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 You said you'd always be there for me. But you're not..

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ksos professionnel
Ham Tao Jun
Ham Tao Jun
MINI KING

POINT : 11
MERDES LAISSÉES : 2351
ÂGE : 34

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MessageSujet: You said you'd always be there for me. But you're not.. You said you'd always be there for me. But you're not.. EmptyDim 27 Avr - 22:12


Hey, ça fait mal !
Oh oui, le passé, c'est douloureux !
Passer autant de temps seul, voir ses journées n'être rythmées que par l'entrée du personnel, voir ses seules fantaisies résider dans les potins des infirmières lorsqu'elles parlent entre elles, poussent à l'ennui. En venir à avoir peur de dormir, à avoir peur de faire des cauchemars comme un enfant, à avoir peur de revivre ces moments fatidiques la nuit poussent à la reconsidération de soit. Les mots de l'inconnu raisonnaient encore dans ma tête. Il n'y avait pas un instant, une minute, une seconde, où ils ne cessaient de se souffler à mon oreille. Je les voyais s'écrire dès lors que je fermais les paupière, je sentais mon cœur le sculpter en braille à chacun de ses battements. « Ta vie n'a-t-elle aucune valeur ? Ne comptes-tu pour personne ? » Sur l'instant, je n'avais su trouver de réponse. Avais-je de véritables accroches, des personnes qui auraient encore pleuré ma mort quelques jours après mon enterrement ? Sans doute, évidemment même, devrais-je dire, mais dans la situation actuelle, je n'étais plus sûr de rien. J'avais la fâcheuse tendance à ne pas savoir montrer mon amour, mon affection, mon attachement. J'avais une orageuse capacité à me brouiller avec tout ceux qui comptaient un tant soit peu pour moi. Pouvais-je dire, aujourd'hui qu'Iseul par exemple n'aurait pas été soulagée d'être débarrassé de Ham Tao Jun, son emmerdeur de faux-mari ? J'en doute et je crains. Iseul, justement. J'ai décidé de me repentir, d'assumer mes actes et mes mots auprès de chacune des personnes ayant souffert de mes maladresses, mais je commençais avec elle. Il était certain qu'elle avait été la plus touchée ; je m'en voulais terriblement.

Je connais Iseul depuis que nous sommes haut comme trois pommes. Nos parents se connaissent sûrement d'avant encore. C'est grâce à eux que j'ai pu rencontrer la perle rare qui est aujourd'hui ma femme, mais ça c'est encore une chose que je ne lui ai jamais dite. Tout comme je ne lui ai jamais dit qu'elle est des plus belles femmes qu'il m'ai été permis de voir, ou que sans elle, le Tao que je suis n'existerait probablement pas. Tout comme j'ai toujours tenu silencieux le fait qu'elle est l'une des femmes de ma vie, que je l'aime à m'en couper le souffle, d'un amour sincère et innocent ; elle est l'une de mes amies les plus précieuses. Parce que mon orgueil démesuré refuse de s'incliner à complimenter les autres, à dire le fond de ma pensé. Je me sens si mal d'avoir tout entaché d'un malentendu. Je suis amoureux. Les choses ont faites que mon cœur s'est entiché d'une femme merveilleuse qui n'est malheureusement pas la fille des Bang. Le problème n'est pas ici : entre nous il n'a jamais été question de sentiments. Le problème est qu'à défaut de ne savoir comment agir avec Su Ah, je m'exerce sur Iseul. Je ne le vois pas comme ça, assurément, mais lorsque la bluing vient chercher un câlin la nuit au creux de mes bras, ça n'est pas à elle que je pense. J'ai eu le malheur d'en faire part à un ami. Les répercussions ont été lourdes. Iseul a légitimement refusé le casting du bouche-trou, quand bien même à mes yeux elle est infiniment plus importante. Je n'ai pas su lui dire, je n'ai pas su la rassurer, et aujourd'hui je crains qu'elle ne me haïsse.

J'avais décidé de recoller les pots cassés.

