☥ NOM COMPLET - Byeol Na Joo, ça fait tout de même la deuxième fois que tu me demandes, t'es drôle toi. ☥ SURNOM - Nana. Je suis la petite dernière, il fallait bien qu'on me trouve un surnom tout petit et tout mignon n'est-ce pas ? ☥ ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE -J'ai 21 ans ; je suis née le 15 août 1992 à Auckland en Nouvelle-Zélande . Je préfère vous prévenir : l'accouchement s'est avéré être... Surprenant. ☥ SITUATION AMOUREUSE - J'ai une relation secrète avec Jésus, sans dec'.. Mais chut hein! Mise à part ça, je suis célibataire! MON DIEU VIVE LE CÉLIBAT. Je ne sais même plus pourquoi j'ai répondu Jésus :( ☥ ORIENTATION SEXUELLE -.Comment oses-tu? ☥ ETUDES OU METIER -  Je fais des études en Economie. Mais pas besoin de job à mi-temps afin de financer mes études. J'ai papa et Maman pour ça.☥ CLASSE SOCIALE - Je suis riche. Merci Maman, merci Papa! Avoue-le, tu mourrais d'être ma place ? ☥ ORIGINES : Coréennes, mais du moment que j'ai de l'argent peu m'importe. ☥ MOT REPRÉSENTATIF - riche☥ JE SUIS UN - petalous. ☥ T'ES QUOI ? personnage prédéfini .

-POUSSEEEEEEEEZ ! hurlait le jeune médecin, ce n’était que sa première année. Après de longues années d’études il prenait enfin possession de la clinique de son père qui disait ses derniers mots dans la chambre même ou ma mère me propulsa de son ventre,  j’étais la dernière fille de la lignée donc la réponse alarmante de ma môman surprit le médecin plus qu’autre chose : - MAIS DANS QUEL SENS ? Il ne préférait ne rien répondre, on l’avait déjà prévenu que la mère de famille asiatique n’avait pas autant de neurones que de billets dans son portefeuille.  Après quelques heures dans la clinique, on finit par me sortir dans mon petit panier rose à pois pour la première fois,  afin que je profite du grand soleil que la Nouvelle Zélande offrait à ses habitants…. Ainsi que son humidité presque omniprésente, d’un côté nous étions au mois d’Août. Il ne fallait pas s’attendre à une brise rafraîchissante de début d’été : le temps pouvait s’avérer être sec en Océanie. Nous nous déplacions souvent et maman avait insisté pour visiter Auckland alors qu’elle était enceinte de 9 mois déjà. Mais père finit par céder à ses caprices et ils prirent un premier avion direction la Nouvelle Zélande et c’est durant cette après-midi du 15 Août 1992 que Maman sentit des contractions violentes, son pressentiment ne la trompait point : je voulais pointer  le bout de mon  nez moi aussi !   Mais revenons à nos moutons, c’est  à peine quelques heures auparavant que je venais tout juste de naître,  et j’avais déjà une grande sœur pour prendre soins de moi, même si ce n’était pas forcément ses premières intentions arrivée à la maison. Les cris des bébés de la maternité et le stress avait fatigué toute la famille et Maman se rendit vite compte que l’accent Néo-Zélandais n’allait pas lui plaire bien longtemps, de plus elle ne profitait pas des paysages et faisait tout le temps la gueule, c’est par ailleurs ce que mon père ne comprenait pas : - Je veux rentrer… Je ne me plais pas ici. elle voulait rentrer en Australie sans raison apparente, peut-être que la Nouvelle Zélande n’était qu’une fausse utopie à ses yeux. On ne pouvait ne pas satisfaire madame alors qu’elle venait d’accoucher. Ils attendirent deux mois dans un appartement de luxe à Auckland et retournèrent en Australie afin que les deux sœurs puissent y suivre une éducation exemplaire dans des écoles privées. Papa est dirigeant d’une chaîne de casinos et a toujours gagné beaucoup, il était ouvert d’esprit. Ne me demandez pas comment nos parents ont pu accrocher. Il nous sortait souvent ma sœur et moi : c’est d’ailleurs lui qui m’a donné goût à la culture et au savoir, vous savez les gosses de riches ont souvent de meilleurs résultats que les autres : ils ont accès au mieux du mieux, et ce tout le temps. La culture assez restreinte de Maman ne m’a pas vraiment permis de comprendre les choses mais grâce au recul et aux multitudes de sorties que nous effectuions je peux réellement remercier  mon père de s’être soucié de notre avenir, notre mère était plutôt  du style à confondre le nom de ses filles avec ceux de ses mannequins.  Mon enfance s'était plutôt bien passé et ce jusqu’au collège, les australiens étaient hospitaliers et n’étaient pas du genre à mettre les gens mal à l’aise, le plus important était que nous avions quelque chose  en commun : l’argent. D’après mes professeurs, j’ai toujours été une petite fille ouverte d’esprit, vicieuse par moment mais très intelligente. Même si je n’appréciais pas l’école je travaillais tout de même  au bonheur de Papa. La complication vint peu après, vers le lycée. Nous sommes tous passés par l’adolescence n’est-ce pas ? Pour ma part ça n’a pas toujours été une partie de rigolade, disons que les hormones ont beaucoup joué durant cette période, et se lever un matin avec deux ballons de football au lieu de smarties aplatis au niveau de la poitrine n’a jamais été le meilleur cadeau de noël qu’on aurait pu m’offrir. Bon, j’admets que ça ne s’est pas produit comme tel, certes ça a pris du temps mais lorsque le résultat fut complet, je n’avais que mes yeux pour pleurer. Je sais très bien ce que vous allez me dire ‘ Mais toutes les filles rêvent d’avoir des seins aussi volumineux que les tiens.. –blah, blah- j’appelle ça du foutage de gueule, je n’ai pas choisi et si ça ne tenait qu’à moi j’aurais gardé mes smarties avec plaisir. C’est juste la forme et le volume qui m’a longtemps dérangé. Et puis se faire surnommer ‘boobs’ partout où l’on met les pied : je trouve ça particulièrement dégradant et juste inacceptable. Mais ce n’était pas mon point de vue qui allait faire changer l’avis de tous ces imbéciles. En soit, j’ai réussis à passer outre grâce au réconfort que ma sœur m’offrait le soir lorsque je rentrais du lycée, dans une autre vie nous aurions été jumelles, c’est presque évident.  L’autre problème était que les australiennes se sentaient souvent en compétition  avec moi alors que je faisais tout pour essayer de récupérer ma réputation de gentille fille auprès des autres et de sortir avec des mecs ayant un minimum de respect pour moi, du moins c’était plus ma sœur qui jugeait si ils en avaient ou pas, l’amour n’a jamais été ma tasse de thé.  

