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 Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal

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ksos professionnel
Song Ji Na
Song Ji Na
MONEY, FAME

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MessageSujet: Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal EmptyMer 29 Jan - 23:57

    Trop. Trop c’était trop. Comment un petit machin comme ça pouvait autant avoir la foi en un truc qu’il n’avait jamais vu de sa vie ? Ca la dépassait totalement. Puis son discours sur l’amour qu’elle devait a sa mère… Humpf. La blague de l’année puissance 2000. Enfin bref, il l’avait bien cherché pour le coup, ce qu’elle s’apprêtait à faire. Elle avait volontairement séché un cours de droit le matin, et elle avait débarqué a la fac avec un sac en papier en plus de son sac a main habituel. Et la voilà qui s’est jetée sur une vieille voiture cabossée, une peugeot ou un truc du genre, de couleurs… vraiment plus que douteuses, avec un sourire carnassier. Oh oui, le propriétaire de cette voiture allait avoir une TRES TRES mauvaise journée. Et discrètement, elle après avoir posé ses affaires au sol, elle s’approcha du pneu arrière droit, et planta le couteau qu’elle tenait dedans. « Pshiiiiiiit ». C’était un merveilleux bruit à ses oreilles. Okay, c’était pas la première fois qu’elle faisait de la dégradation de véhicule, mais d’habitude, c’était léger, genre un pneu crevé, ou une petite rayure. Mais là, il l’avait largement cherché le nabot là. Tout comme il cherchait ce qui arrivait a sa voiture. A lui soutenir que le pardon était vachement plus bénéfique, et que tout se pardonnait. Que la vie était un cadeau divin. A essayer de lui dire qu’il fallait être paix et amour. Puis quoi encore hein ? Puis avec un sourire innocent qu’elle adressa au mec qui garait sa voiture au bout de l’allée, elle s’approcha du coffre, en laissant traîner ses clés contre l’aile gauche de la voiture, avant de taper dessus, d’un air amusé. Evidemment. Elle se souviendrait toujours du mec qui lui avait appris a récupérer ses clés oubliées dans le coffre dans les vieilles voitures douteuses. Taper au dessus du verrou et MAGIE. Et la voilà qui regarde le coffre de la chose sur roue, avant d’y poser un sac plastique, sous une couverture. Elle espérait qu’il ne le trouverait pas avant quelques temps. Le bon vieux truc du poisson. Puis même s’il le trouvait… Il appréciera surement le parfum. Puis elle colla une pile de magasines pour messieurs, qu’elle avait envoyé les employés acheter pour sa vengeance. Pas comme s’il avait l’éclate dans sa vie hein ? Et sans chercher, elle referma le coffre, en vérifiant que personne n’était dans le coin. Non ? Tant mieux. Troisième étape ? Elle glissa des prospectus douteux sous son essuie glace. Bah quoi ? Elle voulait voir sa tête quand il les enlèverait. Histoire de savoir si ca confirmerait ses soupçons sur le « applique t-il ses sermons ? » ou encore « Est il vraiment gay ? », parce que sur ce dernier point, elle émettait des réserves. Et songeant qu’un second pneu ferait bonne mesure, elle s’attaqua a un des pneus de l’autre côté. Avant d’aller voir le réservoir à essence avec un paquet de sucre en poudre. C’était la partie la plus amusante en fait, pas sur le moment non. Mais après. Parce que bien sur le sucre et l’essence ca fait de la pate. Pate qui caramélise dans le moteur, et donc qui te fout en rade, 10 mètres plus loin. Et évidemment, toi qui conduis, tu ne sais pas ce qui se passe, tu forces et…Ton moteur… bah il veut plus partir. Et bien sûr, vu de l’extérieur… C’était tordant. Et elle imagina sa réaction. Oui, elle allait apprécier le truc. Puis elle songea qu’elle allait pouvoir faire la dernière partie, un petit dessin sur les vitres latérales. Elle se contenta d’une croix à l’ envers sur une des fenêtres. Avec un petit mot sur une autre fenêtre. « Je t’attends mon petit chou » et un numéro de téléphone qu’elle avait piqué sur un des prospectus. Oui, il allait détester celui, ou en l’occurrence celle, qui aurait fait ça. Elle allait attaquer l’autre côté de la voiture, quand elle entendit du bruit. Elle eut juste le temps de récupérer son sac, avant de voir une floppée de gens sortir du bâtiment. Fin du cours donc… Elle grommela, avant de s’éloigner de plusieurs voiture du véhicule qu’elle venait de refaire, et qui avait l’air… bancal. Entre le train arrière qui était vachement bas avec les pneus crevés, les rayures sur la carrosserie, les inscriptions sur ses vitres, sans compter le sucre dans le moteur, le poisson et les bouquins pour adultes dans le coffre, ca promettait. Et elle resta là, adossée à sa propre voiture, avec un sourire amusé. Elle entendait la voix de bluings, l’homme d’église ne devait pas être loin n’est ce pas ?
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Yi Jegal
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MessageSujet: Re: Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal EmptyMer 12 Mar - 13:30