Montant les marches d'un domicile dont j'ai longtemps été tenu à l'écart suite à ma condition d'infirme, mes mains encombrées d'un imposant bouquet, je ne savais déjà plus où me mettre. C'était la première fois que je lui apportai des fleurs. Et je n'avais pas fait les choses à moitié. Des roses, tout simplement. Des roses blanches, des roses blanches que j'avais trempé dans une peinture bleue nuit et que j'avais ensuite laissé sécher. Des roses dont la couleur ne recouvrait pas totalement certaine pétales par mégarde et inattention. Des fleurs de notre enfance. Une fois devant la porte, je toquai bêtement. J'étais plus chez moi ici que n'importe quelle autre personne. J'étais aussi peu à ma place qu'ailleurs. Lorsqu'elle ouvrit, je lui adressai un sourire timide, craignant un instant qu'elle ne me referme la porte au nez. Iseul s'il te plait, laisse moi juste une chance de t'expliquer. « Salut Iseul. » Pouvait-on faire plus simple, plus pitoyable ? Je me raclai la gorge, conscient de mon manque d'effort. N'étais-je pas censé faire les choses bien ? « J'ai pensé qu'il faudrait qu'on parle sérieusement, s'il te plait ne me met pas à la porte, laisse moi au moins une chance de te parler. » Je repoussai délicatement les roses peintes afin de pouvoir observer son visage, manquant de grimacer. Elle était pâle, et n'avait pas l'air bien. Sans doute n'étais-je pas le seul à la mettre dans un sale état. Je me mordis la lèvre inférieure en gardant le silence quant à ça.



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Bang Iseul
Bang Iseul
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MessageSujet: Re: You said you'd always be there for me. But you're not.. You said you'd always be there for me. But you're not.. EmptyDim 27 Avr - 23:05


Hey, ça fait mal !
Oh oui, le passé, c'est douloureux !
Sa vie ne se résumait à rien. Ce n'était même pas une vie. Elle n'aurait pas souhaité une telle existence pour son pire ennemi. Mais qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez elle, au juste ? Qu'avait-elle fait de mal au bon dieu ? Elle s'était toujours dépassée pour ne faire que le bien autour d'elle, pour être agréable à tous, pour rendre ses proches heureux... Et en avait oublié son propre bonheur. Oui, son propre bonheur, personne ne s'en était souciée. Elle en avait trop fait pour les autres, et eux n'en avait pas suffisamment fait pour elle. C'est ainsi qu'elle était remerciée. Elle ne savait plus quoi faire pour s'en sortir, elle ne savait plus comment s'y prendre pour positiver. Iseul... Iseul était le pilier de bon nombre de personnes. Elle était le roseau de la bande. Elle pliait, mais ne se cassait jamais. Elle était le phœnix. A constamment renaître de ses cendres. Et pourtant, cette fois-ci, elle avait l'affreuse sensation que c'en était fini. Que les dés étaient jetés, et que le destin avait d'ores et déjà donné son verdict.

Elle n'arrivait plus à créer, et ne dessinait plus. Lorsqu'elle sortait, c'était pour boire jusqu'à ne plus en pouvoir, et se réveiller le lendemain dans des endroits inconnus sans avoir le moindre souvenir de ce qui avait pu se passer... Ou dans les bras d'une connaissance. Man Nai. Elle n'arrivait toujours pas à s'en remettre. Elle s'était jurée de ne plus jamais lui céder quoi que ce soit, pas après ce qu'il lui avait fait, et pourtant, sous les effets de l'alcool, et à l'écoute de son cœur, de ce fichu cœur qu'elle haïssait plus que tout désormais, elle avait craqué.

Il l'avait abandonnée lorsqu'elle avait eu le plus besoin de lui. Tout comme Tao l'avait abandonnée... Alors qu'elle avait constamment été là pour lui. Tao. Elle en avait frappé des petits garçons, pour le défendre, alors qu'ils n'étaient encore qu'à la maternelle. Puis, en primaire, lorsque l'on se moquait de lui. Elle l'avait toujours protégé, l'avait toujours... Couvé, limite. Elle était celle qui le réprimandait, qui lui tirait les cheveux, qui le remettait à sa place, mais qui ne permettait pas à quiconque de le faire. Son avocate attitrée, aussi : car combien de fois l'avait-elle défendu, que cela soit face aux parents Ham, ou à son entourage, ou à qui que ce soit. Il a bon fond. qu'elle leur disait constamment, bien qu'il ne lui laissait jamais une seconde de répit lorsqu'il était dans les parages, bien qu'il l'avait fréquemment importunée avec sa bande de potes au lycée.

Mais, cette époque était révolue. La preuve : lorsqu'elle avait été le voir à l'hôpital, c'était constamment en compagnie de sa mère. Elle n'avait pu éviter ces visites, parce qu'elle s'était tout de même inquiétée pour lui... Elle lui avait même choisi un cadeau, une petite peluche Pumba, mais avait fait croire que c'était sa mère qui en était à l'origine. Car elle ne voulait plus avoir quoi que ce soit en commun avec lui. Il l'avait déçue. Comment avait-il pu lui faire ça à... Elle ?! Totalement par hasard, elle était tombée sur des messages qui disaient clairement, mot pour mot, qu'il aimait une jeune femme. Jusque là, pas de problème. Iseul aurait même été heureuse pour lui, si en parallèle il n'avait cessé de tenter de se rapprocher d'elle, de lui tourner autour... S'en servir comme bouche-trou, et l'utiliser pour combler un manque affectif ? Iseul n'avait pu supporter le fait de s'être faite octroyée un tel rôle. Par lui. Par Tao. Qu'il ait voulu jouer avec elle comme toutes les autres filles... Non, c'en était trop, pour elle. Car elle avait longtemps pensé ne pas être comme toutes ces filles à ses yeux, justement. A tort, visiblement.