- Tu retourneras en Corée rejoindre ta sœur que si tu travailles ce trimestre ! Avec ce bulletin tu ne seras acceptée nulle part, j’espère que tu t’en rends compte ! il était vrai que je n’avais pas foutu de gros efforts ce trimestre, entre les copains et les soirées  je ne savais pas où placer les révisions et les examens allaient être dans quelques mois. -Ce n’est pas comme si mon intelligence avait disparu ! lui rétorquais-je.  Fais-moi confiance papa, je vais bosser.

A vrai dire, je repris très vite la routine des cours, en même temps c’était l’unique  moyen de  retrouver ma sœur en Asie. Je me concentrais sur mes études plus qu’autre chose et je peux affirmer qu’au bout d’un certain moment –certains ne le croiront sûrement  pas ,mais- on finit par y prendre goût et je pense encore être dans le délire complet des études du style : ‘oui fait ci, mais non c’est une branche fermée ça !’. Passons, pour revenir à ce que je disais : oui j’aime les études maintenant mais  ne mélangez pas tout je vous prie : étude n’aura beau ne pas rimer avec soirée, j’ai bien fini par trouver une issue afin d’accorder les deux. C’est avec succès et le sourire béat de Papa que je réussissais mes examens d’entrée pour la Inshinae Université, mais bon c’était pas comme si j’avais vraiment bossé non plus, ayant toujours eu des facilités depuis mon enfance, il fallait que je trouve une branche qui m'intéresse sinon j'allais finir par mourir d'ennuie, mon père le savait. Et puis même si je finis par m’ennuyer, il y aura toujours les soirées, et ma sœur.  Je vais enfin –et avec le sourire hein !- rejoindre ma sœur en Corée comme voulu et me concentrer sur mes études en licence économie-gestion .  

t'as rempli le code pour le bottin ? [Oui   ]
t'as posté ton activité rp ? [Bien évidemment!]
tu nous aimes ? [bah.... obab]