J'avais passé ma journée enfermée dans la bibliothèque, penchée sur mon portable. Je n'avais nul besoin des bouquins qui prenaient la poussière autour de moi, mais la bibliothèque était à peu près le seul endroit où je parvenais à être au calme. Je n'étais sortie qu'à quelques rares occasions, pour fumer une clope, ou boire un coup. J'étais sur une affaire sérieuse, un cartel thaïlandais qui sévissait en vendant de la drogue de mauvaise qualité à Séoul, et qui venait apparemment de s'implanter à Suwon. Il allait falloir que je fasse gaffe, non seulement pour ma propre consommation, mais aussi parce que je n'avais pas particulièrement envie de revendre de la merde. Néanmoins, il allait falloir que je trouve un moyen d'en savoir plus. Ce qui tombait plutôt bien, c'était que l'un des gros bonnets du cartel semblait aimer la compagnie des femmes. Je poussai un bref soupir, passant une main dans mes cheveux. Je n'aimais pas jouer aux prostituées, notamment avec des hommes qui ne me donnaient pas particulièrement envie, mais quand il le fallait...

L'heure de la fermeture approchait, je relevai la tête de mon ordinateur pour jeter un coup d’œil autour de moi. Personne. Enfin, à l'exception de ce jeune homme qui venait de se faufiler entre deux rayons... Un sourire s'afficha sur mes lèvres, alors que je délaissai mon ordinateur pour me lancer à sa poursuite. Il était là, un peu caché par l'ombre des étagères. Je fis un détour afin de pouvoir me glisser derrière lui sans être vue. Mon côté ninja Je t'ai déjà dit que j'avais un faible pour les intellectuels ? mes mains étaient posées sur sa taille, m'en servant pour me hisser sur la pointe des pieds et effleurer son oreille avec mes lèvres. Hayashi Yusuke, j'espère pour toi que tu n'as pas réservé ta soirée à l'étude...

Réviser le soir tard, c'est quelque chose qui ne me dérange pas. Rester seul dans la bibliothèque jusqu'à sa fermeture. Si possible à l'étage de la réserve histoire de ne plus avoir de réseau et de ne plus recevoir de messages. Travailler.  Je dois bosser mon mémoire et avoir une bonne note. J'ai deux ans pour accomplir deux mémoires. Commençons par le plus dur : la philosophie. J'ai une idée de sujet...La mort. Faut-il craindre la mort ? Un bon sujet de philosophie vous ne pensez pas ? J'adore parler de la mort. Ça me passionne. Réfléchir à ce qu'il y a après. Se demander pendant combien de temps les gens pensent à nous avant de nous oublier pendant qu'on croupie dans un cercueil à se faire dévorer par des insectes en tout genre. Mais avant il faut vivre. Avant de mourir il faut vivre, et ne pas seulement exister comme disait le bon vieux Oscar Wilde.

Voilà donc bien trois heures que je bosse. J'ai déjà rédigé une dizaine de pages mais ça ne me suffit pas. Et puis ce livre ne me plait pas. Il faut que j'aille le changer. Ainsi je me lève et me rend vers le rayon de livres sur la philosophie, pour remettre mon livre en place et en choisir un autre, plus léger mais à la fois plus complet, contenant les idées essentielles du sujet sur lequel je veux disserter. Je retourne ensuite à ma place lorsque j'entends une voix féminine me parler dans le creux de l'oreille. Inutile de vous dire qu'avec mon problème d'audition qui se développe petit à petit je n'ai pas compris toute la phrase mais en relevant la tête je reconnais Hansa. Et je lui souris. Un petit sourire aguicheur. Moi qui voulait continuer à bosser jusqu'à pas d'heure ça ne va plus être possible. Pas si elle est là. Cette fille m'attire trop. Et même si nous ne faisons pas partie de la même fraté je sais que quelque chose nous rapproche. Peut-être voulons nous juste le corps de l'autre ? Après tout on a déjà essayé plusieurs fois de coucher ensemble, mais Dieu n'était pas de notre côté.