Pensant encore et toujours à sa nuit avec Man Nai, à ce qu'elle allait faire désormais, à ce qu'elle allait lui dire, à ce qu'elle allait faire, son visage baignant dans les larmes... Elle entendit toquer à la porte. Passant un rapide revers de main sur ses yeux, tentant de faire disparaître sans succès les traces de sa tristesse, elle se leva donc et ouvrit cette dernière... Pour se retrouver nez à nez avec Tao. C'était une blague ? Un cauchemar ? Elle n'en savait rien. Sans dire un mot, elle le fixa un moment puis... S'apprêta à refermer la porte. « C'est pas le moment. Une autre fois. » Sa voix était sèche, et cassée à la fois. La faute à l'alcool, et aux sanglots qui l'avaient secouée toute la mâtiné. Mais... Avant de le faire, elle aperçut les roses. Oui, enfin. Ces roses bleues. Petits, Tao et elle les avaient longtemps trempées dans de la peinture pour qu'elles puissent être à son goût, car évidemment, la Bang ne faisait rien comme tout le monde, et n'aimait que les roses bleu, des roses n'existant pas et ne pouvant être crées qu'artificiellement. A leur vue, elle eut un pincement au cœur. « Cinq minutes, pas plus. J'ai pas de temps à perdre. » Son regard était dur. Parce qu'elle se forçait à faire en sorte qu'il le soit. Elle était décidée à être plus froide, moins gentille, puisque visiblement il n'y avait que ce genre de personnes qui méritaient d'être heureux. Elle ne voulait plus se faire avoir.



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Ham Tao Jun
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MessageSujet: Re: You said you'd always be there for me. But you're not.. You said you'd always be there for me. But you're not.. EmptyDim 27 Avr - 23:56


Hey, ça fait mal !
Oh oui, le passé, c'est douloureux !
Je ne me souvenais plus exactement quels mots j'avais employé pour parler d'elle, en quels termes j'en avais fait l'éloge. La pétalous était là depuis longtemps dans ma vie, depuis de longues années, mais depuis peu les choses s'étaient accélérées de mon côté, m'en rendant presque coupable de porter sur elle un tel regard. Je ne savais plus ce que je devais faire. J'avais demandé conseil, ne pouvant m'empêcher de la vanter à la seule façon qu'un homme éperdument atteint pouvait le faire, et les choses s'étaient retournées contre moi. Je n'avais jamais pensé qu'Iseul et moi puissions fréquenter les mêmes personnes, qu'elle puisse un jour tomber sur tout ce que j'avais dit alors. Était-ce ceci, la base de notre embrouille, de notre situation actuelle ? Ou bien les racines remontaient à plus loin encore ? Je ne savais pas, j'avais une sale habitude à être aveugle à ce qui s'apparentait aux relations humaines. Ironique pour un étudiant censé se fixer sur cette branche justement. Il est vrai aussi que j'avais tous les tords du monde. J'avais le sentiment d'être seul, d'être une coquille vide sans point d'ancrage, de dériver. Iseul était là, elle et son beau sourire, elle et ses paroles qui savaient se faire rassurantes. Iseul était là, et j'ai tenté d'en profiter. J'ai mis de côté tous les principes qui pouvaient m'empêcher de flirter avec elle, et j'aurais même juré certains soirs que l'attraction était réciproque, à la façon dont elle me fixait. Tout ceci pour oublier mes échecs cuisants du côté de Su Ah, qui encore aujourd'hui ne devait pas se douter de grand chose ou du moins je l'espère. Iseul était là, et moi j'ai joué au con.