Perdre, comme par magie, des croquis sur lesquels le Yi était censé bosser pendant ses heures de cours d’aujourd’hui ? C’était fait. Et même si ça l’emmerdait comme jamais, il n’avait rien dit et voyait les choses du bon côté : ça lui permettrait de faire encore mieux que ce qui était fait ! Mais le truc bizarre dans l’affaire, c’est que la veille, jusqu’à près de minuit, il s’était acharné dessus pour perfectionner les tenues qu’il tenait à créer, en partant de l’aspect général au plus infime détail… Et oui, c’est qu’un pseudo-prophète est capable de donner toute son âme à la mode malgré ses convictions ! Bref, ça plus le fait qu’il avait un mal de bide pas croyable digne d’un mec constipé et que, pour en rajouter une couche, il s’était levé à la bourre ce matin et avait réussi à enfiler son t-shirt à l’envers – en laissant bien apparaître l’étiquette dans sa nuque et les coutures un peu partout – dans le rush, ça semblait pas trop être son jour…

Remarque, sa journée aurait pu être pire… Genre, louper une marche, se ramasser au beau milieu du campus et se casser les deux dents de devant. Vous imaginez un peu le truc ? Le swag par excellence ! Mais qui sait, peut-être que le nain aurait lancé une nouvelle mode du style… oui mais, non, en fait. Ca aurait juste été une grosse honte pour lui. Et encore, c’est pas non plus comme s’il s’était pété les jambes, qu’on avait piétiné sa bible, qu’on l’avait découpée en morceaux… Même pas comme si on avait piqué ses fringues dans le vestiaire du club de Rugby pendant qu’il prenait sa douche – d’où il sortait tout juste d’ailleurs, ses cheveux frisés au vent tiède annonçant le printemps – et qu’il avait dû sortir à oilp, ni qu’on avait touché à sa… voiture. Un cri strident digne d’une gamine de 13 ans venait d’éclater au beau milieu du parking alors qu’il se tenait face à sa vieille caisse. « QU-QU-QUOI ? NOOOOOON… » s’égosilla-t-il en lâchant ses affaires alors que des regards ne cessaient de se braquer sur lui ; et instinctivement, Jegal se mit à faire le tour de sa voiture sans vraiment croire à ce qui était arrivé. Il était sous le choc… Tellement sous le choc qu’il ne remarquait qu’un huitième des choses qui étaient arrivées à sa bagnole. Par exemple ? Il avait même pas capté le pneu crevé, le fait qu’elle était bancale, les rayures sur la carosserie… Non, ses yeux étaient fixés sur les magazines plaqués sur sa vitre, bloqués sous l’essuie-classe… « Non noon noooon nooon NOOOON ! » Pétage de câble, son cerveau semblait surchauffer…