Content de te voir lui dis-je avant de la prendre par la taille pour lui faire comprendre que même en venant me déranger en plein travail elle me plait toujours. C'est vrai. Cette fille est belle. Elle a un visage particulier et malgré les barres de coc' qu'elle doit s'enfiler tous les jours elle ne perd pas de son charme. Je l'inviterai bien sur mes genoux mais pas sûr que ce soit une très bonne position pour étudier. De toute manière je peux déjà dire au revoir au reste de ma dissertation. Elle m'a perdu. En soupirant doucement, je range rapidement mes affaires, hésitant à demander à Hansa si elle fait quelque chose après. Tu rentres ?  tentais-jesans grande conviction.

Yusuke ... Ce nippon me faisait rêver. Et ce n'était rien de le dire. Je savais que l'inverse était vrai également, et pourtant nous n'avions jamais rien fait. Oh, ce n'était pas comme si nous n'avions jamais essayé, disons plutôt que les éléments s'étaient toujours dressé entre nous. Cette fois-ci, j'étais bien décidée à ne pas le laisser filer cette fois-ci. Je l'observai ranger ses affaires, la tête penchée sur le côté mais sans me départir de mon sourire. Si je rentrais ? Quelle question Je pourrais ... je lui accordai une moue mi-boudeuse mi-malicieuse, j'avais une bien meilleure idée en tête. Quelque chose que je n'avais jamais fait, de l'inédit en quelque sorte, mais que je savais sans danger Ou alors, tu pourrais me suivre je rapprochai mon visage du sien, mon regard dessinant la courbe de sa mâchoire avant de venir me replonger dans ses yeux tandis que je me mordillais inconsciemment la lèvre inférieure. J'attrapai sa main, ne lui laissant pas vraiment le choix, et tout en faisant un détour par ma table pour y récupérer mon sac, je nous amenai devant la porte qui menait tout droit à la réserve de la bibliothèque. Enfin, réserve, là où étaient entreposés les livres par encore étiquetés, ou qu'il fallait réparer. Regarde que personne n'arrive lui lançais-je tandis que je crochetai la serrure avec une épingle. L'avantage d'être tsebe, c'est qu'on ne venait pas me demander comment je savais faire ça. Une fois qu'on fut tous les deux à l'intérieur, je bloquai la porte avec une table avant de me retourner vers Yusuke Cette fois-ci on peut être certain que rien ne nous dérangera... Je m'avançai vers lui, minaudant comme il m'était possible de le faire, avant de me pendre à son coup et de poser mes lèvres sur les siennes. Après tout, il n'y avait qu'une seule raison pour laquelle je l'avais amené ici, et ce n'était pas la conversation.

Plus le temps d'être concentré. Hansa m'avait perdu. Je ne lui résistais jamais. Elle avait ce truc. Ce truc qui faisait que quand elle voulait quelque chose je le faisais. Et elle voulait une seule chose de moi. Je l'avais bien compris. Mon corps. Elle voulait mon corps et je voulais le sien. On voulait clairement coucher ensemble. C'est pas comme ci on avait jamais essayé. Mais les deux dernières fois s'étaient révélées être un désastre. Plus jamais tenter quelque chose dans les toilettes du quatrième étage, et encore moins dans la salle de musique. C'est vrai qu'on aurait pu tout simplement s'inviter chez l'un ou l'autre mais quitte à coucher avec une tsébé autant faire ça dans un lieu original. A vrai dire je ne connaissais pas grand chose de la jeune blonde. Ah si. Madame aimait se défoncer en boîte tandis que je préférais draguer. Chacun ses occupations. Mais passons. Voilà que la jolie verte me trainait tout droit vers la réserve. Elle m'ordonna presque de vérifier que personne ne nous voyait. Je m'exécutai. Personne à l'horizon. Le temps de tourner la tête que la demoiselle avait déjà ouvert la porte. J'arquai un sourcil, m'apprêtant à lui demander comment elle avait fait pour ouvrir cette serrure si rapidement mais pas le temps. J'étais à présent à  l'intérieur de cette salle de réserve. Je me retournai pour apercevoir Hansa placer une table contre la porte afin de bloquer celle-ci. Je déposai mon sac par terre et le temps de me redresser que la jolie tsébé s'agrippait pour m'embrasser. Je souriais intérieurement. Cette fille était géniale. Elle en voulait autant que moi et j'aimais ça. Je plaçai mes mains doucement autour de sa taille pour la presser un peu plus contre moi tandis que mes lèvres entamaient un baiser assez fougueux avec celles de ma compère. Je glissai ensuite mes mains sous le haut de la blonde pour soulever peu à peu celui-ci. J'crois que cette fois ça va être bon...  dis-je en retenant un petit rire avant que mes lèvres et même mes dents ne viennent s'attaquer à son cou. Mon portefeuille est dans ma poche arrière au fait .