Plus jeune, j'étais un vrai pleurnichard. Si souvent mis à l'écart que j'en étais réduit à me demander ce qui clochait avec moi. J'avais la même tête que les autres enfants, je n'étais pas méchant, et j'étais même plutôt bon en sport. Alors quel était leur problème, à toujours me choisir en dernier et me voir comme un boulet à leur équipe ? Toujours seul aux récréations, toujours seul à la cantine, toujours seul en classe. Et puis il y avait eu une fille, qui est arrivée le jour où je m'y attendait le moins. Ils ont tous ri de sa jupe à froufrous, de son visage de poupons. Ils ont pleuré, lorsqu'elle les a frappé si fort qu'une bosse se dessinait déjà sur leurs fronts. Alors Iseul est devenue ma première amie, et mon pilier. Avec elle je n'étais plus seul, et avec elle je n'avais plus peur. C'est absurde, n'est-ce pas ? Les moqueries n'ont pas cessé pour autant, mais elles se faisaient plus discrètes. Je crois bien avoir mis une semaine au moins avant de prononcer mes premiers mots, me satisfaisant de marcher dans son ombre. « Je m'appelle Tao Jun. » - « Je sais. » J'ai appris ensuite qu'elle était la fille des amis de mes parents. Heureux concours de circonstances. Nous ne nous sommes plus quittés. Elle, Ji Wook et moi. Mon cousin faisait partie de notre trio, nous étions les trois mousquetaires. Je n'ai jamais dis à Iseul combien il pouvait être amoureux d'elle à cette époque. Sans doute par jalousie, puisque je me rappelle bien avoir moi-même été très amoureux de la jeune fille qu'elle était.

Nous avons grandit. Je n'avais plus besoin d'elle, j'avais d'autres amis. Ces voyous pour certains, des cancres pour d'autres, quelques rares personnes censées. De mauvaises fréquentations, et de mauvaises sorties aussi, de mauvaises habitudes. Faire le mur pour aller draguer les filles, être arrêté et conduit au commissariat pour passer la nuit en cellule de dégrisement, me casser la figure sur des scooters trafiqués, je n'avais pas été un adolescent facile. J'étais aussi en guerre contre mes parents à cette époque, lesquels me jugeaient trop irrespectueux, trop mauvaise graine. Encore elle. Encore Iseul avait été là pour dire « Il n'est pas mauvais. » pour la énième fois, alors que le matin même je m'étais allègrement moqué d'elle devant ma bande. Je ne sais pas ce qui me poussais à agir ainsi. Le besoin de reconnaissance, peut-être, le besoin d'être regardé, de susciter l'admiration de mes amis. Le besoin de faire l'intéressant. Et aujourd'hui, nous sommes mariés par soucis d'argent, parce que nos deux familles se soutiennent dans les épreuves. Nous sommes mariés parce que quoi qu'il en paraît, nous ne nous détestons pas, quand bien même nous pouvons râler.

Iseul n'avait pas l'air ravie de me trouver devant sa porte. Pourtant, jusqu'à preuve du contraire, il s'agissait là de notre porte. Notre maison. Je n'avais pas envie qu'elle repousse l'échéance, pour une fois. Qui sait, aurais-je le même courage demain ? Si ça n'était pas maintenant, quand ? Je m'apprêtai à appuyer ma demande lorsqu'elle coula un regard au bouquet, et je pus presque deviner quelle douce douleur enserrait sa poitrine. Cette peinture avait une valeur sentimentale toute particulière à nos yeux, plus qu'aux autres. Ça n'était pas que de bêtes fleurs. « Cinq minutes alors, promis. » Je n'arrivai pas à encrer mon regard dans le sien, conservant les yeux baisés sur ses vêtements. Elle était légitimement dure et froide, quoi de plus normal après le quiproquo qui avait fait l'effet d'une boule de neige ? Je n'avais jamais su lui dire que j'étais désolé, qu'elle n'avait pas tout bien saisi, et que je n'ai jamais eu conscience de mes actes. Il n'était jamais trop tard. N'est-ce pas ? Elle se décala, j'entrai. La clarté du domicile m'avait manqué. Même le canapé mis à sac m'avait manqué, sa capacité à ne pas ranger. Sans mentir, je nourrissais la secrète envie de me coucher dans mon lit, dans ma chambre, et d'entendre ses petits pas se voulant discrets se rapprocher de ma porte. L'entendre se glisser dans la pièce en me pensant endormi, froisser les draps pour se glisser dessous. L'envie d'étreinte affectueusement son corps en souriant, et passer la nuit à profiter de sa chaleur. Un rituel qui m'avait manqué. N'y voyez aucune ambiguïté. Je me retins, par respect, de ne pas déposer un baiser sur sa joue, et restai droit. « J'ai pensé que ce serait une bonne idée, ça fait longtemps que je ne t'en ais pas offert. » Je désignai le bouquet, que je lui tendis ensuite avec gêne. Je ne savais pas comment ces choses-là se passaient. Devais-je tendre le bras et attendre qu'elle ne les prenne, ou aller moi-même les mettre dans un vase ? Les lui déposer dans la main ? De ma main libre, je grattai ma nuque sous l'anxiété. « Il faut vraiment qu'on parle Iseul. Je crois qu'il ai temps que nous ayons une discussion sérieuse. »



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