et un petit branleur de plus dans ce bas monde né à Busan : nguyen west. une bonne petite gueule grâce à une mère vietnamien et un père coréen. la madre était en couple avec un bel et riche étalon - matez un peu ma gueule, ça se voit au premier coup d'oeil -, d'après elle ils avaient tout pour eux, ensemble depuis 4 ans elle avait réussi à se faire accepter par sa famille bien que les trois premières années furent très difficiles car elle n'était autre que la fille de la bonne de la maison alors inutile de vous dire à quel point elle a dû endurer les critiques et les sales coups. avant d'arriver à Busan elle était à Suwon et habitait la petite pièce derrière la cuisine de ses employeurs. C'est par un soir d'hiver venteux et froid que je fus mis au monde d'une manière les plus dégueulasses.
c'est en Australie que tout commence : je ne vais pas passer par quatre chemins pour vous raconter cette horreur, les points importants vous suffiront juste. c'était un voyage pour fêter les quatre ans qu'ils avaient passé ensemble. on va éviter de vous dire ce qu'ils ont fait puisque j'en ai aucune idée. eh ouais, je n'étais pas encore né. tout ce que je sais c'est que ce bâtard de coréen l'a baisé, baisé, baisé et re-baisé même si elle pleurait, et ce jusqu'au bon petit matin jusqu'à ce qu'elle ne sente plus ses jambes. neuf mois avant ma naissance ils décident enfin à rentrer à Suwon, heureux d'être ensemble sans se douter de ce qu'il pourrait bien leur arriver. il ne voulait pas d'enfant mais elle oui. ils se disputaient sans cesse sur ce sujet mais rien de très grave puisqu'il suffisait qu'il la baise pour que tout se remette " dans l'ordre ".
bim, moment fatidique. quelques temps après elle lui annonce qu'elle est enceinte, elle craignait sa réaction puisqu'il avait des tendances à être violent depuis quelques temps.
« t'es qu'une salope ! je suis sûre que tu l'as fais exprès ! ». des cris, des pleure, il lui balance des verres à la gueule, la daronne du connard en fait autant en la traitant de profiteuses, sous-merde, déchet de la société, le bonheur quoi. je préfère vous évitez les malheurs qu'ils lui ont fait subir lorsqu'elle a décidé de garder de l'enfant et comptait sur l'aide de son disant amour.
ma grand-mère et ma mère furent bannie de la maison, elles n'avaient plus qu'à retourner à Busan. mais comment voulez-vous qu'elles y retourne sans un sous ? la maitresse de la maison ne les avait même pas payé.elles ont eré dans la rue quelques moi avant d'être aidé par un ce fameux couple - qui sont mes parents adoptifs aujourd'hui. - ils les ont guidés, trouvé un boulot, payé leur dettes , bref ils les ont remis sur le droit chemin.
Busan, sept ans après ma naissance: des années de galère pour moi. je me lavais chaque matin à l'eau froide et même pendant les temps d'hiver ! je n'allais pas jouer au foot avec les voisins, j'allais aider ma mère sur le marché et portais ce que je pouvais et parfois même des sacs qui faisaient deux fois mon poids. triste réalité. j'étais un poids pour elles, je le savais. je ne voulais pas entendre ma mère me le dire en face, je ne voulais pas qu'elle me regarde avec son petit air de dépression " écoute il faut que je te parle. " c'est donc comme un héros que je m'étais dirigé vers elle et avais pris la décision de partir de la maison. lol vous me direz. qui à sept ans voudrais partir de la maison ? je ne pouvais rien faire à cet âge ! mais moi, je suis double v, donc je peux tout faire. je savais qu'elle avait appeler le couple homosexuel pour les supplier de m'adopter, prétendant que je pouvais avoir une meilleure vie - parce qu'ils sont riches - , je l'avais surprise en plein échange téléphonique la veille de mon anniversaire. j'ai donc pris l'initiative de remplir mon petit sac à dos pororo et ai laissé une lettre sur le frigo.
" maman, je pense que c'est mieux pour mamie et toi si je pars. ne t'inquiètes pas je leur ai donné rendez-vous pour qu'ils viennent me chercher. je vais piquer tout leur argent pour vous les donner ! promis ! prenez-soin de vous. on se voit dans pas longtemps hein ! "je ne lui ai même pas dis au revoir correctement. je suis parti comme un juif. je n'aurai pas pu assumer le fait de la voir se retenir de pleurer, frottant mes bras en me disant d'être fort. c'est donc ainsi que ma vie commença une seconde fois à Suwon, avec des parents différents.
j'étais leur premier fils et ils avaient beau m'aimer comme si j'étais vraiment un des leurs, je savais qu'ils étaient différents et m'importait peu. j'avais fais une promesse à ma mère et je comptais l'exaucer. à vrai dire, je n'ai rien eu besoin de faire puisque chaque mois ils me versaient de l'argent de poche et ce, même si je n'avais pas encore atteint dix ans. dès que j'empochais cet argent je l'envoyais illico presto à ma mère. je n'ai JAMAIS profité de l'argent qu'ils m'ont donné et que voulez-vu que je fasse avec ? avant mes 16 ans, rien. mais une fois les avoir dépassé je leur demandé de doubler et parfois tripler pour pouvoir me payer mes petits pornos et ma belle weed en mode discretos. plus je me mettais à fumer et plus je devenais désagréable avec le couple.
à 18 ans, je suis impliqué dans un petit truc, rien de très grave - enfin pour moi- un petit trafic de drogue mais aussi dans une affaire de séquestrations. oh, c'est encore une petite chose pour moi. c'était une affaire de jalousie en fait. un ami avait surpris sa meuf sur la terrasse d'un café avec une autre gars que lui, à plusieurs reprises. alors je trouve que c'est tout à fait normal de l'avoir enfermée dans la cave pendant une semaine ! je préfère vous épargner le fait que chaque gars de la bande lui ai passé dessus
ça ramène des meufs dans la casa, les baise dans le lit des darons, vole dans les maison des autres, tire les cheveux des filles et les baffe mais malgré tout ça, ils continuent de m'aimer. qu'ils sont mignons. mais tout ce que je veux d'eux, c'est leurs tunes pour ma mère.