Rien que de penser à la suite des événements je sentais mon bas-ventre commencer à s'échauffer, comme pour se préparer à ce qui allait venir. Son portefeuille était dans sa poche ... Je supposais qu'il disait ça pour la capote, je ne voyais pas d'autres raisons. Ah, ces hommes prévoyants, que Dieu les bénisse c'est bon à savoir .... Je n'étais pas beaucoup plus petite que lui, ce qui était plutôt commode dans ce genre de situation. Je passai mes mains dans le bas de son dos, pressant mon bassin contre le sien, avant de glisser mes bras sous son t-shirt, explorant la musculature de son dos pendant que je venais grignoter le lobe de son oreille. Finalement, je me décollai légèrement, venant plonger mes yeux dans les siens. J'avais envie de m'amuser, ce qui ne serait certainement pas du luxe après la journée que j'avais passé. Je disparus à reculons entre les étagères, l'invitant du regard à me suivre. Quitte à baiser dans la réserve, autant l'explorer un minimum et joindre ainsi l'utile à l'agréable. Tout en reculant, j'enlevai mon haut, et le laissai tomber sur le sol, comme le Petit Poucet qui semait des cailloux pour retrouver son chemin, sauf que là c'était uniquement pour permettre au nippon de me retrouver. Ce n'était pas particulièrement amusant non, disons plus ... que c'était un petit jeu pour se mettre en jambe, voilà tout. Et puis, vu toutes les occasions manquées que nous avions eu, j'avais bien le droit de prendre mon temps cette fois-ci.

Dieu ce que j'ai attendu ce moment. Personne aux alentours. Juste elle, moi et des livres. Certes on ne sait jamais ce qui pourrait arriver mais pour l'instant tout semblait être de notre côté. Je la voulais. Maintenant. Mes mains s'affairaient au niveau de sa fine taille. Et dieu ce qu'elle était sexy. Je l'embrassai de nouveau avant qu'elle ne vienne s'attaquer à mon oreille. Et en plus elle était douée. La tsébé finit par se reculer et me regarder dans les yeux avant de se reculer tout en laissant tomber son haut par terre. Elle s'éloignait vers le fond de la réserve tandis que je la reluquai. Elle voulait jouer à ça ? Pas de problème. Et tout en la suivant je pris soin de retirer chaussures, chemises et tout ce qui s'en suivait, gardant pour l'instant seulement mon jean et une ceinture bien bouclée autour de la taille. Je la rejoins ainsi dans un coin de la réserve où on y voyait plus très clair. C'était encore plus excitant. Et tout mon corps le ressentait. Finalement j'attrapai la demoiselle par la taille et la plaquai doucement contre un mur avant que mes lèvres ne viennent se sceller une nouvelles fois aux siennes. Y a intérêt à ce que ça marche cette fois... dis-je entre deux baisers avant que mes mains elles, ne viennent explorer le dos de la jolie blonde, pour qu'enfin mon pouce et mon index dégrafent le soutien-gorge de la demoiselle.

