☥ NOM COMPLET - Ahn Woo Bin ☥ SURNOM - Bini, Conbini, Woowoo ☥ ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE - 23 y.o - 91.03.28 - seoul ☥ SITUATION AMOUREUSE - célibataire et fière ☥ ORIENTATION SEXUELLE - hétérosexuel ☥ ETUDES OU METIER - étudiant philo☥ CLASSE SOCIALE - moyenne ☥ ORIGINES : coréenne ☥ MOT REPRÉSENTATIF - complexe ☥ JE SUIS UN - petalou ☥ T'ES QUOI ? personnage inventé.

Ahn Woo Bin. Nom commun, prénom commun, naissance commune et vie commune. Point. En gros c’est vraiment à ça que se résume la vie de Woo Bin : banale. Rien de bien spécifique à signaler, aucuns évènements importants non plus, en réalité, en quelques mots cette dernière pourrait être décrite. Né dans les années mille neuf cent quatre-vingt-onze il a joui durant des années de la place de cadet de la famille Ahn. Trois sœurs, deux frères, deux chats, un chien et des lapins. Un père fonctionnaire et une mère fonctionnaire à mi-temps. Une vie commune d’une famille nombreuse les a poursuivis avant que quelques évènements en relation avec Woo Bin vinrent rompre le charme de ce quotidien routinier.

Trois grandes sœurs, beaucoup plus âgées que lui. C’est pour elles que leur mère a cessé de travailler à temps plein, histoire de donner une bonne éducation à ses enfants, mais surtout pour bien se faire voir au près des autres. Les apparences avant tout, dans ce foutu monde. Min Ah, So Yu et Ji Yeon. Trois vilaines sœurs, harpies, grosses et laides, à l’image de leurs trois lapins qui passaient leur temps à copuler entre eux. Min Ah l’ainée de toute cette tribu la débauchée de service, à ce demander si elle portait encore des culottes, So Yu la petite timide qui écarte au final facilement les cuisses à la vue de quelques liasses et Ji Yeon, certainement une des pires, une pute à l’état pure, fauchée le matin, riche le soir. Comme quoi, des cuisses ça rapporte, quoi que la bouche aussi.  Deux frères ainés, calmes et posés. D’apparence, voyons. Aussi débauchés que leurs sœurs, ils ne laissèrent guère de répit à leur cadet concernant l’argent et la sexualité. Quand on baigne dedans, autant en faire profiter tout le monde. Woo Bin n’était pas plus emballé que ça par les chevaux noirs et les belles clairières à brouter, au grand damne de ses ainés. Douze ans. Ce fût l’âge où ses premiers neveux arrivèrent dans la famille. Ben oui, en étant ‘écarteuse’ de cuisse professionnelle difficile de ne pas passer par la casse engrossé. Deux petites filles, d’un coup. Ben ouai, autant marqué l’histoire comme il faut et ne rien faire à moitié. Sa sœur ainée avait dix-sept ans à cette époque, il ne se souvient pas vraiment de sa réaction, elle devait certainement être banale, comme sa routine. Et puis un mioche ce n’est pas grand-chose. Ah si, des emmerdes en plus. Puis fallait l’avouer, les deux gamines ce n’était pas sa sœur qui allait s’en occuper, mais leur mère qui allait vivre une septième maternité. Mais attention, au départ ça devait être elle qui devait s’en occuper, fichrt bien sûr que non. Quelques jours après l’accouchement la revoilà sucer du cheval noir, la petite. On ne veut pas perdre de la langue, pardon, de la main dans le domaine. Treize ans, son premier neveu, de sa seconde sœur. Dans la famille on enchaine les naissances, autant tout faire d’un coup et être débarrassé, même sur ça. Huitième maternité pour sa mère. Quinze ans, troisième nièce et second neveu. Oui cette année là  –qu’on était fou et un peu maso, on keaffait les gosses et les partouzes ~ ouououou ~ hommage mérité à notre défunt freacking sexy Claude François, rpz- avait été sous le signe des mioches et des mioches. Réaction : banale. Toujours banale, au final les mioches avaient été son quotidien durant son adolescence. Troisième nièce qui venait de sa première sœur qui vivait sa seconde grosses, attention pas du même père. Et encore on n’était pas sûr de son identité. Le second neveu c’est son frère qui vivait une grande idylle avec une fille du voyage, jurant par les dieux sacrés du boudahisme chrétien qu’il chérirait cette femme et qu’il l’épouserait à sa majorité. Mes fesses poilues, elle s’est simplement barrée avec du fric et a laissé le mioche. Dans le fond, une famille comme l’a leur ça fait peur. Faut croire que seul son frère âgé d’un an de plus que lui était calme. Le premier enfant qu’il avait eu était à 24 ans, après son mariage avec une magnifique chinoise, femme d’affaire, riche jusqu’à ses obus blindés de silicone. Ne parlons pas de sa face botoxée, s’il vous plait.  Size ans et enfin, un neveu et une nièce supplémentaire de sa troisième sœur ! On se demandait quand ils allaient arrivés. Chose à noter, elle était restée plus de cinq ans avec son ‘copain’ après la naissance de ses deux jumeaux. Les jumeaux sont une tradition dans la famille Ahn, à croire. Mais n’oublions pas, il s’est barré après cinq ans avec la secrétaire du patron de son ex-beau-père. En bref, une vie banale.  Au final en arrivant à sa majorité, il n’était plus six enfants mais un total de quatorze enfants. Oui, vous avez bien entendu. C’est pour ça que sa mère a fini par quitter son travail, son père prendre un mi-temps et que les allocations sont venus arrondir les fins de mois. Lui Woo Bin, il était là, spectateur de ce chantier humain.

À regarder, cette vie banale.

Jurant par les dieux créateurs de jeux vidéo qu’il chérirait ses disques et disquettes plus que ses neveux et nièces. Jurant fidélité à ses manettes et écrans, il ferait son possible pour les embellir et rendre leur quotidien plus joyeux, que le sien en tous les cas. « En voulant échapper à la réalité à laquelle il était confronté, le petit Woo Bin s’est enfermé dans un monde parallèle alliant jeux vidéo et solitude, au grand désespoir de ses parents. C’était en 2008 sur notre plateau avec Jean-luc Delarue, ils avaient témoignés de ce problème, que sont-ils devenus aujourd’hui. » En réalité, Woo Bin n’avait jamais été un ‘geek’ ou autre, il avait été le gamin le plus banal du monde, avec ses petites histoires et ses petites amies. Dix-sept ans, première fois, première déception. Dix-huit ans, première peine de cœur. Dix-neuf ans, première vraie relation avec une nana possédant des seins en 4D et non en 2D. Vingt ans : TEMPS DE LA LIBERTE. Amis, boissons, études, un peu de joint alliant la philo, un monde parfait. Depuis ses vingt ans, il a connu liberté et amour, tout en favorisant ses cursus scolaire.

Une vie banale quoi.

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