Le Bluing lança un regard presque noir autour de lui ; pour une fois, quelqu’un réussissait à le mettre ne serait-ce qu’un peu en rogne. Et c’était limite s’il n’allait pas se mettre à jurer, à cracher, à grogner… Bref, la folie l’atteignait assez clairement là, pour le coup. Lançant ses bras sur ladite vitre, il s’empara des magazines et les plaqua contre son torse en les serrant dans ses bras, comme pour planquer les images de Satan ; sauf que, bon, l’arrière des magazines était encore plus douteux que l’avant. Les yeux écarquillés, les jambes tremblantes, le Yi se mit à tourner sur lui-même, à faire des aller-retour entre la poubelle et sa voiture sans s’arrêter à aucune d’elle, se retournant à chaque fois avant d’en atteindre une. « Merde… Merde… MERDE… » râla-t-il en baissant la tête pour fixer lesdits magazines. Qu’est-ce qu’il allait bien foutre avec ça ? Les jeter dans la poubelle et montrer à tous le genre de magazine qu’il ‘regardait’ ? « Putain, bordel… MERDE. » Un doigt remontant à sa bouche alors qu’il revenait vers sa vieille caisse pour jeter le tas sur la banquette arrière, il se mit à ronger son ongle jusqu’à ce que… ses yeux s’arrêtèrent d’un coup sur la carosserie. Puis les vitres latérales, avec ces dessins. De sa manche, tout en gardant les magazines dans son bras, le chrétien tenta d’effacer les écrits alors que des larmes montaient très clairement à ses yeux. Et évidemment, ça semblait bien trop simple de réussir à enlever les marques de ses vitres… Ouvrant la portière pour balancer les bouquins sur la banquette, il se mit à genoux à terre entre sa voiture et celle garée à côté, les coudes posés sur le siège, les mains jointes comme pour prier. Prier pour que ce ne soit qu’un mauvais rêve, alors même que ses larmes coulaient le long de ses joues.

Peut-être pour la première fois de sa vie, Jegal se mettait à haïr la personne qui avait pu lui faire ça. Comment est-ce que quelqu’un en était capable ? C’était clairement pas un acte anodin, la personne devait lui en vouloir… Mais pourquoi ? « Qu’est-ce que j’ai fait… Pourquoi… Pourquoi on me fait ça ? » La voix cassée, le front plaqué contre l’extrémité de ses doigts collés les uns aux autres, il avait un infime espoir que ce soit tout. Qu’on n’ait touché à rien d’autre de sa voiture… Et surtout, SURTOUT, que la personne n’ait rien fait à sa famille. Parce qu’encore, une voiture, ça se répare, surtout quand on a l’argent pour le faire… Mais la famille, non. Une fois touchée, les marques persistent quoi qu’on puisse faire. Se reculant pour poser son cul sur ses talons, le lecteur de bible observa la ‘carcasse’ – parce que là, franchement, c’était plus très esthétique. Et il remarqua une chose de plus : son pneu. Bon dieu… « ET QUOI ENCORE ? POURQUOI TU ME FAIS CA ? » lança-t-il en posant ses mains à terre pour se relever comme un gosse d’un an et demi, et finalement observer les alentours – pour un mec à peine plus grand que la voiture, c’était assez compliqué de regarder par-dessus pour trouver l’auteur du crime. Enervé et triste à la fois, il frappa de son poing sur le toit de sa voiture ; à croire que d’un coup, la colère avait ramené la violence en lui. Et à peine le coup donné, le voilà qu’il le regrettait déjà. « No stress… Ca va aller… » Et sur ces paroles, il prit une grande inspiration comme pour tenter de se calmer avant de plaquer son front contre la carosserie, alors que ses larmes se mirent à couler de plus belle le long de ses joues. Et merde, on l’avait vraiment touché cette fois…
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Song Ji Na
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MessageSujet: Re: Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal EmptySam 22 Mar - 12:40