Il ne fallut pas bien longtemps pour que Yusuke me rejoigne au fond de la réserve. Mes lèvres affichaient un sourire malicieux alors qu'il vint me plaquer contre le mur pour m'embrasser, collant son torse nu contre moi. La seule barrière qui séparait encore le haut de nos corps était mon soutien-gorge, lequel finit bien rapidement au sol à son tour. Le contact entre nos deux corps m'électrisa pendant qu'une boule d'excitation élisait domicile dans mon bas-ventre. Je ne pris pas réellement le temps de lui répondre, me contentant de lui sourire. Mes mains vinrent chercher la boucle de sa ceinture, et tout en continuant à l'embrasser frénétiquement, je m'affairai à la défaire. Tu sais que t'es bien fait ? lui lâchai-je contre ses lèvres, souriante. Je baissai son pantalon, avant que mes mains ne partent explorer le corps du brun, passant en revue ses cheveux, sa nuque, son dos, et ses fesses. Je ne mentais pas, il était réellement bien fait, et dieu sait à quel point ça me plaisait. Mes lèvres quittèrent les siennes pour venir se perdre sur sa nuque, avant d'atterrir sur sa clavicule. Merde, il était vraiment trop bien fait, et encore, je n'avais pas vu ce qui m'intéressait le plus ... malgré tout, je ne voulais pas aller trop vite, et surtout je voulais qu'il prenne son pied autant que je comptais le faire, et pour ça il fallait que je le laisse s'amuser un peu également ... une perspective qui était loin, très loin de me déranger, que du contraire d'ailleurs.

Le sous-vêtement de la jeune femme ne tarde pas à rejoindre le sol. Tous mes sens sont en action. Mes mains glissent vers devant pour timidement venir caresser la poitrine de la tsébé. Je la veux tout de suite. J'attends ce moment depuis trop longtemps maintenant. J'aime comme cette fille "s'occupe" de moi. Elle est entreprenante. Ça change de celles qui préfèrent faire la planche pendant toute la soirée. Même seul devant un porno y aurait plus d'action que ça. Mais là n'est pas la question. La voilà qui me complimente. Je ne m'y attendais clairement pas et c'est après un petit sourire gêné que je la remercie pour ce qu'elle vient de dire. Il ne me reste désormais plus que mon boxer et le jean de la blonde. Je lui deboutonne celui-ci avant de le retirer complètement pour admirer Hansa vêtu d'un simple sous vêtement. La bête située entre mes jambes est déjà bien réveillée mais là c'en est presque trop. Mes mains viennent doucement s'agripper aux fesses de la demoiselle tandis que mes lèvres se scellent de nouveau aux siennes. Bordel...tu vas me tuer et pourtant elle n'a encore rien fait à part me montrer son corps. Sans trop attendre je me baisse un peu pour venir goûter sa poitrine et si mon corps s'enflamme, mon bas ventre lui quant à lui, est déjà consumé. Je bouillonne. Je pensais pas que tu serais si... bonne. Je n'ose pas lui dire vraiment ce que je pense. De toute manière elle doit bien s'en douter qu'elle est canon et que pas mal d'hommes aimeraient tater le terrain. Mais ce soir c'est moi. Après une semaine complète à réviser c'est un merveilleux cadeau qu'elle me fait.

Finalement je sacrifie la poitrine de la belle pour que mes lèvres viennent s'amuser sur son ventre, tandis que je caresse ses cuisses. Me voilà désormais à genoux devant elle. Mais ce n'est définitivement pas la meilleure des positions. Autant faire ça au sol. Je m'allonge alors en tirant Hansa vers moi pour qu'elle puisse me rejoindre. Ah putain... Dieu merci ils ont mis de la moquette partout dans la bibliothèque et aussi dans la réserve, mais avaient-ils prévu qu'elle piquerait autant? J'attrape le premier vêtement à côté de moi à savoir le jean de la blonde et je le place comme je peux sous mon dos pour pas que le sol me griffe. On fait avec les moyens du bord que voulez-vous ?!

