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| « décalage hormonal » jeoshik. | |
| ksos professionnel Invité Invité | Sujet: « décalage hormonal » jeoshik. Dim 2 Fév - 23:07 | |
| Une vie avec moi Des pleurs, des effusions de sang
Comment penser, que dire, quoi faire, totalement perdue ouais. Pourquoi les films romantiques américains s'évertuent toujours à nous faire croire que l'amour c'est facile, que le prince charmant (vraiment charmant, et seulement en un exemplaire) viendra frapper à notre porte avec un magnifique sourire et des rêves de bonheur infini? Pourquoi dans cette putain de vraie vie, c'est toujours plus compliqué. Je me demande aussi pourquoi mon coeur s'est entiché de deux hommes si différents l'un de l'autre, en même temps, au même moment? Ne pouvait-il pas simplement en choisir un des deux, avant que l'autre ne débarque et ne se fasse sa place dans mon coeur? Moi qui préfère rager sur tout ce qui porte des couilles, pour qui les déteste comme si ils étaient le diable en personne. A croire que, même Jeona, première fille Yi de la famille, reste une fille normale, avec des rêves normaux et des désirs d'histoires d'amour. N'importe quoi... La télé gueule dans le salon alors que moi, les genoux repliées sur le torse, j'attend... quoi? Que ENFIN ils s'embrassent et vivent heureux jusqu'à la fin de leur jour. La sonnette me fait sursauter, et une demi-fraction de seconde, l'idée que se soit le prince charmant qui m'enlèvera sur son cheval blanc m'effleure l'esprit. Un ricanement s'échappe de mes lèvres alors que j'entend les pas du majordome derrière moi. « Madame, Mo Man Shik à la porte vous demande. » Et je me lève d'un coup, les yeux écarquillées. « Quoi?! » Alors la fallait agir vite, très vite. Que venait-il faire ici, en plein jour, un samedi, alors que tout le monde était à la maison? Je me précipite alors vers la porte, l'ouvre à la volée, ne prend pas le temps d'ouvrir la bouche et attrape sa main, le tire à travers le grand salon à la vitesse de l'éclair, montant l'escalier menant aux chambres avec la même ardeur, jusqu'à claquer derrière lui la porte de ma chambre. J'y croyais pas, il avait réussis à entrer dans ma putain de chambre, ce foutu pervers. « Qu'est ce que tu fou la?! t'es fou ou quoi?! » marmonnait-elle à quelques centimètres du visage de man shik, ses yeux plantés dans les siens.
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| | ksos professionnel Mo Man Shik BRAIN, BOUQUINS POINT : 396 MERDES LAISSÉES : 814 | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Dim 2 Fév - 23:53 | |
| décalage hormonal à la recherche de sensations, sûrement Cela l'avait pris d'un coup : il tenait encore sa brique de lait dans la main, face au réfrigérateur la porte encore ouverte, dans la cuisine. Manshik s'était arrêté, le bruit de l'horloge résonnant dans la salle comme un tic tac de bombe. Pris de sueurs froides, il avait brutalement jeté la brique de lait dans le frigo et fermé tout aussi violemment la porte pour s'élancer vers son entrée. Il attrapa la première paire de godasses qu'il trouvait, ses convers noires qui commençaient à vieillir plutôt mal. S'élançant à travers la ville, il avait vaguement entendu son frère lui demander ou plutôt, crier où il allait. Lui-même avait du mal à y voir clair mais en tout cas, ses pas continuaient de l'y emmener. Manshik arriva dans un quartier résident très luxueux, pas si éloigné que cela de chez lui. Mordillant sa lèvre, il comprit où il arriva et voulut s'administrer une merveilleuse baffe en voyant le nom qui apparaissait sur la boite aux lettres de la maison où il venait de s'arrêter : Yi. Ne sachant que faire, il avança et