Alors elle attendait sa cible. Elle avait même sorti le téléphone parce qu’elle s’attendait a un truc gros. Drôle, très très drôle. Et ça ne rata pas. Le soit disant prophète s’était visiblement habillé a l’arrache, ou, alors c’était un effet de style peu glorieux… Mais bon, elle n’était pas là pour disserter de son style vestimentaire douteux, à l’image de sa voiture. Il approchait de sa voiture, et Jina activa la caméra. Elle ne rata pas son stop devant son véhicule, ni le cri digne d’une adolescente a qui on vient d’apprendre que le concert de Justin Bieber venait d’être annulé. Et vlan, les affaires par terre, et tout le monde qui le fixait. Elle étouffa un rire. Elle savourait sa petite vengeance. Ne jamais l’enquiquiner, il aurait du s’en douter. La gonfler avec ses histoires de parents géniaux, et de pardon envers eux… Pas pour elle. Et comme si ca ne suffisait pas, il avait touché la corde sensible, sa mère, sans se douter de la tempête qui allait lui tomber dessus. Elle l’observait faire le tour de sa voiture. Il semblait en état de choc complet. Et la première chose qu’il sembla repérer fut les magasines et prospectus sur le pare brise. Elle l’entendit dire « non noon noooon nooooon NON », comme si il était en train de devenir cinglé. Pauvre chou, pour un peu, elle l’aurait presque plaint.  Et elle vit aussi son expression changer. Tiens le pacifiste inné serait il un menteur ? La suite au prochain épisode les chéris ! En attendant, elle continuait de filmer, avec un sourire de gamin qui reçoit un cadeau. Avec un air ravi. Elle savourait la colère qui envahissait le bleu, en mode « JE VAIS ME FAIRE L’ABRUTI QUI A FAIT CA. » même, s’il ne le ferait pas. Elle s’en doutait, il tenait a son côté « prophète ». Et elle le vit se saisir des fameux magazines et les serrer contre lui. Il semblait mal à l’aise, et totalement perdu, faisant des aller retours a la poubelle, en jurant. Elle jubilait. Sauf qu’elle n’avait pas tout vu. Il avait remarqué les vitres, et elle le vit, amusée, essayer d’effacer ce qu’elle avait écrit. Le pauvre chou, le marqueur indélébile ca ne partait pas aussi bien que ça sans produit, et il le comprit rapidement. Il balança les magazines sur la banquette, et disparut de son champs de vision, Elle supposa qu’il essayait de se calmer ou du moins de ne pas s’énerver. Et il semblait aussi parler tout seul, elle entendit un « qu’ai-je fait ? Pourquoi ? », et elle considéra sa tâche accomplie. Elle allait tourner les talons quand elle l’entendit dire « QUOI ENCORE ? POURQUOI TU ME FAIS CA ? ». Que dire ? Il avait vu le reste alors ? Genre les pneus ou la carrosserie ? Ou les deux ? Et elle le vit se relever, et chercher l’auteur de ce fait. Elle fixait la scéne amusée, comme si c’était encore un gamin qu’on privait de son jouet favori.  En éteignant la caméra, et en rangeant le téléphone dans son sac, elle agita la main vers lui, ouais, elle n’allait pas s’en cacher. Il l’avait cherchée, et il l’avait trouvée. Naméoh ! Puis la voilà qui s’avance tout en l’entendant essayer de se calmer, en pleurant. Elle eut un rire jubilatoire. Avant de dire d’une voix traînante et glaciale.
« Alors, tu as retrouvé ta précieuse voiture ? Je me suis permise de refaire un petit peu la décoration,  j’espère que tu auras apprécié a sa juste valeur mon œuvre. De toute manière, cette ruine n’aurait pas pu être pire que ce qu’elle était déjà avant… »
Puis en observant ses ongles, elle se rapprocha de lui. Aujourd’hui, elle la jouait sobre. Chemisier blanc, et jean. Assorti de sa dernière trouvaille, des ballerines a talons bleu marine. Elle soupira avant de lui dire froidement
« Toujours aussi fervent prêcheur du pardon universel Yi ? Sinon, ca peut  s’arranger… »
Casser une vitre ? Devant lui, elle en aurait été parfaitement capable. Juste pour lui montrer que tout ne se pardonne pas ; Et elle s’appuya négligemment sur la BMW rouge garée une voiture plus loin. Pour en connaître le propriétaire, il ne lui en tiendrait pas rigueur. Et avec un sourire mauvais, elle continua.
« Tu peux faire avaler tes couleuvres de Dieu aux autres si ca leur plaît, mais pas à moi. Je ne crois pas en un abruti qui ne fait rien pour les gens. Donc tes fables de respect des parents, de pardon universel, et d’anges tu peux les remballer.  »
Puis en continuant sur sa lancée, elle lui adressa un sourire qui aurait pu paraître amusé, si elle ne le fixait pas d’un air glacial.
« Au passage, j’espère que les magazines te plairont, je sais qu’ils sont dans ta voiture… A moins que tu préfères d’autres types de magazines du même genre ? »
Elle ne le disait pas ouvertement, mais elle pensait aux magazines pour les homosexuels. Il était vrai qu’on ne connaissait pas le Yi. Personne ne l’avait vu avec une fille ou un mec, et c’était presque devenu une blague à lui tout seul d’ailleurs. Mais passons, puis elle se rapprocha de lui avec un air faussement compatissant
« Pauvre petite chose qui croit encore au pére Noel…. »
Et la dessus, elle éclata de rire. Oui, c’était parfaitement garce, mais passons. Elle n’en avait rien à péter sur le coup. Elle s’étira, avant de regarder son œuvre, et d’esquisser un sourire tout à fait satisfait d’elle-même. Puis, elle posa son regard sur sa victime avec un air satisfait, avant de s’étirer et de dire contente d’elle-même.
« Ca, c’est de la bonne journée qui s’annonce ah ah »
Et encore une victime a son tableau de chasse. Si elle devait faire un classement, il était dans le top 5. Avec sa belle mère évidemment. Et d’autres pauvres crétins qui l’avaient cherché.
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Yi Jegal
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MessageSujet: Re: Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal EmptyDim 6 Avr - 10:55

