, espérant y voir mes comparses et c'est avec un sourire que je rejoins Dior, observant son travail sur la devanture. « Wow, ton côté artistique ressort spécialement pour eux ou c'est toujours comme ça ? » Je tapote sa tête puis m'éloigne un peu de la porte. L'odeur de peinture m'attaque le nez et d'un peu plus loin, je peux observer notre œuvre. J'admets que sur ce coup, je suis fier de nous. Je manque de crier lorsqu'un bruit me surprend, mais la main sur le cœur, je soupire, réalisant que ce n'est que le reste de la troupe. « On immortalise, on lance la musique, et on se barre, pitié, j'ai l'impression d'avoir des milliers de microbes sur moi. » Je parle trop, oui, mais c'est comme ça quand je suis stressé et plus nous restons ici, plus mon stress augmente.

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Prada Je regardais les autres s'affairer sur le balcon avec un air satisfait. Tout était parfait, à l'image de notre fraternité. Je devais le reconnaître, j'avais pris un malin plaisir à saccager le QG des verts, et je n'avais qu'un seul regret : devoir fuir avant que leur cher président ne voie le résultat de nos efforts. Les autres nous rejoignent, on prend un peu de recul. Immortaliser était effectivement une bonne idée, du coup je sortis mon téléphone et m'arrangeai de façon à ce que tout le bâtiment rentre dans le cadre. Et.... Voilà ! Notre oeuvre à tout jamais immortalisée. Je souris, clairement fière de notre vengeance. Il ne restait qu'une dernière chose à régler ... Je sortis de mon sac une tablette numérique, l'application était déjà ouverte, il ne me suffisait plus qu'à faire glisser mon doigt sur la surface tactile : les enceintes dissimulées par Shûji se mirent à diffuser "It's ok to be gay" de Tomboy. Autant dire que lorsque nous avions une thématique en tête nous l'exploitions jusqu'au bout. Et maintenant, barrons-nous avant que Donald ne nous tombes dessus Aucun d'entre nous n'avait envie de subir son courroux. Une fois notre crew dans la voiture, on filai aussi vite que possible, laissant derrière nous la fraternité des teubés, et la surprise qu'ils allaient avoir quand ils sortiront de leur léthargie.

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Conclusion. Les cinq, après avoir contemplé leur travail, après avoir soufflé, juste avant de monter dans la voiture qui les mènerai dans leur douillet "chez-soi" prirent le temps d'immortaliser le moment. Selca level, Asian level. Cinq visages plus que fiers apparurent dans le cliché, le bâtiment rosé et les flammes, sans oublier les affiches, en arrière plan. Et en cadeau, ils vous laissent l'affiche, parce qu'ils savent que vous voulez la voir.

“I just want you to know this: if I ever get the chance to betray you, I will. If the opportunity arises to pay you back, I'll take it. You'll never be able to trust me.” Darren Shan.

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