buta dans le rebord du trottoir, manquant de s'étaler sur l'herbe hypra-verte de leur jardin. Une marque du perfectionnisme de Jeona ? Manshik ne put s'empêcher de sourire comme un idiot. En ayant failli s'étaler, le désormais brun (bye le roux, ça avait mal tourné la dernière fois à cause de sa couleur donc) avait cru apercevoir une porte qui donnait sur l'arrière de la villa. Un bon moyen d'appeler Jeona sans alerter tout le monde ? Il approcha à pas de loup la porte du jardin, l’enjamba en pensant être comme James Bond mais en plus sexy et tomba sur plusieurs fenêtres. Sûrement les chambres, laquelle était celle de sa princesse ? Se fiant à son valeureux instinct, Manshik chercha des petits cailloux qu'il jeta sur la fenêtre qui laissait apercevoir le plus de couleur. Très vite quelque chose bougea. Une masse noire, oh mauvais signe. Grimaçant et devenant encore plus pâle que possible, $hikos recula doucement et finit par courir alors que la masse allait ouvrir la fenêtre. C'était tout sauf Jeona, ça. Sortant du jardin de sa manière la plus suspecte possible -il n'arrivait pas à se contrôler, c'était dans ses gênes malheureusement pour lui-, il finit par s'asseoir sur le rebord du trottoir, la maison des Yi derrière lui. Sa tête dans ses mains, il la tapa contre ses jambes repliées et beaucoup trop grandes sans faire exprès. Qu'allait-il faire désormais ? Si quelqu'un sortait par mégardes, on le trouverait ici et ce serait drôlement suspect. Encore. Il prit une décison : se redressant brutalement, il tira sur son pull bordeaux, épousseta son pantalon crème et refit les lacets de ses convers. S'approchant d'un pas déterminé vers la porte d'entrée, c'est avec le même entrain qu'il appuya sur la sonnette. Pendant qu'il attendait qu'on lui ouvre, il en profita pour passer un rapide coup de main dans ses cheveux brun qui devaient sans doute être en pétard. Un majordome vint lui demander son nom qu'il donna sans hésiter. Juste après qu'il ait disparu, tout se passa rapidement. Manshik eut juste le temps de voir qu'une tornade bleue fonçait droit sur lui qu'il fut tirer en avant et emmené il-ne-sait-où. Ils coururent ensemble jusque dans sa chambre, à première vue. Jeona claqua la porte de sa chambre, se retourna vers lui et colla son doux minois à quelques centimètres du sien. Il ne put s'empêcher de sourire comme un idiot, lui dévoilant toutes ses dents blanches. « Je sais pas, juste envie de venir. » Manshik avait beau être un idiot, doublé d'un pervers, il n'en restait pas moins fière comme la majeur partie des hommes. Alors, impossible de lui avouer -surtout pas dans l'immédiat- qu'il était venu jusqu'ici comme un bêta seulement avec l'espoir de la voir. Il leva sa main, toujours liée à celle de la jeune femme près de leur visage et dit d'un ton où il n'arrivait à contrôler sa joie : « Nos mains sont tou-jours liées ! » |
| | ksos professionnel Invité Invité | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Mer 12 Fév - 21:34 | |
| « Je sais pas, juste envie de venir. » Comme à chaque fois, je restait plantée la comme une belle idiote, désarmée par le truc que dégageait man shik. A quelques milimètres de son visage, je le détaille sans gêne l’air de dire « tu te prend pour superman, t’es trop fier c’est ça ? » que je ne lui cracherais jamais à la gueule. Jouons stratégie, stratégie. Il faut qu’il parte, il est mauvais pour mon petit coeur. Mais il m’insupporte, me rend dingue, folle, hyper stressée et fait ressortir tout mes mauvais côtés. Comment réagir face à mon démon intérieur ? Le fait qu’il lève nos mains me rapelle que je suis toujours quasi collée à lui et que, effectivement, nos mains sont toujours