Juste un sms, un seul sms avait suffit à sortir Mei de sa léthargie. Assis devant la télé à l'appart', In Ho qui ronflait à côté de lui, bien trop crevé par sa journée de travail, le hippie s'emmerdait profond mais il n'avait l'envie de sortir. Néanmoins, il avait suffit d'un seul sms de la part de Jeona pour qu'il se retrouve là, encore bien habillé, un peu éméché, à jouer de ses lèvres contre la peau de son cou, à vouloir la conquérir et la rendre sienne. Il se sentait con, d'accourir pour une fille qui l'engueulait et le rejetait souvent mais cette bleue le rendait fou et fou d'elle. Le brun releva alors la tête, délaissant la peau fruitée de la jeune femme pour planter son regard dans le sien. Qu'il la surprenne? Mais comment? Il la laissa guider son visage pour répondre son baiser avec envie. Encore maintenant, elle ne pensait pas qu'il tenait à elle, avec tout ce qu'il faisait? Un peu vexé, il n'allait pas abandonné! Mei allait lui en mettre plein la vue tien! « C'est parti alors... » Il se recula alors et pianota sur son Ipod qu'il brancha à une chaîne hifi afin de faire diffuser une musique bien connue. Il n'était pas très confiant mais il voulait la convaincre. Il fera de son mieux. Il se mordit alors la lèvre en lui offrant un regard coquin et un joli clin d'oeil avant de commencer à se dandiner maladroitement. Il passa longuement ses mains sur son torse, remontant doucement les pans de son pull et t-shirt, laissant voir alors son joli torse quelque peu mou - tout en continuant à remuer son popotin! Il délaissa le vêtement et couvrit alors sa peau dénudé et se baissa accroupi afin de remonter en se cambrant telle une diva sexy qui a perdu justement tout son sexy. Il enleva sa ceinture et joua avec tel un cowboy. Il passa la cordon derrière la nuque de Jeona et la fit s'approcher de lui afin de danser quelques secondes collé-serré contre elle et de l'embrasser d'un air sensuel et provocateur. Il se recula alors et commença très lentement à se défaire de son pull.

Franchement, Jeona, qu’est ce que t’avais dans la putain de tête ? Mon rire perça le silence pendant le temps ou mei trafiquait la musique. Les sensations dans mon bas ventre rien qu’à imaginer ce qu’il allait faire me faisait délirer. Son sourire me fait craquer et son clin d’oeil me fait sourire, je croise mes doigts et arque un peu mon dos, le dévorant des yeux alors qui dansait maladroitement. Il était tellement mignon. Sans gène, je dévore les petits bouts de peau que j’aperçois, rêvant de poser mes mains tout partout sur lui. Mordillant légèrement ma lèvre inférieur, je retiens mes rire avec un peu de mal, pouffant sans pouvoir m’en empêcher. A l’approche du cowboy, je passe mes mains autour de son cou, collant mon corps contre le siens, une jambe entre les deux siennes, frottant légèrement ma cuisse contre son entre jambe, répondant à son baiser avec envie avant de lui rendre son regard provocateur. Le dévorant des yeux, je me rapproche de lui alors qu’il se recule, glissant tout doucement mes mains sous son pull puis sous son t-shirt alors qu’il enlevait la première couche, touchant du bout des doigts sa peau si douce. Relevant un peu les pans de son t-shirt, je le fait reculer jusqu’au canapé, remontant légèrement ma mini-jupe histoire de pouvoir m’asseoir sur ses cuisses, venant l’embrasser, mordillant sa lèvre inférieur. Après quelques secondes de sensations forte, je le regarde avec un grand sourire et me relève, l’attirant avec moi pour qu’il se relève, je recule alors jusqu’à ma place initiale et lâche alors enfin son t-shirt, le dévorant des yeux. Un petit signe de main pour indiquer qu’il peut continuer, je me mordille alors à nouveau la lèvre, posant un pied sur le mur sur lequel je prend appuie.