Là, ce qui est certain, c’est que le nain allait entrer en « période de crise maximale » - si ce n’était pas déjà le cas vu les larmes qui coulaient sur ses joues et l’énervement qui avait pris d’assaut son poing, écrasé sur la carrosserie de sa vieille caisse. Il gueulait, demandait pourquoi on lui faisait ça et, surtout, qui en était l’auteur. Parce que bon, c’est pas comme si quelqu’un s’était dit ce matin qu’il allait prendre une caisse au hasard et s’éclater dessus ; c’était prévu, et ça se voyait rien qu’aux magazines – n’oublions pas que Jegal n’a pas encore vu et senti ce qui traîne dans son coffre, ni même expérimenté le sucre dans son réservoir. Le front encore plaqué sur le toit de sa voiture, il reniflait sa morve comme un gosse qui fait sa crise parce que ses parents l’ont privé de playstation. Mais, d’un coup, il releva sa tête, d’un geste brusque. Pivotant légèrement, il fixa celle qui avait pris la parole et lui prouvait à quel point elle n’en avait rien à foutre de ce que ça pouvait lui faire, à lui, qu’on touche à sa voiture – ou en tout cas c’est ce qui lui semblait. Il aurait voulu parler mais préférait avant tout se calmer ; s’énerver était bien loin d’être dans sa nature, et il s’en voudrait à jamais d’avoir gueulé sur cette pauvre fille, même enfant de Satan. Et elle osait lui demander s’il prêchait toujours le pardon ? « T’es vraiment MECHANTE ! Comment tu peux me faire ça ? J’ai toujours été gentil avec toi ! J’ai voulu t’aider !! Je t’ai RIEN FAIT ! RIEN ! Elle est passée où ta morale ? Et ta conscience, hein ??? C’est pas gentil DU TOUT ce que t’as fait à ma voiture ! Dieu te punira, tu verras !!! » s’égosilla-t-il en séchant du dos de sa main les perles d’eau qui filaient en trombe sur ses joues, et semblaient déterminées à ne pas s’arrêter un seul instant. Plus il parlait, et plus sa respiration se faisait courte ; il avait débité ces mots à un rythme à peine croyable au vu de son naturel calme, qui se transformait dorénavant en excitation, et non des moindres. Et ce sans même compter la voix cassée par sa tristesse. « ET ELLE ETAIT TRES BIEN AVANT QUE TU N’Y TOUCHES ! Espèce de monstre !! »

Le religieux avait fini par mettre une part du respect qu’il avait par habitude pour les gens de côté en n’attendant même pas qu’elle finisse ses phrases pour parler ; mais son côté naïf revenant à la charge, il se disait que peut-être elle se rendrait compte de l’ampleur de ses actes et s’excuserait non pas vainement mais avec envie. « Dieu un abruti ??? Comment oses-tu dire ça ??! Dieu est toujours là pour aider les gens et leur pardonne leurs erreurs !! C’est parce que Dieu l’a voulu que tu es en vie aujourd’hui !!! Alors si tu crois que c’est un abruti c’est que tu ne devrais pas vivre ! » Les poings serrés et les yeux rouges, le Yi fixe son interlocutrice d’un air mauvais, les sourcils froncés par la colère. « ET JE M’EN FICHE DE CES MAGAZINES ! » cria-t-il en ouvrant la portière pour les prendre dans sa main, pour se relever et les jeter vers elle. « REPRENDS-LES ! » Sauf que bon, on connaît tous Jegal ; et à peine eut-il balancé les magazines qu’il s’en voulait déjà d’agir de la sorte. Alors, il fit le tour de sa voiture et se tint debout devant Jina un instant en prenant une grosse respiration, pour au final s’accroupir pour les ramasser. Une fois debout, il les lui tendit et tenta de se reprendre : « S’il te plaît, prends-les. » Mais malgré tout l’énervement était là, et on le voyait par le fait qu’il les agitait devant elle, impatient qu’elle les reprenne. « Et je crois pas au père noël, bon sang ! Ta journée n’est pas bonne, tu fais le mal autour de toi, tu crois que c’est bien peut-être ???? » dit-il les dents serrées.
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MessageSujet: Re: Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal Ouais j'sais que c'était ta caisse mec - Jegal EmptyLun 16 Juin - 21:17