liées. Mon visage se baisse vers nos doigts entrelacés, avant de finalement se relever avec ce joli minois. Je le fusille du regard, silencieuse, pendant quelques secondes qui semblent être des heures entières. « Tu veux quoi au juste ? m’envahir ? me rendre folle, mh ? » et tout cela dis sur un ton des plus calme, froid, à la limite du film d’horreur. Et alors, doucement, je lâche sa main –oui, c’est moi qui la tiens depuis tout à l’heure, fort- que je remonte sur sa joue, sa jumelle venant se placer sur son autre joue, et plaque mes lèvres contre celle de man shik pendant un temps certain. Mes yeux à demi clos, ma langue vient titiller sa lèvre inférieur avant d’aller carresser la sienne. L’idée que se soit son premier baiser me traversa l’esprit, et me fit à demi sourire alors que je reculait de quelques centimètres, plongeant mon regard dans le siens. « Voila, c’est bon maintenant, tu peux partir ? » Pourquoi diable j’avais fait ça, quelle bonne question. Un petit soupire s’échappe alors de mes lèvres et je me détache de lui, allant m’asseoir dans un des fauteuil près de la fenêtre, à l’autre bout de la pièce. Quel jeu de diva merveilleux, jeona, bravo ! |
| | ksos professionnel Mo Man Shik BRAIN, BOUQUINS POINT : 396 MERDES LAISSÉES : 814 | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Mer 2 Avr - 23:15 | |
| Quand il apercevait ses cheveux bleus, Manshik ne pouvait s'empêcher de vouloir se montrer romantique envers sa dulcinée. Qu'elle reste aussi longtemps silencieuse -c'est-à-dire 1m30 chronos en main et c'est un record pour Jeona- ne fait que conforter Manshik dans son idée : il a donc réussi à l'atteindre . Non parce qu'elle justement, elle le rend dingue ! Les heures passées à regarder des films romantiques pour petites adolescentes en chaleur au lieu de passer ses précieuses minutes à voir et revoir des films tels que BRANLIX 2000 ou d'autres courts-métrages aux titres tout aussi poétiques n'avaient pas été vains ! Il souriait à Jeona observait son crâne baissé, sa risette s'élargit quand elle releva son joli minois et qu'elle lui fit face. Sa bouche voulut répliquer aux paroles de la jeune femme qu'il ne comprit qu'à moitié mais Jeona venait déjà d'écraser promptement ses lèvres contre les siennes.
La première fois qu'il l'avait aperçu, c'était sûrement sur le campus. Impossible de dire avec une précision exacte quand il l'a réellement croisé, à son plus grand regret. Tout ce dont il arrive à se souvenir et avec peine, c'est de l'avoir aperçu plusieurs fois couru dans tous les sens crier, ordonner tout un tas d'actions autoritaires qui émanaient de sa bouche. Manshik l'avait trouvé si féroce. Mais ce qui l'avait le plus attiré à cette époque, c'était la couleur bleue tout aussi fourbe qu'impétueuse de ses cheveux. C'était surprenant de voir une tête bleue se promener parmi un flot d'étudiant aussi bruns les uns que les autres. Il l'avait alors remarqué et avait cru sentir son cœur s'emballer dès leur premier contact visuel. Était-ce, parce que lui aussi à l'époque avait une teinte de couleur qui sortait carrément de l'ordinaire -il arborait sa très célèbre coupe aux cheveux de feu- ou bien avait-il succombé à ses yeux doux dès le début ? Assez compliqué d'y répondre. Manshik essaya de profiter du moment venu, se laissant aller en répondant enfin au baiser. Il espérait secrètement qu'elle n'avait pas trop attendu ou ne s'était pas découragée entre temps en voyant qu'il ne réagissait pas dans l'immédiat, perdu dans ses pensées qui le menaient toutes vers elle seule. Il chercha sa main sans quitter ses lèvres, la serrant à son tour cette fois. Oh, il souhaitait tant ne pas embrasser trop mal !