Pendant qu'il "dansais", il ne put s'empêcher de remarquer la position aguicheuse qu'affirmait Jeona. Elle était belle, ainsi, à le contempler entrain de se ridiculiser. Il la faisait rire au moins, c'était un bon point, un très bon point. Alors qu'il s'approcha d'elle pour entourer sa nuque pour la coller contre lui, la vicieuse femme cala l'une de ses jambes contre la virilité du jeune homme, le caressant légèrement. Il se mordilla la lèvre inférieure après avoir rompu leur baiser. Il ne comptait pas s'arrêter là mais c'était sans compter sur le fougue de la bleue qui le poussa au point de le faire tomber sur le canapé. Impuissant, il la contempla avec envie entrain de remonter sa mini-jupe. C'est sans honte qu'il observa le haut de ses cuisses fébrilement, il avait de plus en plus chaud. Il posa alors ses mains sur les belles gambettes de la Bluing et répondit à son baiser avec envie et passion. Il grogna d'insatisfaction lorsque Jeona rompit leur échange et qu'elle le tira pour qu'il se relève. Mei le savait qu'elle n'allait pas se contenter que de ça. Il rigola alors légèrement alors qu'un frisson parcourut son torse. Il n'avait plus rien sur la partie haute de son corps et il n'avait pas encore assez chaud à son goût. Il s'approcha alors d'elle et se dandina d'elle un gogo dancer. Il se retourna, dos à elle, se pencha en avant et trémoussa son joli fessier contre l'entre-jambes de Jeona, élégant n'est-ce pas. Il avait envie de se pendre tellement il était maladroit mais il n'en démordrait pas. Le brun commença alors à déboutonner son jean tout en reculant, laissant apercevoir la couleur noire de son boxer plutôt bien chargé. Il se mordit la lèvre d'un air aguicheur tout en plantant son regard dans celui de Jeona et lui fit signe d'approcher.

Les sensations que j’éprouvais étaient de plus en plus forte et l’envie de lui sauter dessus est toujours aussi intense. Le pire dans cette hésitation à l’aimer, c’est que j’aimais tout chez lui. Ses défauts comme ses qualités, ses maladresses comme ses points forts. Doucement, je me mordis la lèvre alors que je le dévorais des yeux, le voyant s’approcher de moi comme ça. Quel amant parfait il fait. Je n’eut d’autre réflexe que de cacher mes yeux en pouffant de rire en sentant le magnifique fessier de mei frotter contre mon corps. Mes mains vinrent e poser sur ses hanches alors que je me décolle du mur pour me coller à lui, avant qu’il ne décide de reculer pour se faire encore plus désirer. Les sensations dans mon bas ventre ne trompais pas, malgré le manque de classe flagrant, il m’excitait, et enlevait bien trop lentement son jeans à mon gout. Lorsqu’il me fit signe avec son petit regard aguicheur, je ne me fit pas prier et vint le rejoindre, mes deux mains frôlant son torse, une se dirigeant dans son dos alors que l’autre jouit avec l’élastique de son boxer, je vint l’embrasser avec envie alors que ma main descendait plus bas dans le tissus pendant qu’il finissait de déboutonner son pantalon. Je le fit reculer, sans lâcher ses lèvres, jusqu’à un pan du mur ou je collais son dos contre la paroi froide, venant embrasser son cou avant de le suçoter quelques instants, laissant ma marque sur sa peau si fine. « tu es doué...même si t’es pas très gracieux » lui chuchotais-je à l’oreille avant de sourire et de le regarder avec un mélange de malice et d’envie.

Le brun frissonna longuement et la main instigatrice de Jeona caressant son dos dû bien le remarquer. Il n’avait plus trop d’espoir quant à tenir correct son bas ventre qui était bien trop chaud désormais pour être contrôlé. En d’autres termes, son engin disait coucou, il était démasqué. Il répondit alors à son baiser avec une envie extrême. La main de Jeona jouant en bas bien trop lentement et délicatement le faisait bouillir de l’intérieur. Il n’en pouvait plus. C’est ainsi alors qu’il se laissa guider par la demoiselle et qu’il se retrouva coller contre le mur. La paroi froide contre son dos bouillant éveilla en lui encore plus de sensations perturbantes et à la fois agréables. Lorsque la bleue quitta ses lèvres pour cajoler son cou, le damoiseau n’eut d’autres réflexes que d’empoigner doucement sa douce crinière bleu. Sous l’effet du plaisir il souffla d’aise et ferma les yeux en jetant légèrement sa tête en arrière. Elle le tentait trop. Elle jouait avec le feu. Et le coup de feu le percuta dès qu’elle eut finit de lui minauder une phrase au creux de l’oreille. « J’en peux plus là » lui répondit-il alors que d’un coup il la prit dans ses bras et fit en sorte que ses jambes enroulent sa taille. Il la plaqua délicatement contre le mur et la prit dans un baiser fougueux empli de passion. Il la quitta des lèvres seulement lorsqu’il manqua de souffle puis ancra son regard dans le sien. « Laisse-moi te faire du bien… »