Je me rendis rapidement compte que je lui faisais tourner la tête, que mon corps le rendait brûlant de désir. Ses mots me confortent dans mon idée, et me font sourire. Je suis une reine du self control, et souvent, la seule façon pour moi de lâcher prise c'est la drogue. Il ne m'a jamais réellement dans cet état de total abandon, et il ne me verrait pas dans cet état ce soir non plus. Il allait avoir droit à la Hansa clean, ce qui n'était pas une mauvaise chose en soi. Je serai sans doute plus entreprenante, et plus discrète aussi. Il aurait été fâcheux qu'on se fasse griller alors qu'on réussit enfin à se trouver un peu d'intimité. Que je serais si quoi ... ? je minaude, le taquine, la suite de sa phrase je la connais. Ou plutôt je m'en doute. Je ne m'étais jamais trouvée particulièrement jolie, mais apparemment ça avait toujours suffit aux hommes. J'avais des courbes relativement gracieuse, un visage original, un style tomboy, j'étais une curiosité. Un peu comme un bonbon au goût étrange, qu'on goute pour savoir à quoi ça ressemble. Beaucoup ont finit par y prendre goût, et je ne m'en suis jamais plaint.

À présent qu'il ne me reste que mon sous-vêtement, nous allons enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. Pourtant, alors que Yusuke est à genoux devant moi - une position que je qualifierai d'alléchante - je le vois se coucher m'entraînant avec lui. Je ris légèrement quand il prit conscience que le sol de la bibliothèque n'était pas des plus confortables. Cela ne m'empêcha néanmoins pas de m'installer à califourchon sur son bassin, taquinant la bosse que je pouvais sentir sous moi. Je fis glisser mes mains sur son torse, partant de son bas ventre pour venir remonter sur sa nuque, venant quémander un baiser du bout des lèvres Bring me to the stars, baby.

Me voilà allongé en dessous d'elle. Seuls nos sous vêtements respectifs nous empêchent d'aller plus loi. Ça ne serait tarder et la voilà qui me demande de l'emmener dans les étoiles. D'accord,elle aura tout ce qu'elle veut. Les étoiles, le paradis, le septième ciel. Je l'emmenerai là où elle préférera. Je glisse mes mains dans son dos et caresse celui délicatement mais je ne tarde pas à descendre mes mains bien plus bas,les passant même souexplorent son corps mais je dois bien avouer que mes yeux ont dû mal à rester concentrer avec la paire s le bout de tissu de la blonde. Je lui souris doucement pendant que mes mains de seins qui attend elle aussi qu'on prenne soin d'elle. "Aish..." je me mords la lèvre inférieure assez fortement. Mon entrejambe ne se calme toujours pas et Dieu qu'est ce que ça fait mal. Je soupire doucement puis soulève légèrement la tsébé pour qu'on puisse échanger de place. Après avoir aligné tous les vêtements possibles la belle s'allonge sur le sol,tandis que je place au dessus d'elle. Sans plus attendre mes mains viennent s'amuser sur ses cuisses avant que je me décide finalement à lui retirer le dernier vêtement qui lui restait. La voilà donc nue contre moi. Je vais faire un massacre. Je suis totalement excité. C'en est presque trop.
Je suppose que t'es prête? demandais-je, les lèvres en pleine exploration de sa poitrine. C'était juste une question de principe je savais pertinemment qu'elle était prête. En fait on attendait que ça depuis plusieurs jours mais il faut dire que Dieu avait posé pas mal d'obstacles entre nous pour nous empêcher d'aller plus loin. Mais aujourd'hui non. Aujourd'hui j'avais touché le jackpot et je commençais seulement à jouer.