Alors qu'ils se détachaient enfin et que Manshik s'apprêtait à lui offrir son plus beau sourire, il perdit toute expression face aux paroles de Jeona. En restant planté au milieu de la chambre, il la regardait s'installer confortablement et prendre ses aises. Normal, vu le lieu où ils se trouvent. « Bah... » Il se grattait l'arrière de crâne, gêné en laissant résonner son mot. Le coréen se sentit soudainement hyper mal à l'aise en se remémorant où il était : dans la chambre de Jeona, à quelques pas de son frère qui pourrait entrer à tout moment, le découvrir et vouloir l'étriper. Mais aussi si près de son cousin à qui il mourrait d'envie de raconter ce qui venait de se dérouler. Levant les yeux vers le plafond, il remarqua une étagère contenant un nombre impression de film et de livres. Il s'en approcha et les observa, n'osant les toucher au début. « Sympa ta collection de dvd. » Terminant sa contemplation dans un silence bien que lourd, il se décida à devenir l'homme riche de la situation. Manshik prit place dans le fauteuil en face de Jeona. « Sinon, c'était quoi ça ? » Ses mains moites tremblaient légèrement, il les essuya en frottant frénétiquement sur ses cuisses. |
| | ksos professionnel Invité Invité | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Mer 30 Avr - 19:46 | |
| D’aussi loin que je me souvienne, Manshik avait toujours réussis à me foutre hors de moi. Sa petite tête et ses cheveux de feu, son grand corps un peu gringalet et son regard un peu perdu. Il me mettait hors de moi mais m’attirais irrésistiblement toujours vers lui, c’était très désagréable, parce que même sans s’en rendre compte, il avait une emprise folle sur moi. Il avait, et à toujours cette partie de moi qui refuse de le lâcher depuis les premières rencontres. Quand Je le vit perdre tout le courage qu’il avait accumuler pour venir jusqu’à chez moi, alors que je venait de casser tout ses rêves en tournant les talons et en le renvoyant d’ou il venait, une partie de moi s‘en voulait énormément. « Bah... ». Mon regard se posa alors durement sur lui alors que cette autre partie de moi mourrait juste d’envie de retourner chatouiller ses lèvres. Parce que oui, fallait l’avouer, j’avais aimer cet unstant de paix intense entre nous. « Sympa ta collection de dvd. » Je me mordille alors la lèvre, restant silencieuse alors que je baisse un peu les yeux, honteuse. Mais pas question de perdre la face contre lui, qu’est ce que j’allais dire maintenant, mh ? Quand il prit place en face de moi, je relève les yeux sur lui et l’observe des pieds à la tête. A le regarder de plus pret, ses traits me faisait clairement craquer. Son menton, sa machoire légèrement carré, ses tout petits yeux et ses cheveux bruns en bataille. Son malaise me rendait folle et bien que je faisait la fière, je ne savais absolument pas quoi lui répondre. « Sinon, c’était quoi ça ? » Mon regard se fixa alors dans le siens, mes lèvres se pincèrent et mes mains jouaient nerveusement avec les accoudoirs. Un soupire franchit finalement mes lèvres aors que je tourne les yeux vers le mur, remarquant toute les photos de mes amis, soirées et autre accrocher au mur. Finalement, en posant mes deux mains sur mes genoux, je me retourne vers lui et inspire profondémment. « Je suis désolée, ok ? Je sais pas ce qui m’a prit, mais... Mo Man Shik, tu me rend folle. Je sais pas quoi faire avec toi, je sais jmais comment réagir. » J’avais été franche, mais un poids retenait encore quelque chose dans mon coeur. « Hum.. Soyons franc l’un vers l’autre. Commence ! » |
| | ksos professionnel Mo Man Shik BRAIN, BOUQUINS POINT : 396 MERDES LAISSÉES : 814 | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Dim 22 Juin - 22:23 | |
| Il ne souhaitait pas décrocher son regard de celui de Jeona, peut-être finirait-elle par lui répondre s'il continuait de la fixer ainsi. Et c'est ce qu'elle fit dans un soupire qui bouleversa Manshik. Il ne cessa pourtant pas et ne la quitta pas des yeux. Elle tourna la tête et semblait regarder quelque chose de bien plus intéressants que lui-même. Il savait que c'était des photos car, en visitant rapidement sa chambre, il avait vu des cadres accrochés à ses murs. C'était bien plus intéressant que lui ? D'accord. Il se racla la gorge pour attirer son attention. Jeona finit par prendre la parole et Manshik se sentit rougir jusqu'aux oreilles au fil de ses paroles. Cette fille aux cheveux bleus avait une facilité déconcertante à le mettre mal à l'aise n'importe quand et très rapidement et pour cela, elle n'avait besoin que d'ouvrir la bouche. Ou simplement d'être présente dans la même pièce que le petalous. D'ailleurs, son cœur battait à une vitesse affolante. « Je dois... Commencer ? » Ses yeux papillonnèrent dans toute la chambre, passant sur les murs blancs puis l'étagère jusqu'au lit, comme s'il cherchait du courage et qu'il pensait en trouver quelque part dans cette chambre. Mais rien ne vint. Ce fut au tour du garçon de souffler pour se donner un peu de contenance. Il se leva de son fauteuil et s'approcha doucement de Jeona, ne voulant pas qu'elle fuit même si c'était elle qui voulait qu'ils soient francs.