Jouer avec le feu, j’aime, j’adore, c’est un besoin indésirable de contrôle sur mon partenaire. Il est la entre mes doigts, à frissoner, à me tenir comme je le tiens. Impossible à expliquer, mais nous sommes attirés, connectés, aimantés, sans pouvoir rien y faire. Nous sommes noyés dans l’envie, l’excitation, la fragilité du moment. Sa vivacité me fait lâcher un petit soupire d’aise alors que ‘enroule mes jambes autour de sa taille, je m’accroche à sa nuque et embrasse son front alors que je sens la fraîcheur du mur dans mon dos. Son baisser me faire suffoquer d’envie, et mes mains sur son visage caressant doucement chaque parcelle de sa peau. Un frisson parcours mon corps quand sa voix entre en moi comme une mini explosion. Son regard en miroir au miens, je sourit doucement alors que d’une voix suave, je me penche vers lui, à quelques millimètres de ses lèvres, et murmure : « Fais moi l’amour, mei. » avant de lui voler un baiser, chaste, fougueux, remplis d’intentions que lui seul connait. Je relève un peu la tête sur la villa vide, mais le temps passe et quelqu'un pourrait rentrer à n’importe quel instant suivant celui-ci. Le pire du pire serait que Yue rentre du lycée avant les autres. Pensant à ça, je plonge à nouveau mes yeux dans ceux de mei « Viens, on va dans ma chambre... » un petit sourire et je desserre mes jambes autour de sa taille et me laisse glisser le long du mur. ne le quittant pas pour autant, mon corps coller au siens, je glisse ma main le long de son bras et le tire doucement, ses doigts liées aux miens, jusqu’à ma chambre. Sur le chemin, j’en profite pour me faire encore un peu plus désirer, jouant des hanches, mon t-shirt pas si bien remet que ça, laissant entrevoir mon soutiens gorge. Arrivée dans ma chambre, je me tourne face à lui et ferme la porte en le poussant doucement contre, un sourire coquin sur les lèvres.

La tentation. Jeona était la tentation même. Une femme pour qui Mei se battait bec et ongle. Même pour Ming Zhu à l'époque, il ne s'était pas autant acharné. Peut-être bien parce que cette dernière ne lui avait pas résisté, peut-être parce que son regard n'avait pas été aussi perçant et déstabilisant que celui de la bleue. Jeona le troublait, elle le rendait trop fébrile et surtout trop fragile car Mei n'avait envisagé aucune suite possible à l'option "Jeona ne le choisit pas". Sûrement qu'il s'effondrerait et qu'il ne s'en remettrait pas. Parce que ce qu'il ressent pour Jeona, il ne l'a jamais connu auparavant. Autant il aimait vivre cela, autant c'était la chose la plus douloureuse qu'il subissait lorsqu'il n'était pas en sa présence. Trop guimauve, il se trouvait trop fleur bleu et il haïssait ça. Il soupirait, il frémissait, trop d'émotions en même temps, tout ça provoqué par les mains de Jeona sur son visage, caressant ses joues et ses mots qui semblent si lointain, comme provenant d'un rêve et qui se crashent sans douceur contre lui mais avec une chaleur improbable, magique. Il ne lui répondit pas, trop coincé sous l'emprise du regard de la bleue. Celle-ci, finalement ne lui laissa pas plus de temps pour continuer son oeuvre. Et elle n'avait pas tord de vouloir changer de pièce. Si jamais la petite dernière arrivait, déjà il ne saurait plus où se placer et puis, il ne désirait pas la traumatiser à vie. Sur le chemin, Mei sourit et se laissa guider sans protester. Son regard suivait alors les formes alléchantes de sa belle qui se dandinait, puis remonta lentement le long de son corps, s'arrêtant sur sa jolie poitrine bien trop couverte à son goût. Il se retrouva alors contre la porte de la chambre de Jeona, à la contempler sans vergogne mais plutôt avec envie. « T'es trop belle... » souffla-t-il dans un murmure presque audible. Puis ses lèvres se jetèrent sur celle de la belle Jeona alors qu'en même temps, il la poussa contre son lit, la faisan si coucher sur le dos. Il lui tira la langue en souriant après avoir rompu le baiser et se recula un peu pour aller goûter la peau du ventre plat de la demoiselle. Il y laissa son souffle s'échouer tandis que ses lèvres savourèrent minutieusement le plus de parcelles doucereuses possible. Il remonta alors un peu mais le tissu de haut et du soutien-gorge vinrent le déranger. Il lui retira son haut et taquin, il vint mordiller les bretelles du soutifs, comme s'il allait réussir à l'enlever comme ça. Il se mit à rire, se rendant compte de sa connerie, tandis que que l'une de ses mains se fraya un chemin à l'intérieur de l'une des cuisses de Jeona pour la caresser avec fermeté et délicatesse. D'un geste vif et rapide, il passa sa main sous son dos et lui dégrafa le vêtement. Il le lui ôta alors qu'il lui marquait la peau du cou et vint par la suite chatouiller l'une de ses billes de chaire, dévorant tendrement la poitrine si attirante de Jeona. Mei redressa son visage alors que son autre main vint se poser sur l'intimité de la bleue et alla alors quémander un nouveau baiser à la jeune femme.