Elle était goguenarde, pour un peu il aurait presque fallu lui tendre une boîte de mouchoir au futur moine. Elle n’en avait rien a faire, et elle le montrait bien. Dans sa tête, elle s’imaginait très bien comment le Jelagal, plus communément appelé Jegal la voyait. Le genre démoniaque aux pupilles noires. Et le voilà qui se met a brailler qu’elle était méchante, et qu’il avait toujours été gentil avec elle en voulant l’aider… Qu’elle n’avait pas ou plus de morale, et que sa conscience la poursuivrait par l’action du bon dieu. Elle éclata de rire a la fin de cette dernière phrase. Et il allait lui faire une crise le petit ? Haaan on lui avait confisqué son gouter ou bien ? Et le voilà qui prit d’un regain d’énergie, ajoute d’une voix cassée par la tristesse que sa voiture était bien et qu’elle était « un monstre ».
« Clair qu’elle était… belle pour la casse, là ou elle devrait aller. »
Elle avait dit ça d’une voix amére, parce que dans son esprit, elle était un monstre. Elle s’attribuait toujours une partie dans la responsabilité du départ de sa mère. Mais visiblement, elle n’avait pas pu ébranler sa foi, pas même d’un iota ; Et le voilà qui partit dans un monologue sur l’existence ou non de dieu. Et que si elle était là aujourd’hui c’était grace a dieu, et que sinon, elle ne devrait pas vivre. C’était la chose a ne pas dire. Il venait de la trouver. Elle s’approcha de lui en disant d’un ton glacial… et ou l’on ressentait une pointe de colère.
« Bien. Alors tu sais quoi sombre crétin. Dieu est un con. Il n’est pas là pour pardonner, ni pour aider qui que ce soit. Ici c’est chacun pour sa gueule. Il n’y a personne pour pardonner certaines choses, que je ne qualifierais pas d’erreurs. Donc selon toi je devrais mourir n’est ce pas ? Alors allons-y, tuons le monstre. J’attends un hypothétique châtiment divin. »
Et après avoir mentionné les magasines qu’il jetta a ses pieds, puis prit de remords, il les ramassa et les lui tendit en lui demandant de les reprendre. Elle éclata de rire. Avant de reculer d’un pas. Puis de deux, Puis il la fustigea en disant ne plus croire au père noel et qu’elle faisait le tour de mal autour d’elle. A cette phrase, elle éclata de rire. Un rire froid, après avoir fixé le bluing comme si elle espérait qu’il avait compris.
« Tu m’as bien appelée monstre tout à l’heure hein ;;; Alors si je suis ton putain de raisonnement, je répands le mal autour de moi, et tu sais quoi ? J’ai aucun probléme avec ça. Je suis fière d’être une de ces filles qui préfere profiter de sa vie et coucher avec un mec avant le mariage. Je suis fière de ne pas croire en quoi que ce soit, à part moi. Et tu sais quoi ? j’en vis très bien. Mais que TOI, tu oses me dire que je devais pardonner ma mère, et croire en dieu… Non merci. Alors tes sermons a deux balles sur le pardon, tu vas te le coller bien loin, et ne plus gaver les gens avec ça. Spèce de futur moine »
Puis elle avisa les journaux. Avant de dire sur un ton glacial et narquois.
« Gardes les magasines, dès fois que ce que tu apprennes a quoi sert ce que tu es censé avoir entre les jambres Yi. »
Elle avait largement insisté sur le « censé », parce qu’il était de notoriété publique que Yi Jegal était aussi innocent et vierge qu’un gamin d’un an. Sauf qu’il en avait au moins 20 maintenant, et qu’il y avait de quoi se poser des questions… Peut être était il castré ? Mais ca c’était un autre débat. Et sans se dégonfler, la voilà qui fonce sur la voiture, et décolle un coup de pied dedans.
« De la part du monstre. »
Et elle le fixait avec un air de défi. Comme si la seule chose qu’elle disait en le fixant c’était « et a ça, réponds quoi idiot ? » Et elle croisa les bras, en s’en éloignant, en prenant bien gaffe a ne l’approcher comme si sa santé en dépendait.
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