« Moi... Je dois dire quoi ? » Il décoiffa ses cheveux bruns, stressé puis emmena sa main se poser sur sa poitrine où il put sentir son cœur presque s'envoler. Il se pencha vers la jeune femme, leurs visages étaient désormais dangereusement proches. Ne sachant pas comment exprimer oralement tout ce qu'il ressentait, tout ce qu'il se passait dans sa tête comme son organe vital quand il la voyait ou ne serait-ce que penser à elle, il attrapa une de ses mains et la posa brutalement sur sa propre poitrine. « Moi aussi, ça me rend fou. Tu me rends fou. » Sa prise se fit tremblante et il lâcha la main de la jeune femme, un peu surpris par son propre geste. Il recula brusquement et si brutalement qu'il se cogna contre le fauteuil où il se trouvait quelques minutes auparavant. Pris de panique, il voulut détourner le regard et tomba sur un miroir où il put se voir. Sa face était blême, son sang pulsait contre sa paume, il avait peur que Jeona puisse entendre les battements de son cœur. De là, il se voyait trembler, les jambes et bras écartés, ses pupilles bien plus noirs que d'ordinaire le fixant. Est-ce que Jeona avait conscience à quel point elle le rendait faible ?
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| | ksos professionnel Invité Invité | Sujet: Re: « décalage hormonal » jeoshik. Lun 23 Juin - 16:04 | |
| Je fixe avec une concentration extrême la pointe des me cheveux qui pend devant moi, mes genoux toujours remontés contre ma poitrine. La voix de man shik me fait sursauter intérieurement. Mon cœur bat plus vite alors que je le sens hésitant. Comme si le regarder allait m’achever, j’évitais bien son regard jusqu’au moment ou il décide s’approcher de moi. Voyant ses pieds devant moi, je lève alors les yeux pour le voir passer sa main dans ses cheveux déjà ébouriffés. Mon cœur rata un nouveau battement. Pour la première fois depuis longtemps dans nos échanges, il n’y as aucune colère, seulement de l’appréhension. Alors que son visage s’approche du miens à une vitesse dangereuse, je n’ai pourtant aucun geste de recul et plante mon regard dans le siens. Il prend ma main et je sursaute en rencontrant son torse. Et le je sens alors.
Je sens son cœur battre aussi fort que le miens. Sa pulsation danse sous mes doigts alors que nos regards entament la pire des valse. Celle de l’amour. Celle du jugement s’envole, celle de la colère s’estompe doucement, et sa voix retentis en moi comme un nouveau gong. Voyons jeona, depuis tout ce temps, jamais tu n’avais compris ces sentiments ? Non, je ne voulais pas, jamais le comprendre. Je le rend fou, il me rend fou. Que faisons nous ? Il me lâche alors et brutalement, mon âme s’affale à nouveau dans mon corps, réintégrant brusquement le sol.
Il me lâche, il brise l’instant, et tout dans nos cœurs, dans nos corps changent. Il panique, je panique, mais le fait qu’il se cogne et son teint tout à coup blême me fait doucement paniquer. Je me lève alors rapidement et viens poser une main sur son épaule. Ce géant me rendait dingue. Sans réfléchir, je lève la tête et le regarde, mes lèvres et mes mains tremblant légèrement. ça va ? Mo man shik, yah. Assis toi dit-je en le poussant doucement vers le fauteuil qu’il avait cogné. Je doutais qu’il se soit fait mal, mais c’était… Bizarre. Mo Man shik assis dans mon fauteuil, je me glisse sur l’accoudoir et le regarde alors, les joues rougissant doucement. mh… je suis désolée pour tout ce que je te fais vivre… Je détourne la tête de lui, et mon bras droit viens frotter mon bras gauche dans un reflex de gêne.
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| | | « décalage hormonal » jeoshik. | |
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